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Commission de toponymie

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N’est plus le nom officiel de ce lieu. Celui-ci s’appelle maintenant Route 232 Est  - Nom officiel

Origine et signification La croix, principal symbole de la foi chrétienne, représentait à l'origine un instrument de supplice formé d'un poteau vertical coupé, dans sa partie supérieure, d'une traverse horizontale. Dans l'Antiquité, on condamnait à mort les criminels et ceux qui portaient atteinte à la sécurité de l'État en les attachant ou en les clouant par les extrémités sur une croix. Ainsi, les Romains s'en servirent pour mettre à mort Jésus (Ier siècle), prophète juif et fondateur du christianisme. Marqués par ce geste, les chrétiens - catholiques, protestants et orthodoxes - firent de la croix un des objets significatifs de leur croyance religieuse, l'installant notamment sur et dans leurs lieux de culte. On trouve aussi dans les églises catholiques le « chemin de la Croix », ensemble de 14 tableaux ou sculptures décrivant les étapes de la Passion du Christ. De plus, par le passé, on érigea une croix de chemin à l'intersection de nombreuses voies de communication. La société québécoise, longtemps dominée par le clergé et la symbolique catholiques, usèrent à de multiples reprises du mot « croix » pour dénommer des entités géographiques justement cruciformes (exclusivement des lacs), ou sises à proximité ou sur laquelle fut érigé une croix (monts, îles, cours d'eau, voies de communication et autres). Le mot croix, apparu à la fin du Xe siècle, vient du latin crux, crucis. Les Romains créèrent ou connurent la croix à l'époque des guerres contre Carthage (IIIe-IIe siècles avant J.-C.).

Anciens noms officiels

  • Chemin du Sud-du-Lac

  • Rang de la Croix

    La croix, principal symbole de la foi chrétienne, représentait à l'origine un instrument de supplice formé d'un poteau vertical coupé, dans sa partie supérieure, d'une traverse horizontale. Dans l'Antiquité, on condamnait à mort les criminels et ceux qui portaient atteinte à la sécurité de l'État en les attachant ou en les clouant par les extrémités sur une croix. Ainsi, les Romains s'en servirent pour mettre à mort Jésus (Ier siècle), prophète juif et fondateur du christianisme. Marqués par ce geste, les chrétiens - catholiques, protestants et orthodoxes - firent de la croix un des objets significatifs de leur croyance religieuse, l'installant notamment sur et dans leurs lieux de culte. On trouve aussi dans les églises catholiques le « chemin de la Croix », ensemble de 14 tableaux ou sculptures décrivant les étapes de la Passion du Christ. De plus, par le passé, on érigea une croix de chemin à l'intersection de nombreuses voies de communication. La société québécoise, longtemps dominée par le clergé et la symbolique catholiques, usèrent à de multiples reprises du mot « croix » pour dénommer des entités géographiques justement cruciformes (exclusivement des lacs), ou sises à proximité ou sur laquelle fut érigé une croix (monts, îles, cours d'eau, voies de communication et autres). Le mot croix, apparu à la fin du Xe siècle, vient du latin crux, crucis. Les Romains créèrent ou connurent la croix à l'époque des guerres contre Carthage (IIIe-IIe siècles avant J.-C.).

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