Origine et signification
Ce nom rappelle le souvenir de Claude de Bermen de La Martinière (La Ferté-Vidame, France, 1636 – Québec, 1719). Celui-ci a été, entre autres, juge seigneurial, membre du Conseil souverain et subdélégué de l'intendant Bégon. En 1664, il épouse Anne Després, veuve du seigneur Jean de Lauzon. Il devient ainsi propriétaire de la seigneurie de Lauzon et le demeure jusqu'en 1699, alors qu'il est obligé d'abandonner ses titres de propriété à Thomas Bertrand. Claude de Bermen de La Martinière est le premier à ouvrir des terres à l'ouest de la rivière Chaudière. Celles-ci ont fait partie de la paroisse Saint-Nicolas, nommée ainsi en l'honneur de la paroisse natale de Claude de Bermen de La Martinière, Saint-Nicolas-de-la-Ferté.
Sources
Edward H. Borins, « BERMEN DE LA MARTINIÈRE, CLAUDE DE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 2, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 30 janv. 2014
Date d'officialisation
1993-03-05
Spécifique
De La Martinière
Générique (avec ou sans particules de liaison)
Rue
Type d'entité
Rue
Région administrative
Chaudière-Appalaches
Municipalité régionale de comté (MRC)
Hors MRC
Municipalité
Lévis (Ville)
Code géographique de la municipalité
25213
Dans une adresse, on écrirait, par exemple :
10, rue De La Martinière
Sur un panneau de signalisation routière, on écrirait, par exemple :
Rue De La Martinière