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Commission de toponymie

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Route 232 Est


Origine et signification Cette voie de communication est située à Saint-Michel-du-Squatec, dans le Bas-Saint-Laurent.

Au Québec, l'attribution de numéros aux voies de communication administrées par le ministère des Transports suit une logique précise.

Les autoroutes sont numérotées de 1 à 99 et de 400 à 999, les routes principales, ou nationales, de 100 à 199 et les routes secondaires de 200 à 399. Quant aux routes secondaires, celles qui se trouvent au sud du fleuve Saint-Laurent sont désignées par des numéros allant de 200 à 299, tandis que celles qui se trouvent au nord portent des numéros allant de 300 à 399.

De façon générale, les routes et les autoroutes dont le tracé est perpendiculaire au fleuve Saint-Laurent sont désignées par un numéro impair, alors que celles dont le tracé est parallèle à celui du fleuve sont désignées par un numéro pair. La numérotation va en ordre croissant de l'ouest vers l'est de la province et du sud vers le nord.

Date d'officialisation 1996-06-07

Spécifique 232 Est

Générique (avec ou sans particules de liaison) Route

Type d'entité Route

Région administrative Bas-Saint-Laurent

Municipalité régionale de comté (MRC) Témiscouata

Municipalité Saint-Michel-du-Squatec (Municipalité)

Code géographique de la municipalité 13065

Dans une adresse, on écrirait, par exemple : 10, route 232 Est

Sur un panneau de signalisation routière, on écrirait, par exemple : Route 232 Est

Anciens noms officiels

  • Chemin du Sud-du-Lac

  • Rang de la Croix

    La croix, principal symbole de la foi chrétienne, représentait à l'origine un instrument de supplice formé d'un poteau vertical coupé, dans sa partie supérieure, d'une traverse horizontale. Dans l'Antiquité, on condamnait à mort les criminels et ceux qui portaient atteinte à la sécurité de l'État en les attachant ou en les clouant par les extrémités sur une croix. Ainsi, les Romains s'en servirent pour mettre à mort Jésus (Ier siècle), prophète juif et fondateur du christianisme. Marqués par ce geste, les chrétiens - catholiques, protestants et orthodoxes - firent de la croix un des objets significatifs de leur croyance religieuse, l'installant notamment sur et dans leurs lieux de culte. On trouve aussi dans les églises catholiques le « chemin de la Croix », ensemble de 14 tableaux ou sculptures décrivant les étapes de la Passion du Christ. De plus, par le passé, on érigea une croix de chemin à l'intersection de nombreuses voies de communication. La société québécoise, longtemps dominée par le clergé et la symbolique catholiques, usèrent à de multiples reprises du mot « croix » pour dénommer des entités géographiques justement cruciformes (exclusivement des lacs), ou sises à proximité ou sur laquelle fut érigé une croix (monts, îles, cours d'eau, voies de communication et autres). Le mot croix, apparu à la fin du Xe siècle, vient du latin crux, crucis. Les Romains créèrent ou connurent la croix à l'époque des guerres contre Carthage (IIIe-IIe siècles avant J.-C.).

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