Origine et signification
Le nom de cette voie de communication rappelle le souvenir de Rosalie-Caroline Debartzch (Saint-Charles-sur-Richelieu, 1819 – Montréal, 1889), fille de Pierre- Dominique Debartzch, seigneur, avocat et homme politique et de Josette de Saint-Ours, membre de l'une des familles seigneuriales les plus riches du Bas-Canada. Le nom La Petite-Caroline – de même que La Grande-Caroline – semble faire référence à deux portraits de Rosalie-Caroline Debartzch peint au XIXe siècle.
Par son statut social, Rosalie-Caroline Debartzch a été un témoin privilégié de son temps. Le journal intime qu'elle a rédigé en 1839 et 1840 constitue une précieuse source de renseignements sur l'histoire des femmes, de la société de l'époque de même que sur certains événements des rébellions de 1837 et 1838, survenues notamment dans la vallée de la rivière Richelieu. Le journal intime de Caroline Debartzch a été classé bien historique par la ministre de la Culture et des Communications du Québec, le 19 janvier 2005.
Date d'officialisation
1980-01-31
Spécifique
Petite-Caroline
Générique (avec ou sans particules de liaison)
La
Type d'entité
Chemin
Région administrative
Montérégie
Municipalité régionale de comté (MRC)
Rouville
Municipalité
Rougemont (Municipalité)
Code géographique de la municipalité
55037
Dans une adresse, on écrirait, par exemple :
10, La Petite-Caroline
Sur un panneau de signalisation routière, on écrirait, par exemple :
La Petite-Caroline
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