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Commission de toponymie

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N’est plus le nom officiel de ce lieu. Celui-ci s’appelle maintenant Rue Marie-Claire-Daveluy  - Nom officiel

Origine et signification Le nom évoque le souvenir de Germaine Guèvremont, née Grignon (Saint-Jérôme, 1893 – Montréal, 1968), écrivaine. Elle fit ses débuts en journalisme dans divers journaux, dont The Montreal Gazette et Le Courrier de Sorel. En 1942, elle publia son premier livre, un recueil de contes, et entreprit son plus grand succès, Le Survenant, qui parut en 1945. Ce roman lui valut de nombreuses reconnaissances, dont le prix Duvernay, le prix Sully-Olivier de Serves et le prix David. Deux ans plus tard, elle publia le second tome de ce roman, Marie Didace. Ce deuxième succès lui permit d'entrer à l'Académie canadienne-française. Elle se mérita le Prix du Gouverneur général en 1950 pour la traduction anglaise de ce roman et sera également récipiendaire de divers doctorats honorifiques. Ses romans furent adaptés à la radio en 1951 et à la télévision de 1954 à 1960. Elle fut élue à la Société royale du Canada en 1962.

Ancien nom officiel

  • Rue Germaine-Guèvremont

    Le nom évoque le souvenir de Germaine Guèvremont, née Grignon (Saint-Jérôme, 1893 – Montréal, 1968), écrivaine. Elle fit ses débuts en journalisme dans divers journaux, dont The Montreal Gazette et Le Courrier de Sorel. En 1942, elle publia son premier livre, un recueil de contes, et entreprit son plus grand succès, Le Survenant, qui parut en 1945. Ce roman lui valut de nombreuses reconnaissances, dont le prix Duvernay, le prix Sully-Olivier de Serves et le prix David. Deux ans plus tard, elle publia le second tome de ce roman, Marie Didace. Ce deuxième succès lui permit d'entrer à l'Académie canadienne-française. Elle se mérita le Prix du Gouverneur général en 1950 pour la traduction anglaise de ce roman et sera également récipiendaire de divers doctorats honorifiques. Ses romans furent adaptés à la radio en 1951 et à la télévision de 1954 à 1960. Elle fut élue à la Société royale du Canada en 1962.

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