Aboiteau, n.m.
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Digue permettant la récupération des terres littorales pour la culture. Note. – Par extension, le terme aboiteau est aussi utilisé pour désigner la surface de terrain récupérée.
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Recommandé
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About, n.m.
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Espace résiduel entre deux rangs, résultant d'un découpage cadastral.
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Recommandé
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Abouts, n.m.
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Voir : About.
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Recommandé
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Abri, n.m.
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Construction simple en plein air, formée d'un toit soutenu par des montants et souvent par des parois, qui sert à se mettre à couvert des intempéries.
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Approuvé
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Abri de randonnée, n.m.
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Voir : Abri.
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Abrupt, n.m.
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Rupture de pente prononcée dans un versant.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d’abrupts une désignation commune. C’est le terme pluriel abrupts qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Abrupts, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d’abrupts une désignation commune. C’est le terme pluriel abrupts qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Abrupt.
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Approuvé
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Aérodrome, n.m.
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Terrain aménagé pour le décollage et l'atterrissage des avions. (OQLF, 1998)
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Normalisé
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Aérogare, n.m.
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Ensemble des bâtiments et des installations d'un aéroport spécialement destinés aux voyageurs et au transport des marchandises. (OQLF, 2019)
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Approuvé
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Aéroport, n.m.
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Lieu aménagé pour le trafic aérien, comportant l'ensemble des installations techniques et commerciales nécessaires.
Note. – Il existe différentes catégories d'aéroports, notamment ceux qui sont civils ou militaires, spécialisés essentiellement dans le transport des passagers ou des marchandises, et ceux ayant une vocation davantage locale, régionale, nationale ou internationale.
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Normalisé
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Agglomération, n.f.
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Territoire englobant une municipalité centrale et sa banlieue.
Note. – Au Québec, le terme agglomération a pris un sens légal très précis depuis la réorganisation territoriale de 2006. Ainsi, une agglomération est un territoire comprenant une ville principale et des villes avoisinantes qui possèdent leur propre mairie. (OQLF, 2017)
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Approuvé
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Aire de pique-nique, n.f.
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Espace en plein air spécialement aménagé pour permettre le pique-nique. (OQLF, 2020)
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Approuvé
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Aire de ponte, n.f.
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Voir : Frayère.
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Aire de service, n.f.
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Voir : Halte routière.
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Aire de services, n.f.
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Voir : Halte routière.
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Allée (carrossable), n.f.
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Voie de communication bordée de verdure dans un jardin, un parc, un bois, ou qui sert d’accès à des résidences situées à l’écart d’une voie plus importante.
Note. – Ce type d'entité est réservé aux voies carrossables, soit celles où les voitures peuvent circuler.
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Normalisé
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Allée (non carrossable), n.f.
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Voie de communication bordée de verdure dans un jardin, un parc, un bois, ou qui sert d’accès à des résidences situées à l’écart d’une voie plus importante.
Note. – Ce type d'entité est réservé aux voies non carrossables, soit celles où les voitures ne peuvent pas circuler.
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Normalisé
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Ancrage, n.m.
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Voir : Mouillage.
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Anse, n.f.
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Petite baie à contours arrondis.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d’anses une désignation commune. C’est le terme pluriel anses qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Anses, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d’anses une désignation commune. C’est le terme pluriel anses qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Anse.
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Approuvé
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Antre, n.m.
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Voir : Caverne.
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Appontement, n.m.
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Passerelle érigée sur l'eau, soit fixée sur pilotis, soit flottante, à laquelle peuvent s'amarrer des bateaux.
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Approuvé
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Aquarium, n.m.
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Ensemble d'installations, de bâtiments spécialement aménagés pour recevoir différents spécimens de poissons, de mammifères et d'organismes aquatiques ou amphibies vivants, destinés à être présentés à des visiteurs. (OQLF, 2003)
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Approuvé
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Arboretum, n.m.
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Lieu où l'on fait, dans un but scientifique, la culture et l'étude des arbres forestiers groupés suivant un ordre systématique ou phytogéographique.
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Approuvé
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Archidiocèse, n.m.
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Circonscription ecclésiastique placée sous la responsabilité d'un archevêque.
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Approuvé
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Archipel, n.m.
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Groupe d'îles.
Note. – Le terme archipel est utilisé pour désigner un regroupement d'îles important. Le terme îles s'applique dans le cas de quelques îles n'ayant pas l'apparence d'un regroupement important.
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Approuvé
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Aréna, n.m.
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Bâtiment où se trouve une piste de patinage entourée de gradins.
Notes. – 1. Le terme aréna est un emprunt ancien à l'anglais skating arena. 2. L'aréna est parfois utilisé pour d'autres activités que le patinage. Il peut aussi être aménagé de façon à comprendre des locaux qui servent à diverses activités récréatives ou autres. 3. Les majuscules prennent un accent lorsque les minuscules équivalentes en comportent. Exemple : ARÉNA.
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Recommandé
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Arête, n.m.
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Ligne d'intersection de deux versants d'un élément de relief.
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Approuvé
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Arrêt, n.m.
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Voir : Arrêt ferroviaire.
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Arrêt ferroviaire, n.m.
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Endroit prévu pour l'arrêt facultatif des trains.
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Normalisé
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Arrière-arrière-fief, n.m.
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Étendue de terre concédée à l'intérieur d'un arrière-fief.
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Recommandé
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Arrière-fief, n.m.
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Étendue de terre concédée à l'intérieur d'un fief.
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Recommandé
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Arrondissement, n.m.
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Subdivision administrative et territoriale de certaines grandes villes.
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Approuvé
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Astroblème, n.m.
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Voir : Cratère météorique.
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Autoroute, n.f.
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Voie de communication à chaussées séparées, exclusivement réservées à la circulation rapide, ne comportant aucun croisement à niveau et accessible seulement en des points aménagés à cet effet.
Notes. – 1. Le fait que ce genre de voie soit exclusivement réservé à la circulation des véhicules en exclut l'accès aux piétons. 2. La précision rapide signale qu'on en destine l'utilisation à des véhicules pouvant se déplacer à une certaine vitesse, ce qui implique qu'on en interdit l'accès à des appareils de locomotion tels que la bicyclette, la voiture à traction animale, etc. 3. Sauf exception, une autoroute comporte des chaussées sur lesquelles la circulation ne s'effectue que dans un seul sens.
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Normalisé
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Aven, n.m.
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Cavité verticale, créée par l'érosion, reliant la surface à une grotte dans un sol calcaire, et dans lequel s'engouffrent souvent des eaux de surface qui rejoignent un cours d'eau ou un lac souterrain.
Note. – Bien qu'il soit souvent désigné comme un synonyme d'aven, le terme gouffre est généralement employé pour désigner un aven de grande dimension. Le terme emposieu est parfois employé en Suisse ainsi que dans le Jura français pour désigner un aven. Synonymes : Emposieu; Gouffre.
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Approuvé
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Avenue, n.f.
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1. Voie de communication urbaine, généralement plus large que la rue, menant à des lieux précis de la ville ou reliant des quartiers, donnant accès à des commerces et à des services, et qui comporte au plus quatre voies.
Note. − 1. Dans les grandes villes, une avenue est souvent une artère élégante, qui a fait l’objet d’un aménagement particulier dans la trame urbaine. En Europe particulièrement, elle est souvent bordée d’arbres.
2. Voie de communication urbaine qui, dans un plan en damier, est située dans un axe perpendiculaire à celui d’une rue.
Notes. − 2. Dans un plan en damier, les avenues sont généralement orientées dans la direction nord-sud et, en contexte nord-américain, elles sont souvent numérotées : 1re Avenue, 2e Avenue, 3e Avenue, etc.
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Normalisé
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Baie, n.f.
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Échancrure profonde d'un littoral ou d'une rive.
Note. – 1. Ses dimensions sont habituellement inférieures à celles du golfe mais supérieures à celles de l'anse. Il lui est d'ailleurs possible de contenir plusieurs anses, voire des baies. 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de baies une désignation commune. C’est le terme pluriel baies qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Baies, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de baies une désignation commune. C’est le terme pluriel baies qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Baie.
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Approuvé
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Baignage, n.m.
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Voir : Mouillage.
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Banc, n.m.
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En milieu aquatique, accumulation de matériaux qui peut découvrir.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de bancs une désignation commune. C’est le terme pluriel bancs qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Banc de pêche, n.m.
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Secteur de la mer favorable à la pratique de la pêche commerciale. Note. – 1. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de bancs de pêche une désignation commune. C’est le terme pluriel bancs de pêche qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. 2. Au Québec, on emploie souvent l'unité simple banc pour banc de pêche.
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Approuvé
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Banc de sable, n.m.
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En milieu aquatique, accumulation de sable qui peut découvrir. Note. – 1. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de bancs de sable une désignation commune. C’est le terme pluriel bancs de sable qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. 2. Au Québec, on emploie souvent l'unité simple banc pour banc de sable.
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Approuvé
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Bancs, n.m.
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Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de bancs une désignation commune. C’est le terme pluriel bancs qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Banc.
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Approuvé
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Bancs de pêche, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de bancs de pêche une désignation commune. C’est le terme pluriel bancs de pêche qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Banc de pêche.
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Approuvé
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Bancs de sable, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de bancs de sable une désignation commune. C’est le terme pluriel bancs de sable qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Banc de sable.
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Approuvé
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Barachois, n.m.
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Voir : Lagune.
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Barrage, n.m.
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Ouvrage construit en travers du lit d'un cours d'eau afin de dériver ou d'accumuler les eaux.
Note. – 1. En retenant ou en dérivant les eaux, le barrage sert aussi à la création d'un réservoir, à empêcher les inondations, à la production d'énergie hydroélectrique. Il assure parfois l'alimentation en eau des agglomérations urbaines, des exploitations agricoles ou des entreprises industrielles. L'appellation barrage évoque principalement l'œuvre des humains, mais aussi celle des castors ou, plus largement, de la nature (accumulation de débris). 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de barrages une désignation commune. C’est le terme pluriel barrages qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Recommandé
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Barrage déversoir, n.m.
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Barrage conçu pour que l'eau coule d'elle-même par-dessus la crête en cas de crue, de manière à ce qu'elle ne dépasse jamais un certain niveau dans le réservoir. Variante graphique : Barrage-déversoir. Synonyme : Barrage à crête déversante.
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Approuvé
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Barrages, n.m.
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Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de barrages une désignation commune. C’est le terme pluriel barrages qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Barrage.
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Recommandé
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Barre, n.f.
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Haut-fond qui se forme à l'embouchure d'un cours d'eau ou parallèlement à la côte.
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Approuvé
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Barrière, n.f.
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Voir : Poste d'accueil.
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Base de plein air, n.f.
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Lieu aménagé en pleine nature où des adultes, des familles et des groupes peuvent, en toute saison, séjourner et pratiquer librement des activités de plein air.
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Recommandé
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Base d'hydravion, n.f.
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Voir : Hydrobase.
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Base militaire, n.f.
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Lieu où se retrouvent en permanence des logements, des équipements et autres services utiles à l'armée.
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Recommandé
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Bas-fond, n.m.
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Voir : Fosse.
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Basilique, n.f.
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Voir : Lieu de culte.
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Bassin, n.m.
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Partie élargie et surcreusée d'un cours d'eau, généralement située au pied d'une rupture de pente, où les eaux sont plus calmes que dans les sections adjacentes.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de bassins une désignation commune. C’est le terme pluriel bassins qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Bassin d'eau potable, n.m.
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Voir : Réservoir d'eau potable.
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Bassin de rétention, n.m.
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Bassin à ciel ouvert ou réservoir sous-terrain qui permet de contenir provisoirement les crues ou les eaux pluviales que le réseau hydraulique n'est pas en mesure d'évacuer, afin d'éviter des inondations ou des déversements non désirés.
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Approuvé
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Bassin pluvial, n.m.
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Voir : Réservoir pluvial.
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Bassin portuaire, n.m.
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Plan d'eau d'un port, fermé par des quais ou des digues et destiné à recevoir les navires.
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Recommandé
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Bassins, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de bassins une désignation commune. C’est le terme pluriel bassins qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Bassin.
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Approuvé
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Bâtiment, n.m.
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Construction durable qui sert à abriter les humains ou les animaux ou qui est destinée à un usage déterminé.
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Approuvé
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Batture, n.f.
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Portion étendue et plate d'un rivage affectée par la fluctuation du niveau des eaux.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de battures une désignation commune. C’est le terme pluriel battures qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Battures, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de battures une désignation commune. C’est le terme pluriel battures qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Batture.
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Approuvé
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Belvédère, n.m.
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Lieu aménagé sur un promontoire, offrant une vue panoramique remarquable.
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Approuvé
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Berge, n.f.
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Talus bordant un cours d'eau.
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Approuvé
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Bibliothèque, n.f.
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Établissement qui rassemble et met à la disposition du public une collection organisée de livres et de périodiques ou de tout autre document audio-visuel ou informatique.
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Approuvé
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Bleuetière, n.f.
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Terrain où abonde le bleuet.
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Approuvé
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Bogan, n.m.
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Voir : Bras mort.
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Bois, n.m.
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Étendue de terrain peuplée d'arbres, habituellement associée à l'habitat humain.
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Approuvé
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Boisé, n.m.
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Voir : Bois.
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Bosquet, n.m.
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Groupe d'arbres et d'arbustes servant le plus souvent à des fins utilitaires ou décoratives.
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Approuvé
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Boulevard, n.m.
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Large voie de communication à grand débit de circulation reliant diverses parties d’un ensemble urbain et comportant de quatre à huit voies et, souvent, un terre-plein central.
Note. − Le boulevard se trouve au sein d’une agglomération densifiée, qu’il traverse habituellement. Il peut aussi la contourner tout en conservant sa fonction de relier des parties importantes de la ville.
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Normalisé
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Branche, n.f.
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Chacune des ramifications d'un cours d'eau principal.
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Approuvé
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Bras, n.m.
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Subdivision latérale d'un cours d'eau due à la présence d'une île.
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Approuvé
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Bras mort, n.m.
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Bras abandonné d'un cours d'eau, où souvent stagnent les eaux.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de bras morts une désignation commune. C’est le terme pluriel bras morts qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Bras morts, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de bras morts une désignation commune. C’est le terme pluriel bras morts qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Bras mort.
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Approuvé
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Brisant, n.m.
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Écueil proche d'une côte sur lequel les vagues se brisent et déferlent.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de brisants une désignation commune. C’est le terme pluriel brisants qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Brisants, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de brisants une désignation commune. C’est le terme pluriel brisants qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Brisant.
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Normalisé
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Bureau de poste, n.m.
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Établissement où s'exerce le service du courrier pour un territoire donné.
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Recommandé
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Bureau de poste militaire, n.m.
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Bureau de poste exploité par le ministère de la Défense nationale.
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Recommandé
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Butte, n.f.
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Petite colline.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de buttes une désignation commune. C’est le terme pluriel buttes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Buttereau, n.m.
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Voir : Butte.
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Buttes, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de buttes une désignation commune. C’est le terme pluriel buttes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Butte.
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Approuvé
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Cairn, n.m.
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Monticule ou tumulus édifié en terre ou en pierre et servant de repère ou de souvenir.
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Recommandé
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Camp de plein air, n.m.
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Lieu situé en pleine nature où sont regroupées des habitations plus ou moins rustiques pour les amateurs d'activités de plein air.
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Approuvé
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Camp de vacances, n.m.
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Lieu aménagé généralement en pleine nature et qui offre, sous forme communautaire, le séjour et des activités organisées à des enfants, des adultes ou des familles pendant les vacances.
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Recommandé
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Camp forestier, n.m.
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Lieu où sont regroupées les habitations et les installations servant aux travailleurs en forêt.
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Recommandé
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Camping, n.m.
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Voir : Terrain de camping.
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Camp littéraire, n.m.
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Camp de vacances dont la programmation est axée principalement sur la pratique de l'écriture à des fins littéraires.
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Approuvé
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Camp militaire, n.m.
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Lieu où l'armée installe de façon plus ou moins permanente des tentes, baraquements ou autres abris.
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Recommandé
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Camp minier, n.m.
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Lieu où sont regroupées les habitations et les installations temporaires servant aux travailleurs dans les mines.
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Approuvé
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Camp musical, n.m.
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Colonie de vacances dont la programmation est axée en grande partie sur l'enseignement de la musique.
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Approuvé
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Camp saisonnier, n.m.
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Lieu où certains peuples autochtones installent leurs tentes pour un séjour provisoire, selon l'époque de l'année.
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Approuvé
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Camp sportif, n.m.
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Lieu situé en pleine nature où sont regroupées des habitations plus ou moins rustiques pour les amateurs de chasse et de pêche.
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Approuvé
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Camps saisonniers, n.m.
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Voir : Camp saisonnier.
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Recommandé
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Campus, n.m.
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Ensemble scolaire comprenant généralement les bâtiments destinés à l'enseignement, les résidences des étudiants et les diverses installations d'une université ou d'un collège situés sur une même étendue de terrain et formant ainsi une unité en soi. Note. – Dans l'enseignement universitaire, on appelle parfois cité universitaire l'ensemble qui constitue le terrain et les bâtiments.
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Recommandé
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Canal, n.m.
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Voie d'eau artificielle.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de canaux une désignation commune. C’est le terme pluriel canaux qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Normalisé
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Canal de navigation, n.m.
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Canal destiné surtout à la navigation et au transport fluvial.
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Approuvé
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Canal historique, n.m.
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Voie d'eau artificielle navigable et ancienne dont la vocation est désormais surtout récréative.
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Approuvé
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Canaux, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de canaux une désignation commune. C’est le terme pluriel canaux qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Canal.
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Normalisé
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Canton, n.m.
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Unité territoriale d'un système de division de l'espace, de forme généralement rectangulaire, servant à la concession en tenure libre des terres publiques.
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Approuvé
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Canyon, n.m.
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Gorge creusée par un cours d'eau dans la roche sédimentaire.
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Approuvé
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Cap, n.m.
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Saillie de terre élevée et massive, qui s'avance dans une étendue d'eau.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de caps une désignation commune. C’est le terme pluriel caps qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Caps, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de caps une désignation commune. C’est le terme pluriel caps qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Cap.
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Approuvé
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Carré, n.m.
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Rue qui forme un quadrilatère avec la voie de communication sur laquelle aboutissent ses deux extrémités.
Note. − Le tracé de ce type de rue a généralement la forme d’un U carré.
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Normalisé
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Carrefour, n.m.
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Lieu relativement large, par opposition au simple croisement, où se rencontrent plusieurs voies de communication. Note. – Sur le plan technique de la structure, on peut dénombrer plusieurs types de carrefours dont, entre autres, la bifurcation, l'intersection oblique et le carrefour giratoire qui relèvent tous de la même notion.
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Normalisé
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Carrefour giratoire, n.m.
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Voir : Carrefour.
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Carrière, n.f.
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Terrain où se pratique l'extraction de substances minérales destinées à la construction.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de carrières une désignation commune. C’est le terme pluriel carrières qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Carrières, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de carrières une désignation commune. C’est le terme pluriel carrières qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Carrière.
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Approuvé
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Cascade, n.f.
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Chute d'eau de faible débit, comportant ordinairement plusieurs paliers.
Note. – 1. La cascade peut être active par intermittence, selon les saisons et l'approvisionnement en eau, allant jusqu'à geler en hiver. 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de cascades une désignation commune. C’est le terme pluriel cascades qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
|
Approuvé
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Cascades, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de cascades une désignation commune. C’est le terme pluriel cascades qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Cascade.
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Approuvé
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Cascatelle, n.f.
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Petite cascade.
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Approuvé
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Caserne, n.f.
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Voir : Caserne de pompiers.
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Caserne de pompiers, n.f.
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Bâtiment qui abrite le personnel, les véhicules et le matériel de lutte contre les incendies. Note. – Bien que le terme poste d'incendie soit parfois utilisé au Québec pour désigner une caserne de pompiers, ce terme désigne surtout un ensemble d'appareillages situés dans un lieu précis (par exemple dans un aéroport ou un immeuble à bureaux) et visant à lutter contre des incendies. Il est donc préférable d'utiliser les termes caserne de pompiers ou poste de pompiers pour désigner un bâtiment qui abrite le personnel, les véhicules et le matériel de lutte contre les incendies. Synonyme : Poste de pompiers.
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Approuvé
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Cataracte, n.f.
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Chute d'un grand cours d'eau, dont la dénivelée est importante.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de cataractes une désignation commune. C’est le terme pluriel cataractes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Cataractes, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de cataractes une désignation commune. C’est le terme pluriel cataractes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Cataracte.
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Approuvé
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Caverne, n.f.
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Cavité naturelle de grande taille, creusée dans le roc.
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Approuvé
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Caye, n.f.
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Voir : Récif.
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Cédrière, n.f.
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Terrain où abonde le thuya. Note. – Le thuya est communément appelé cèdre au Québec.
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Approuvé
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Centrale à combustible fossile, n.f.
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Voir : Centrale thermique classique.
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Centrale à combustibles fossiles, n.f.
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Voir : Centrale thermique classique.
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Centrale atomique, n.f.
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Voir : Centrale nucléaire.
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Centrale classique, n.f.
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Voir : Centrale thermique classique.
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Centrale électrique nucléaire, n.f.
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Voir : Centrale nucléaire.
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Centrale électrique thermique, n.f.
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Voir : Centrale thermique.
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Centrale électronucléaire, n.f.
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Voir : Centrale nucléaire.
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Centrale hydroélectrique, n.f.
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Usine dans laquelle l'énergie mécanique de l'eau est transformée en énergie électrique. Note. – On trouve encore la graphie centrale hydro-électrique.
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Recommandé
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Centrale nucléaire, n.f.
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Centrale produisant de l'énergie électrique à partir de l'énergie thermique fournie par un ou plusieurs réacteurs nucléaires. Note. – Le terme centrale nucléaire est normalisé par l'ISO et est largement prédominant dans l'usage. Les termes usine nucléaire et usine atomique sont désuets en ce sens. Les termes anglais nuclear power plant et nuclear power station sont normalisés par l'ISO.
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Approuvé
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Centrale solaire photovoltaïque, n.f.
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Centrale solaire qui produit de l'électricité au moyen de panneaux solaires photovoltaïques. (OQLF, 2019)
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Approuvé
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Centrale thermique, n.f.
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Centrale produisant de l'énergie électrique à partir de l'énergie thermique générée par la combustion de combustibles fossiles, de carburants, de biocombustibles ou de biocarburants, ou fournie par un ou plusieurs réacteurs nucléaires, par des sources géothermales ou par la lumière du soleil.
Note. – En langue courante, on remarque que les termes centrale thermique et usine thermique sont souvent employées pour désigner plus spécifiquement une centrale thermique classique, c'est-à-dire une centrale qui utilise des combustibles fossiles. Le terme centrale thermodynamique n'est plus guère en usage pour désigner une centrale thermique.
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Approuvé
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Centrale thermique à combustible fossile, n.f.
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Voir : Centrale thermique classique.
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Centrale thermique à combustibles fossiles, n.f.
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Voir : Centrale thermique classique.
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Centrale thermique à flamme, n.f.
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Voir : Centrale thermique classique.
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Centrale thermique classique, n.f.
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Centrale produisant de l'énergie électrique à partir de l'énergie thermique dégagée par la combustion de combustibles fossiles solides, liquides ou gazeux. Note. – Dans certaines sources, le terme centrale thermique classique ne désigne que le type le plus commun et le plus ancien de centrales thermiques à combustible fossile, c'est-à-dire celles qui fonctionnent avec une chaudière à vapeur. Cette distinction demeure toutefois peu courante dans l'ensemble de la documentation consultée. Dans la langue courante, le terme générique centrale thermique est souvent utilisé pour désigner une centrale thermique classique.
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Approuvé
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Centrale thermique nucléaire, n.f.
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Voir : Centrale nucléaire.
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Centrale thermoélectrique, n.f.
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Voir : Centrale thermique.
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Centre administratif, n.m.
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Bâtiment regroupant les services administratifs et techniques d’une collectivité locale, d’un arrondissement ou d’un service d’État. (Office québécois de la langue française, 2015)
Note. – Les commissions scolaires, les municipalités et leurs divisions, les services de santé publique, les organismes paragouvernementaux ont souvent un centre administratif.
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Approuvé
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Centre affilié universitaire, n.m.
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Bâtiment, partie de bâtiment ou ensemble de bâtiments dont dispose un établissement (par exemple, un CLSC) ou un hôpital, autre qu'un centre hospitalier universitaire ou un institut universitaire, qui participe à la formation de professionnels du domaine de la santé et des services sociaux ou à des activités de recherche selon un contrat dont les modalités sont prévues dans la Loi sur les services des santés et les services sociaux.
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Approuvé
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Centre commercial, n.m.
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Groupe de magasins de détail, qui peut comprendre généralement un ou plusieurs magasins à grande surface et divers services (poste, banques, etc.), occupant un ensemble de bâtiments donnant sur un stationnement dans une zone urbaine ou à proximité.
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Normalisé
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Centre communautaire, n.m.
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Lieu servant de point de ralliement à une collectivité ou à une communauté dans le but d'exercer des activités récréatives, culturelles, sociales ou humanitaires. Note. – Le centre communautaire se distingue du centre de loisirs du fait qu'il s'y déroule des activités d'ordre social et qu'il sert de lieu de rencontre à une collectivité ou à une communauté.
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Approuvé
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Centre culturel, n.m.
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Lieu public d'une collectivité où sont tenues des activités ou des manifestations artistiques, littéraires, récréatives ou de mise en valeur du patrimoine. Notes. – 1. Le terme centre culturel et ses synonymes sont souvent utilisés pour désigner l'organisme responsable de la gestion du lieu. 2. Le terme centre culturel et ses synonymes servent également à désigner un organisme chargé de promouvoir, à l'étranger, la culture d'un État ou d'une communauté ethnique. Synonymes : Maison de la culture; Centre socioculturel; Centre d'animation culturelle.
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Approuvé
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Centre d'art, n.m.
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Établissement public ou privé consacré à la promotion et à la diffusion des arts et, dans certains cas, à la vente d'œuvre d'arts. Note. – Les formes centre d'arts et centre des arts sont généralement utilisées lorsque l'on souhaite mettre l'accent sur la diversité des disciplines artistiques proposées.
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Approuvé
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Centre d'arts, n.m.
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Voir : Centre d'art.
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Centre de glisse, n.m.
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Lieu destiné à la glissade sur neige ou sur glace et comprenant des pistes conçues à cette fin. Note. – Le terme centre de glisse est généralement utilisé pour la glissade sur des chambres à air, des luges ou des tapis-luges. Il est également utilisé pour désigner des lieux qui comprennent à la fois des pistes de cette nature et des pistes de ski ou de planche à neige. En français européen, le terme centre de glisse est utilisé dans un sens beaucoup plus large puisqu'il peut s'appliquer à tous les lieux où l'on pratique des sports de glisse (planche à roulettes, kayak, char à voile, surf, etc.).
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Approuvé
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Centre de loisirs, n.m.
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Lieu, généralement public, où sont organisées diverses activités récréatives.
Note. – Contrairement au centre communautaire, la mission du centre de loisirs n'est généralement pas axée sur des activités d'ordre social ou humanitaire.
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Approuvé
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Centre de protection de l'enfance et de la jeunesse, n.m.
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Bâtiment, partie de bâtiment ou ensemble de bâtiments dont dispose un établissement qui offre, dans la région, des services de nature psychosociale, y compris les services d'urgence sociale, requis par la situation d'un jeune en vertu de la Loi sur la protection de la jeunesse et la Loi sur les jeunes contrevenants ainsi qu'en matière de placement d'enfants, de médiation familiale, d'expertise à la Cour supérieure sur la garde d'enfants, d'adoption et de recherche des antécédents biologiques. Note. – Le centre jeunesse constitue le résultat de la fusion desétablissements suivants : centres deprotection de l'enfance et de la jeunesse(CPEJ), des centres de réadaptation pour jeunes mères en difficulté d'adaptation (CRMDA) et des centres de réadaptation pour jeunes en difficultés d'adaptation (CRJDA) selon la Loi sur les services de santé et les services sociaux. Le générique centre de protection (n.m.) plus un spécifique (Centre de protection de l'Estrie) constitue la manière habituelle de désigner lesdits centres. À l'exception des cas deregroupements prévus par la Loi où ils sontdésignés par l'expression générique centrejeunesse.
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Approuvé
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Centre de réadaptation, n.m.
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Bâtiment, partie de bâtiment ou ensemble de bâtiments dont dispose un établissement qui offre des services d'adaptation ou de réadaptation et d'intégration sociale à des personnes qui, en raison de leurs déficiences physiques ou intellectuelles, de leurs difficultés d'ordre comportemental, psychosocial ou familial ou à cause de leur alcoolisme ou autres toxicomanie, requièrent de tels services de même que des services d'accompagnement et de soutien à l'entourage de ces personnes.
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Approuvé
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Centre de recherche, n.m.
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Établissement où sont regroupées des activités de recherche.
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Recommandé
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Centre de récupération écologique, n.m.
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Voir : Écocentre.
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Centre des arts, n.m.
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Voir : Centre d'art.
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Centre de services communautaires, n.m.
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Voir : Centre local de services communautaires.
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Centre de ski, n.m.
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Lieu pourvu d'installations élémentaires pour la pratique du ski.
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Recommandé
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Centre de villégiature, n.m.
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Ensemble d'installations hôtelières et d'aménagements de loisir, typiquement situé en un lieu reconnu pour ses attraits géographiques ou culturels.
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Recommandé
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Centre d'hébergement et de soins de longue durée, n.m.
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Bâtiment, partie de bâtiment ou ensemble de bâtiments dont dispose un établissement qui offre, de façon temporaire ou permanente, un milieu de vie substitut, des services d'hébergement, d'assistance, de soutien et de surveillance ainsi que des services de réadaptation, psychosociaux, infirmiers, pharmaceutiques et médicaux aux adultes qui, en raison de leur perte d'autonomie fonctionnelle ou psychosociale, ne peuvent plus demeurer dans leur milieu de vie naturel, malgré le soutien de leur entourage.
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Approuvé
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Centre d'interprétation, n.m.
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Lieu où sont regroupées diverses activités visant à sensibiliser les visiteurs à des éléments du patrimoine naturel ou culturel. Notes. – 1. Le centre d'interprétation peut comprendre des bureaux, une salle d'exposition, une salle de projection, des salles de repos, un casse-croûte, une boutique de cadeaux, etc. Il peut également comprendre des installations extérieures. 2. Il existe des centres d'interprétation de la nature, des centres d'interprétation de l'histoire, des centres d'interprétation de l'architecture et du patrimoine, etc.
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Approuvé
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Centre d'interprétation de la nature, n.m.
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Lieu où sont regroupées diverses installations visant à sensibiliser les visiteurs à des éléments du patrimoine naturel, à les informer sur leurs caractéristiques.
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Approuvé
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Centre d'interprétation de l'histoire, n.m.
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Lieu destiné principalement à la sensibilisation de ses visiteurs à l'histoire ou à un aspect de l'histoire d'une région, d'un site. (Office québécois de la langue française, 2015) Note. – Ce lieu peut comprendre un bâtiment intérieur, une salle d'exposition, une boutique de souvenirs, des installations extérieures, des sentiers d'interprétation, etc.
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Approuvé
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Centre éducatif forestier, n.m.
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Lieu où l'on se consacre principalement à initier le public à la conservation du milieu forestier.
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Approuvé
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Centre hospitalier, n.m.
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Bâtiment ou ensemble de bâtiments dont dispose, au Québec, un établissement de santé qui offre, en plus des services habituels d'un hôpital, un regroupement de services médicaux et psychosociaux spécialisés. Note. – Les centres hospitaliers appartiennent à l'une ou l'autre des classes suivantes : centre hospitalier de soins généraux et spécialisés et centre de soins psychiatriques. De plus, lorsqu'un centre hospitalier est lié à une université (selon des critères bien précis), il est alors classé centre hospitalier universitaire.
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Approuvé
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Centre hospitalier régional, n.m.
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Voir : Centre hospitalier.
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Centre hospitalier régional et universitaire, n.m.
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Voir : Centre hospitalier universitaire.
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Centre hospitalier universitaire, n.m.
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Bâtiment, partie de bâtiment ou ensemble de bâtiments dont dispose un hôpital lié à une université pour des activités reliées aux soins, à l'enseignement et à la recherche.
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Approuvé
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Centre jeunesse, n.m.
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Voir : Centre de protection de l'enfance et de la jeunesse.
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Centre local de services communautaires, n.m.
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Bâtiment, partie de bâtiment ou ensemble de bâtiments dont dispose un établissement qui offre en première ligne des services de santé et des services sociaux courants et, à la population du territoire qu'il dessert, des services de santé et des services sociaux de nature préventive ou curative, de réadaptation ou de réinsertion. Note. – Lorsqu'une désignation comporte un toponyme composé dont l'une des parties comprend déjà un trait d'union (La Petite-Patrie, Basse-Ville), les éléments principaux composant le toponyme sont séparés par un tiret : CLSC de Rosemont–La Petite-Patrie, CLSC de Basse-Ville–Limoilou. Pour l'emploi complexe des désignations génériques des différents organismes, il faut consulter le Guide de dénominations d'établissements de santé et de règles d'écriture.
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Approuvé
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Centre local des services sociaux, n.m.
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Voir : Centre local de services communautaires.
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Centre médical, n.m.
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Bâtiment ou ensemble de bâtiment dont dispose une institution ayant pour but la délivrance de soins médicaux ambulatoires.
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Approuvé
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Centre multisport, n.m.
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Voir : Centre sportif.
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Centre piscicole, n.m.
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Installation où sont menées diverses activités liées à la reproduction et à l'élevage de poissons.
Notes. – 1. Les activités peuvent comprendre de l'élevage proprement dit, de la recherche, de la prestation de conseils destinés aux pisciculteurs. 2. Les termes centre piscicole et centre de pisciculture désignent généralement des installations relativement importantes, tandis que les termes station piscicole et station de pisciculture désignent plutôt des installations plus modestes. 3. Contrairement au terme établissement de pisciculture, qui fait référence à une entreprise privée, les termes station piscicole et centre piscicole peuvent être employés pour désigner une installation relevant du gouvernement ou d'un organisme à but non lucratif. 4. Le terme pisciculture, qui désigne en premier lieu l'ensemble des techniques de production et d'élevage de poissons en vue de la consommation et de l'ensemencement de lacs ou de cours d'eau, est également employé pour désigner le lieu où son menées des activités de ce genre. Synonyme : Centre de pisciculture.
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Approuvé
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Centre récréotouristique, n.m.
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Ensemble d'installations et de bâtiments destinés à fournir aux visiteurs des services de nature récréative et touristique.
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Approuvé
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Centre sportif, n.m.
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Ensemble de locaux ou d'installations destinés à la pratique de sports. (Office québécois de la langue française, 2009)
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Approuvé
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Chaîne de montagnes, n.f.
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Ensemble géomorphologique de montagnes reliées entre elles sur un axe relativement linéaire.
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Approuvé
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Champ, n.m.
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Pièce de terre cultivable.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de champs une désignation commune. C’est le terme pluriel champs qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Champs, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de champs une désignation commune. C’est le terme pluriel champs qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Champ.
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Approuvé
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Château d'eau, n.m.
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Réservoir d'eau surélevé, en béton ou en acier, au-dessus de la surface du sol, destiné à maintenir dans le réseau une pression d'exploitation suffisante.
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Approuvé
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Chaussée latérale , n.f.
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Voir : Voie de desserte.
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Chemin, n.m.
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Voie de communication située en milieu rural, d’importance secondaire par rapport à la route.
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Normalisé
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Chenail, n.m.
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Voir : Chenal.
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Chenal, n.m.
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Voie navigable, naturelle ou artificielle, entre des terres ou des hauts-fonds.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de chenaux une désignation commune. C’est le terme pluriel chenaux qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Chenal de navigation, n.m.
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Voir : Chenal.
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Chenaux, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de chenaux une désignation commune. C’est le terme pluriel chenaux qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Chenal.
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Approuvé
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Chute, n.f.
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Masse d'eau tombant brusquement à l'emplacement d'une rupture de pente.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de chutes une désignation commune. C’est le terme pluriel chutes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Chutes, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de chutes une désignation commune. C’est le terme pluriel chutes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Chute.
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Approuvé
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Cimetière, n.m.
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Lieu où l'on enterre les morts.
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Recommandé
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Circonscription électorale, n.f.
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Division territoriale établie en vue de l’élection de représentants. Note.- La circonscription électorale peut être fédérale, provinciale, municipale ou scolaire. Le terme district demeure toutefois utilisé au sens de division électorale municipale (ou de quartier) dans la Loi sur les élections et les référendums dans les municipalités.
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Recommandé
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Circonscription foncière, n.f.
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Territoire dans lequel un bureau de la publicité des droits exerce sa compétence. Note. – Le terme circonscription foncière a été retenu dans le nouveau Code civil du Québec pour remplacer le calque division d'enregistrement, employé en droit actuel.
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Normalisé
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Circuit, n.m.
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Itinéraire de course organisée sur un parcours en boucle fermée.
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Approuvé
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Ciré, n.m.
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Étendue d'eau lisse et tournoyante, généralement entre la tête et le pied d'une rupture de pente. Note. – Il s'agit d'un québécisme.
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Approuvé
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Cirque , n.m.
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Dépression aux parois abruptes, en forme d'amphithéâtre, façonnée dans les flancs d'une colline ou d'une montagne par un glacier ou un névé. Note. – Le terme anglais cwm est d'origine galloise. Le w se prononce un peu comme le son ou en français. Synonyme : Cirque glaciaire.
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Approuvé
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Cité universitaire, n.f.
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Voir : Campus.
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CLSC, n.m.
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Voir : Centre local de services communautaires.
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Col, n.m.
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Dépression entre deux sommets offrant généralement un passage.
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Approuvé
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Colline, n.f.
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Relief d'élévation modérée aux versants généralement en pente douce.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de collines une désignation commune. C’est le terme pluriel collines qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Collines, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de collines une désignation commune. C’est le terme pluriel collines qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Colline.
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Approuvé
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Colonie de vacances, n.f.
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Camp de vacances pour les jeunes. Note. – Le terme colonie de vacances tend à disparaître pour être remplacé par camp de vacances et centre de vacances. Les centres de vacances et de loisirs sont aujourd'hui une pièce essentielle du dispositif mis en place pour accueillir les enfants et les adolescents dans le temps de loisir.
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Recommandé
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Commune, n.f.
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Terrain utilisé en commun pour le pâturage, la culture ou d'autres usages. Note. – La commune a été instituée sous le régime seigneurial et il en subsiste quelques-unes.
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Recommandé
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Complexe, n.m.
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Ensemble de bâtiments, d'installations de grande importance, groupés en vue d'une utilisation commune ou d'une production particulière. (Office québécois de la langue française, 2016)
Note. – On parlera, par exemple, d'un complexe industriel, d'un complexe récréotouristique, d'un complexe ferroviaire, d'un complexe hydroélectrique.
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Approuvé
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Complexe hydroélectrique, n.m.
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Ensemble des aménagements hydroélectriques reliés qui permettent d'exploiter le potentiel énergétique d'un ou plusieurs bassins ou sous-bassins. Note. – Un complexe compte plusieurs centrales hydroélectriques.
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Approuvé
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Concession, n.f.
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Voir : Rang.
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Confluent, n.m.
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Point de jonction de deux cours d'eau, de deux glaciers ou de deux courants marins.
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Approuvé
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Contournement, n.m.
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Tronçon de route ou d'autoroute, généralement extérieur à une agglomération, destiné à absorber la circulation de transit. Note. – Le terme déviation, utilisé comme synonyme de contournement, surtout en France (sporadiquement au Québec), est aussi l'équivalent français du terme anglais diversion, utilisé pour désigner les déviations temporaires. Quelques ouvrages présentent le terme rocade comme équivalent français de bypass; cependant, rocade renvoie à une route urbaine ayant des fonctions différentes. Lorsque le contournement est une autoroute, on emploie également le terme plus précis autoroute de contournement (en France, on emploie aussi autoroute de dégagement et, parfois, déviation autoroutière). Synonymes : Déviation; Voie de contournement; Autoroute de contournement; Autoroute de dégagement.
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Recommandé
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Cordon littoral, n.m.
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Bande de sable ou de galets sise en bordure d'une côte ou d'une rive et enfermant le plus souvent une lagune.
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Approuvé
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Corniche, n.f.
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Saillie naturelle surplombant une pente raide.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de corniches une désignation commune. C’est le terme pluriel corniches qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Corniches, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de corniches une désignation commune. C’est le terme pluriel corniches qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Corniche.
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Approuvé
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Côte, n.f.
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Voie de communication ou partie de voie de communication qui suit une pente.
Notes. - Il arrive souvent qu'une voie de communication apparemment continue et unique ne porte le nom de côte que dans sa portion en pente, alors que les autres portions de la voie portent un autre générique approprié comme route, rue, chemin. Pour des raisons historiques, au Québec, en particulier sur l'île de Montréal, certaines voies de communication ont, dans leur nom, le terme côte alors qu'elles ne suivent pas de pente. En effet, au début de la colonie, on donnait le nom de côte à des suites de lots d'abord localisés en bordure de cours d'eau, puis à l'intérieur des terres, dans une seigneurie. Le terme s'est maintenu jusqu'à nos jours dans des odonymes, mais uniquement en tant qu'élément du spécifique, comme dans Chemin de la Côte-de-Liesse, Chemin de la Côte-Sainte-Catherine ou Chemin de la Côte-des-Neiges.
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Normalisé
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Coteau, n.m.
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Versant d'une colline ou d'une terrasse.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de coteaux une désignation commune. C’est le terme pluriel coteaux qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Coteaux, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de coteaux une désignation commune. C’est le terme pluriel coteaux qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Coteau.
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Approuvé
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Côte littorale, n.f.
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Bande de terre bordant la mer. Note. – L'usage a consacré au Québec, comme ailleurs, l'emploi exclusif du générique Côte et non l'expression toponymique correspondante : côte littorale.
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Approuvé
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Côte orographique, n.f.
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Voie de communication ou partie d'une voie de communication non retenue administrativement comme odonyme ou nom de voie de communication, mais retenue toponymiquement à des fins culturelles ou géographiques d'orientation ou de repérage. Note. – 1. L'usage a consacré au Québec, comme ailleurs, l'emploi exclusif du générique Côte et non l'expression toponymique correspondante : côte orographique. 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de côtes orographiques une désignation commune. C’est le terme pluriel côtes orographiques qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Côtes orographiques, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de côtes orographiques une désignation commune. C’est le terme pluriel côtes orographiques qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Côte orographique.
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Approuvé
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Coude, n.m.
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Angle saillant dans le tracé d'un cours d'eau à la suite d'un changement brusque de direction.
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Approuvé
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Coulée, n.f.
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Voir : Ravin.
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Courant, n.m.
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Portion d'une masse d'eau qui se déplace dans une direction déterminée.
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Approuvé
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Courbe, n.f.
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Inflexion dans le tracé d'un cours d'eau.
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Approuvé
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Cours, n.m.
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Large voie de communication urbaine qui comprend un aménagement spécialement destiné à la promenade.
Note. − Une partie du cours est destinée à la circulation automobile, et l’autre partie, aux piétons.
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Normalisé
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Cours d'eau agricole, n.m.
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Cours d'eau régularisé artificiellement par des travaux de drainage des terres.
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Approuvé
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Cran, n.m.
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Voir : Rocher.
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Cratère de météorite, n.m.
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Voir : Cratère météorique.
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Cratère météorique, n.m.
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Dépression fermée, creusée dans la terre par la chute d'une météorite. Note. – Dans le langage scientifique, on emploie de plus en plus astroblème pour désigner cette réalité.
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Approuvé
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Crête, n.f.
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Ligne de faîte d'un ensemble montagneux.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de crêtes une désignation commune. C’est le terme pluriel crêtes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Crêtes, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de crêtes une désignation commune. C’est le terme pluriel crêtes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Crête.
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Recommandé
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Crevasse, n.f.
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Fente profonde à la surface du sol ou d'un glacier.
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Approuvé
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Crique, n.f.
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Petite anfractuosité dans une côte rocheuse offrant un abri naturel aux embarcations.
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Approuvé
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Croissant, n.m.
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Rue dont la plus grande partie du tracé forme un arc de cercle.
Note. − Selon le cas, les deux extrémités d’un croissant peuvent se raccorder à une même voie, à deux voies distinctes, ou se raccorder à une voie à une extrémité et finir en cul-de-sac à l’autre extrémité.
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Recommandé
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Cuvette, n.f.
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Dépression de terrain naturelle formant un creux fermé de tous les côtés.
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Approuvé
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Cuvette de fusion, n.f.
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Voir : Kettle.
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Cuvette de fusion de glace morte, n.f.
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Voir : Kettle.
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Cuvette de fusion glaciaire, n.f.
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Voir : Kettle.
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Cuvette de glace morte, n.f.
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Voir : Kettle.
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Cuvettes, n.f.
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Voir : Cuvette.
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Débarcadère, n.m.
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Emplacement dans un port, sur une côte ou sur un rivage, permettant l'embarquement et le débarquement des passagers et des marchandises. Note. – En toponymie, le terme débarcadère est préféré à son synonyme embarcadère.
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Recommandé
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Défilé, n.m.
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Passage naturel, étroit et encaissé, entre des hauteurs.
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Approuvé
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Delta, n.m.
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Embouchure d'un cours d'eau formée par une accumulation de dépôts alluviaux, qui s'ouvre en différentes ramifications avant de se jeter dans un autre cours d'eau ou un plan d'eau plus importants.
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Approuvé
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Dépôt, n.m.
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Voir : Dépôt forestier.
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Dépôt forestier, n.m.
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Centre d'approvisionnement et de ravitaillement d'une exploitation forestière, comprenant un ensemble de bâtiments devant être en usage pendant plusieurs années.
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Recommandé
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Desserte, n.f.
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Circonscription ecclésiastique où la juridiction d'un ministre du culte (curé, pasteur, etc.) s'exerce de l'extérieur, le plus souvent d'une paroisse voisine.
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Approuvé
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Détroit, n.m.
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Passage maritime naturel resserré entre deux côtes et faisant communiquer deux étendues d'eau.
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Approuvé
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Digue, n.f.
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Ouvrage en longueur destiné à faire obstacle à des mouvements d'eau ou à retenir l'eau.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de digues une désignation commune. C’est le terme pluriel digues qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Recommandé
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Digues, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de digues une désignation commune. C’est le terme pluriel digues qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Digue.
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Recommandé
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Diocèse, n.m.
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Circonscription ecclésiastique où s'exerce la juridiction d'un évêque.
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Recommandé
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District électoral, n.m.
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Division territoriale établie pour la tenue d’élections municipales.
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Recommandé
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District judiciaire, n.m.
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Division territoriale constituée aux fins de l'administration de la justice.
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Recommandé
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Division cadastrale, n.f.
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Voir : Rang.
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Division d'enregistrement, n.f.
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Voir : Circonscription foncière.
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Division de recensement, n.f.
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Division territoriale établie aux fins du recensement.
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Recommandé
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Doline, n.f.
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Dépression de forme circulaire ou ovale, généralement moins profonde que large, créée par la dissolution de roches ou par l'affaissement du sol au-dessus d'une cavité. Notes. – 1. Le diamètre des dolines peut varier d'une dizaine de mètres à un kilomètre environ. Les dolines peuvent notamment être classées selon leur forme (doline en cuvette, doline en entonnoir, etc.) ou selon leur origine (doline de dissolution ou doline d'effondrement). 2. Les dolines finissent parfois par devenir des avens; c'est pour cette raison que certains ouvrages spécialisés anglais proposent swallow hole comme synonymes de doline. En France, le terme sotch est un équivalent régional utilisé dans les Causses. Synonyme : Sotch.
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Approuvé
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Domaine, n.m.
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Propriété foncière d'une certaine étendue, généralement caractérisée par un aménagement architectural ou paysager. Notes. – 1. La définition qui est donnée ici du terme domaine concerne la notion en tant qu'entité géographique. Le terme domaine est aussi utilisé couramment dans la dénomination de divers types de terrains et de lotissements résidentiels. 2. Le terme domaine ne doit pas être utilisé comme générique dans la désignation des voies de communication. Rien n'interdit, cependant, qu'il entre dans la composition du spécifique d'un odonyme. Ainsi, Rue du Domaine-Beauregard serait correct pour désigner une voie qui conduit à ce domaine.
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Normalisé
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Domaine forestier, n.m.
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Voir : Village forestier.
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Dôme, n.m.
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Voir : Colline.
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Dune, n.f.
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Relief de sable édifié par le vent.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de dunes une désignation commune. C’est le terme pluriel dunes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Dunes, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de dunes une désignation commune. C’est le terme pluriel dunes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Dune.
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Approuvé
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Échangeur, n.m.
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Dispositif de raccordement de plusieurs voies routières (routes ou autoroutes) ne comportant aucun croisement à niveau. Notes. – 1. Il existe plusieurs types d'échangeurs, selon la structure même de l'ouvrage. 2. À noter que l'accès à ce type de voie est limité aux véhicules et que l'échangeur constitue le point de rencontre de quelques voies de communication, bien que chaque voie se retrouve à un niveau différent.
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Normalisé
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Écluse, n.f.
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Ouvrage muni de portes et de vannes qui, sur un cours d'eau ou sur un canal, permet aux bateaux de passer d'un bief à un autre pour franchir une dénivellation.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d’écluses une désignation commune. C’est le terme pluriel écluses qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Recommandé
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Écluses, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d’écluses une désignation commune. C’est le terme pluriel écluses qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Écluse.
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Recommandé
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Écocentre, n.m.
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Lieu public aménagé pour le dépôt de déchets visés par la collecte sélective, de déchets domestiques encombrants, toxiques ou dangereux et de résidus organiques, dans le but d'en encourager le réemploi, le recyclage ou la valorisation.
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Approuvé
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École, n.f.
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Bâtiment ou ensemble des bâtiments dont dispose un établissement d'éducation ou d'enseignement. Notes. – 1. Établissement est le générique absolu qui désigne tout lieu où l'on dispense un enseignement scolaire. Ce terme englobe les écoles, les cégeps, les universités, etc., mais ne sert pas à former leur nom. École est d'une utilisation plus restreinte. Il sert de générique pour désigner les écoles primaires et secondaires; grande école désigne communément un type d'établissement d'enseignement universitaire. 2. Par métonymie, école désigne aussi le bâtiment, l'ensemble des locaux où les élèves reçoivent l'enseignement. 3. On utilise pavillon pour désigner les différents bâtiments s'ils sont situés sur le même terrain, alors qu'on utilise école s'ils ne sont pas situés sur le même terrain.
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Approuvé
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École primaire, n.f.
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Voir : École.
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École secondaire, n.f.
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Voir : École.
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Écosystème forestier exceptionnel, n.m.
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Territoire dont les limites sont fixées ou déterminées pour identifier et protéger un milieu forestier dont la conservation de la diversité biologique présente un intérêt particulier ou exceptionnel en raison de sa rareté ou de son ancienneté.
Note. – Les écosystèmes forestiers exceptionnels regroupent trois catégories particulières de forêts : les forêts anciennes, les forêts rares et les forêts refuges (d'espèces menacées ou vulnérables).
Au Québec, la loi permet de classer un écosystème en tant qu'écosystème forestier exceptionnel afin de le protéger contre toute activité susceptible de le modifier.
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Approuvé
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Écueil, n.m.
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Rocher ou amoncellement de roches à fleur d'eau, constituant un danger pour la navigation.
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Approuvé
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Édifice, n.m.
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Bâtiment imposant, ayant une valeur architecturale particulière.
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Approuvé
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Édifice public, n.m.
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Bâtiment d'importance, d'accès public.
Note. – Les édifices gouvernementaux sont notamment des édifices publics.
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Approuvé
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Embarcadère, n.m.
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Voir : Débarcadère.
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Embouchure, n.f.
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Endroit où un cours d'eau se jette dans la mer, dans un lac ou dans un autre cours d'eau dont il est tributaire.
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Approuvé
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Ensemble résidentiel, n.m.
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Groupement important d'habitations collectives ou individuelles auquel sont adjoints des éléments d'équipement collectif et qui présente une certaine unité architecturale.
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Recommandé
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Entrepôt, n.m.
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Bâtiment qui sert de lieu de dépôt de marchandises, de matériaux entre deux opérations de commercialisation pour un temps limité. Note. – L'entrepôt peut être situé dans une partie d'un bâtiment. Le terme dépôt a un sens plus générique que entrepôt et désigne tout lieu (magasin, arrière-boutique et entrepôt) où un commerçant entrepose ses stocks.
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Approuvé
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Éperon, n.m.
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Saillie abrupte d'une formation rocheuse, d'un coteau, d'un massif montagneux.
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Approuvé
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Escalier, n.m.
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Suite de degrés superposés, de marches échelonnées, qui servent à monter ou à descendre.
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Approuvé
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Escarpement, n.m.
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Pente raide qui délimite deux reliefs importants.
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Approuvé
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Esker, n.m.
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Accumulation de matériaux fluvio-glaciaires présentant l'allure d'une chaussée à bords raides, généralement sinueuse.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d’eskers une désignation commune. C’est le terme pluriel eskers qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Eskers, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d’eskers une désignation commune. C’est le terme pluriel eskers qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Esker.
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Approuvé
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Espace culturel, n.m.
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Espace urbain caractérisé ou aménagé pour des activités d'animation d'ordre culturel.
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Approuvé
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Espace urbain, n.m.
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Surface ou portion de surface intérieure ou extérieure caractérisée ou aménagée pour des activités d'ordre culturel, artistique, social ou économique.
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Approuvé
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Esplanade, n.f.
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Espace urbain non bâti, plat, souvent aménagé avec art, et servant soit de promenade, soit à mettre en valeur un monument.
Note. – L'esplanade peut avoir été aplanie artificiellement.
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Approuvé
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Estacade, n.f.
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Ouvrage de retenue à claire-voie, fixé à la rive ou sur le fond du lit d'un cours d'eau ou d'un plan d'eau, destiné au contrôle du mouvement des glaces ou à parer au déversement accidentel des eaux. Notes. – 1. Au Québec, l'estacade est parfois désignée par le terme barrage, mais elle n'est pas nécessairement reliée à ce type d'ouvrage, ni n'en constitue une partie dépendante. Cependant, dans le cas spécifique des barrages, on désigne des réalités qui s'y rapprochent par des noms plus appropriés ou plus particularisés : déversoir ou évacuateur de crues. 2. Les termes estacade flottante (log boom), estacade à glace (ice boom), estacade à pétrole (oil boom) que l'on nomme parfois estacade en paliers, estacade de guidage et estacade d'attente, bien que comprenant le mot estacade, désignent plutôt des appareils ou appareillages servant à d'autres fins et qui peuvent être définis ponctuellement en toponymie.
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Approuvé
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Estran, n.m.
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Partie du rivage qui découvre à marée basse.
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Approuvé
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Estuaire, n.m.
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Embouchure plus ou moins évasée d'un organisme fluvial, caractérisée par la prédominance des phénomènes marins sur les phénomènes fluviaux.
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Approuvé
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Établissement amérindien, n.m.
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Village ou hameau habité majoritairement par des Amérindiens et situé sur des terres sans statut juridique particulier.
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Approuvé
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Étang, n.m.
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Nappe d'eau stagnante de faible profondeur, habituellement plus petite qu'un lac et souvent colonisée par la végétation.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d’étangs une désignation commune. C’est le terme pluriel étangs qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Étangs, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d’étangs une désignation commune. C’est le terme pluriel étangs qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Étang.
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Approuvé
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Exsurgence, n.f.
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Émergence d'un cours d'eau souterrain constitué par une accumulation des eaux d'infiltration et de condensation. Note. – Il ne faut pas confondre le terme exsurgence avec le terme résurgence, qui désigne la réapparition en surface d'un cours d'eau après un parcours souterrain.
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Approuvé
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Exsurgences, n.f.
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Voir : Exsurgence.
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Approuvé
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Falaise, n.f.
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Escarpement ou abrupt façonné par la mer.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de falaises une désignation commune. C’est le terme pluriel falaises qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Falaises, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de falaises une désignation commune. C’est le terme pluriel falaises qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Falaise.
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Approuvé
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Ferme, n.f.
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Ensemble des terres et des bâtiments utilisés pour l'exploitation agricole.
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Approuvé
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Fief, n.m.
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Étendue de terre concédée, sous le régime seigneurial, à un particulier ou à un groupe par l'autorité compétente, entraînant certains droits et devoirs.
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Recommandé
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Fjord, n.m.
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Vallée glaciaire aux parois escarpées, envahie par la mer.
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Approuvé
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Flèche, n.f.
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Bande de sable ou de galets sise en bordure d'une côte ou d'une rive dont au moins une extrémité est libre.
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Approuvé
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Flèche littorale, n.f.
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Voir : Flèche.
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Fleuve, n.m.
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Cours d'eau important qui se jette dans la mer.
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Approuvé
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Fleuve côtier, n.m.
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Petit cours d'eau qui prend naissance près des côtes et qui se jette dans la mer.
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Approuvé
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Fontaine, n.f.
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Ouvrage ornemental d'où jaillit de l'eau qui est recueillie dans un bassin. Note. – Selon le cas, l'eau peut ruisseler le long d'une sculpture, jaillir sous forme de jets d'eau constants ou intermittents, etc. Le bassin de la fontaine peut être apparent ou souterrain. Certaines fontaines comprennent plusieurs bassins.
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Approuvé
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Forêt, n.f.
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Vaste écosystème essentiellement constitué d'arbres.
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Approuvé
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Forêt ancienne, n.f.
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Voir : Écosystème forestier exceptionnel.
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Forêt d'enseignement et de recherche, n.m.
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Territoire forestier dédié à l'enseignement ou à la recherche appliquée à la foresterie.
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Approuvé
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Forêt domaniale, n.f.
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Forêt de l'État réservée pour les besoins de l'industrie régionale. Note. – Définition à caractère administratif.
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Recommandé
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Forêt expérimentale, n.f.
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Territoire forestier dont la gestion est confiée à un organisme de recherche avec le mandat d'y pratiquer des observations et des expériences propres au développement des sciences pures et appliquées.
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Recommandé
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Forêt rare, n.f.
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Voir : Écosystème forestier exceptionnel.
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Forêt refuge, n.f.
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Voir : Écosystème forestier exceptionnel.
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Fort, n.m.
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Ouvrage de fortification autrefois destiné à protéger un lieu stratégique.
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Recommandé
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Fosse, n.f.
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Dépression importante du fond de la mer, d'un fleuve, d'une rivière, d'un lac.
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Approuvé
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Fossé, n.m.
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Tranchée servant à la réception ou à l'écoulement des eaux.
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Approuvé
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Fosse à saumon, n.f.
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Partie d'un cours d'eau généralement plus profonde et moins rapide que les eaux adjacentes, servant d'aire de repos au saumon dans sa montaison vers les frayères.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de fosses à saumon une désignation commune. C’est le terme pluriel fosses à saumon qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Fosses à saumon, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de fosses à saumon une désignation commune. C’est le terme pluriel fosses à saumon qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Fosse à saumon.
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Approuvé
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Fourche, n.f.
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Voir : Confluent.
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Frayère, n.f.
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Zone d'un milieu aquatique où ont lieu la ponte et la fécondation des œufs d'une espèce animale.
Note. – Le terme frayère est utilisé le plus souvent en relation avec la reproduction des poissons. Il est parfois usité en relation avec la reproduction des amphibiens (grenouilles, etc.) ou celle des crustacés (crabes, etc.). Même si les termes aire de ponte, lieu de ponte et zone de ponte ne renvoient qu'à l'action de libérer les œufs, ils désignent généralement la même réalité géographique que le terme frayère.
Synonymes : Aire de fraye; Aire de fraie; Aire de frai; Lieu de fraye; Lieu de fraie; Lieu de frai; Zone de fraye; Zone de fraie; Zone de frai.
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Approuvé
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Frayère à salmonidés, n.f.
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Frayère située généralement sur un fond graveleux ou sablonneux d'un cours d'eau ou d'un lac bien oxygéné, où viennent se reproduire des poissons de la famille des salmonidés. Notes. – 1. La plupart des espèces de salmoninés ont leurs frayères dans des endroits relativement peu profonds. Par exemple, les frayères à saumons sont à une profondeur variant de 0,5 m à 3 m environ. Certaines espèces de salmonidés, comme le saumon de l'Atlantique ainsi que l'omble de fontaine, enfouissent leur œufs après les avoir fécondés. 2. Les frayères à salmonidés situées sur un fond graveleux sont également appelées gravières. C'est notamment le cas des frayères à saumons et des frayères à ombles de fontaines. L'équivalent anglais de gravières est le terme redd, lequel est surtout usité pour désigner les frayères à saumons et les frayères à truites. Synonymes : Frayère de salmonidés; Nid de salmonidés.
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Approuvé
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Galerie de dérivation, n.f.
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Galerie creusée ou aménagée sous terre, utilisée pour dériver un cours d'eau.
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Approuvé
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Gare de transport intermodal, n.f.
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Ensemble des installations et des bâtiments destinés à permettre l'accès, pour l'embarquement ou le débarquement, à des modes ou à des moyens de transport différents.
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Recommandé
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Gare de triage, n.f.
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Lieu où se trouvent les installations ferroviaires nécessaires à la séparation et au regroupement des wagons en vue de former des convois.
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Approuvé
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Gare ferroviaire, n.f.
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Emplacement où se trouvent les installations ferroviaires et les bâtiments nécessaires au transit des voyageurs et des marchandises.
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Recommandé
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Gare intermodale, n.f.
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Voir : Gare de transport intermodal.
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Gare maritime, n.f.
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Bâtiment ou ensemble de bâtiments situé dans un port et destiné à accueillir les passagers des navires, avant l'embarquement ou après le débarquement.
Notes. – 1. Il peut s'agir, notamment, des passagers d'un traversier, d'une navette ou d'un navire de croisière. 2. Le terme gare fluviale est employé lorsque la gare est située dans un port fluvial. Les termes gare maritime et gare fluviale sont également employés pour désigner une gare ferroviaire située dans un port et destinée au transbordement de marchandises.
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Approuvé
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Glissoire, n.f.
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Voir : Glissoire hydraulique.
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Glissoire hydraulique, n.f.
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Canal incliné servant à faire glisser les billes en présence d'eau.
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Approuvé
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Golfe, n.m.
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Très vaste rentrant du littoral.
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Approuvé
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Gorge, n.f.
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Vallée étroite et profonde aux versants rocheux escarpés.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de gorges une désignation commune. C’est le terme pluriel gorges qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Gorges, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de gorges une désignation commune. C’est le terme pluriel gorges qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Gorge.
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Approuvé
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Goulet, n.m.
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Passage resserré entre un plan d'eau intérieur et la mer libre.
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Approuvé
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Gouvernement régional, n.m.
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Territoire sur lequel s’exerce une autorité locale dont les pouvoirs et les compétences, au moins équivalents à ceux d’une municipalité, sont définis par une loi.
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Approuvé
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Grau, n.m.
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Voir : Passe.
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Grève, n.f.
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Portion dégagée d'un rivage, de faible pente, constituée de matériaux grossiers.
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Approuvé
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Grotte, n.f.
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Cavité naturelle ou artificielle creusée dans le roc.
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Approuvé
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Gué, n.m.
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Endroit peu profond d'un cours d'eau où l'on peut traverser à pied.
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Approuvé
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Habitat floristique, n.m.
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Milieu géographique défini par des facteurs abiotiques et biotiques spécifiques, offrant un environnement propice à la vie et au développement d'une ou de plusieurs espèces végétales.
Note. – Au Québec, dans l'usage administratif, on utilise parfois le terme habitat floristique pour désigner une aire (géographiquement délimitée) abritant une ou plusieurs espèces végétales désignées comme menacées ou vulnérables, ou bien susceptibles de l'être. Ce type d'habitat est également désigné plus précisément par les termes habitat d'une espèce floristique menacée ou vulnérable et habitat floristique protégé.
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Approuvé
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Halle, n.f.
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Voir : Halles.
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Halles, n.f.
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Bâtiment ou lieu public couvert où l'on vend divers produits, surtout de nature alimentaire. Note. – Le singulier halle, d'emploi rare, désigne généralement un bâtiment ancien ou un marché spécialisé dans le commerce d'une marchandise précise, indiquée comme complément du nom (halle aux grains, halle aux vins, etc.). Synonyme : Marché couvert.
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Approuvé
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Halte cycliste, n.f.
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Lieu aménagé en bordure d'une voie cyclable, afin que les usagers puissent faire une pause dans leur trajet avant de reprendre la route. Note – La halte cycliste comporte généralement un ou des bancs et un support à vélo. Elle peut comprendre un abri et diverses autres installations comme une table, une fontaine ou des toilettes.
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Approuvé
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Halte migratoire, n.f.
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Lieu situé le long d'une voie migratoire où font étape des oiseaux migrateurs pour se nourrir et se reposer.
Note. – Riches en nourriture et offrant de nombreux abris, les terres humides servent fréquemment de haltes migratoires. Des zones protégées en tant que refuges d'oiseaux migrateurs (qui comprennent notamment des aires de nidification de certaines espèces d'oiseaux) peuvent également servir de haltes migratoires.
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Approuvé
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Halte piétonne, n.f.
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Voir : Halte piétonnière.
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Halte piétonnière, n.f.
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Lieu extérieur aménagé à proximité d'un parcours particulièrement fréquenté par les piétons et destiné au repos de ces derniers. Note. – Les haltes piétonnières peuvent comprendre des bancs, un abri, etc. Synonyme : Halte piétonne.
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Approuvé
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Halte routière, n.f.
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Lieu aménagé à proximité d'une route ou d'une autoroute en vue de permettre aux usagers de faire un arrêt en toute sécurité sans nuire à l'écoulement de la circulation et, le cas échéant, de s'y reposer et de profiter de certains services.
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Recommandé
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Hameau, n.m.
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Groupement isolé de quelques maisons, en milieu rural.
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Recommandé
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Haut-fond, n.m.
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Élévation du fond de la mer ou d'un cours d'eau, dont le sommet est faiblement immergé et qui peut présenter un danger pour la navigation.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de hauts-fonds une désignation commune. C’est le terme pluriel hauts-fonds qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Hauts-fonds, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de hauts-fonds une désignation commune. C’est le terme pluriel hauts-fonds qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Haut-Fond.
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Approuvé
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Havre, n.m.
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Emplacement littoral bien abrité, pouvant accueillir des navires de faible tonnage.
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Approuvé
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Hôpital, n.m.
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Bâtiment, partie de bâtiment ou ensemble de bâtiments dont dispose un établissement public ou privé, général ou spécialisé, habilité à recevoir les malades, les blessés et toute personne dont l'état de santé réclame une surveillance, une intervention ou des soins. Note. – L'Office québécois de la langue française propose d'employer hôpital comme dénomination des installations d'un établissement et de réutiliser ce terme, s'il y a lieu, pour remplacer campus, site et pavillon; l'emploi de la minuscule initiale au mot hôpital dans la désignation d'un bâtiment est préférable et son utilisation en contexte graphique suit les règles d'écriture habituelles de la toponymie : je vais à l'hôpital de L'Enfant-Jésus. À l'affichage nous restreindrons donc la majuscule de position : Hôpital de L'Enfant-Jésus.
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Approuvé
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Hydrobase, n.f.
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Plan d'eau pourvu des installations et services nécessaires au trafic des hydravions.
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Normalisé
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Île, n.f.
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Terre entièrement entourée d'eau.
Note. – 1. Le terme désigne une étendue de terre aux dimensions très variables (supérieures à l'îlot mais inférieures au continent), entièrement entourée par les eaux d'une rivière, d'un fleuve, d'un lac, de la mer ou de l'océan. Présente hors de l'eau de façon durable ou permanente, l'île résulte habituellement de l'érosion continentale lorsqu'elle se trouve dans le voisinage des côtes. Éloignée, elle peut être la conséquence de l'activité des volcans ou de l'accumulation de coraux sur des hauts-fonds. 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d'îles une désignation commune. C’est le terme pluriel îles qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Îles, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d'îles une désignation commune. C’est le terme pluriel îles qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Île.
Note. – Le terme archipel est utilisé pour désigner un regroupement d'îles important. Le terme îles s'applique dans le cas de quelques îles n'ayant pas l'apparence d'un regroupement important.
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Approuvé
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Îlet, n.m.
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Voir : Îlot.
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Îlot, n.m.
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Très petite île.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d'îlots une désignation commune. C’est le terme pluriel îlots qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Îlots, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble d'îlots une désignation commune. C’est le terme pluriel îlots qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Îlot.
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Approuvé
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Immeuble, n.m.
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Bâtiment urbain de plusieurs étages, destiné à abriter des appartements, des bureaux, des services ou des commerces.
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Approuvé
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Impasse, n.f.
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Voie de communication sans issue.
Note. − Le terme cul-de-sac, quoique synonyme du terme impasse, n’est pas utilisé comme générique d’un odonyme.
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Normalisé
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Institut universitaire, n.m.
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Voir: Centre hospitalier universitaire
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Approuvé
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Intersection, n.f.
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Lieu où se rencontrent deux ou plusieurs chaussées, quels que soient le ou les angles des axes de ces chaussées.
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Recommandé
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Jardin collectif, n.m.
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Terrain, généralement clos, destiné à la culture potagère, fruitière et d'agrément, situé en milieu urbain, qui constitue un lot indivisible géré collectivement par les habitants d'un même quartier et dont les récoltes seront partagées entre les participants. Notes. – 1. Certains jardins collectifs ont une vocation pédagogique. 2. Au Québec, le terme jardin collectif désigne un lot indivisible qui est pris en charge par l'ensemble des participants, tandis que le terme jardin communautaire désigne un terrain divisé en parcelles individuelles allouées aux divers participants. Synonyme : Jardin partagé.
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Approuvé
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Jardin communautaire, n.m.
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Terrain, généralement clos, destiné à la culture potagère, fruitière et d'agrément, situé en milieu urbain, composé de lopins individuels alloués à des particuliers ou à des familles et constituant un espace commun géré de façon collective. Note. – Au Québec, le terme jardin communautaire désigne un terrain divisé en parcelles individuelles allouées aux divers participants, tandis que le terme jardin collectif désigne un lot indivisible qui est pris en charge par l'ensemble des participants.
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Approuvé
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Jardin privé, n.m.
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Terrain ou espace privés ou particuliers aménagés pour la culture et la présentation de végétaux d'agrément.
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Approuvé
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Jardin public, n.m.
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Terrain ou espace publics ou collectifs aménagés pour la culture et la présentation de végétaux d'agrément.
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Approuvé
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Jardin zoologique, n.m.
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Parc où l'on garde en captivité des animaux sauvages ou exotiques, dans le but d'instruire et de récréer le public. Note. – L'abréviation de jardin zoologique est zoo qui se prononce [zoo] et non pas [zu].
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Normalisé
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Jetée, n.f.
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Construction massive, comportant souvent une chaussée, qui s'avance dans l'eau, perpendiculairement à une rive, et qui sert soit de brise-lame, soit à l'accostage.
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Approuvé
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Jonction, n.f.
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Lieu de raccordement de deux voies ferrées ou d'autres voies de communication.
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Recommandé
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Kettle, n.m.
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Cavité en forme de chaudron résultant de la fusion tardive d'un culot de glace dans une plaine d'accumulation.
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Approuvé
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Kiosque, n.m.
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Bâtiment léger, constitué d'une toiture fermée portée par des poteaux généralement disposés de manière circulaire ou octogonale, aux côtés partiellement ou totalement ouverts, et facultativement pourvu d'un plancher et de balustrades.
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Approuvé
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Laboratoire, n.m.
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Un lieu aménagé hors d'un établissement pour fabriquer ou réparer des orthèses ou prothèses, pour faire des examens de biologie médicale, notamment dans les domaines de la biochimie, de l'hématologie, de la bactériologie, de l'immunologie, de l'histopathologie et de la virologie, pour faire des examens en radiosotopes ou en radiologie à des fins de prévention, de diagnostic ou de traitement de la maladie humaine, ou pour faire des examens dans les domaines de la toxicologie, de l'audiologie et de la physiologie respiratoire.
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Approuvé
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Lac, n.m.
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Nappe d'eau douce entourée de terre, généralement pourvue d'un exutoire, ou élargissement d'un cours d'eau entraînant le dépôt de sédiments.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de lacs une désignation commune. C’est le terme pluriel lacs qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Lac artificiel, n.m.
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Nappe d'eau résultant de l'action humaine, destinée à des fins surtout récréatives.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de lacs artificiels une désignation commune. C’est le terme pluriel lacs artificiels qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Lacs, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de lacs une désignation commune. C’est le terme pluriel lacs qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Lac.
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Approuvé
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Lac salé, n.m.
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Nappe d'eau résiduelle et sans écoulement, dont le taux de salinité est élevé.
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Approuvé
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Lacs artificiels, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de lacs artificiels une désignation commune. C’est le terme pluriel lacs artificiels qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Lac artificiel.
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Approuvé
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Lagune, n.f.
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Étendue d'eau salée ou saumâtre, isolée de la mer par une formation littorale généralement percée d'ouvertures.
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Approuvé
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Langue de terre, n.f.
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Bande de terre étroite et allongée qui sépare deux masses d'eau.
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Approuvé
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Lieu de culte, n.m.
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Lieu, généralement un bâtiment, destiné à la pratique religieuse.
Note: Un lieu de culte peut être une église, une chapelle, une mosquée, un oratoire, un temple, un sanctuaire, etc. (OQLF, 2018)
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Approuvé
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Lieu de pêche, n.m.
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Partie d'une nappe d'eau fréquentée couramment pour la pêche.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de lieux de pêche une désignation commune. C’est le terme pluriel lieux de pêche qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Lieu de ponte, n.m.
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Voir : Frayère.
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Lieu-dit, n.m.
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Lieu de faible étendue ayant reçu spontanément un nom inspiré de la géographie, de l'histoire ou du folklore.
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Recommandé
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Lieux de pêche, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de lieux de pêche une désignation commune. C’est le terme pluriel lieux de pêche qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Lieu de pêche.
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Approuvé
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Localité, n.f.
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Territoire défini sous la juridiction du gouvernement régional d'Eeyou Istchee Baie-James, composé d'une population non autochtone.
Note 1 : Villebois et Radisson sont des exemples de localités d'Eeyou Istchee Baie-James.
Note 2 : Dans la langue courante, le terme localité désigne un village ou une petite ville, mais sans statut officiel, contrairement à l'entité désignée par ce terme à Eeyou Istchee Baie-James.
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Approuvé
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Maison de la culture, n.f.
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Voir : Centre culturel.
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Marché, n.m.
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Lieu public couvert ou en plein air, où l'on expose et vend des denrées alimentaires, différents articles, produits ou objets d'usage courant.
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Approuvé
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Mare, n.f.
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Petite nappe d'eau stagnante et peu profonde, susceptible de s'assécher.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de mares une désignation commune. C’est le terme pluriel mares qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Mares, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de mares une désignation commune. C’est le terme pluriel mares qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Mare.
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Approuvé
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Marina, n.f.
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Ensemble portuaire comportant un port de plaisance et des installations pour les résidents, les touristes et les plaisanciers. Notes. – 1. Les services offerts dans les marinas sont divers (restaurants, lieux d'hébergement, école de navigation, boutiques, etc.). Ils varient selon la grandeur du port de plaisance et l'importance de la ville avoisinante. 2. Le terme marina n'est pas synonyme de port de plaisance. Un port de plaisance est un port réservé à la navigation de plaisance. Une marina offre, en plus, des installations de loisirs et souvent même des possibilités de résidence.
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Normalisé
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Marmite de géant, n.f.
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Dépression naturelle circulaire creusée par abrasion dans le lit rocheux d'un cours d'eau par le mouvement tourbillonnant de débris de pierre entraînés par le courant.
Note. – 1. Les marmites de géant apparaissent généralement dans des rapides ou au pied de chutes.
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Approuvé
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Massif, n.m.
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Ensemble montagneux non orienté qui se dégage du relief environnant.
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Approuvé
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Méandre, n.m.
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Arc prononcé du tracé d'un cours d'eau, caractérisé par le sapement de la rive concave et l'accumulation des alluvions sur la rive convexe.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de méandres une désignation commune. C’est le terme pluriel méandres qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Méandres, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de méandres une désignation commune. C’est le terme pluriel méandres qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Méandre.
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Approuvé
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Mer, n.f.
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Vaste étendue d'eau salée, distincte des océans par la moindre importance des fonds abyssaux et par l'extension souvent plus considérable des plates-formes continentales.
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Approuvé
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Milieu humide, n.m.
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Écosystème constitué de terres inondées ou saturées d'eau.
Note. – Un étang, un marais, un marécage et une tourbière sont des exemples de milieux humides.
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Approuvé
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Milieu naturel délimité sur un plan, n.m.
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Espace écosystémique préservé dont la superficie figure sur un plan.
Note : Le concept de « milieu naturel désigné sur un plan » est intégré dans la Loi sur la conservation du patrimoine naturel.
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Approuvé
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Mine, n.f.
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Terrain où se pratiquent l'extraction et le traitement primaire de minerais.
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Approuvé
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Môle, n.m.
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Amas de matériaux rocheux entassés plus ou moins régulièrement de façon à constituer une protection contre la mer.
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Recommandé
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Mont, n.m.
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Importante élévation se détachant du relief environnant.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de monts une désignation commune. C’est le terme pluriel monts qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Montagne, n.f.
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Relief élevé aux versants raides, occupant une grande superficie et appartenant à un système.
Note. – 1. Son relief, dont l'altitude est toujours plus élevée que celle de la colline et du mont, se caractérise par des pentes hautes et abruptes, ainsi que par une forte dénivellation entre son sommet et sa base. 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de montagnes une désignation commune. C’est le terme pluriel montagnes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Montagnes, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de montagnes une désignation commune. C’est le terme pluriel montagnes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Montagne.
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Approuvé
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Montée, n.f.
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Voie de communication en pente généralement longue et peu accentuée, surtout située en milieu rural, conduisant à un lieu déterminé.
Notes. - La distinction entre une côte et une montée peut être difficile à établir. En général, le terme montée s'applique à l'ensemble de la voie dénommée, alors que côte ne sert souvent de générique qu'à la portion de la voie qui est en pente.
Au Québec, la montée est souvent un héritage du système seigneurial; dans ce cas, c'est le chemin qui relie le chemin de front du premier rang à celui du second rang. Il est permis de croire que l'origine de cette appellation provient de ce que le premier rang étant généralement situé plus près du rivage, il fallait alors littéralement « monter » pour accéder au second rang.
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Normalisé
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Monts, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de monts une désignation commune. C’est le terme pluriel monts qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Mont.
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Approuvé
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Monument commémoratif, n.m.
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Ouvrage architectural ou sculptural érigé pour perpétuer le souvenir d'une personne ou d'un événement.
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Approuvé
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Monument historique, n.m.
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Construction, ouvrage architectural ou sculptural présentant un intérêt historique ou patrimonial qui font l'objet d'un statut juridique destiné à les protéger.
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Approuvé
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Moraine, n.f.
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Accumulation de matériaux sédimentaires de différentes tailles, transportés puis déposés par les glaciers.
Note : Les matériaux sédimentaires sont généralement composés de sable, de pierres et de gros blocs rocheux. Ils laissent une trace caractéristique dans le paysage selon le type de moraine.
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Approuvé
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Mouillage, n.m.
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Emplacement favorable pour jeter l'ancre.
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Approuvé
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Municipalité, n.f.
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Territoire sur lequel s'exerce une autorité locale conformément aux lois municipales.
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Recommandé
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Municipalité de canton, n.f.
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Territoire ou partie de territoire d'un canton érigé en municipalité.
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Approuvé
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Municipalité de cantons unis, n.f.
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Territoire de deux ou plusieurs cantons voisins érigé en municipalité.
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Approuvé
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Municipalité de paroisse, n.f.
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Territoire d'une paroisse érigé en municipalité.
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Approuvé
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Municipalité de village, n.f.
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Territoire d'un village érigé en municipalité.
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Approuvé
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Municipalité de village cri, n.f.
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Territoire sur lequel s'exerce une autorité locale crie conformément à la Loi sur les villages cris et le village naskapi.
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Approuvé
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Municipalité de village naskapi, n.f.
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Territoire sur lequel s'exerce une autorité locale naskapie conformément à la Loi sur les villages cris et le village naskapi.
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Approuvé
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Municipalité de village nordique, n.f.
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Territoire sur lequel s'exerce une autorité locale conformément à la Loi sur les villages nordiques et l'Administration régionale Kativik.
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Approuvé
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Municipalité régionale de comté, n.f.
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Territoire regroupant des municipalités et, dans certains cas, des territoires non organisés, sur lequel s'exerce une autorité fixée par une loi d'application générale. Note. – Il est conseillé d'écrire le sigle MRC sans points abréviatifs bien que leur emploi demeure acceptable.
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Recommandé
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Niche, n.f.
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Enfoncement de forme plus ou moins hémisphérique entaillant une paroi.
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Approuvé
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Niche de nivation, n.f.
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Creux de peu d'étendue dans un versant où la neige s'accumule de façon persistante.
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Approuvé
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Ög, n.m.
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Voir : Esker.
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Palais de justice, n.m.
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Lieu où l'on rend la justice, et plus particulièrement bâtiment dans lequel siègent habituellement les tribunaux ayant compétence dans une division territoriale donnée. Note. – Le palais de justice contient les salles d'audience, les greffes des divers tribunaux et certains autres services administratifs, dont les archives de l'état civil.
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Normalisé
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Parc aquatique, n.m.
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Voir : Parc d'attractions nautiques.
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Parc canin, n.m.
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Espace public spécialement aménagé pour que les chiens puissent s'ébattre librement, sans laisse, et sociabiliser entre eux.
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Approuvé
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Parc commémoratif, n.m.
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Parc dont le nom et l'aménagement visent à rappeler le souvenir d'un événement ou à honorer la mémoire d'une personne. Note. – Le terme parc commémoratif. ne doit pas être confondu avec le terme lieu historique, bien qu'ils puissent tous deux, dans certains cas, être utilisés pour désigner un même lieu.
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Approuvé
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Parc d'affaires, n.m.
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Espace aménagé, généralement en zone urbaine ou périurbaine, pour accueillir des bureaux et des commerces. Note. – Contrairement au parc industriel qui est essentiellement axé sur des activités de production, le parc d'affaires est surtout destiné à des entreprises du secteur tertiaire. Le terme parc d'activités est parfois utilisé pour désigner une zone destinée à l'ensemble de ces secteurs d'activité. Synonymes : Parc d'activités; Parc d'entreprises.
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Approuvé
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Parc d'attractions nautiques, n.m.
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Parc aménagé avec piscines, toboggans et jets d'eau où le public vient s'amuser.
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Approuvé
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Parc de conservation, n.m.
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Voir : Parc national.
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Parc de loisirs, n.m.
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Voir : Parc public.
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Parc de maisons mobiles, n.m.
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Terrain aménagé pour l'installation de maisons mobiles. Note. – Québécisme.
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Recommandé
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Parc de stationnement, n.m.
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Endroit aménagé, hors voirie, destiné au stationnement d'un certain nombre de véhicules.
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Recommandé
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Parc-école, n.m.
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Parc public attenant à une école, destiné à être utilisé à des fins pédagogiques et récréatives par la population scolaire, et mis à la disposition de l'ensemble de la collectivité. Notes. – 1. La création d'un parc-école fait généralement l'objet d'une entente entre les autorités scolaires et la municipalité, de manière à ce que les installations puissent profiter aux écoliers et à la collectivité. 2. Le terme parc-école est formé selon le même modèle que les termes club-école et navire-école. La formation de ce terme s'explique par la vocation pédagogique des parcs en question.
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Approuvé
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Parc éolien, n.m.
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Ensemble de plusieurs éoliennes situées dans un même lieu et destinées à produire de l'énergie, le plus souvent électrique. Note. – Dans l'usage courant, on constate que les termes génériques parc éolien et parc d'éoliennes sont aussi utilisés pour désigner un parc d'aérogénérateurs. En effet, le terme aérogénérateur désigne une éolienne qui produit de l'électricité, par opposition aux éoliennes qui ont un usage différent, par exemple les éoliennes de pompage de l'eau qui produisent de l'énergie mécanique. Synonyme : Parc d'éoliennes.
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Approuvé
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Parc floral, n.m.
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Parc qui comporte de nombreux végétaux, notamment des fleurs.
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Approuvé
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Parc historique national, n.m.
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Voir : Site historique.
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Parc industriel, n.m.
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Espace aménagé pour accueillir des entreprises de fabrication, de distribution et de services.
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Recommandé
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Parc linéaire, n.m.
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Parc public ou privé dont la superficie épouse une configuration étroite et allongée et qui est aménagé à des fins récréatives.
Note. – Ce type de parc occupe souvent le parcours abandonné de voies ferrées ou de voies de communication; il est parfois localisé le long d'un cours d'eau et il peut comprendre une piste cyclable ou une promenade et d'autres éléments servant au loisir. En Europe, il est souvent désigné par les expressions parc-promenade ou sentier-parc. Il arrive fréquemment que sa localisation déborde les limites d'une agglomération et puisse relier plusieurs territoires.
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Approuvé
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Parc multisport, n.m.
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Espace extérieur aménagé afin que l'on puisse y pratiquer un grand nombre d'activités sportives. Note. – Bien que multi - signifie plusieurs, les mots formés avec ce préfixe suivent la règle générale d'accord : ils s'écrivent sans s au singulier et avec s au pluriel. Toutefois, l'adjectif omnisports est consigné au pluriel dans la plupart des dictionnaires généraux.
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Approuvé
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Parc national, n.m.
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Parc dont l'objectif prioritaire est d'assurer la conservation et la protection permanente de territoires représentatifs des régions naturelles du Québec ou de sites naturels à caractère exceptionnel, notamment en raison de leur diversité biologique, tout en les rendant accessibles au public pour des fins d'éducation et de récréation extensive.
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Approuvé
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Parc national fédéral, n.m.
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Territoire géré par le gouvernement du Canada recouvrant des régions terrestres ou aquatiques relativement étendues qui contiennent des échantillons représentatifs de régions naturelles importantes, de traits ou de panoramas d'intérêt national ou international, où le milieu biophysique présente une valeur du point de vue scientifique, éducatif et récréatif.
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Approuvé
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Parc naturel, n.m.
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Espace naturel où s'applique une règlementation visant à assurer la protection et la préservation de la faune, de la flore et du milieu physique.
Note. Les parcs naturels sont généralement accessibles au public à des fins d'éducation et de récréation.
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Approuvé
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Parc omnisport, n.m.
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Voir : Parc multisport.
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Parcours d'hébertisme, n.m.
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Parcours organisé, généralement en forêt, permettant d'exercer des activités à caractère sportif et ludique consistant en une série de déplacements sur différentes installations, notamment à l'aide de cordages et de câbles. (OQLF, 2020)
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Approuvé
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Parc public, n.m.
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Espace vert aménagé dans une agglomération en vue de l'agrément de sa population.
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Normalisé
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Parc récréotouristique, n.m.
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Espace extérieur aménagé pour la pratique de diverses ativités de plein air de nature récréative ou touristique. Note. – Un parc récréotouristique peut comprendre, par exemple, des sentiers de ski de fond, de randonnée, ou des installations destinées à la pratique de sports extrêmes ou d'activités nautiques.
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Approuvé
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Parc régional, n.m.
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Parc aménagé pour sauvegarder le patrimoine naturel et culturel d'une région et pour assurer les loisirs des habitants des grands centres urbains voisins.
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Approuvé
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Parc riverain, n.m.
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Parc situé le long d'un plan d'eau ou d'un cours d'eau.
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Approuvé
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Parc technologique, n.m.
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Espace aménagé, généralement en zone urbaine ou périurbaine, pour accueillir des centres de recherche et des entreprises travaillant en synergie au développement du savoir et de la haute technologie. Note. – Les appellations utilisées pour désigner ce concept (parc scientifique, parc technologique, technopôle et parc de recherche), sont généralement utilisées de manière interchangeable, tant dans l'usage que dans la documentation spécialisée, bien que certains spécialistes fassent parfois des distinctions théoriques entre ces appellations. Ainsi, le parc technologique serait davantage axé sur les activités de production (la recherche appliquée) que le parc scientifique qui, lui, serait plutôt axé sur des activités de recherche fondamentale. Le terme masculin technopôle fait référence au regroupement des activités technologiques en un même lieu (ou pôle). Synonymes : Parc scientifique; Parc de recherche; Technopôle.
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Approuvé
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Paroi, n.f.
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Surface rocheuse très escarpée.
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Approuvé
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Paroisse, n.f.
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Circonscription ecclésiastique où s'exerce la juridiction d'un ministre du culte (curé, pasteur, etc.).
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Recommandé
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Partie de baie, n.f.
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Portion d'une baie qui possède des caractéristiques qui la distinguent du reste de celle-ci.
Note. – Par exemple, il peut s'agir d'une portion d'une baie vis-à-vis de laquelle se trouve l'embouchure d'une rivière et qui est particulièrement poissonneuse. Au Québec, des parties de baie peuvent être dénommées indépendamment de la baie de laquelle elles font partie. Il s'agit souvent de toponymes inuits.
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Approuvé
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Partie de diocèse, n.f.
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Portion québécoise d'un diocèse dont le territoire se situe à la fois au Québec et dans une province limitrophe.
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Approuvé
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Partie de lac, n.f.
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Secteur défini d'un lac et qui porte un nom.
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Approuvé
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Partie de réservoir, n.f.
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Secteur particulier d'un réservoir et qui porte un nom.
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Approuvé
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Passage, n.m.
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Petite voie étroite non carrossable, généralement située en milieu urbain, qui unit deux voies de communication.
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Normalisé
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Passe, n.f.
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Passage naturel, court et étroit, entre des terres ou des hauts-fonds.
Note. – 1. Il existe plusieurs types de passes, comme un étroit (étranglement d'un cours d'eau) ou un goulet (passage resserré entre un plan d'eau intérieur et la mer ouverte). On peut également considérer un col (passage entre deux sommets) et un détroit (passage maritime entre deux terres) comme des sortes de passes. 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de passes une désignation commune. C’est le terme pluriel passes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Passe à poissons, n.f.
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Ouvrage hydraulique permettant aux poissons de franchir un obstacle, artificiel ou naturel, lors de leur remontée vers l'amont d'un cours d'eau. Note. – La passe à poissons est souvent constituée d'une succession de petits bassins limités par des cascades de faible hauteur. Il en existe différents types, selon la hauteur de l'obstacle à franchir (qui est généralement un barrage ou une écluse) ou selon le type de poisson.
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Approuvé
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Passe migratoire, n.f.
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Voir : Passe à poissons.
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Passerelle, n.f.
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Pont étroit réservé aux piétons. Note. – Pont a ici le sens d'ouvrage, de construction reliant deux points séparés par une dépression ou par un obstacle.
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Normalisé
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Passes, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de passes une désignation commune. C’est le terme pluriel passes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Passe.
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Approuvé
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Patinoire, n.f.
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Installation, intérieure ou extérieure, comportant une surface glacée, utilisée pour le patinage et les sports de glace.
Note. – Outre une surface glacée, cette installation comprend généralement une bande, un banc des joueurs de part et d'autre, un système d'éclairage et, parfois, une vitre de protection.
Un aréna peut comporter une ou plusieurs patinoires.
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Approuvé
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Pavillon, n.m.
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Bâtiment appartenant à un ensemble, destiné à une activité spécialisée.
Notes. – 1. S'il est exact d'appeler pavillon un bâtiment situé sur le même terrain qu'un hôpital, une école, etc., il est inapproprié d'utiliser ce terme pour désigner un bâtiment situé ailleurs, à quelques rues par exemple. En pareil cas, on utilisera hôpital, école, etc. 2. La langue générale, selon le Petit Robert, permet d’utiliser le mot pavillon pour désigner une « Construction légère élevée dans un jardin, un parc, etc., et destinée à servir d’abri».
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Approuvé
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Pavillon de services, n.m.
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Bâtiment isolé, généralement situé dans un jardin, un parc, à proximité d'installations sportives, qui est destiné à accueillir une clientèle ou des visiteurs et à leur fournir certains services de base. (OQLF, 2016)
Note. – Ce bâtiment peut aussi servir à entreposer du matériel.
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Approuvé
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Paysage culturel, n.m.
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Paysage caractérisé par la trace qu'y a laissée l'humain, ou par ce qu'il représente, d'un point de vue symbolique ou identitaire.
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Approuvé
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Péninsule, n.f.
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Avancée de la masse continentale dans la mer.
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Approuvé
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Pépinière, n.f.
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Terrain où l'on cultive de jeunes végétaux en vue de leur transplantation.
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Recommandé
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Perte, n.f.
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Disparition partielle ou totale d'un cours d'eau dans le sol. Synonyme : Perte de cours d'eau.
Notes. – 1. Ce phénomène est particulièrement fréquent dans les régions dont le sol est calcaire. L'eau qui a disparu dans le sol peut ressortir plus loin sous la forme d'une résurgence. 2. Lorsque le contexte n'est pas suffisament clair, il peut être préférable d'utiliser le terme perte de cours d'eau. 3. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de pertes une désignation commune. C’est le terme pluriel pertes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Pertes, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de pertes une désignation commune. C’est le terme pluriel pertes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Perte.
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Approuvé
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Phare, n.m.
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Tour élevée portant un puissant foyer de lumière pour guider les navires. Note. – Par analogie, phare est utilisé dans le domaine de l'aéronautique.
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Recommandé
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Pic, n.m.
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Sommet rocheux aux flancs escarpés.
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Approuvé
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Piémont, n.m.
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Région inclinée aux formes ondulées, constituée de matériaux d'érosion étalés au pied d'un ensemble montagneux.
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Approuvé
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Pisciculture, n.f.
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Voir : Centre piscicole.
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Piscine, n.f.
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Bassin artificiel conçu pour être rempli d'eau et destiné à la natation et à la baignade. (Office québécois de la langue française, 2003)
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Approuvé
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Piste, n.f.
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Chemin rudimentaire, généralement dans un lieu peu habité ou peu développé.
Note. – 1. Cette catégorie de voie se retrouve presque nécessairement en dehors d'un noyau d'habitations et fait l'objet d'un aménagement minimal de telle sorte qu'elle n'est que très exceptionnellement carrossable. 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de pistes une désignation commune. C’est le terme pluriel pistes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Normalisé
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Piste cyclable, n.f.
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Chemin tracé et aménagé pour la circulation exclusive des cyclistes.
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Approuvé
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Pistes, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de pistes une désignation commune. C’est le terme pluriel pistes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Piste.
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Normalisé
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Piton, n.m.
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Voir : Pic.
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Place, n.f.
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Espace public découvert plus ou moins vaste, souvent entouré de constructions, sur lequel débouchent ou que traversent une ou plusieurs voies de communication.
Note. − Une place peut comporter un monument, une fontaine, des arbres ou d’autres éléments de verdure.
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Normalisé
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Place commémorative, n.f.
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Espace public découvert dont le nom et l'aménagement visent à rappeler le souvenir d'un événement ou à honorer la mémoire d'une personne. Note. – Dans une place commémorative, on trouve souvent un monument, une statue ou une plaque commémorative. Une telle place peut être aménagée dans un parc, devant un édifice, etc. Une place publique dont la désignation rappelle le souvenir de quelqu'un ou d'un événement peut être considérée comme une place commémorative.
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Approuvé
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Placette, n.f.
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Voir : Place.
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Place (voie), n.f.
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Voie de communication donnant accès à un espace public découvert et plus ou moins vaste ou entourant ce dernier.
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Normalisé
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Plage, n.f.
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Portion dégagée d'un rivage, de faible pente, constituée de sable ou de galets.
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Approuvé
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Plaine, n.f.
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Surface étendue, généralement de basse altitude, peu accidentée et de faible dénivellation.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de plaines une désignation commune. C’est le terme pluriel plaines qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Plaines, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de plaines une désignation commune. C’est le terme pluriel plaines qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Plaine.
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Approuvé
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Plateau, n.m.
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Vaste étendue de terrain, élevée et relativement uniforme, délimitée par des versants. Note. – Le terme plateau ne doit pas être utilisé comme générique dans la désignation des voies de communication.
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Approuvé
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Plate-forme insulaire, n.f.
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Zone entourant une île et s'étendant du niveau des basses mers jusqu'à l'endroit où on note habituellement une nette augmentation de la pente vers les grands fonds.
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Approuvé
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Point de vue, n.m.
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Endroit peu aménagé, au bord d'une route ou d'un sentier de randonnée, offrant une vue étendue d'un site, d'un paysage.
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Approuvé
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Pointe, n.f.
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Saillie de terre allongée, généralement peu élevée, qui s'avance dans une étendue d'eau.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de pointes une désignation commune. C’est le terme pluriel pointes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Pointes, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de pointes une désignation commune. C’est le terme pluriel pointes qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Pointe.
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Approuvé
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Ponceau, n.m.
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Petit pont pour passer un ruisseau ou un canal d'eau.
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Approuvé
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Ponceaux, n.m.
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Voir: Ponceau
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Approuvé
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Pont, n.m.
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Ouvrage d'art permettant à une voie de communication de franchir un obstacle naturel ou une autre voie de communication.
Note. – 1. La notion que le terme véhicule est celle de structure supportant une voie de communication. Il est généralement classé dans la catégorie des entités géographiques artificielles et non dans celle des voies de communication. De plus, le nom de la voie et celui du pont ne sont généralement pas identiques. 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de ponts une désignation commune. C’est le terme pluriel ponts qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Normalisé
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Pont couvert, n.m.
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Pont dont la structure surmontant le tablier est faite de poutres de bois, parfois de tiges métalliques, doté de parois et d'un toit en bois qui protègent la chaussée.
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Approuvé
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Pont d'étagement, n.m.
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Pont routier ou ferroviaire, ou les deux à la fois, généralement bétonné, qui permet de franchir une voie de communication sans croisement à niveau.
Note. – Le pont d'étagement n'enjambe jamais un obstacle naturel, comme une rivière ou un ravin. Il ne faut pas confondre pont d'étagement et saut-de-mouton. Ce dernier est réservé au domaine ferroviaire (il est surtout utilisé en France) et désigne un dispositif qui permet à une voie ferrée d'en franchir une autre, sans croisement à niveau.
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Approuvé
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Pont naturel, n.m.
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Arche de pierre naturelle reliant deux points surélevés.
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Approuvé
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Ponts, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de ponts une désignation commune. C’est le terme pluriel ponts qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Pont.
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Normalisé
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Pont-tunnel, n.m.
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Ouvrage composé d'un pont et d'un tunnel.
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Approuvé
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Port, n.m.
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Abri naturel ou artificiel pour les navires, pourvu des installations nécessaires à l'embarquement et au débarquement des passagers et des marchandises.
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Recommandé
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Portage, n.m.
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Sentier utilisé pour le transport des embarcations et des bagages afin d'éviter des obstacles à la navigation ou pour atteindre un lac ou un cours d'eau.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de portages une désignation commune. C’est le terme pluriel portages qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Recommandé
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Portages, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de portages une désignation commune. C’est le terme pluriel portages qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Portage.
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Recommandé
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Port de plaisance, n.m.
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Aménagement portuaire conçu pour recevoir les embarcations destinées à l'agrément.
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Normalisé
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Porte, n.f.
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Ouvrage architectural qui subsiste d'une fortification ancienne, pourvu d'une ouverture aménagée permettant le passage.
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Approuvé
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Poste d'accueil, n.m.
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Bâtiment servant à des fonctions d'inscription, de renseignement ou de contrôle des usagers et des visiteurs qui veulent avoir accès à un territoire.
Note : Le poste d'accueil comporte souvent des toilettes publiques, un point de vente d'objets promotionnels, un petit centre d'interprétation.
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Recommandé
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Poste de distribution, n.m.
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Emplacement où sont regroupés les équipements nécessaires à l'abaissement de la tension qui alimente un réseau ou une partie d'un réseau de distribution de l'électricité.
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Approuvé
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Poste de répartition, n.m.
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Emplacement où sont regroupés les équipements nécessaires à l'abaissement de la tension en vue d'alimenter un réseau ou une partie d'un réseau de répartition, d'autres postes de répartition ou des postes de distribution.
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Approuvé
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Poste de traite, n.m.
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Lieu où s'effectuait le commerce avec les Premières Nations et les Inuits.
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Approuvé
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Poste de transformation, n.m.
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Emplacement où sont regroupés des transformateurs permettant l'interconnexion des réseaux électriques à des tensions différentes.
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Recommandé
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Poste de transport, n.m.
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Emplacement où sont regroupés les équipements nécessaires au transport de l'électricité sur de grandes distances.
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Approuvé
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Poste électrique, n.m.
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Installation située à la jonction de plusieurs lignes électriques et qui contient l'appareillage destiné à modifier certaines caractéristiques du réseau électrique auquel elle est reliée. Note. – Cette expression est retenue par Hydro-Québec pour son contenu plus généralisant et elle recouvre désormais le contenu sémantique des expressions suivantes : poste de transport, poste de répartition et poste de distribution. Vous noterez que l'expression poste de transformation a été maintenue pour désigner une autre réalité.
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Approuvé
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Poulier, n.m.
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Voir : Cordon littoral.
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Pourvoirie, n.f.
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Établissement qui offre des installations et des services pour la pratique de la chasse, de la pêche et du piégeage ou autres activités récréatives. Note. – Les services généralement offerts par la pourvoirie comprennent l'hébergement, le transport, la location d'équipements, les services de guides et, éventuellement, les services relatifs à la pratique d'autres activités récréatives. Le terme pourvoirie est un québécisme. Par extension de sens, pourvoirie désigne également le terrain occupé par cet établissement.
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Recommandé
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Presqu'île, n.f.
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Terre presque entièrement entourée d'eau, reliée au rivage avoisinant.
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Approuvé
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Promenade (carrossable), n.f.
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Voie de communication urbaine ou périurbaine spécialement aménagée à l’intention des promeneurs.
Note. − 1. Ce type de voie comporte généralement des aménagements favorisant la détente, comme des jardins, des bancs. Pour des raisons de sécurité des piétons, la circulation de véhicules motorisés y est limitée. 2. Ce type d'entité est réservé aux voies carrossables, soit celles où les voitures peuvent circuler.
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Normalisé
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Promenade (non carrossable), n.f.
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Voie de communication urbaine ou périurbaine spécialement aménagée à l’intention des promeneurs.
Note. − 1. Ce type de voie comporte généralement des aménagements favorisant la détente, comme des jardins, des bancs. Pour des raisons de sécurité des piétons, la circulation de véhicules motorisés y est limitée. 2. Ce type d'entité est réservé aux voies non carrossables, soit celles où les voitures ne peuvent pas circuler.
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Normalisé
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Promontoire, n.m.
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Cap de grande dimension.
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Approuvé
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Province, n.f.
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Chacun des dix états fédérés du Canada, doté d'un gouvernement exerçant tous les pouvoirs qui lui sont propres.
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Approuvé
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Puits, n.m.
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Voir : Puits artésien.
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Puits artésien, n.m.
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Ouvrage destiné à capter l'eau d'une nappe souterraine sous pression, emprisonnée, entre deux couches de terrain imperméable.
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Normalisé
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Puits naturel, n.m.
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Trou vertical ou d'inclinaison faible, grossièrement circulaire et de profondeur variable.
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Approuvé
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Quai, n.m.
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Ouvrage d'accostage pour les navires, constitué par un mur de soutènement et une chaussée aménagée au bord de l'eau.
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Recommandé
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Quartier, n.m.
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Partie d'une agglomération ayant une certaine unité et des caractéristiques propres.
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Recommandé
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Quartier résidentiel, n.m.
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Voir : Secteur résidentiel.
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Rade, n.f.
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Vaste plan d'eau abrité qui a une issue vers la mer et où les navires trouvent de bons mouillages.
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Approuvé
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Rampe de mise à l'eau, n.f.
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Plan incliné construit ou plus ou moins aménagé sur une berge ou une rive, qui sert à la mise à l'eau et à la sortie de l'eau des bateaux de plaisance.
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Approuvé
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Rang, n.m.
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Portion de territoire, souvent rural, constituée d'une série de lots parallèles s'allongeant à partir d'une ligne, d'un cours d'eau ou d'un chemin et où, généralement, s'alignent des habitations.
Note. – Dans plusieurs régions du Québec, les termes côte et concession sont parfois employés à la place de rang.
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Normalisé
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Rang (voie), n.m.
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Voie de communication, en milieu rural, tracée perpendiculairement aux lots et desservant des exploitations agricoles et des habitations.
Note. − Les lots que ces voies de communication desservent correspondent, pour les plus anciens, aux premiers découpages des terres du régime seigneurial, aussi appelés rangs. Dans le contexte de l’héritage du régime seigneurial, les rangs sont perpendiculaires aux voies de communication qu’on appelle montées.
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Normalisé
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Rapide, n.m.
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Partie d'un cours d'eau, souvent hérissée de roches, où le courant devient rapide et agité par suite d'un resserrement du lit ou d'une faible augmentation de la pente.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de rapides une désignation commune. C’est le terme pluriel rapides qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Rapides, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de rapides une désignation commune. C’est le terme pluriel rapides qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Rapide.
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Approuvé
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Ravage, n.m.
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Territoire forestier d'étendue variable servant de refuge à un groupe plus ou moins important de cervidés pendant l'hiver. Notes. – 1. Le ravage remplit deux conditions essentielles. D'abord, les arbres, notamment les peuplements résineux, servent d'abris aux cervidés contre les intempéries hivernales. De plus, par la présence d'arbustes et de pousses d'arbres offrant des ramilles à une hauteur accessible, le site permet aux cervidés de se nourrir. Il existe des ravages d'originaux, des ravages de cerfs de Virginie ainsi que des ravages de caribous. 2. Le terme ravage désigne également le réseau de pistes que les cervidés tracent dans la neige lors de leurs déplacements. Dans la langue des chasseurs, le mot ravage a aussi servi à désigner les traces laissées à travers bois par le passage d'un animal de forte taille, comme un cervidé ou un ours (arbustes brisés, branches cassées, herbes piétinées, etc.). Il a été aussi appliqué aux traces laissées par l'activité alimentaire d'un cervidé, particulièrement d'un orignal, sur un milieu végétal (écorces rongées, ramilles broutées, etc.). Ces emplois plus anciens découlent du sens général du mot ravage, lequel exprime l'idée de dommage et de dégât. Certains termes de sens plus génériques sont parfois utilisés comme synonymes de ravage : aire d'hivernage, aire d'hivernement, quartier d'hivernage, etc. Ces termes ont un sens plus large que ravage et peuvent désigner le territoire vers lequel migre une espèce animale (une espèce d'oiseau, de mammifère, de papillon, etc,) pour passer l'hiver. Il existe également des termes plus spécifiques qui spécifient l'espèce de cervidé fréquentant un ravage, comme ravage d'orignaux et ravage de cerfs de Virginie (dont l'équivalent en langue courante est ravage de chevreuils).
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Approuvé
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Ravage de cervidés, n.m.
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Voir : Ravage.
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Ravage d'hiver, n.m.
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Voir : Ravage.
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Ravin, n.m.
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Entaille profonde et étroite sur un versant, creusée par les eaux de ruissellement.
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Approuvé
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Ravine, n.f.
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Petit ravin généralement non stabilisé.
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Approuvé
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Récif, n.m.
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Rocher ou amoncellement de roches à fleur d'eau, dans la mer, constituant un danger pour la navigation.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de récifs une désignation commune. C’est le terme pluriel récifs qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Récifs, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de récifs une désignation commune. C’est le terme pluriel récifs qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Récif.
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Approuvé
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Refuge, n.m.
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Bâtiment situé le long d'un itinéraire de randonnée, qui sert d'hébergement de courte durée pour des randonneurs.
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Approuvé
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Refuge faunique, n.m.
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Territoire constitué des milieux privilégiés d'un habitat faunique en vue de sa protection, et où l'utilisation des ressources est réglementée.
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Recommandé
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Région, n.f.
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Territoire relativement étendu possédant des caractères particuliers qui lui confèrent une certaine unité.
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Recommandé
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Région administrative, n.f.
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Division territoriale servant de cadre à l'activité des ministères et des organismes publics.
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Recommandé
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Région touristique, n.f.
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Division territoriale établie à des fins de développement et de mise en valeur des produits touristiques régionaux. Note. – Au Québec, une région touristique correspond au territoire géré par une association touristique régionale et ne correspond pas toujours exactement au territoire de la région administrative.
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Approuvé
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Remous, n.m.
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Endroit dans un cours d'eau où l'eau s'agite dans un sens contraire au courant.
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Approuvé
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Réseau artériel, n.m.
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Ensemble des voies de communication importantes d'une municipalité, sur lequel les compétences de celle-ci en matière de voirie, de signalisation, de contrôle de la circulation et de stationnement sont exercées uniquement par le conseil municipal. Notes. – 1. Les voies de communication ne faisant pas partie du réseau artériel et n'étant pas sous la responsabilité du ministère des Transports sont parfois regroupées sous l'appellation réseau local; elles sont sous la responsablilité des conseils d'arrondissement. Le conseil municipal peut toutefois prescrire des normes visant à harmoniser les règles relatives à la voirie, à la signalisation, au contrôle de la circulation et, dans certains cas, au stationnement sur l'ensemble du réseau viaire dont la gestion est sous la responsabilité de la municipalité, y compris le réseau local. 2. En toponymie, il serait possible d'étendre cette notion en qualifiant le réseau artériel, selon des besoins administratifs particuliers, de régional, de provincial ou de national.
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Approuvé
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Réseau artériel municipal, n.m.
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Voir : Réseau artériel.
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Réseau d'artères urbaines, n.m.
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Voir : Réseau artériel.
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Réseau de sentiers, n.m.
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Ensemble de sentiers aménagés et balisés, généralement dans un milieu naturel, pour la pratique d'un sport ou d'un loisir.
Note : Un réseau de sentiers est surtout destiné à la randonnée, la course, le cyclisme, le ski de fond, la raquette, la motoneige et le motocross.
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Approuvé
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Réserve de biodiversité, n.f.
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Territoire protégé constitué dans le but de préserver la biodiversité naturelle qui lui est caractéristique.
Note. – Les règlements qui protègent la biodiversité dans ces réserves varient d'un pays à un autre.
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Approuvé
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Réserve de chasse, n.f.
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Territoire où la pratique de la chasse est interdite ou limitée. Note. – Ce statut n'est plus en usage.
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Approuvé
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Réserve de chasse et de pêche, n.f.
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Territoire où la pratique de la chasse et de la pêche est interdite ou limitée.
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Approuvé
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Réserve de la biosphère, n.f.
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Territoire jouissant d'une reconnaissance mondiale, constitué d'un ou de plusieurs écosystèmes protégés, et qui doit être géré de manière à concilier les activités anthropiques, la protection de l'environnement naturel et le développement économique.
Note. – Chacune des réserves de la biosphère est désignée par l'UNESCO, mais est placée sous la juridiction de l'État où elle est située.
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Approuvé
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Réserve de pêche, n.f.
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Territoire où la pratique de la pêche est interdite ou limitée. Note. – Ce statut n'est plus en usage.
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Approuvé
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Réserve écologique, n.f.
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Territoire constitué à même les terres publiques en vue de la conservation de ce territoire à l'état naturel, de la sauvegarde des espèces animales et végétales menacées, de la recherche scientifique et de l'éducation.
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Recommandé
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Réserve faunique, n.f.
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Territoire constitué en vue de la protection de la faune, où l'utilisation des ressources est réglementée.
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Recommandé
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Réserve indienne, n.f.
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Parcelle de territoire qui, en vertu de la Loi sur les Indiens, a été mise de côté à l'usage et au profit communs d'une Première Nation.
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Recommandé
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Réserve marine, n.f.
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Zone protégée d'un territoire qui comprend les eaux salées et saumâtres ainsi que leur littoral.
Note. – Au Québec, les réserves marines concernent l'estuaire et le golfe du Saint-Laurent, ainsi que les eaux côtières de l'ouest et du nord de la province.
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Approuvé
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Réserve militaire, n.f.
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Territoire appartenant à la Défense nationale et servant aux activités de l'armée.
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Recommandé
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Réserve nationale de faune, n.f.
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Territoire d'importance nationale, représentatif d'un milieu naturel exceptionnel, où des éléments rares ou menacés du milieu biophysique sont protégés et conservés. Note. – Ce type d'entité ressortit à la juridiction du gouvernement fédéral.
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Approuvé
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Réserve naturelle, n.f.
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Territoire pouvant constituer une aire protégée et qui présente un intérêt de conservation de la nature. Note. – Le mot nature fait référence à tout ce qui n'a pas été modifié ou altéré par une intervention humaine ou qui est revenu à son état naturel initial. Au Québec, les réserves naturelles sont établies en milieu privé selon la Loi sur la conservation du patrimoine naturel.
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Approuvé
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Réservoir, n.m.
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Nappe d'eau à niveau contrôlé, dont la retenue sert à des fins surtout utilitaires.
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Approuvé
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Réservoir d'eau potable, n.m.
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Toute forme de bassin de retenue naturel ou artificiel destiné à retenir ou à emmagasiner l'eau potable.
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Approuvé
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Réservoir pluvial, n.m.
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Toute forme de bassin de retenue naturel ou artificiel destiné à retenir l'eau de pluie.
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Approuvé
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Résurgence, n.m.
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Réapparition en surface d'un cours d'eau après un parcours souterrain. Synonyme : Point de résurgence.
Note. – 1. Il ne faut pas confondre le terme résurgence avec le terme exsurgence, qui désigne l'émergence d'un cours d'eau souterrain constitué par l'accumulation des infiltrations d'eau. 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de résurgences une désignation commune. C’est le terme pluriel résurgences qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Résurgences, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de résurgences une désignation commune. C’est le terme pluriel résurgences qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Résurgence.
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Approuvé
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Rigole, n.f.
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Sillon naturel ou artificiel collectant les eaux de ruissellement.
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Approuvé
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Rigolet, n.m.
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Voir : Rigole.
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Rivière, n.f.
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Cours d'eau d'importance variable recevant des tributaires et se déversant dans une nappe d'eau ou un cours d'eau plus important.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de rivières une désignation commune. C’est le terme pluriel rivières qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Rivières, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de rivières une désignation commune. C’est le terme pluriel rivières qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Rivière.
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Approuvé
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Roche, n.f.
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Bloc important de matière minérale. Notes. – 1. Le terme roche désigne souvent la matière elle-même. Toutefois cette acception ne concerne pas la toponymie. C'est dans son sens fragment de roche, qui est une extension, que ce terme est ici défini. 2. Contrairement au rocher, la roche ne fait pas partie de la roche en place. 3. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de roches une désignation commune. C’est le terme pluriel roches qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Rocher, n.m.
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Affleurement de la roche en place formant une éminence souvent abrupte.
Note. – En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de rochers une désignation commune. C’est le terme pluriel rochers qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Rochers, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de rochers une désignation commune. C’est le terme pluriel rochers qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Rocher.
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Approuvé
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Roches, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de roches une désignation commune. C’est le terme pluriel roches qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Roche.
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Approuvé
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Rond-point, n.m.
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Voir : Carrefour.
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Route, n.f.
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Voie de communication large et fréquentée, située en milieu rural ou périurbain, reliant deux ou plusieurs agglomérations.
Note. − La route mène souvent à des lieux d’importance régionale, tel un aéroport. Bien qu’elle ne comporte souvent que deux voies, la route est une artère plus importante que le chemin.
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Normalisé
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Rue, n.f.
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1. Voie de communication généralement bordée de bâtiments, dans une agglomération.
2. Voie de communication urbaine qui, dans un plan en damier, est située dans un axe perpendiculaire à celui d’une avenue.
Note. − Dans un plan en damier, les rues sont généralement orientées dans la direction est-ouest et, en contexte nord-américain, elles sont souvent numérotées : 1re Rue, 2e Rue, 3e Rue, etc.
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Normalisé
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Ruelle, n.f.
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Voie de communication étroite qui, souvent, sert de desserte et donne sur des arrière-cours.
Note. − Lorsque la ruelle abrite des immeubles comportant des adresses, sa dénomination doit inclure un élément spécifique, par exemple Ruelle des Ursulines, dans la ville de Québec.
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Normalisé
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Ruisseau, n.m.
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Très petit cours d'eau.
Note. – Cours d'eau de faible importance, peu profond et au débit lent.
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Approuvé
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Ruisseaux, n.m.
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Voir: Ruisseau
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Approuvé
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Ruisselet, n.m.
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Voir : Ruisseau.
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Salle, n.f.
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Pièce, généralement de grande dimension, d'un bâtiment ouvert au public et destinée à un usage particulier.
Note. – Très souvent, dans le cas d'une salle de spectacles, d'une salle paroissiale, d'une salle municipale, la salle constitue à elle seule l'essentiel de l'espace intérieur d'un bâtiment.
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Approuvé
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Secteur, n.m.
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Partie d'une entité territoriale considérée à des fins particulières. Note. – Les fins particulières peuvent être reliées ou définies selon le contexte culturel, politique, historique, juridique ou administratif, etc.
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Approuvé
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Secteur de villégiature, n.m.
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Partie d'une entité territoriale développée à des fins résidentielles de villégiature. Note. – La villégiature est définie dans les ouvrages de langue générale comme un séjour de repos à la campagne, dans un lieu de plaisance. Au Québec, il existe bon nombre de secteurs de villégiature qui consistent surtout en des regroupements de résidences secondaires situées près d'un cours d'eau ou d'un lac, et même en forêt, avec une ou des voies d'accès terrestres ou aquatiques.
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Approuvé
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Secteur résidentiel, n.m.
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Secteur réservé à l'habitation. Note. – Le terme développement et ses composés développement domiciliaire et développement résidentiel doivent être proscrits en ce sens.
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Recommandé
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Section de cours d'eau, n.m.
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Portion d'un cours d'eau qui possède des caractéristiques qui le distinguent du reste du cours d'eau auquel il appartient.
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Approuvé
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Segment de côte littorale, n.m.
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Partie d'une bande de terre bordant la mer.
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Approuvé
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Seigneurie, n.f.
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Fief possédé par un seigneur.
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Recommandé
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Sentier, n.m.
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Voie de communication étroite non carrossable, sommairement aménagée, surtout à l’usage des piétons, et généralement située dans un milieu naturel.
Note. − Contrairement à la promenade, le sentier n’est pas particulièrement aménagé pour favoriser la flânerie; sa vocation est davantage utilitaire ou reliée à une activité de loisir, comme c’est le cas du sentier de motoneige ou de randonnée. En milieu urbain, le sentier se trouve souvent dans un parc, un boisé ou le long d’un cours d’eau.
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Normalisé
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Sentier de migration, n.m.
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Sentier tracé par le passage des caribous lors de leurs déplacements saisonniers.
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Approuvé
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Sentier de randonnée polyvalent, n.m.
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Voir : Sentier polyvalent.
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Sentier polyvalent, n.m.
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Sentier aménagé pour convenir à plusieurs types d'usagers et à différents moyens de locomotion. Notes. – 1. Un sentier polyvalent peut être emprunté, par exemple, par les marcheurs, les cyclistes, les patineurs, les personnes à mobilité réduite et, dans certains cas, les cavaliers. L'hiver, certains sentiers polyvalents peuvent être empruntés par les motoneigistes. 2. Le quasi-synonymes voie verte, en usage en Europe francophone, désigne un sentier polyvalent aménagé le plus souvent sur une ancienne voie de chemin de fer ou sur un chemin de halage. Le terme voie verte (en anglais, greenway) insiste davantage sur l'aspect écologique d'un sentier polyvalent, dans la mesure où ce dernier contribue à la diminution du trafic routier dans les zones urbaines. Le terme sentier multifonctionnel constitue une impropriété étant donné que l'adjectif multifonctionnel peut difficilement s'appliquer à un sentier. Cet adjectif se dit d'un appareil, d'une machine, d'un produit ou d'une chose qui remplit plusieurs fonctions ou qui détient plusieurs propriétés. Or un sentier a essentiellement une seule fonction : servir de voie de communication.
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Approuvé
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Serre, n.f.
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Construction vitrée, parfois chauffée artificiellement, où l'on cultive les végétaux exotiques ou délicats, où l'on fait les semis particulièrement fragiles. Galerie close de vitrages, où l'on serre pendant l'hiver les plantes qui craignent la gelée.
Note. – Les serres dites chapelles sont constituées d'éléments de serre contigus. Les serres tunnels sont allongées et de section hémisphérique. Enfin, la serre chenille est identique à la précédente quant à sa forme, mais elle est étroite et basse et ne permet pas de s'y tenir debout. Lorsque la serre est attenante à une maison, elle est désignée, en anglais, par le terme conservatory.
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Approuvé
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Serres, n.f.
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Voir : Serre.
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Approuvé
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Seuil hydrographique, n.m.
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Brusque dénivellation du lit d'un cours d'eau occasionnée par une rupture de pente oblique, proche de la verticale, qui n'excède pas quatre mètres de haut et, en général, accompagnée d'un rétrécissement de l'écoulement. Note. – 1. Si la rupture de pente a plus de quatre mètres et est verticale, elle est identifiée par le mot chute. Le seuil est le résultat d'un phénomène géomorphologique de rupture du sol identifiable en surface d'un cours d'eau et représentée en cartographie. Il arrive que l'usage maintienne le terme rapide pour désigner un seuil hydrographique. 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de seuils hydrographiques une désignation commune. C’est le terme pluriel seuils hydrographiques qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Seuils hydrographiques, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de seuils hydrographiques une désignation commune. C’est le terme pluriel seuils hydrographiques qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Seuil hydrographique.
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Approuvé
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Site, n.m.
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Terme générique qui désigne un lieu naturel, un élément de paysage ou la configuration d'un lieu, d'un espace défini en fonction de son usage. Note. – En français, ce terme peut s'employer pour parler d'un lieu naturel, d'un élément du paysage ou de la configuration d'un lieu; il ne peut se référer à l'endroit où est construit un immeuble et ne peut désigner l'immeuble lui-même ou un ensemble administratif. Il est donc inapproprié d'utiliser le mot site pour hôpital. Il faut maintenir le terme hôpital pour désigner les installations des établissements de santé et rejeter le terme site lorsqu'il ne correspond pas aux sens qui lui sont propres.
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Approuvé
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Site archéologique, n.m.
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Lieu qui témoigne d'une présence humaine ancienne, généralement marquante sur le plan historique ou préhistorique.
Notes. – Au Québec, la Loi sur le patrimoine culturel définit un site archéologique comme suit : « tout site témoignant de l'occupation humaine préhistorique ou historique ».
Un site archéologique est généralement l'objet d'études et de plans de conservation.
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Approuvé
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Site géologique exceptionnel, n.m.
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Aire déterminée aux caractéristiques géologiques ou géomorphologiques sensibles ou rares, présentant un intérêt historique, culturel ou paysager particulier pour sa conservation.
Note. - Un site géologique exceptionnel est, par exemple, une importante structure composée de roches ou de minéraux caractéristiques, un site fossilifère, une caverne ou une grotte, un site stratigraphique, le lieu d'un impact météoritique.
Au Québec, le concept de « site géologique exceptionnel » est intégré à la Loi sur les mines.
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Approuvé
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Site historique, n.m.
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Lieu où se sont déroulés des événements ayant marqué l'histoire du Québec ou une aire renfermant des biens ou des monuments historiques.
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Approuvé
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Site patrimonial, n.m.
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Lieu où se trouvent des biens culturels ou naturels qui présentent un intérêt particulier d'ordre esthétique, ethnologique, scientifique ou historique, et dont le statut a été officialisé par une autorité compétente à des fins de protection.
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Approuvé
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Sites archéologiques, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de sites archéologiques une désignation commune. C’est le terme pluriel sites archéologiques qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Site archéologique.
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Approuvé
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Sommet, n.m.
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Point culminant d'un relief.
Note. – 1. Un plateau ne se termine pas par un sommet, mais peut avoir un point culminant. Par contre, un mont ou une montagne en a un en raison de sa forme, de ses côtés généralement abrupts qui mènent à son extrémité, à son sommet. 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de sommets une désignation commune. C’est le terme pluriel sommets qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Sommets, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de sommets une désignation commune. C’est le terme pluriel sommets qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Sommet.
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Approuvé
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Source, n.f.
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Point d'émergence d'une nappe souterraine.
Note. – 1. Une source se caractérise par son débit - peu ou assez important, par son rythme ou son régime - régulier, intermittent ou saisonnier, et par la qualité de ses eaux - provenance et nature du sol dans lequel elles ont coulé. 2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de sources une désignation commune. C’est le terme pluriel sources qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Source de gaz naturel, n.f.
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Point d'émergence, à la surface du sol, d'un gisement de gaz naturel. Note. – Une source de gaz naturel peut être située sur la terre ferme ou sous l'eau (lit d'une rivière, fond marin, etc.). En contexte, la forme elliptique source de gaz est utilisée au sens de source de gaz naturel.
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Approuvé
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Sources, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de sources une désignation commune. C’est le terme pluriel sources qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Source.
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Approuvé
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Square, n.m.
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Petit jardin public, généralement situé sur une place et entouré d'une grille. Note. – Ce terme ne peut être utilisé comme générique pour nommer les rues qui l'entourent ni les immeubles qui y sont adjacents. Il n'a pas le sens du mot anglais square et ne doit pas être confondu avec place. À partir du XIXe siècle, sous l'influence du terme anglais square, le terme carré a été utilisé au Québec pour désigner des espaces publics découverts. Cet emploi du terme carré est encore vivant dans la langue courante, surtout à l'oral, pour désigner certains squares d'importance historique, notamment dans la région de Montréal. Si l'utilisation de carré peut être justifiée dans ces contextes, ce terme ne saurait servir dans le cadre de dénominations futures.
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Normalisé
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Stade, n.m.
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Installation sportive constituée d'un terrain spécialement conçu pour l'exercice d'un ou de plusieurs sports, entouré d'une enceinte munie de gradins.
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Approuvé
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Stade de baseball, n.m.
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Installation sportive constituée d'un terrain de baseball entouré d'une grande enceinte munie de gradins. Variante graphique : stade de base-ball.
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Approuvé
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Stade de soccer, n.m.
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Installation sportive constituée d'un terrain de soccer entouré d'une grande enceinte munie de gradins. Note. – En Europe francophone, c'est l'emprunt football qui s'est généralisé dans l'usage pour désigner le sport que l'on appelle soccer en Amérique du Nord.
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Approuvé
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Station, n.f.
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Voir : Station de chemin de fer.
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Station aquicole, n.f.
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Ensemble des installations et des équipements nécessaires à la culture des végétaux et à l'élevage des animaux en milieu aquatique, en vue de leur commercialisation.
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Approuvé
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Station de chemin de fer, n.f.
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Gare ferroviaire de peu d'importance.
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Recommandé
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Station de métro, n.f.
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Ensemble des installations qui permet aux usagers d'avoir accès au métro, en un lieu donné.
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Approuvé
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Station de pompage, n.f.
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Installation comportant une ou plusieurs pompes pour l'extraction de l'eau d'un puits, d'une rivière, etc., généralement abritée par un bâtiment.
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Approuvé
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Station de producton d'eau potable, n.f.
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Ensemble d’installations servant à traiter l’eau brute en vue de la rendre propre à la consommation humaine selon les exigences règlementaires applicables.
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Approuvé
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Station d'épuration des eaux usées, n.f.
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Ensemble d’installations servant à assainir les eaux usées pour les rendre conformes aux normes applicables en vue de leur réutilisation ou de leur rejet dans l’environnement.
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Approuvé
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Station de recherche, n.f.
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Lieu aménagé pour la recherche scientifique dans un domaine déterminé relié au milieu environnant. Note. – La station de recherche peut être forestière, agricole, piscicole, météorologique, etc. Dans l'usage courant, le terme ferme expérimentale est fréquemment utilisé en remplacement de station de recherche agricole qui demeure le terme adéquat.
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Recommandé
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Station de ski, n.f.
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Lieu pourvu d'importantes installations destinées à la pratique du ski et au séjour des skieurs.
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Recommandé
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Station d'interprétation, n.f.
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Aménagement situé le long d'un parcours, destiné à sensibiliser le public à un élément particulier du patrimoine naturel ou culturel. Note. – La station d'interprétation peut être située, notamment, le long d'un sentier d'interprétation, d'un parcours de randonnée ou d'une piste cyclable et comprendre des panneaux explicatifs ainsi que d'autres éléments visuels ou sonores. Elle peut porter, par exemple, sur des particularités de la faune ou de la flore locale, ou sur un élément historique ou architectural des environs.
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Approuvé
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Station du REM, n.f.
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Ensemble des installations permettant aux usagers d'avoir accès au Réseau express métropolitain de Montréal (REM), en un lieu donné.
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Approuvé
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Station forestière, n.f.
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Établissement constitué d'un territoire forestier aménagé de façon polyvalente ainsi que d'un ensemble d'installations, de bâtiments et d'équipements, destiné à l'éducation, à la démonstration, à la recherche et à l'expérimentation forestières.
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Recommandé
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Station météorologique, n.f.
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Ensemble des installations et équipements nécessaires aux observations météorologiques.
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Recommandé
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Station militaire, n.f.
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Installation militaire moins importante qu'une base.
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Recommandé
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Stationnement, n.m.
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Voir : Parc de stationnement.
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Station piscicole, n.f.
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Installation destinée à la reproduction et à l'élevage des poissons en vue d'ensemencer les lacs et les rivières d'une région.
Notes. – 1. Lorsque les installation sont relativement importantes, on parlera plutôt de centre piscicole (ou de centre de pisciculture), les termes station piscicole et station de pisciculture désignant généralement des installations plus modestes. 2. Contrairement au terme établissement de pisciculture, qui fait référence à une entreprise privée, les termes station piscicole et centre piscicole peuvent être employés pour désigner une installation relevant du gouvernement ou d'un organisme à but non lucratif. Synonyme : Station de pisciculture.
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Approuvé
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Station radar, n.f.
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Endroit où sont regroupées les installations nécessaires au fonctionnement d'un radar.
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Recommandé
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Surface, n.f.
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Voir : Terrain de sport.
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Technoparc, n.m.
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Voir : Parc technologique.
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Terrain de balle, n.m.
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Espace aménagé pour la pratique du baseball ou de la balle-molle.
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Approuvé
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Terrain de boulingrin, n.m.
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Terrain gazonné de forme carrée ou rectangulaire, généralement délimité par des bordures et des talus, destiné à la pratique du boulingrin. Note. – Le terme boulingrin est une adaptation de l'anglais bowling green (emplacement gazonné pour jouer aux boules). Il était utilisé, à l'origine, pour désigner le lieu où l'on pratiquait cette activité. Par extension, le terme boulingrin en est venu à désigner l'activité elle-même. On utilise maintenant le terme terrain de boulingrin pour désigner le lieu où l'on pratique le boulingrin.
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Approuvé
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Terrain de camping, n.m.
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Espace aménagé en vue du séjour des campeurs. Note. – En contexte, ce terme peut se réduire à camping.
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Recommandé
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Terrain de jeu, n.m.
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Espace aménagé pour la pratique d'activités de récréation.
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Recommandé
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Terrain de soccer, n.m.
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Terrain intérieur ou extérieur, aux dimensions déterminées, destiné à la pratique du soccer. Note. – En Europe francophone, c'est l'emprunt football qui s'est généralisé dans l'usage pour désigner le sport que l'on appelle soccer en Amérique du Nord. Le terme stade de soccer désigne une installation sportive constituée d'un terrain de soccer entouré d'une grande enceinte munie de gradins.
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Approuvé
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Terrain de sport, n.m.
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Espace extérieur aménagé pour la pratique d'activités sportives.
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Approuvé
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Terrasse, n.f.
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Dépôt de matériaux meubles formant un replat.
Note. – 1. Il est à noter que le terme terrasse ne doit pas être utilisé comme générique dans la désignation des voies de communication, à moins que la voie ne borde ou ne se confonde avec une terrasse. 2. On peut utiliser le terme terrasse, si désiré, comme partie de l'élément spécifique d'un odonyme. Ainsi, Rue de la Terrasse-Stuart serait correct pour désigner une voie qui mènerait à une entité de ce nom.
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Approuvé
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Territoire, n.m.
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Étendue de pays où s'exerce un mode d'autorité ou de juridiction exceptionnel. Note. – Définition à caractère administratif.
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Recommandé
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Territoire équivalent à une MRC, n.m.
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Territoire établi à des fins statistiques pour compléter la couverture territoriale du Québec en municipalités régionales de comté là où il n'en existe aucune. Note. – Il est conseillé d'écrire le sigle TÉ sans points abréviatifs bien que leur emploi demeure acceptable.
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Approuvé
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Territoire non organisé, n.m.
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Territoire non érigé en municipalité locale.
Note. – Cette définition découle des articles 7 et 8 de la Loi sur l'organisation territoriale municipale.
La municipalité régionale de comté dont le territoire comprend un territoire non organisé est présumée être une municipalité locale régie par le Code municipal du Québec à l'égard de ce territoire.
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Approuvé
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Tour d'observation, n.f.
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Structure érigée, dont le sommet est généralement aménagé de manière à permettre à un observateur d'obtenir une visibilité sur le paysage environnant.
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Approuvé
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Trait-carré (voie), n.m.
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Voie de communication dont le tracé est quadrangulaire, à partir duquel rayonnent vers l'extérieur des lots de forme trapézoïdale. Variante graphique : trécarré. Notes. – 1. Le trait-carré est associé à un mode de lotissement radial. Au Québec, ce mode de lotissement a été adopté pour former deux noyaux de peuplement : Charlesbourg et Bourg-Royal (situés actuellement dans l'arrondissement de Charlesbourg, à Québec). Le premier correspond maintenant aux rues appelées Le Trait-Carré Est et Le Trait-Carré Ouest, le second aux rues appelées Carré De Tracy Est et Carré De Tracy Ouest. 2. De nos jours, le terme trait-carré connaît plusieurs emplois sur le plan toponymique dans l'arrondissement de Charlesbourg. Il désigne toujours le chemin original entourant l'ancienne commune du village de Charlesbourg (un territoire carré d'environ 25 arpents). Dans l'usage courant, il sert également à désigner ce secteur correspondant à l'ancienne commune; par extension, il renvoie parfois à tout le village historique de Charlesbourg. Dans tous ces emplois, il s'écrit avec des majuscules initiales (Trait-Carré). Lorsqu'il est question du Trait-Carré de Charlesbourg, la graphie Trécarré est peu usitée; la graphie archaïsante Trait-Quarré est attestée dans des documents anciens. 3. Le trait-carré se définit aussi comme une ligne d'arpentage sur laquelle les lignes latérales des lots aboutissement perpendiculairement. Au Québec, plusieurs toponymes rappellent ces divers emplois du terme trait-carré (ou trécarré) dans le domaine de l'arpentage, par exemple, Trait-carré Pépin, à Québec (qui désigne un chemin), ainsi que Chemin du Trait-Carré, à Laval, à Terrebonne, à Saint-Henri et à Saint-Joachim.
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Approuvé
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Tunnel, n.m.
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Galerie souterraine destinée au passage d'une voie de communication (sous un cours d'eau, un bras de mer; à travers une élévation de terrain).
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Recommandé
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Vallée, n.f.
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Dépression allongée délimitée par deux versants et généralement occupée par un cours d'eau ou une nappe d'eau.
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Approuvé
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Vallée sous-marine, n.f.
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Dépression large, allongée, peu profonde et à pentes douces, du fond des mers, des océans, des estuaires et des golfes. Note. – La vallée sous-marine se distingue du canyon sous-marin du fait qu'elle est moins profonde et que ses pentes sont moins abruptes.
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Approuvé
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Vallon, n.m.
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Petite vallée.
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Approuvé
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Vasière de cervidés, n.f.
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Site d'un marais, d'une source ou d'une étendue d'eau fréquenté par les cervidés.
Note. – 1. Ce type de vasière, lorsqu'il y a des sels minéraux dont la concentration s'établit à plus de 3 parties par million en potassium et à plus de 75 parties par million en sodium, est relativement permanent et peut être protégé comme habitat faunique par l'État, c'est-à-dire la source saline ainsi que le terrain d'une largeur de 100 mètres qui l'entoure. Dans d'autres cas, la vasière est fréquentée à cause de la présence naturelle minimale de sel ou à cause de l'apport de cette matière par l'humain. Terme générique : Vasière.
2. En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de vasières de cervidés une désignation commune. C’est le terme pluriel vasières de cervidés qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité.
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Approuvé
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Vasières de cervidés, n.f.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de vasières de cervidés une désignation commune. C’est le terme pluriel vasières de cervidés qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Vasière de cervidés.
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Approuvé
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Verger, n.m.
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Terrain planté d'arbres fruitiers.
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Approuvé
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Versant, n.m.
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Surface déclive d'un relief marquant du paysage.
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Approuvé
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Viaduc, n.m.
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Pont routier ou ferroviaire long et haut pouvant comporter plusieurs travées, généralement érigé au-dessus d'une vallée, d'une dépression importante. Note: Ce type de construction est beaucoup moins fréquent en Amérique du Nord qu'en Europe, sauf dans le cas de viaducs routiers en béton, longs et comportant plusieurs travées, soutenus par d'imposants piliers, qui peuvent par exemple surplomber des quartiers dans les grandes villes.
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Approuvé
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Village, n.m.
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Agglomération rurale caractérisée par un habitat plus ou moins concentré, possédant des services de première nécessité et offrant une forme de vie communautaire. Note. – Ne pas confondre avec municipalité de village, notion administrative.
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Recommandé
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Village cri, n.m.
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Agglomération habitée majoritairement par les Cris et située sur des terres de catégorie 1A telles que définies dans la Convention de la Baie-James et du Nord québécois. Note. – Ne pas confondre avec municipalité de village cri.
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Approuvé
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Village forestier, n.m.
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Agglomération sans statut juridique établie en forêt, regroupant des travailleurs forestiers et leurs familles.
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Recommandé
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Village naskapi, n.m.
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Agglomération habitée majoritairement par les Naskapis et située sur des terres de catégorie 1A-N telles que définies dans la Convention du Nord-Est québécois. Note. – Ne pas confondre avec municipalité de village naskapi.
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Approuvé
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Ville, n.f.
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Municipalité érigée à ce titre conformément aux dispositions de la Loi sur l'organisation territoriale municipale. Note. – Il ne faut pas confondre cette notion administrative du terme ville et la notion géographique du même mot publiée sous forme d'avis de recommandation à la Gazette officielle du Québec.
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Approuvé
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Villégiature, n.m.
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Voir : Centre de villégiature.
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Virage, n.m.
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Courbure plus ou moins prononcée de la direction d'une voie de communication.
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Approuvé
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Virages, n.m.
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En toponymie, on peut attribuer à un ensemble de virages une désignation commune. C’est le terme pluriel virages qu’on utilise alors pour nommer ce type d’entité. Voir : Virage.
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Approuvé
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Voie de contournement, n.f.
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Voir : Contournement.
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Voie de desserte, n.f.
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Voie de communication généralement parallèle à une voie rapide, conçue pour permettre la circulation locale et desservir les propriétés riveraines. Note. – Selon la nature particulière de la voie de desserte à désigner, des termes plus spécifiques sont aussi utilisés, comme chemin de desserte ( qui désigne habituellement une voie de desserte en zone rurale) et route de desserte. La forme elliptique desserte relève surtout de la langue courante. Le terme voie de service, parfois utilisé au « sens de voie de desserte », n'a pas été retenu en raison du risque de confusion qu'il entraîne. Dans le domaine routier, le terme voie de service désigne généralement une voie réservée à certains véhicules affectés à des travaux d'entretien ou à des opérations de secours ou de remorquage; le terme désigne aussi une voie de communication souvent privée, aménagée aux abords d'un édifice ou d'installations (par exemple, portuaires), ou bien dans un parc, et destinée notamment aux véhicules de livraison, d'entretien, d'urgence, etc. Le terme chaussée latérale est parfois utilisé en Europe pour désigner une voie de desserte. Synonymes : Chemin de desserte.
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Recommandé
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Voie verte, n.f.
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Voir : Sentier polyvalent.
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Zone de ponte, n.f.
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Voir : Frayère.
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Zone d'exploitation contrôlée, n.f.
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Territoire établi par l'État, destiné principalement au contrôle du niveau d'exploitation des ressources fauniques, et dont la gestion peut être déléguée à un organisme agréé. Note. – L'acronyme zec est utilisé pour désigner cette notion.
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Recommandé
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Zone industrielle, n.f.
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Voir : Parc industriel.
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Zone résidentielle, n.f.
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Voir : Secteur résidentiel.
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Zoo, n.m.
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Voir : Jardin zoologique.
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