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Commission de toponymie

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Kischaakus (Chute)  - Variante traditionnelle autochtone
Sarvakallak (Chute)  - Variante traditionnelle autochtone
Chute de la Pyrite  - Nom officiel

Origine et signification Sarvakallak est le nom que les Inuits utilisent pour désigner la chute de la Pyrite. Il signifie « les rapides courts ».

Sources

MÜLLER-WILLE, Ludger. Enquête Kangiqsualujjuaq et Kuujjuaq [Rapport], 1982.

MÜLLER-WILLE, Ludger. Répertoire toponymique inuit du Nunavik (Québec, Canada), Institut culturel Avataq, 1987, page 361, 24F/06, numéro 1.

Variante traditionnelle autochtone

  • Kischaakus (Chute)

    Kischaakus est le nom que les Naskapis utilisent pour désigner l’accident hydrographique dont le nom officiel est Chute de la Pyrite. Cette chute se trouve sur le cours de la rivière Caniapiscau, sur le territoire non organisé de Rivière-Koksoak, dans le Nord-du-Québec.
    Kischaakus signifie « c’est une [plus] petite chute abrupte ». Kischaakus fait référence à la chute du Calcaire (ou Kischaakw en naskapi), qui est plus grande que la chute du Pyrite, tout en se distinguant aussi par son degré de pente prononcé.
    La chute est mentionnée dans le conte Âchâna Kâ-nûchîhkâkuch Îyuch (qui a été traduit par Des rencontres avec Âchân), raconté par John Peastitute (1896-1981), un aîné naskapi. Dans le récit, la chute est un obstacle sur l’itinéraire des protagonistes lors de leur descente de la rivière Caniapiscau. 
    Dans le syllabaire naskapi, le nom est représenté par la forme ᑭᔅᒐᑯᔅ.
    Kischaakus se prononce kis-cha-kous.

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