Logo du gouvernement du Québec.
Commission de toponymie

Recherche avancée

Toponymie municipale

Gentilé : nom des habitants d'un lieu

Résultat de la recherche

Liste complète
ToponymeType d'entitéGentilé
AbercornMunicipalité de villageAbercornien, Abercornienne (1986*)
AbitibiMRCAbitibien, Abitibienne (1986*)
Abitibi RégionAbitibien, Abitibienne (vers 1920); Abitibian (1983) (forme anglaise)
Variante (s) : Abbitibbe (XIXe s.); Abbitibbien (1922); Abitibibeux (XIXe s.); Outabitibeux (1673); 8 [ou] tabitibeux (vers 1671).
Commentaire : La totalité des variantes ont trait au groupe amérindien innu des Abitibis qui ont donné leur nom à la région qu'ils fréquentaient. Deux publications comportent ce gentilé sous forme adjectivale, soit Les Échos abitibiens, hebdomadaire fondé vers 1920 et L'Écho abitibien qui a pris la relève et qui paraît encore présentement. À noter la mise sur pied toute récente d'une association qui regroupe les anciens résidents de la région abitibienne désormais installés en Outaouais, ceux-ci étant identifiés comme des Abitaouais.
Abitibi-TémiscamingueRégion administrativeTémiscabitibien, Témiscabitibienne (1985)
Variante (s) : Abitibi-Témiscamien.
Commentaire : La création récente de ce gentilé témoigne d'un souci marqué pour fusionner en une seule dénomination les composantes de ce régionyme et, partant, refléter ainsi une volonté d'appartenance davantage sentie. La formation du dérivé procède de la technique de l'emboîtement verbal, sorte de mot-valise dont on télescope les éléments constituants en tout ou en partie; ici on a également eu recours à l'inversion. Voir : Abitibi (Région) et Témiscamingue (Région).
Acton MRCActonnien, Actonnienne (1986*)
Variante (s) : Actonien.
Acton ValeVilleValois, Valoise (1980*)
Actonvalois.
Bibliographie : R., L. (1986), « Actonois plutôt qu'Actoniens? », dans La Tribune, Sherbrooke, 19 avril, p. A9.
AdstockMunicipalitéAdstockois, Adstockoise (2006*)
AguanishMunicipalitéAguanishois, Aguanishoise (1986*)
[A-GWA-NI-CHOI/CHOIZ]
AhuntsicQuartier (de la ville de Montréal)Ahuntsicois, Ahuntsicoise (1980)
Commentaire : Dénomination très fréquente qui souligne la fierté de la population locale d'être identifiée à son quartier résidentiel.
AkulivikMunicipalité de village nordiqueAkulivimmiuq (1986) (forme inuite)
[A-KOU-LI-VI-MI-YOUK]
Commentaire : Les modalités de formation des gentilés en langue inuktitut consistent généralement à adjoindre au nom de lieu concerné le suffixe -miuq (variante -miok) au singulier, la forme plurielle étant -miut, avec les consonnes de passage requises. À cet égard, les spécialistes diffèrent fréquemment d'opinion quant au redoublement ou non de la consonne de passage; nous enregistrons toutefois toutes les formes attestées par écrit, telles qu'orthographiées et retenons pour gentilé figurant en entrée celle autour de laquelle semble se dégager le consensus le plus large.
AkwesasneRéserve indienneAkwesashronon (1986) (forme mohawk)
[A-KWA-SAS-LOUN]
Commentaire : Cette information nous a aimablement été communiquée par monsieur Françoys M. Boyer de Huntingdon. En mohawk, selon ses indications, il n'existe ni forme masculine, ni forme féminine à l'exception de la forme plurielle.
AlbanelMunicipalitéAlbanélois, Albanéloise (1985*)
AlbertvilleMunicipalitéAlbertvillois, Albertvilloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Raphaël-d'Albertville est devenue la municipalité d'Albertville, le 16 août 1997.
AlmaVilleAlmatois, Almatoise (1978*)
Variante (s) : Almatien.
Commentaire : C'est à bon escient que l'on a écarté la variante, car celle-ci suscitait des jeux de mots peu flatteurs. Par ailleurs, Almatois peut être relevé à des centaines d'exemplaires, ce qui dénote son adoption pleine et entière de la part des citoyens d'Alma.
AmosVilleAmossois, Amossoise (1978*)
Variante (s) : Amossien (1970).
Bibliographie : ANONYME (1980), « Saviez-vous que... », dans La francisation en marche en Abitibi–Témiscamingue, Noranda, Office de la langue française, novembre, p. 2.
AmquiVilleAmquien, Amquienne (1977)
Variante (s) : Amquois.
Bibliographie : BOUDREAULT-LAMBERT, Sylvie (1986), « Amquien-Amquiais? », dans L'Avant-Poste Gaspésien, Amqui, 16 avril.
Ange-GardienMunicipalité (de la région de la Montérégie)Gardangeois, Gardangeoise (1986*)
Commentaire : La municipalité d'Ange-Gardien est issue du regroupement de la municipalité du village de L'Ange-Gardien et de la municipalité de la paroisse de Saint-Ange-Gardien, le 31 décembre 1997. Une partie du second constituant du nom de lieu a été conservé et permuté avec le premier pour établir le gentilé.
AngliersSecteur (de la municipalité de Laverlochère-Angliers)Anglier, Anglière (1986*)
Commentaire : Dérivé à partir du modèle de Nord-Côtier, ière, gentilé des habitants de la Côte-Nord. La municipalité du village d'Angliers n'existe plus depuis le 27 décembre 2017, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Laverlochère-Angliers. Le nom « Angliers » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Anjou, Circonscription électorale d'Circonscription électorale provincialeAngevin, Angevine (1988)
AnjouArrondissement (de la ville de Montréal)Angevin, Angevine (1977*)
Commentaire : La ville d'Anjou n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Montréal. Le nom « Anjou » a toutefois été préservé; il identifie une agglomération de cette ville. On ne peut s'empêcher de songer au célèbre vers de Joachim Du Bellay : « Et plus que l'air marin la douceur angevine » (« Heureux, qui comme Ulysse,... »). Il s'agit du gentilé identique porté par les habitants d'Angers et de l'Anjou française. Ce dernier provient de la dérivation latine : du bas latin Andecavinus ou Andegavinus, remontant à Andecavi ou Andegavi, « les Andégaves », peuple de la Gaule romaine.
AnnavilleMunicipalité de villageVoir Saint-Célestin (Municipalité de village)
Anticosti, Île d'ÎleAnticostien, Anticostienne (1897)
Anticosti-MinganieRégionAnticostien-Minganien, Anticostien-Minganienne (1981)
Commentaire : Le fait qu'on ait fait dériver le constituant Anticosti, alors que règle générale seul le dernier élément d'un nom de lieu composé se voit adjoindre la finale gentiléenne, témoigne selon nous que l'on considère encore les deux régions géographiques constitutives comme formant des entités séparées, non encore entièrement intégrées. L'appellation « Anticosti-Minganie » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Antoine-LabelleMRCAntoine-Labellois, Antoine-Labelloise (1986*)
Variante (s) : Labellois.
Bibliographie : THIBAULT, J.-René (1986), « Une conscience régionale, est-ce possible? » dans La Gazette, Maniwaki, 24 mars, p. 8.
Argentenay, PointePointeArgentenayen, Argentenayenne (1890)
Commentaire : La pointe Argentenay est située dans la municipalité de Saint-François-de-l’Île-d’Orléans.
ArgenteuilMRCArgenteuillois, Argenteuilloise (1986*)
Commentaire : On a estimé que même si le gentilé Argentelain était en usage pour désigner le citoyen de la circonscription électorale d'Argenteuil dont le territoire correspond à celui de l'actuelle municipalité régionale de comté « Argenteuillois(e) est susceptible d'être mieux accepté par la population. »
Bibliographie : DUPUIS, Pierre (1986a), « Un gentilé pour une région. Argenteuilloise, Argenteuillien, Argenteuillaise ou Argentelain? », dans L'Argenteuil, Lachute, 25 mars, p. A-3. DUPUIS, Pierre (1986b), « Argenteuillois! », dans L'Argenteuil, Lachute, 15 avril, p. A-5.
Argenteuil, Circonscription électorale d'Circonscription électorale provincialeArgentelain, Argentelaine (1969)
Commentaire : Le gentilé des citoyens d'Argenteuil dans le Val-d'Oise français est Argentolien ou Argenteuillais. Ainsi, on a pu s'inspirer de la première dénomination qui remonte à une possible forme latine Argentolianus, dérivée d'Argentolium.
Bibliographie : FERBER ET COMPAGNIE (1982), « Dans la grand-rue... et ailleurs... », dans L'Argenteuil, Lachute, 28 avril, p. 1.
ArmaghMunicipalitéArmageois, Armageoise (1986*)
Commentaire : La municipalité d'Armagh est issue du regroupement de la municipalité du village d'Armagh et de la municipalité de la paroisse de Saint-Cajetan-d'Armagh, le 29 décembre 1993.
ArmaghAncienne municipalité de villageVoir Armagh (Municipalité)
ArntfieldSecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Arntfieldois, Arntfieldoise (1986*)
[ARNT-FIL-DOI/DOIZ]
Commentaire : La municipalité d'Arntfield n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. Le nom « Arntfield » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
ArthabaskaMRCArthabaskien, Arthabaskienne (1986*)
ArthabaskaSecteur (de la ville de Victoriaville)Arthabaskien, Arthabaskienne (1979*)
Commentaire : La ville d'Arthabaska n'existe plus depuis le 23 juin 1993, par suite d'un regroupement municipal, son territoire fait maintenant partie de la ville de Victoriaville. Le nom « Arthabaska » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
ArundelMunicipalité de cantonArundelite (1980) (forme anglaise)
ArvidaSecteur (de la ville de Saguenay)Arvidien, Arvidienne (1949); Arvidian (1926) (forme anglaise)
Commentaire : Le journal The Arvidian fut publié du 18 août 1927 à la fin de 1928.
AsbestosVille (ancien nom)Asbestrien, Asbestrienne (1980*)
Commentaire : Le nom Asbestos a été remplacé par celui Val-des-Sources en 2021. Provient du terme asbest(e) qui signifie « amiante » auquel on a accolé Estrien qui marque l'appartenance de cette entité municipale à la région de l'Estrie.
Bibliographie : L., J.-P. (1980), « Les gens d'Asbestos sont des Asbestriens », dans Le Citoyen, Asbestos, 11 novembre.
AscotSecteur (de la ville de Sherbrooke)Ascotois, Ascotoise (1986*)
Commentaire : La municipalité d'Ascot n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sherbrooke. Le nom « Ascot » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Ascot CornerMunicipalitéAscotois, Ascotoise (2015*)
Aston-JonctionMunicipalitéAstonnais, Astonnaise (1986*)
Commentaire : La municipalité d'Aston-Jonction est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-Raphaël-Partie-Sud et de la municipalité du village d'Aston-Jonction, le 26 mars 1997.
Aubert-GallionSecteur (de la ville de Saint-Georges)Aubert-Gallionnais, Aubert-Gallionnaise (1986*)
Commentaire : La municipalité d'Aubert-Gallion n'existe plus depuis le 26 septembre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Georges. Le nom « Aubert-Gallion » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Auclair MunicipalitéAuclairois, Auclairoise (2006*)
AudetMunicipalitéAudettois, Audettoise (1985)
AumondMunicipalité de cantonAumondois, Aumondoise (1986*)
AupalukMunicipalité de village nordiqueAupalummiuq (1980) (forme inuite)
[AU-PA-LOU-MI-YOUK]
Variante (s) : Aupalumiuq.
AustinMunicipalitéAustinois, Austinoise (2014*)
AuthierMunicipalitéAuthiérois, Authiéroise (1986*)
Authier-NordMunicipalitéAuthiernordois, Authiernordoise (1986*)
AvignonMRCAvignonnais, Avignonnaise (1986*)
Commentaire : Gentilé identique à celui des résidents d'Avignon dans le Vaucluse français.
Ayer's CliffMunicipalité de villageAyer's-Cliffois, Ayer's-Cliffoise (1978);
[A-YEURS-KLI-FOI/FOIZ]
Variante (s) : Ayer's Cliffer (1984) (forme anglaise)
AylmerSecteur (de la ville de Gatineau)Aylmerois, Aylmeroise (1989*); Aylmerite (1985) (forme anglaise)
Commentaire : La ville d'Aylmer n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Gatineau. Le nom « Aylmer » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Comme on estimait que la finale -rien pouvait être perçue de manière négative en raison de son rapprochement avec le mot qui évoque l'absence, l'insignifiance, le peu d'importance, les autorités municipales ont décidé, en 1989, de procéder à la modification du gentilé Aylmerien à la faveur d'Aylmerois, estimé plus neutre et tout aussi correct.
BagotvilleSecteur (de la ville de Saguenay)Bagotvillois, Bagotvilloise (1957)
Variante (s) : Belgovalois.
Commentaire : La forme Belgovalois n'a pas connu un grand succès, compte tenu de son allure peu orthodoxe en regard du toponyme dont elle provient; gentilé à connotation savante démontrant le tiède enthousiasme que suscite ce genre de dérivé auprès des intéressés eux-mêmes.
Baie-ComeauVilleBaie-Comois, Baie-Comoise (1994*)
Variante (s) : Baie-Comelien (1983); Baiecomélien (1984); Baie-Comellien (1981); Baiecomien (1984); Baie-Comien (1979).
Commentaire : Les difficultés que soulève la dérivation d'un toponyme formé d'un terme géographique et d'un anthroponyme à finale vocalique justifient sans doute le recours à plusieurs variantes. Bien que Baie-Comellien ait connu son heure de gloire en 1981 et 1982, il n'est plus usité. Quant à Baie-Comien, relevé jusqu'à la fin des années 1980, il a graduellement cédé la place à Baie-Comois, plus agréable à l'oreille et moins susceptible d'entraîner la création de jeux de mots ou de rapprochements lexicaux non désirés. Largement en usage depuis 1988, ce dernier a recueilli la faveur populaire et incité les autorités municipales à l'adopter officiellement par voie de résolution municipale en septembre 1994. Au fil des ans, nous avons également recueilli l'appellation Papalugrain, tirée de papier, aluminium et grain, trois produits historiquement importants pour l'économie baie-comoise. Il s'agit, cependant, d'un blason populaire ou surnom collectif que certaines sources présentent comme un gentilé.
Bibliographie : ANONYME (1981), « Beau comme moi! », dans La francisation en marche sur la Côte-Nord, Hauterive, Office de la langue française, octobre, p. 3. HOVINGTON, Raphaël (1984), « Chacun son tour », dans Plein Jour sur la Manicouagan, Baie-Comeau, 18 avril, p. 15. HOVINGTON, Raphaël (1987), « Paul-Émile Jean lance son répertoire des noms de rues de Baie-Comeau », dans Plein Jour sur la Manicouagan, Baie-Comeau, 5 mai, p. 8.
Baie-de-ShawiniganSecteur (de la ville de Shawinigan)Shawiniganais, Shawiniganaise (1983)
Commentaire : La municipalité du village de Baie-de-Shawinigan n'existe plus depuis le 2 septembre 1998, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Shawinigan. Le nom « Baie-de-Shawinigan » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Baie-des-SablesMunicipalitéBaie-des-Sablien, Baie-des-Sablienne (1978*)
Variante (s) : Sabléen.
Commentaire : En dépit de la présence de l'article pluriel des, il convient de prendre soin de ne pas adjoindre un -s final à Sablien au singulier, car c'est l'ensemble du gentilé qu'il faut considérer et non pas chacun de ses constituants individuellement.
Baie-du-FebvreMunicipalitéBaievillois, Baievilloise (2015*)
Commentaire : La municipalité de Baie-du-Febvre est issue du regroupement de 1983 des municipalité de Baieville, de Saint-Antoine-de-la-Baie-du-Febvre et de Saint-Joseph-de-la-Baie-du-Febvre.
Baie-D'UrféVilleBaie d'Urfeite (1984) (forme anglaise)
Commentaire : Comme «  D'Urfé  » est un patronyme, la particule doit s'écrire avec la majuscule.
Baie-JamesAncienne municipalitéJamésien, Jamésienne (1981*)
Variante (s) : Jamesien (1976).
La Municipalité de Baie-James a cessé d'exister le 1er janvier 2014. Une nouvelle autorité politique, le Gouvernement régional d'Eeyou Istchee Baie-James, l'a remplacée.
Commentaire : Lors de la création d'un journal devant desservir la population de la Baie-James, les responsables de la Société de développement de la Baie James ont lancé un concours qui a généré pas moins de 260 suggestions parmi lesquelles Le Jamésien a été retenu, parce que « Le Jamésien c'est aussi l'être neuf, entreprenant, volontaire; celui qui met tout son talent au service d'un coin de terre déshéritée, ... » (Françoise Gilbert).
Bibliographie : GILBERT, Françoise (1981), « Pourquoi le Jamésien? », dans Le Jamésien, Baie-James, vol. 1, no 1, avril, p. 2
Baie-Johan-BeetzMunicipalitéBaie-Johannais, Baie-Johannaise (2011*)
Baie-JolieSecteur (de la ville de Trois-Rivières)Baie-Jolien, Baie-Jolienne (1985)
Baie-Sainte-CatherineMunicipalitéBaie-Catherinois, Baie-Catherinoise (1986*)
Baie-Saint-PaulVilleBaie-Saint-Paulois, Baie-Saint-Pauloise (1978*)
Variante (s) : Saint-Paulien (époque inconnue); Saint-Paulois (1969).
Baie-Saint-PaulAncienne municipalité de paroisseMontagnorois, Montagnoroise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Baie-Saint-Paul n'existe plus depuis le 3 janvier 1996, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Baie-Saint-Paul. L'appellation « Baie-Saint-Paul » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie. En raison de l'importante présence de la montagne dans le paysage de la municipalité de la paroisse de Baie-Saint-Paul dont plus de 90% du territoire se situe en terrain montagneux, on a voulu signaler cet aspect majeur via le gentilé. Montagnois a été écarté en vertu de sa proximité lexicale avec Montagnais.
Baie-TrinitéMunicipalité de villageBaie-Trinitois, Baie-Trinitoise (1986*)
BaievilleAncienne municipalité de villageBaievillien, Baievillienne (1978)
Variante (s) : Baievillois.
Commentaire : Avec Saint-Antoine-de-la-Baie-du-Febvre et Saint-Joseph-de-la-Baie-du-Febvre, Baieville a contribué à former, il y a quelques années, la municipalité de Baie-du-Febvre. Par ailleurs, anciennement Baieville portait précisément le nom de Baie-du-Febvre. L'appellation « Baieville » (Municipalité de village) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Baleine, Grande rivière de la RivièreUapemekustukunnu (1980*) (forme innue); Waapimaakustuw-iiyuw (1994) (forme naskapie)
Variante (s) : Uapamekutunnu (1984) (forme innue).
Commentaire : Dans le journal du poste d'Eastmain tenu par Joseph Ibister, on retrouve, pour l'année 1740, l'appellation Wapameg-Us-Sohs, « White Wale River », qui, malgré les différences orthographiques, a pu inspirer ce gentilé. D'autre part, les Cris désignent ce cours d'eau comme Whapmagoostui. En naskapi, le gentilé est identique à celui qui identifie les résidents du village cri de Whapmagoostui.
BarfordVillage (de la ville de Coaticook)Barfordois, Barfordoise (1986*)
[BAR-FOEUR-DOI/DOIZ]
Commentaire : La municipalité du canton de Barford n'existe plus depuis le 30 décembre 1998, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Coaticook. Le nom « Barford » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
BarkmereVilleBark Laker (1983) (forme anglaise)
Commentaire : Le gentilé doit sans doute sa forme au fait que Barkmere est située sur le bord du lac des Écorces, dénommé Bark Lake en anglais, bark ayant pour sens « écorce ».
BarnstonVillage (de la ville de Coaticook)Barnstonnien, Barnstonnienne (1986*)
Commentaire : La municipalité du canton de Barnston n'existe plus depuis le 30 décembre 1998, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Coaticook. Le nom « Barnston » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
BarrauteMunicipalitéBarrautois, Barrautoise (1980*)
Commentaire : La municipalité de Barraute est issue du regroupement de la municipalité du village de Barraute et de la municipalité de Fiedmont-et-Barraute, le 5 janvier 1994. Une suggestion pour dénommer Nataganois les citoyens de Barraute a déjà été effectuée, en raison de l'ancien nom du village Natagan, mais n'a vraisemblablement jamais connu de suite concrète.
Bibliographie : BÉDARD, Jean-Jacques (1979), « Parlons de toponymie en Abitibi–Témiscamingue », dans L'Écho d'Amos, Amos, 14 novembre, p. 66.
BarrauteAncienne municipalité de villageVoir Barraute (Municipalité)
Bas-de-QuébecRégionBas-Québécois, Bas-Québécoise (1920)
Variante (s) : Bas-Kébecois (1935).
Commentaire : L'appellation « Bas-de-Québec » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Bas-du-FleuveRégionBas-du-Fleuvien, Bas-du-Fleuvienne (1972)
Variante (s) : Basdufleuvien.
Bas-SaguenayRégionBas-Saguenayen, Bas-Saguenayenne (1953)
Commentaire : L'appellation « Bas-Saguenay » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Bas-Saint-LaurentRégion administrativeBas-Laurentien, Bas-Laurentienne (1915)
Variante (s) : Baslaurentien; Bas St-Laurentien.
Basse-Côte-NordTerritoire équivalent à une MRCBas-Côtier, Bas-Côtière (1980)
Commentaire : Territoire qui couvre tout le littoral labradorien depuis la localité de Kegaska jusqu'à Blanc-Sablon. Ce gentilé module avec plus de précision Nord-Côtier qui coiffe la population de toute la région de la Côte-Nord.
Basse-VilleSecteur (de la ville de Québec)Basse-Vilain, Basse-Vilaine (1935)
Commentaire : Peut-être se profile-t-il derrière cette dénomination une intention flétrissante que Basse-Villois ou Basse-Villien écarterait? Par ailleurs, la présence d'un l unique paraît révélatrice à cet égard. Cette dénomination se situe à la frontière du gentilé et du blason populaire.
Bibliographie : MASSÉ, Oscar. « À vau-le-nordet. Montréal » : Librairie Beauchemin, 1935. 196 p.
BassinVillage (de la municipalité des Îles-de-la-Madeleine)Bassinier, Bassinière (1920)
Commentaire : Il semblerait qu'un bateau ait également porté le nom de Le Bassinier à une certaine époque.
BatiscanMunicipalitéBatiscanais, Batiscanaise (1969*)
Variante (s) : Batiscannais (1933).
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-François-Xavier-de-Batiscan est devenue la municipalité de Batiscan en 1986.
BeaconsfieldVilleBeaconsfielder (1984) (forme anglaise)
Variante (s) : B'fielder.
Commentaire : La langue anglaise demeure parsemée de formes abréviatives relatives à certains noms de lieux comme NDG (Notre-Dame-de-Grâce), TMR (Town of Mount Royal), DDO (Dollard-des-Ormeaux), CSL (Côte-Saint-Luc), etc.
BéarnMunicipalitéBéarnais, Béarnaise (1980*)
Variante (s) : Béarnois.
Commentaire : Gentilé identique à celui des habitants de la région du Béarn, en France.
BeauceRégionBeauceron, Beauceronne (1897)
Variante (s) : Beauçois (date indéterminée).
Commentaire : La Beauce française a suscité le gentilé Beauceron, sans aucun doute transplanté en terre québécoise lors du transfert dénominatif, mais relevé tardivement dans les sources écrites.
Beauce-SartiganMRCBeauceron, Beauceronne (1986*)
Bibliographie : ROY, Michel (1986), « Beauceron point à la ligne », dans L'Éclaireur-Progrès, Sainte-Marie, 5 mars, p. A6.
Beauce-Sud, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeBeauceron du Sud, Beauceronne du Sud (1993)
BeaucevilleVilleBeaucevillois, Beaucevilloise (1978*)
BeaudrySecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Beaudryen, Beaudryenne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Beaudry n'existe plus depuis le 9 février 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. Le nom « Beaudry » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
BeauharnoisVilleBeauharlinois, Beauharlinoise (2014*, 1978)
Variante (s) : Beauharnaisien (1976); Béharnais.
Commentaire : Il demeure possible que la présence du -li- intercalaire vise à éviter la non-distinction, au masculin, entre le gentilé et le nom de la ville.
BeaulacAncienne municipalité de villageBeaulacquois, Beaulacquoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Beaulac n'existe plus depuis le 15 mars 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Beaulac-Garthby. L'appellation « Beaulac » (Municipalité de village) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Bibliographie : R(OYER), M(ario) (1986), « Les Beaulacquois inscrits au répertoire des gentilés », dans Courrier Frontenac, Thetford Mines, 10 février, p. B9.
Beaulac-GarthbyMunicipalitéBeaugarthois, Beaugarthoise (2004*)
BeaumontMunicipalitéBeaumontois, Beaumontoise (1898)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Étienne-de-Beaumont est devenue la municipalité de Beaumont, le 31 janvier 1998.
BeauportArrondissement (de la ville de Québec)Beauportois, Beauportoise (1934)
Commentaire : La ville de Beauport n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Québec. Le nom « Beauport » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville.
BeaupréVilleBeaupréen, Beaupréenne (vers 1880*)
Beauval, LacLacBeauvallois, Beauvalloise (1921)
Commentaire : Même s'il s'agit d'un lac, le gentilé s'applique aux gens installés de façon temporaire sur ses rives.
Beaux-RivagesSecteur (de la municipalité de Lac-des-Écorces)Beaux-Rivageois, Beaux-Rivageoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Beaux-Rivages n'existe plus depuis le 10 octobre 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Lac-des-Écorces. Le nom « Beaux-Rivages » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
BécancourVilleBécancourois, Bécancouroise (1984*)
Variante (s) : Bécancourais; Bécancourien (1977).
Commentaire : On a même avancé la dénomination Bécancoureur, laquelle véhicule un certain relent sportif!
Bibliographie : ANONYME (1984), « Les Bécancoureurs », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 6 octobre, p. 24. LEVASSEUR, Roger (1986) « Affaires municipales. Bécancour », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 17 mai, p. 44.
BedfordVilleBedfordois, Bedfordoise (1984*); Bedfordite (forme anglaise)
BéginMunicipalitéBéginois, Béginoise (1978*)
Bégin, RueRue (de la ville de Longueuil)Béginois, Béginoise (1987)
BélairSecteur (de la ville de Québec)Bélairien, Bélairienne (1974)
BelcourtMunicipalitéBelcourtois, Belcourtoise (1986*)
Belle-AnseHameau (de la ville de Percé)Belle-Ansois, Belle-Ansoise (1957)
Bellechasse, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeBeauchasseur, Bellechasseresse (1975)
Variante (s) : Belchassan (1969).
Commentaire : Deux seules occurrences du gentilé Beauchasseur ont été relevées à ce jour, ce qui manifeste son peu d'implantation dans l'usage. Peut-être que le rapprochement avec le sens général a joué un rôle non négligeable sous cet angle. Le recours à des dénominations plus classiques comme Bellechassois ou Bellechassien pourrait possiblement pallier ce manque d'enthousiasme.
BellechasseMRCBellechassois, Bellechassoise (1986)
Bibliographie : LEDUC, Gilbert (1986), « C'est la fin du chacun pour soi  », dans Le Soleil, Québec, 27 octobre, p. B-1.
BellechasseRégionBellechassois, Bellechassoise (1990)
Commentaire : L'appellation « Bellechasse » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
BellecombeSecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Bellecombien, Bellecombienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Bellecombe n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. Le nom « Bellecombe » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
BellefeuilleSecteur (de la ville de Saint-Jérôme)Bellefeuillois, Bellefeuilloise (1983*)
Commentaire : La ville de Bellefeuille n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Jérôme. Le nom « Bellefeuille » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
BelleriveSecteur résidentiel (de la ville de Salaberry-de-Valleyfield)Batochien, Batochienne (fin XIXe s.)
Commentaire : Jadis, près de la gare de Bellerive, un petit village s'était formé et avait pris le nom de Batoche en rappel du siège de la révolte des Métis au Manitoba. Cette dénomination céda la place à celle de Bellerive en 1899.
BelleterreVilleBelleterrien, Belleterrienne (1980*)
Variante (s) : Belleterrois.
BelmontRégionBelmontois, Belmontoise (1976)
Commentaire : Nom de lieu formé à partir de Bellechasse et de Montmagny; découpage de nature administrative créé à des fins de structuration récréative. La côte de Belmont désigne la façade littorale des circonscriptions électorales de Bellechasse et de Montmagny-L'Islet. Voir Jal (Région). L'appelation « Belmont » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
BelœilVilleBelœillois, Belœilloise (1972)
BergeronnesMunicipalité de cantonVoir Les Bergeronnes (Municipalité)
Bernard, RueRue (de la ville de Montréal)Bernardin, Bernardine (1993)
BernièresSecteur (de la ville de Lévis)Berniérois, Berniéroise (1984*)
Commentaire : La ville de Bernières n'existe plus depuis le 21 septembre 1994, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Lévis. Le nom « Bernières » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
BerniervilleAncienne municipalité de villageBerniervillois, Berniervilloise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Bernierville n'existe plus depuis le 29 novembre 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Saint-Ferdinand. L'appellation « Bernierville » (Municipalité de village) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
BerryMunicipalitéBerryen, Berryenne (1986*)
Berthier, Circonsciption électorale deCirconscription électorale provincialeBerthelais, Berthelaise (1984)
Variante (s) : Berthelois (1981).
BerthierVillage (de la ville de Berthierville)Berthelais, Berthelaise (1972)
Variante (s) : Berthelet; Berthelois; Berthiérain (1917).
Commentaire : Nous n'avons pu retracer le motif de dérivation de ce gentilé, cependant d'usage courant. Un journal, Le Berthelais, a paru localement de 1938 à 1967 et une troupe de théâtre des années 80 a pour nom Le Berthelineault. Voir Berthier-sur-Mer et Berthierville. L'appellation « Berthier » (Village) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Berthier-sur-MerMunicipalité Berthelais, Berthelaise (1999*)
Commentaire : Le gentilé Berthelet, Berthelette avait d'abord été retenu par les autorités municipales en 1986.
BerthiervilleVilleBerthelais, Berthelaise (1931)
Variante (s) : Berthelet; Berthevillois; Berthiervillois; Berthois.
Commentaire : En raison de la présence du suffixe -ville, la forme Berthiervillois paraîtrait plus « naturelle » ou prévisible. Une revue intitulée La Vie Berthelaise a paru du début des années 1960.
BéthanieMunicipalitéBéthanien, Béthanienne (1986*)
BetsiamitesRéserve indienneVoir Pessamit (Réserve indienne)
BiencourtMunicipalitéBiencourtois, Biencourtoise (1976*)
BishoptonSecteur (de la municipalité de Dudswell)Bishoptonnien, Bishoptonnienne (1985*);
[BI-CHOP-TO-NYIN/NYENNE]
Variante (s) : Bishoptoner (1985*) (forme anglaise)
Commentaire : La municipalité du village de Bishopton n'existe plus depuis le 11 octobre 1995, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Dudswell. Le nom « Bishopton » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Black LakeSecteur (de la ville de Thetford Mines)Black-Lakien, Black-Lakienne (1986*)
[BLAK-LÉ-KYIN/KYENNE]
Commentaire : La ville de Black Lake n'existe plus depuis le 17 octobre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Thetford Mines. Le nom « Black Lake » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Blainville, Seigneurie deSeigneurieBlainvillier, Blainvillière (1779)
Commentaire : Cette appellation figure à deux reprises dans la correspondance de monseigneur Jean-Olivier Briand (1715-1794), conservée aux Archives de l'Archevêché de Québec.
BlainvilleVilleBlainvillois, Blainvilloise (1975*)
Bibliographie : ANONYME (1986), « Gentilé: Blainvillois », dans Courrier de Groulx, Laval-des-Rapides, 9 mars.
Blanc-SablonMunicipalitéBlanc-Sablonnais, Blanc-Sablonnaise (1970)
Variante (s) : Blancsablonnais (1968); Blanc-Sablonnien.
Blue SeaMunicipalitéBlueseabien, Blueseabienne (1984*)
[BLOU-SI-BYIN/BYENNE]
BoileauMunicipalitéBoilois, Boiloise (2019*)
BoisbriandVilleBoisbriannais, Boisbriannaise (1980*)
Commentaire : Le dérivé tient davantage compte de la prononciation du nom de la ville que de son orthographe.
BoischatelMunicipalitéBoischatelois, Boischateloise (1984*)
Commentaire : La municipalité du village de Saint-Jean-de-Boischatel est devenue la municipalité de Boischatel, le 23 novembre 1991.
Bois-des-FilionVilleFilionois, Filionoise (1987*)
Variante (s) : Bois-des-Filionais (1983); Bois-des-Filionnais (1986); Boisdesfillionnais (1986); Filionnais (1984); Filionnois (1990).
Commentaire : La forme Bois-des-Filionais, Bois-des-Filionaise, attestée en 1983, n'a pas reçu l'assentiment des autorités municipales en raison de sa non-implantation dans l'usage et de sa consonance particulière. On lui a préféré Filionois, Filionoise, utilisée couramment depuis 1987. 
Bibliographie : ANONYME (1986), « Gentilé », dans Courrier de Groulx, Laval, 23 février.
Bois-FrancMunicipalitéBois-Francien, Bois-Francienne (2015*)
Bois-FrancsRégionSylvifranc, Sylvifranche (1969)
Variante (s) : Bois-Francien; Bois-François, Francsilvain; Francsylvain; Silvifranc.
Commentaire : Compte tenu des difficultés que suscite la dérivation d'un nom de lieu de cette nature, on a opté pour la forme latine du vocable « bois », silva, qui signifie également « forêt », à laquelle on a adjoint la voyelle de passage. La variante Francsilvain sonne agréablement à l'oreille et s'inscrit dans la foulée des gentilés tirés de permutations comme Louperivois (Rivière-du-Loup), Magnymontois (Montmagny), Montvalois (Val-des-Monts), etc. L'appellation « Bois-Francs » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Bibliographie : DUGAS, Jean-Yves (1985), « Les citoyens des Bois-Francs : des Francsilvains? », dans Aux sources des Bois-Francs, Victoriaville, vol. 3 no 3, mars, p. 89-90.
Bolton-EstMunicipalitéBoltonnois, Boltonnoise (2008*) East Boltoner (1986*) (forme anglaise)
Bolton-OuestMunicipalitéWest Boltonite (1989) (forme anglaise)
Commentaire : Gentilé formé à partir de la version anglaise du nom municipal, West Bolton.
Bonaventure, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeBonaventurien, Bonaventurienne (1970)
BonaventureVilleBonaventurien, Bonaventurienne (1861)
BonsecoursMunicipalitéBonsecourois, Bonsecouroise (2007*)
BoucherMunicipalitéVoir Trois-Rives (Municipalité)
Commentaire : En 1986, la municipalité de Boucher avait adopté le gentilé Boucherois. En 1998, la municipalité de Boucher est devenue la municipalité de Trois-Rives.
BouchervilleVille Bouchervillois, Bouchervilloise (1891)
[BOU-CHER-VI-LOI/LOIZ]
BouchetteMunicipalitéBouchettois, Bouchettoise (1986*)
Bibliographie : M(ILLAR), C(harles) (1986), « Les gens de Bouchette sont maintenant des Bouchettois », dans La Gazette, Maniwaki, 10 mars, p. 5.
BourgetVillageBourgetain, Bourgetaine (1978)
Commentaire : L'appellation « Bourget » (Village) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
BourlamaqueSecteur (de la ville de Val-d'Or)Bourlamaquais, Bourlamaquaise (1938)
Bout-de-l'ÎleLieu-dit (de la ville de Montréal)Bout-de-l'Îlien, Bout-de-l'Îlienne (1980)
BowmanMunicipalitéBowmanois, Bowmanoise (1986*)
BrandonCantonBrandonnien, Brandonnienne (1994)
BrébeufMunicipalitéBrégeois, Brégeoise (1986*)
Commentaire : Gentilé qui provient de l'emboîtement de [Bré]beuf et de Rivière Rou[ge], laquelle coule au centre du village, auxquels le suffixe -ois a été adjoint. Cette appellation a été fixée suite à un concours lancé au sein de la population locale.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Le nouveau nom des résidents du village de Brébeuf sera : Brégeois! », dans L'Information du Nord, Saint-Jovite, 12 mai.
BrébeufLieu-dit (de la municipalité de Nouvelle)Brébeufien, Brébeufienne (1977)
Commentaire : Le village de Brébeuf, établi sur le territoire de la municipalité de Nouvelle, dans la région gaspésienne, en 1930, a été fermé en 1971.
BrighamMunicipalitéBrighamois, Brighamoise (1988*)
BrionCampementBrionnais, Brionnaise (1979)
Commentaire : Campement temporaire regroupant 135 hommes et 5 femmes, situé dans le secteur du chantier de Caniapiscau de 1977 à 1980 et qui a été démantelé par la suite. L'appellation « Brion » (Campement) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
BristolMunicipalitéBristolois, Bristoloise (2015*); Bristolian (2015*) (en anglais)
Brome-MissisquoiMRCBromisquois, Bromisquoise (1986*)
Commentaire : Formation-gigogne qui consiste à télescoper deux constituants du toponyme souche pour obtenir le gentilé.
BromontVilleBromontois, Bromontoise (1972*)
Brompton GoreAncienne municipalitéGorois, Goroise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Brompton Gore n'existe plus depuis le 15 février 1995, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Racine. L'appellation « Brompton Gore » (Municipalité) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
BromptonvilleAncienne villeBromptonvillois, Bromptonvilloise (1978*)
Commentaire : La ville de Bromptonville n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sherbrooke. L'appellation « Bromptonville » (Ville) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
BrossardVilleBrossardois, Brossardoise (1982*)
Variante (s) : Brossardien (1967)
Bibliographie : ANONYME (1986), « Le gentillé (sic) de Brossard », dans Brossard-Éclair, Brossard, 24 février.
BroughtonCantonBroughtonnien, Broughtonnienne (1941)
BrownsburgAncienne municipalité de villageBrownsbourgeois, Brownsbourgeoise (1983*); Brownsburger (1983) (forme anglaise)
Variante (s) : Brownsburgeois (1978).
Commentaire : La municipalité du village de Brownsburg n'existe plus depuis le 6 octobre 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Brownsburg-Chatham. L'appellation « Brownsburg » (Municipalité de village) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie. On assiste à la francisation du constituant -burg en -bourg.
BruchésiSecteur (de de la ville de Sainte-Anne-des-Plaines)Bruchésien, Bruchésienne (1985)
Commentaire : Un journal qui dessert le secteur Bruchési porte le nom de Le Bruchésien. L'appellation « Bruchési » (Secteur) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
BrunetVillage (de la ville de Mont-Laurier)Brunetois, Brunetoise (1987)
BuckinghamSecteur (de la ville de Gatineau)Buckinois, Buckinoise (1980); Buckinghamer (1981) (forme anglaise)
Variante (s) : Buckinghamois.
Commentaire : La ville de Buckingham n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Gatineau. Le nom « Buckingham » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Le processus moderne qui consiste à abréger le plus possible les appellations trouve ici son expression achevée, car la forme Buckinois a été relevée plus de trente fois en ce qui concerne les occurrences identifiées.
BuryMunicipalitéBuryen, Buryenne (1979*)
[BU-RYIN/RYENNE]
CabanoSecteur (de la ville de Témiscouata-sur-le-Lac)Cabanois, Cabanoise (1978*)
Commentaire : La ville de Cabano n'existe plus depuis le 5 mai 2010, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Témiscouata-sur-le-Lac. Le nom « Cabano » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
CacounaMunicipalitéCacounois, Cacounoise (2006)
Variante (s) : Cacounais; Cacounaise (1872); Cacounachon (1912); Cacouniais (1870); Cacounien; Cacounois.
Commentaire : Les variantes Cacounachon et Cacouniais véhiculent une connotation humoristique, voire gouailleuse. Cacounois constitue la forme alternative la plus usitée.La municipalité de Cacouna est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-Georges-de-Cacouna et de la municipalité du village de Saint-Georges-de-Cacouna, le 22 mars 2006. Le gentilé Cacounais était celui du village de Cacouna depuis 1872, Cacounois, celui de la municipalité du village de Saint-Georges-de-Cacouna depuis 1978 et Cacounien, celui de la municipalité de la paroisse de Saint-Georges-de-Cacouna depuis 1986.
Bibliographie : LEBEL, Réal (1975), Au pays du porc-épic. Kakouna 1673-1975, Cacouna, Comité des fêtes de Cacouna, 296 p.
CadillacSecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Cadillacois, Cadillacoise (1978*)
[KA-DI-LA-KOI/KOIZ]
Commentaire : La ville de Cadillac n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. Le nom « Cadillac » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Calixa-LavalléeMunicipalitéCalixois, Calixoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Calixa-Lavallée est devenue la municipalité de Calixa-Lavallée, le 6 décembre 2014.
CalumetArrondissement (de la municipalité de Grenville-sur-la-Rouge)Calumetois, Calumetoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Calumet n'existe plus depuis le 24 avril 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Grenville-sur-la-Rouge. Le nom « Calumet » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette municipalité.
Bibliographie : EDGERTON, Jeannine (1986), « Argenteuil-Ouest. Calumetois, Calumetoises », dans L'Argenteuil, Lachute, 8 avril, p. A-12.
Campanile, Rue duRue (de la ville de Québec)Campanilois, Campaniloise (1986)
CandiacVilleCandiacois, Candiacoise (1982)
CaniapiscauMRCCaniapiscain, Caniapiscaine (1986*)
CaniapiscauLieu-ditCaniapiscain, Caniapiscaine (1980)
Variante (s) : Caniapiscois.
CantleyMunicipalitéCantléen, Cantléenne (1987); Cantleyite (1986) (forme anglaise)
Variante (s) : Cantelois (1987); Cantleyen (1987).
Bibliographie : ANONYME (1987a), « Ca se passe chez nous. Cantelois et Cantléens », dans Le Droit, Ottawa, 19 mars, p. 17. ANONYME (1987b), « On dit bien cantléen », dans La Revue de Gatineau, Gatineau, 7 avril, p. 23.
Cantons-de-l'EstRégionCantonnier, Cantonnière (1960); Townshipper (1980) (forme anglaise)
Variante (s) : Cantonnier-de-l'Est.
Commentaire : Les Cantons-de-l'Est constituent une région dont les limites géographiques excèdent historiquement celles de l'Estrie. Quoique peu répandu, le gentilé Cantonnier peut être relevé sporadiquement. Quant à l'équivalent anglais Townshipper, il provient de la forme originelle de Cantons-de-l'Est, soit Eastern Townships, le canton coiffant un type de structuration de l'espace mis en place aussi tôt que 1792. L'appellation « Cantons-de-l'Est » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Canton-TremblaySecteur (de la ville de Saguenay)Trembléen, Trembléenne (1986*)
Commentaire : Le nom « Canton-Tremblay » identifie un secteur de la ville de Saguenay. Celui-ci correspond à une partie du territoire de l'ancienne municipalité du canton de Tremblay, à la suite de son regroupement avec la ville de Saguenay et la municipalité de Saint-Honoré, le 18 février 2002.
Cap-à-l'AigleVillage (de la ville de La Malbaie)Aiglon, Aiglonne (1985)
Commentaire : La municipalité du village de Cap-à-l'Aigle n'existe plus depuis le 1er décembre 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de La Malbaie. Le nom « Cap-à-l'Aigle » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité. La proximité homonymique entre ce gentilé et le terme qui désigne le petit de l'aigle risque de susciter des jeux verbaux.
Cap-aux-MeulesVillage (de la municipalité des Îles-de-la-Madeleine)Cap-aux-Meulois, Cap-aux-Meuloise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Cap-aux-Meules n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité des Îles-de-la-Madeleine. Le nom « Cap-aux-Meules » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
Cap-aux-OsHameauCapossien, Capossienne (2012)
Cap-ChatVilleCap-Chatien, Cap-Chatienne (1975)
Variante (s) : Capechatien (1969).
Cap-de-la-MadeleineSecteur (de la ville de Trois-Rivières)Madelinois, Madelinoise (1970)
Variante (s) : Capéen; Capétien; Capien; Capon (1930); Cappon; Carpon; Madelinien (1937).
Commentaire : La ville de Cap-de-la-Madeleine n'existe plus depuis 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Trois-Rivières. Le nom « Cap-de-la-Madeleine » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. La réduction du graphème [ei] à [i] obéit sans doute à des considérations de prononciation. Ne pas confondre le gentilé des citoyens de Cap-de-la-Madeleine avec celui des habitants des îles de la Madeleine, Madelinot, Madelinienne.
Bibliographie : HAMELIN, Louis-Edmond (1983) « Chronologie des toponymes métropolitains en basse Mauricie », dans En Vrac, Trois-Rivières, no 17, p. 37-52.
Cap-des-RosiersVillage (de la ville de Gaspé)Capien, Capienne (1980)
Commentaire : Le gentilé ne se révèle pas très particularisant, étant donné que tous les toponymes relatifs à des lieux habités qui comportent le constituant cap pourraient susciter une appellation identique. Le phénomène doit être rapproché de celui qui consiste à identifier comme insulaires, riverains ou communards les gens qui habitent un endroit dont le nom comprend les constituants respectifs île, rive ou commune.
CaplanMunicipalitéCaplinot (1980*), Caplinoise (2014*)
Variante (s) : Capinaud; Capinot; Caplinois.
Commentaire : La substitution du i au second a du toponyme vise probablement une meilleure qualité euphonique du gentilé.
Cap-RougeSecteur (de la ville de Québec)Carougeois, Carougeoise (1974*)
Variante (s) : Cap-Rougien.
Commentaire : La ville de Cap-Rouge n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Québec. Le nom « Cap-Rouge » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Le gentilé a été formé sur une ancienne graphie Carouge que l'on retrouve, entres autres, dans un acte de baptême du 12 février 1673, dans un acte de mariage de 1680 et dans le Quebec Directory and Stranger's Guide to the City and Environs d'Alfred Hawkins, publié en 1844. En outre, sur une carte de 1709, dressée par Jean-Baptiste Decouagne, on relève « R.(ivière) du Cas Rouge », cette indication nous ayant été aimablement fournie par notre collègue Jean Poirier. Quant à l'origine de la disparition du p, on se perd en conjectures, bien qu'il puisse paraître plausible qu'elle provienne d'une prononciation particulière ancienne du toponyme. Rien ne permet de croire à un quelconque lien avec l'oiseau dénommé carouge. Le nom de lieu Carouge se retrouve, par contre, comme nom de faubourg en Suisse et a été attribué à quelques lieux-dits de France.
Cap-Saint-IgnaceMunicipalitéCapignacien, Capignacienne (1986*)
Cap-SantéVilleCapsantéen, Capsantéenne (1979*)
Variante (s) : Cap-Santéen.
CarignanVilleCarignanois, Carignanoise (1985*)
Variante (s) : Carignannois.
CarillonVillage (de la municipalité de Saint-André-d'Argenteuil)Carillonnais, Carillonnaise (1985*)
Commentaire : La municipalité du village de Carillon n'existe plus depuis le 29 décembre 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Saint-André-d'Argenteuil. Le nom « Carillon » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
Carleton-sur-MerVilleCarletonnais, Carletonnaise (1979*)
Commentaire : En 2000, la ville de Carleton et la municipalité de la paroisse de Saint-Omer se regroupaient pour constituer la nouvelle ville de Carleton–Saint-Omer. En 2005, la nouvelle ville prit le nom de Carleton-sur-Mer.
Cascapédia–Saint-JulesMunicipalitéCascapédiac, Cascapédiaque (1866)
Commentaire : Les municipalités de Grande-Cascapédia et de Saint-Jules se sont regroupées pour former la municipalité de Cascapédia, le 2 juin 1999. Celle-ci est devenue la municipalité de Cascapédia–Saint-Jules le 26 juin 2000.
CausapscalVilleCausapscalien, Causapscalienne (1928*)
Bibliographie : THIBEAULT, Louise B. (1986), « Causapscal : affaires municipales. Toponymie », dans L'Avant-Poste Gaspésien, Amqui, 26 février, p. 14.
CayamantMunicipalitéCayamantois, Cayamantoise (2010*)
Centre-du-QuébecRégion administrativeCentricois, Centricoise (1999)
Commentaire : C'est à la suite d'un concours populaire tenu en 1999 dans la région, par la Société Saint-Jean-Baptiste du Centre-du-Québec, que ce gentilé a été reconnu.
ChamblyVilleChamblyen, Chamblyenne (début du XXe s.*)
Variante (s) : Chamblien (1985); Chamblisard (1982); Chamblyien (1895); Chamblysard (1978); Chamblysien (1985).
Bibliographie : AUCLAIRE, Armand (1980), « Chamblysards, Chamblysois, Chamblysiens ou Chamblyiens? », dans le Journal de Chambly, Chambly, 11 mars, p. 4. DUGAS, Jean-Yves (1985), « Pourquoi pas Chamblien, Chamblienne? », dans Le Journal de Chambly, Chambly, 13 août, p. 4.
ChambordMunicipalitéChambordais, Chambordaise (1957*)
ChamplainMunicipalitéChamplainois, Champlainoise (1933*)
Variante (s) : Champlainien; Champlainin; Champlenois (1915).
Commentaire : À l'occasion du tricentenaire de la municipalité en 1979, un organisme dénommé « Le Comité Trichamplainois » a été mis sur pied.
ChampneufMunicipalitéChampneufois, Champneufoise (2010*)
ChandlerVilleChandlerois, Chandleroise (1986*)
ChapaisVilleChapaisien, Chapaisienne (1975*)
CharetteMunicipalitéCharettois, Charettoise (1986*)
Bibliographie : ANONYME (1986), « Échos municipaux. Charette », dans L'Écho de Louiseville, Louiseville, 19 février, p. 14.
CharlemagneVilleCharlemagnois, Charlemagnoise (1983*)
Variante (s) : Charlemagnais; Charlemenois.
Bibliographie : VAILLANCOURT, Alain (1986), « Muni-chroniques. Charlemagnois et Charlemagnoises », dans L'Avenir de l'Est, Montréal, 11 mars, p. 10.
CharlesbourgArrondissement (de la ville de Québec)Charlesbourgeois, Charlesbourgeoise (1876*)
Commentaire : La ville de Charlesbourg n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Québec. Le nom « Charlesbourg » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville.
CharlevoixRégionCharlevoisien, Charlevoisienne (1876)
Variante (s) : Carlovisien; Carolivicien; Carolivocien; Carolovicien.
Commentaire : Toutes les variantes entretiennent un certain lien avec l'équivalent latin de Charles, Carolus, parfois réduit, comme en ancien français, à Carle.
Charlevoix-EstMRCCharlevoisien-de-l'Est, Charlevoisienne-de-l'Est (1986*)
CharnySecteur (de la ville de Lévis)Charnycois, Charnycoise (1984*)
[CHAR-NI-KOI/KOIZ]
Variante (s) : Charnicois; Charnien (1928).
Commentaire : La ville de Charny n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Lévis. Le nom « Charny » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Bien que la forme ancienne Charnien ait été relativement en usage, celle-ci entretient une proximité gênante avec le terme charnier, d'où le désir de certains citoyens de procéder à son remplacement par Charnycois. Ce gentilé identifie déjà les citoyens français d'une ville homonyme de l'Yonne et est tiré morphologiquement de la forme latine du toponyme Charny, soit Carniacum, Carnacium ou Carnacum, avec conservation de l'y de la forme actuelle du nom de la ville. Le passage de K (noté C) à CH devant A demeure tout à fait classique en phonétique historique. À l'été de 1986, les autorités municipales locales ont institué la Fête des Charnycois, fête populaire établie sur une base annuelle.
ChartiervilleMunicipalitéChartiervillois, Chartiervilloise (1986*)
ChâteauguayRégionChâteauguois, Châteauguoise (1983)
Commentaire : L'appellation « Châteauguay » (Région), n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
ChâteauguayVilleChâteauguois, Châteauguoise (1979*)
Variante (s) : Châteauguayen; Châtelois.
Bibliographie : SYLVESTRE, Roger (1984), Aperçu historique sur Châteauguay, Châteauguay, Centre culturel Vanier, 17p.
Château-RicherVilleChâteau-Richérois, Château-Richéroise (1993*)
Bibliographie : TIRMAN, Jean-Louis (1983), « Qui sommes-nous? », dans Le Parchemin, vol. 5, no 8, Château-Richer, juin, s. p. TIRMAN, Jean-Louis (1984), « Qui serons-nous? », dans Le Parchemin, vol. 6, no 4, Château-Richer, janvier-février, s.p.
ChazelMunicipalitéChazelois, Chazeloise (1980*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Janvier est devenue la municipalité de Chazel, le 9 février 1991.
ChénévilleMunicipalitéChénévillois, Chénévilloise (1981*)
ChertseyMunicipalitéChertsois, Chertsoise (2000*)
Commentaire : La municipalité de Chertsey est issue du regroupement de la municipalité du canton de Chertsey et de la municipalité de la paroisse de Lac-Paré, le 13 novembre 1991. 
Chester-EstMunicipalité de cantonVoir Sainte-Hélène-de-Chester (Municipalité)
ChestervilleMunicipalitéChestervillois, Chestervilloise (1986*)
ChibougamauVilleChibougamois, Chibougamoise (1974*)
Variante (s) : Chibougamauite (1956).
Chibougamau-ChapaisRégionChibougamo-Chapien, Chibougamo-Chapienne (1982)
Commentaire : La terminaison -o provient de composés savants comme néo-latin, pseudo-prophète, etc. où celle-ci est normale. En français moderne, on a attribué cette même terminaison à des vocables comme anglo-canadien, russo-japonais, helveto-allemand,... L'appellation « Chibougamau-Chapais » n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
ChicoutimiArrondissement (de la ville de Saguenay)Chicoutimien, Chicoutimienne (1709*)
Variante (s) : Chekoutimien (1744); Chékoutimien (1913); Chicoutimeux (1894); Chicoutimiaux (1894); Chicoutiminois (1896); Chicoutimois (1894).
Commentaire : La ville de Chicoutimi n'existe plus depuis le 18 février 2002, par suite d'un regroupement municipal. son territoire fait maintenant partie de la ville de Saguenay. Le nom « Chicoutimi » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville. Le gentilé le plus ancien fait référence à un groupe amérindien. La question de la dénomination des citoyens de Chicoutimi a provoqué d'orageux débats, surtout à la fin du XIXe s.
Bibliographie : RUTHBAN, Denis [pseudonyme d'Adjutor Rivard], (1894), « Chicoutimois vs Chicoutimien » dans Alma Mater, Chicoutimi, vol. 11, no 21, 29 décembre, p. 84-85. TREMBLAY, Victor (1943), « Chicoutimien » dans Bulletin des recherches historiques, Lévis, no 49, p. 172-175.
ChisasibiVillage cri et Municipalité de village criChisasibien, Chisasibienne (1981)
[CHI-SA-SI-BYIN/BYENNE]
Variante (s) : Chisaasiipiyiyuw (1989) (forme naskapie)
Commentaire : L'ancien nom des lieux, Réserve de Fort George, a donné naissance au gentilé qui a pour sens : « un indien de Fort George ». Le redoublement du a et du i reflète la longueur de la voyelle. Le cri iyiyou, « Indien » a pour pluriel iyiyouch et pour variantes eyinew, eenouch, alors qu'en naskapi, iiyuw signifie : « un autochtone, une personne indienne ».
Chute-aux-OutardesMunicipalité de villageOutardois, Outardoise (1986*)
Chute-Saint-PhilippeMunicipalitéPhilichutois, Philichutoise (2022*)
ClarencevilleMunicipalitéClarencevillois, Clarencevilloise (1986*)
ClarendonMunicipalité Clarendonian (1980) (forme anglaise)
CléricySecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Clériçois, Clériçoise (1981)
Commentaire : La municipalité de Saint-Joseph-de-Cléricy est devenue la municipalité de Cléricy, le 11 juillet 1998. Celle-ci n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. Le nom « Cléricy » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
ClermontMunicipalité de canton (MRC d'Abitib-Ouest)Clermontain, Clermontaine (1986*)
ClermontVille (MRC de Charlevoix-Est)Clermontois, Clermontoise (1980*)
Variante (s) : Clermontain (1978); Clermontais.
Commentaire : Monseigneur Félix-Antoine Savard a composé un conte-souvenir dédié aux gens de Clermont exclusivement et intitulé « Conte pour les Clermontois » (ANONYME (1981), Livret-souvenir de nos fêtes du 50e, Clermont 1931-1981, Clermont, p. 35-39).
ClervalMunicipalitéClervalois, Clervaloise (1986*)
ClevelandMunicipalité de cantonClevelandais, Clevelandaise (2016*)
CliftonCantonCliftonnois, Cliftonnoise (1994)
CloridormeMunicipalité de cantonCloridormien, Cloridormienne (1986*)
CloutierSecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Cloutellois, Cloutelloise (2010*)
CoaticookMRCCoaticookois, Coaticookoise (1986*)
CoaticookVilleCoaticookois, Coaticookoise (1976*)
ColombierMunicipalitéColombien, Colombienne (1986*)
Variante (s) : Colombiérois.
ColombourgSecteur (de la ville de Macamic)Colombourgeois, Colombourgeoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Colombourg n'existe plus depuis le 6 mars 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire faitmaintenant partie de la ville de Macamic. Le nom « Colombourg » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
ComptonMunicipalitéComptonois, Comptonoise (1986*); Comptonnian (1983) (forme anglaise)
Variante (s) : Comptonien (1981); Comptonnois (1986*).
Commentaire : La municipalité de Compton est issue du regroupement de la municipalité du village de Compton et la municipalité du canton de Compton, le 22 juin 1994, ainsi que de la municipalité de Compton Station, le 8 décembre 1999. Le gentilé Comptonois avait été adopté par la municipalité du canton de Compton en 1986. Dans ce cas, le redoublement de la consonne n semble facultatif, car on observe le recours à l'une ou l'autre formes dans des recueils de gentilés de France.
Compton StationMunicipalitéVoir Compton (Municipalité)
ComptonMunicipalité de villageVoir Compton (Municipalité)
ComptonMunicipalité de cantonVoir Compton (Municipalité)
ContrecœurVilleContrecœurois, Contrecœuroise (1978)
CookshireSecteur (de la ville de Cookshire-Eaton)Cookshirois, Cookshiroise (1986*)
Commentaire : La ville de Cookshire n'existe plus depuis le 24 juillet 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Cookshire-Eaton. Le nom « Cookshire » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Coteau-du-LacVilleCoteaulacois, Coteaulacoise (1994*)
Commentaire : La municipalité de Coteau-du-Lac est devenue la ville de Coteau-du-Lac, le 13 octobre 2007.
Coteau-LandingSecteur (de la municipalité des Coteaux)Coteau-Landais, Coteau-Landaise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Coteau-Landing et celle du village de Coteau-Station se sont regroupées pour former la municipalité des Coteaux le 18 mai 1994. Le nom « Coteau-Landing » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Coteau-StationSecteur (de la municipalité des Coteaux)Stationnois, Stationnoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Coteau-Station n'existe plus depuis le 18 mai 1994, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité des Coteaux. Le nom « Coteau-Station » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Côte-des-NeigesQuartier (de la ville de Montréal)Côte-des-Neigien, Côte-des-Neigienne (1986)
Variante (s) : Côtedeneigien (1954); Côte-des-Neigeois; Neige-Côtier.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Un gentilé pour CDN », dans Côte-des-Neiges, Montréal, 28 mai.
Côte-du-SudRégionSudcôtois, Sudcôtoise (1990)
Variante (s) : Côtesudois (1990).
Commentaire : Le dérivé met à profit le phénomène de l'inversion des constituants, assez répandu en matière de gentilés, comme dans Francilien (Île-de-France), Louperivois (Rivière-du-Loup), Magnymontois (Montmagny), Nord-Côtier (Côte-Nord)...
Côte-NordRégion administrativeNord-Côtier, Nord-Côtière (1961); Coaster (1969) (forme anglaise)
Variante (s) : Côtenordien; Côtier; Nordcôtien; Nordcôtier; Nord-Côtois; Nordien.
Commentaire : Malgré les efforts déployés par un quotidien pour substituer le gentilé Nordcôtien à Nord-Côtier, cette dernière forme s'est imposée très nettement, probablement sur le modèle de côte  côtier. Vers 1970, un journal portant le titre Le Côtier des Escoumins desservait une bonne partie de la Côte-Nord; un autre du nom du Côtier/The Coaster a également existé sans que nous puissions fixer à quelle époque précise. La dénomination courante de la région, la Côte, a vraisemblablement inspiré ces dernières appellations.
Bibliographie : ANONYME (1981), « Nord-Côtier, Nordcôtien », dans Le Nordic, Baie-Comeau, 27 novembre, p. 3. HAMELIN, Louis-Edmond (1977), Le Nord et son langage, t. 1, Québec, Office de la langue française, coll. « Néologie en marche, série b : langues de spécialités », no 5, p. 85.
Côte-Nord-du-Golfe-du-Saint-LaurentMunicipalitéGolfien, Golfienne (1986*)
Côte-Saint-LucVilleCôte Saint-Luçois, Côte Saint-Luçoise (1989); Côte Saint-Lucer (1981) (forme anglaise)
Variante (s) : Côte-Saint-Lucer (1984) (forme anglaise); Côte-Saint-Luçois (1992).
Commentaire : Manifestement, la présence de deux traits d'union dans le toponyme suscite certaines hésitations orthographiques.
Coudres, Île auxÎleCoudrien, Coudrienne (1983)
Variante (s) : Îlien; Insulaire (1880).
Commentaire : Les deux variantes signalées ne constituent pas au sens strict des gentilés, car il s'agit de termes de la langue générale qui désignent toute personne qui vit sur une île. Elles sont mentionnées en raison de leur fréquence, notamment pour insulaire, et parce que, dans certains cas, on leur attribue un rôle de quasi-gentilé. Le blason populaire fort connu Marsouins qui caractérise les gens de l'île demeure présenté à quelques reprises comme la dénomination neutre des gens de l'île.
Coulonge, Avenue deAvenue (de la ville de Québec)Coulongeois, Coulongeoise (1992)
CourcellesMunicipalité Courcellois, Courcelloise (1982*)
Variante (s) : Courcellien (1953).
Commentaire : La Municipalité de Courcelles et la Municipalité de Saint-Évariste-de-Forsyth se sont regroupées, le 1er janvier 2024, pour former la Municipalité de Courcelles–Saint-Évariste.
Bibliographie : ANONYME (1986), Sans titre, dans Le Progrès de Thetford Mines, Thetford Mines, 19 février.
Cournoyer, Seigneurie deSeigneurieCournoyen, Cournoyenne (1992)
Commentaire : Jadis, la municipalité de Saint-Marc-sur-Richelieu resortissait à la seigneurie de Cournoyer, lien marqué par l'appellation de Saint-Marc-de-Cournoyer qui a eu cours au milieu du XIXe siècle.
CourvilleSecteur (de la ville de Québec)Courvillien, Couvillienne (1955)
Commentaire : La ville de Courville a fusionné avec celle de Beauport le 1er janvier 1976. La ville de Beauport n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Québec.
CowansvilleVilleCowansvillois, Cowansvilloise (1976)
CrabtreeVilleCrabtreen, Crabtreenne (1995*)
DanvilleVilleDanvillois, Danvilloise (1983)
Commentaire : Un journal communautaire local a pour titre Le Danvillois (1986).
D'AutrayMRCD'Autréen, D'Autréenne (1986*)
DaveluyvilleVilleDaveluyvien, Daveluyvienne (1978)
Commentaire : Étant donné la facture du nom de la ville, une forme comme Daveluyvillien, ienne ou Daveluyvillois, oise paraîtrait davantage indiquée, quoique le gentilé en usage demeure possible morphologiquement.
Bibliographie : ANONYME (1986) « Appellation », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières 22 février. DOLAN-CARON, Rita (1986), « Affaires municipales. Nicolet », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 12 février, p. 46.
DeauvilleSecteur (de la ville de Sherbrooke)Deauvillois, Deauvilloise (1978*)
Commentaire : La municipalité de Deauville n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sherbrooke. Le nom « Deauville » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
DégelisVilleDégelisien, Dégelisienne (1977*)
DéléageMunicipalitéDéléageois, Déléageoise (1986*)
Bibliographie : M(ILLARD), C(harles) (1986), « Si vous parlez des gens de Déléage, dites : « Déléageois », dans la Gazette, Maniwaki, 9 juin, p. 3.
DelisleSecteur (de la ville d'Alma)Delislois, Delisloise (1984)
Variante (s) : Mistoukois.
Commentaire : La municipalité de Delisle n'existe plus depuis le 21 février 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville d'Alma. Le nom « Delisle » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Delisle a été constituée pour une bonne part du territoire de la municipalité de Saint-Cœur-de-Marie, auparavant dénommée Mistook ou Mistouk, du nom de la rivière Mistook qui la borde. Les gens sont encore dénommés ou surnommés couramment Mistoukois.
DelsonVilleDelsonnien, Delsonnienne (1986*)
Demoiselles, LesCollinesDemoisellien, Demoisellienne (1985)
Commentaire : On désigne ainsi les gens qui habitent autour de ces entités géographiques.
DenholmMunicipalité Denholmien, Denholmienne (1986*)
De Quen-NordSecteur (de la municipalité de Saint-François-de-Sales)Dequenais, Dequenaise (1973)
DesbiensVilleDesbienois, Desbienoise (1978*)
Deschaillons-sur-Saint-LaurentMunicipalitéDeschaillonnais, Deschaillonnaise (1986*)
DeschambaultSecteur (de la municipalité de Deschambault-Grondines)Deschambaultien, Deschambaultienne (1979) 
[DÉ-CHAN-BO-TYIN/TYENNE]
Commentaire : La municipalité du village de Deschambault et la municipalité de la paroisse de Saint-Joseph-de-Deschambault se sont regroupées pour constituer la municipalité de Deschambault en 1989. Celle-ci n'existe plus depuis le 27 février 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Deschambault-Grondines. Le nom « Deschambault » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
DeschambaultMunicipalité de villageVoir Deschambault (Secteur)
DeschênesSecteur (de la ville de Gatineau)Deschener (1986) (forme anglaise)
DesjardinsArrondissement (de Lévis)Desjardinois, Desjardinoise (1986*)
Commentaire : L'arrondissement de Desjardins a succédé à la MRC de Desjardins à la suite de la création de la nouvelle ville de Lévis, le 1er janvier 2002.
Des RuisseauxAncienne municipalitéDes Ruissois, Des Ruissoises (1991*)
Variante (s) : Desruisselien (1981).
Commentaire : La municipalité de Des Ruisseaux n'existe plus depuis le 8 janvier 2003, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Mont-Laurier. Le nom « Des Ruisseaux » (Municipalité) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie. La facture quelque peu savante de Desruisselien a incité les autorités municipales de Des Ruisseaux à procéder à l'adoption d'une forme plus près de la dénomination municipale, malgré les complications graphiques soulevées lorsqu'il s'agit de l'adjectif, des ruissois.
DestorSecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Destorois, Destoroise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Destor n'existe plus depuis 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. Le nom « Destor » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Deux-MontagnesVilleDeux-Montagnais, Deux-Montagnaise (1980)
DisraeliMunicipalité de paroisseDisraélois, Disraéloise (1986*)
Commentaire : Se reporter à la ville de Disraeli pour l'explication quant à la présence de l'accent.
DisraeliVilleDisraelois, Disraeloise (1982*)
[DIS-RA-É-LOI/LOIZ]
Variante (s) : Disraélois.
Commentaire : La graphie qui ne comporte pas d'accent se distribue presque à égalité avec la forme qui en comprend un, mais présente l'avantage de mieux refléter la dénomination exacte de la ville. À noter que le nom de Benjamin Disraeli (1804-1881), homme politique anglais dont le patronyme a été attribué à cette municipalité de la région de la Chaudière-Appalaches, se rencontre fréquemment affublé d'un accent ou encore d'un tréma sur le e.
DixvilleMunicipalitéDixvillois, Dixvilloise (1986*)
[DI-VI-LOI/LOIZ]
DolbeauSecteur (de la ville de Dolbeau-Mistassini)Dolbien, Dolbienne (1978*)
Commentaire : La ville de Dolbeau n'existe plus depuis le 17 décembre 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Dolbeau-Mistassini. Le nom « Dolbeau » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Gentilé très répandu et couramment utilisé dans la presse régionale.
Bibliographie : ROY, Michel (1979), « Les citoyens de Dolbeau sont des Dolbiens », dans Le Point, Dolbeau, 17 janvier, p. 14.
Dolbeau-MistassiniVilleDolmissois, Dolmissoise (2000*)
Commentaire : La ville de Dolbeau-Mistassini est issue du regroupement des villes de Dolbeau et de Mistassini, le 17 décembre 1997.
DonnaconaVilleDonnaconien, Donnaconienne (1981)
DorchesterAncienne division de recensementDorchestois, Dorchestoise (1960)
DorionAncienne villeDorionnais, Dorionnaise (1983*)
Commentaire : La ville de Dorion n'existe plus depuis le 16 mars 1994, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Vaudreuil-Dorion. L'appellation « Dorion » (Ville) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
DorvalVilleDorvalois, Dorvaloise (1984)
DosquetMunicipalitéDosquetois, Dosquetoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Octave-de-Dosquet est devenue la municipalité de Dosquet, le 8 juin 1996.
DouglastownVillage (de la ville de Gaspé)Douglastownien, Douglastownienne (1983)
DouvilleSecteur (de la ville de Saint-Hyacinthe)Douvillois, Douvilloise (1989)
DrummondvilleVilleDrummondvillois, Drummondvilloise (1931*); Drummondviller (1956) (forme anglaise)
Bibliographie : F(ORCIER), R(aynald) (1986) « Conseil en bref. Gentilé officiel », dans La Parole, Drummondville, 20 février, p. 9.
DubuissonSecteur (de la ville de Val-d'Or)Dubuissonnais, Dubuissonnaise (1985*)
Commentaire : La municipalité de Dubuisson n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Val-d'Or. Le nom « Dubuisson » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Bibliographie : ANONYME (1985), « Dubuissonnais », dans L'Écho abitibien, Val-d'Or, 2 avril, p. 25
DudswellMunicipalitéDudswellois, Dudswelloise (1985*)
[DODZ-WEL-LOI/LOIZ]
DuhamelMunicipalitéDuhamellois, Duhamelloise (1981*)
Duhamel-OuestMunicipalitéDuhamellois-de-l'Ouest, Duhamelloise-de-l'Ouest (1986*)
Commentaire : En dépit de son ampleur, ce gentilé s'inscrit dans une optique de correction linguistique puisque les spécialistes déconseillent l'utilisation de la structure permutée comme dans Centre-Américain, Nord-Vietnamien, Sud-Coréen, etc., laquelle est considérée comme un anglicisme; on devrait dire Américain du Centre, Vietnamien du Nord, Coréen du Sud. Cependant, la présence de traits d'union entres les constituants assure au gentilé une plus grande cohésion, une meilleure unité syntagmatique.
DundeeMunicipalité de cantonDundier, Dundière (2018*); Dundian (2018*) (forme anglaise)
DunhamVilleDunhamien, Dunhamienne (1986*)
DunkinHameau (de la municipalité du canton de Potton)Dunkinite (1977) (forme anglaise)
DuparquetVilleDuparquetois, Duparquetoise (1986*)
DupuyMunicipalitéDupuyen, Dupuyenne (2007*)
Durham-SudMunicipalitéDurhamien, Durhamienne (1986*)
East AngusVilleAngussien, Angussienne (1986*)
East BroughtonMunicipalitéBroughtonnais, Broughtonnaise (1980*)
East Broughton Station Ancienne municipalité de villageBroughtonnois, Broughtonnoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village d'East Broughton Station n'existe plus depuis le 5 janvier 1994, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité d'East Broughton. L'appellation « East Broughton Station » (Municipalité de village) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Bibliographie : GAGNON, Jules-Henri (1986), «  East-Broughton Station », dans La Vallée de la Chaudière, Saint-Joseph, 22 avril, p. B-10.
East CapeHameau (de la municipaltié de Grosse-Île)East Caper (1984) (forme anglaise)
East EndQuartier (de la ville de Montréal)East Ender (1983) (forme anglaise)
Variante (s) : East-Ender.
Commentaire : L'appellation « East End » (Quartier) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
East FarnhamMunicipalité Eastfarnhamien, Eastfarnhamienne (1986*)
Commentaire : La municipalité du village d'East Farnham est devenue la municipalité d'East Farnham, le 13 septembre 2008.
East HerefordMunicipalitéHerefordéen, Herefordéenne (1986*)
[IR-FORD-DÉ-IN/ENNE]
EastmainMunicipalité de village criEastmainwi Iyiyou (1992) (forme crie)
Variante (s) : Iistimaaniiw-iiyuw (1994) (forme naskapie).
Commentaire : Le cri iyiyou et ses variantes eyinew ou eenouch ont pour sens : « un Indien, un Cri; l'être humain ».
EastmanMunicipalité Eastmanois, Eastmanoise (1986*)
EatonSecteur (de la ville de Cookshire-Eaton)Eatonois, Eatonoise (1986*)
Commentaire : La municipalité d'Eaton n'existe plus depuis le 24 juillet 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Cookshire-Eaton. Le nom « Eaton » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Egan-SudMunicipalitéEganois, Eganoise (1986*) 
[I-GA-NOI/NOIZ]
ElginMunicipalité Elginois, Elginoise (2004*); Elginite (1981) (forme anglaise)
Commentaire : La municipalité du canton d'Elgin est devenue la municipalité d'Elgin, le 21 mars 2009.
EntrelacsMunicipalitéEntrelacois, Entrelacoise (1984*)
Esprit-SaintMunicipalitéSpiritois, Spiritoise (1991)
Commentaire : Gentilé tiré de la forme latine d'esprit, spiritus.
EssipitRéserve indienneEssipiulnu (1991) (forme innue)
Variante (s) : Ecsibiucibuwilnu (1931) (forme innue); Ecsipiwilnu (1931) (forme innue); Essipiunnu (1994) (forme innue); Excomminquois (1611).
Commentaire : La réserve indienne des Escoumins est devenue la réserve indienne d'Essipit en 1996. La première variante a pour sens : « peuple de la rivière des ruisseaux aux coques » alors que la seconde signifie : « peuple de la rivière aux coques », de l'innu esh,  « coque », terme générique pour « mollusque à coquillage », shipu, « fleuve, rivière » et ilnu, « être humain ». Quant à Essipiunnu, Essipiunnuat au pluriel, cette dénomination a pour sens : « Innus d'Essipit ».
Est-du-QuébecRégionQuébécois, Québécoise de l'Est
Variante (s) : Est-Québécois (1993).
Commentaire : Région géographique qui couvre la partie est du Québec, notamment le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie. L'appellation « Est-du-Québec » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
EstérelVilleEstérellois, Estérelloise (1986*)
EstrieRégion administrativeEstrien, Estrienne (1946)
Bibliographie : LAPORTE, Pierre (1961), « Il est temps d'accepter officiellement le mot Estrie », dans Le Devoir, Montréal, 26 octobre, p. 4. O'BREADY, Maurice (1946), « L'Esterie », dans Le Messager de Saint-Michel, Sherbrooke, 20 juillet. Voir : Canton-de-l'Est (Région).
EtcheminRégionEtcheminois, Etcheminoise (1984)
Commentaire : L'appellation « Etchemin » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
ÉvainSecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Évainois, Évainoise (1982*)
Commentaire : La municipalité d'Évain n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. Le nom « Évain » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
FarnhamVilleFarnhamien, Farnhamienne (1976*)
Bibliographie : ANONYME (1986), « Échos du conseil municipal de Farnham. Choix d'un gentilé », dans Le Guide, Cowansville, 11 mars.
FassettMunicipalitéFassettois, Fassettoise (1986*)
FatimaVillage (de la municipalité des Îles-de-la-Madeleine)Fatimatois, Fatimatoise (1996*)
Commentaire : La municipalité du village de Fatima n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité des Îles-de-la-Madeleine. Le nom « Fatima » a toutefois été préservé; il idenfie un village de cette municipalité. L'ancien nom de Fatima étant « Barachois », ses résidents étaient désignés sous le gentilé Barachois, Barachoise.
Faubourg-QuébecSecteur résidentiel (de la ville de Montréal)Bourragan, Bourragane (1898)
Commentaire : Quartier de Montréal du XIXe siècle, englobant la paroisse de Saint-Pierre-Apôtre, le faubourg de Québec ou le faubourg Québec, suivant l'usage le plus répandu, ressortit maintenant au quartier Sainte-Marie. Il porte cette appellation parce que par le passé les voyageurs en provenance de Québec devaient le traverser pour atteindre le cur de la ville. Quoique l'on puisse rapprocher la partie initiale du gentilé de la finale de faubourg, le second formant demeure mystérieux et n'a pas encore livré son secret. Dans son ouvrage intitulé Entre voisins. La société paroissiale en milieu urbain : Saint-Pierre-Apôtre de Montréal 1848-1930 (Montréal, Boréal, 1992), Lucia Ferretti fournit peu d'indications à cet égard : « On retrouve l'emploi de ce terme pour désigner les habitants du faubourg Québec dans le Codex historicus, II, 37-38, 16 novembre 1898. Le fait qu'il y soit placé entre guillemets donne à penser qu'il s'agit là d'une expression du langage oral que les faubouriens utilisaient eux-mêmes. » (p. 196, note 8). Ce Codex historicus consistait en des cahiers rédigés à la main par les Oblats et relatait les principaux événements survenus aux endroits qu'ils desservaient (Saint-Hilaire, Longueuil et Saint-Pierre de Montréal) entre 1841 et 1940. Pour ce qui est de faubourg, il s'agit d'un quartier d'une ville qui était anciennement situé hors de son enceinte, de ses limites. L'appellation « Faubourg-Québec » (Secteur résidentiel) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Ferland-et-BoilleauMunicipalitéFerboillien, Ferboillienne (1986*)
[FER-BOI-LYIN/LYENNE]
Commentaire : Gentilé fixé à la suite d'une consultation populaire par soudage d'une partie des éléments constituants : Fer(land) et Boill(eau) auxquels le suffixe -ien, -ienne a été adjoint.
Ferme-NeuveMunicipalitéFermeneuvien, Fermeneuvienne (1986*)
Variante (s) : Fermeneuvan (1969); Ferme-Neuvien (1978).
Commentaire : La municipalité de Ferme-Neuve est issue du regroupement de la municipalité du village et de la municipalité de la paroisse de Ferme-Neuve, le 24 décembre 1997. Le gentilé Ferme-Neuvien avait été adopté par la municipalité du village de Ferme-Neuve en 1978.
FermontVilleFermontois, Fermontoise (1975*)
Variante (s) : Fermontais.
Fiedmont-et-BarrauteMunicipalitéVoir Barraute (Municipalité)
FieldvilleHameau (de la municipalité du canton de Low)Fieldvillois, Fieldvilloise (1987)
FleurimontArrondissement (de la ville de Sherbrooke)Fleurimontois, Fleurimontoise (1981*)
Commentaire : La ville de Fleurimont n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sherbrooke. Le nom « Fleurimont » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville.
FontainebleauSecteur (de la municipalité de Weedon)Bellifontain, Bellifontaine (1985*)
Commentaire : La municipalité de Fontainebleau n'existe plus depuis le 24 décembre 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Weedon. Le nom « Fontainebleau » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité. Gentilé identique à celui généré par le Fontainebleau français. Toutefois, la formation latine sur laquelle il repose témoigne d'une étymologie inexacte. En effet, Bellifontain suggère que le nom de la ville est dû à la Fontaine-Belle-Eau (fontaine provenant du latin fons, fontis, « la source, la fontaine » auquel le suffixe à valeur collective -anum a été accolé et belle remontant à la forme latine féminine bella). Or, il s'agit en fait de Fontaine Bliaud (anciennement Blitwald), devenue Fontainebleau par agglutination, la famille des Bliaud possédant en forêt de Bièvre un domaine situé près d'une fontaine. En conséquence, si l'on recherchait une forme qui témoigne d'une étymologie correcte, il faudrait recourir au gentilé Fontainebleaudien.
FontangesCampementFontangeois, Fontangeoise (1982)
Commentaire : L'appellation « Fontanges » (Campement) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
ForestvilleVilleForestvillois, Forestvilloise (1978*)
Fort-ChimoPoste de traiteUaskaikaniunnu (1980) (forme innue);
Pwaat-chaaimuw-iiyuw (1994) (forme naskapie)
Variante (s) : Puatshishaimunnu (1980) (forme innue); Tshishaimunnu (1980) (forme innue).
Commentaire : « Puatshishaimunnut et son raccourci Tshishaimunnut, « Indiens de Fort Chimo » et « Indiens de Chimo » sont appliqués à la bande autrefois rattachée au poste de Fort Chimo qui a émigré à Schefferville en 1956. Ce sont là des termes récents, construits, de façon curieuse, à partir d'un emprunt à l'anglais (Chimo devenu Tshishaimu), qui leur ont été appliqués par les groupes voisins depuis leur arrivée à Schefferville. Ils se nomment eux-mêmes Uaskaikaniunnut, du nom indien de Fort Chimo, Uaskaikan, et c'est ainsi que les appellent les anciens parmi les montagnais. » (Mailhot et Vincent, 1980, p. 138). À noter que la finale -unnu constitue la terminaison au singulier, alors que -unnut véhicule le pluriel, en innu. L'appellation « Fort-Chimo » (Poste de traite) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie. Le nom du village de Fort-Chimo a, quant à lui, été remplacé par Kuujjuaq (Municipalité de village nordique).
Fort-CoulongeMunicipalité de villageCoulongien, Coulongienne (1986*)
FortiervilleMunicipalitéFortiervillois, Fortiervilloise (1986*)
Fossambault-sur-le-LacVilleFossambaugeois, Fossambaugeoise (1996*)
FramptonMunicipalitéFramptonnien, Framptonnienne (1951)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Édouard-de-Frampton est devenue la municipalité de Frampton, le 6 décembre 1997.
FranchevilleAncienne MRCFranchevillois, Franchevilloise (1986*)
Commentaire : La MRC de Francheville n'existe plus à la suite de la création de la nouvelle ville de Trois-Rivières, le 1er janvier 2002. L'appellation « Francheville » (MRC) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Bibliographie : AUBRY, Marcel (1986), « Les gens de la MRC de Francheville sont maintenant des Franchevillois! », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 2 juillet, p. 38.
FranklinMunicipalitéFranklinois, Franklinoise (1986*);
Frankliner (1984) (forme anglaise)
FranquelinMunicipalitéFranquelinois, Franquelinoise (1980*)
FrelighsburgMunicipalitéFrelighsbourgeois, Frelighsbourgeoise (1986*)
Commentaire : Francisation de -burg en -bourg.
FrontenacMunicipalitéFrontenacois, Frontenacoise (1985*)
FugèrevilleMunicipalitéFugèrevillois, Fugèrevilloise (1986*)
GagnonLieu-ditGagnonais, Gagnonaise (1979)
Variante (s) : Gagnonnais.
Commentaire : La ville de Gagnon a été officiellement fermée par les autorités gouvernementales le 1er juillet 1985. La très grande majorité des formes relevées ne comportent qu'un seul « n » et quatre occurrences un « n » redoublé. Cette dernière graphie apparaît comme davantage prévisible sinon plus juste.
GallixSecteur (de la ville de Sept-Îles)Gallixois, Gallixoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Gallix n'existe plus depuis le 12 février 2003, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sept-Îles. Le nom « Gallix » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
GasconsVillage (de la municipalité de Port-Daniel–Gascons)Gasconais, Gasconaise (1986)
Commentaire : La nouvelle municipalité de Port-Daniel–Gascons a été créée le 17 janvier 2001. Elle est issue du regroupement de la municipalité de Port-Daniel et de la municipalité de la paroisse de Sainte-Germaine-de-l'Anse-aux-Gascons.
GaspéVilleGaspésien, Gaspésienne (1896);
Gaspesian (1979) (forme anglaise)
Variante (s) : Gasponien (1880).
Commentaire : La variante Gasponien demeure morphologiquement inhabituelle et inexplicable lexicalement. Il s'agit peut-être d'une dénomination qui se situe à la frontière du blason populaire et du gentilé qui provient de l'auteur anonyme d'un feuilleton intitulé « Récits d'autrefois. Histoires et légendes du Bas-Saint-Laurent » et paru dans le Nouvelliste de Rimouski du 12 août au 14 octobre 1880.
Gaspé-Nord, Circonscription électoral deAncienne circonscription électorale provincialeGaspénordien, Gaspénordienne (1979)
Variante (s) : Gaspé-Nordien.
Commentaire : La circonscription électorale de Gaspé-Nord qui, avec celle de Gaspé-Sud, couvraient l'ensemble de la Gaspésie ont cédé leur place à la circonscription électorale de Gaspé en 1985.
GaspésieRégionGaspésien, Gaspésienne (1668);
Gaspesian (1905) (forme anglaise)
Variante (s) : Gaspeiquois (XVIIe s.); Guaspésiens; Gaspéiquois.
Commentaire : À l'origine, il s'agit du nom attribué par les Blancs aux Micmacs installés sur le territoire gaspésien. On le relève déjà dans les ouvrages de Chrestien le Clerq, Sixte Le Tac, Charlevoix, etc. Le gentilé a également été mis à contribution dans la dénomination d'un bateau Le Gaspésien (XIXe s.) et d'une voie de communication, la Transgaspésienne. En outre, La Voix Gaspésienne dessert le secteur nord de la Gaspésie depuis 1955 alors que le territoire matapédien est desservi par L'Avant-Poste Gaspésien, fondé en 1944. Par le passé, Le Gaspésien (1930-1937) et La Chronique Gaspésienne (1968-1970) ont constitué deux hebdomadaires importants de la Gaspésie.
Gaspésie-du-NordRégionGaspésien du Nord, Gaspésienne du Nord (1944)
Commentaire : La graphie du gentilé a été scrupuleusement respectée. L'appellation « Gaspésie-du-Nord » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Gaspésie-du-SudRégionGaspésien du Sud, Gaspésienne du Sud (1944)
Commentaire : L'appellation « Gaspésie-du-Sud » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Gatineau, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeGatinois, Gatinoise (1978)
GatineauRégionGatinois, Gatinoise (1978)
Variante (s) : Gatineois; Gatinien.
Commentaire : L'appellation « Gatineau » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
GatineauVilleGatinois, Gatinoise (1976*)
Commentaire : Depuis 1983, on célèbre la Journée du Gatinois et de la Gatinoise en honorant de façon particulière certain(e)s citoyen(ne)s qui se sont distingué(e)s. En outre, le bulletin d'information municipale institué en 1978 s'intitule Le Gatinois.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Officialisation d'un gentilé », dans la Revue de Gatineau, Gatineau, 25 mars.
GentillySecteur (de la ville de Bécancour)Gentillois, Gentilloise (1976)
[JAN-TIY-OI/OIZ]
Variante (s) : Gentillais; Gentyllais.
GiffardSecteur (de la ville de Québec)Giffardois, Giffardoise (1979)
GirardvilleMunicipalitéGirardvillois, Girardvilloise (1978*)
Bibliographie : ANONYME (1985), « Des Girardvillois et des Didymiens », dans Le Point, Dolbeau, 30 avril.
GlenmountQuartier (de la ville de Montréal)Glenmounter (1984) (forme anglaise)
Commentaire : L'appellation « Glenmount » (Quartier) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
GodboutMunicipalité de villageGodboutois, Godboutoise (1985*)
GodmanchesterMunicipalité de cantonGodmancastrien, Godmancastrienne (1986*)
Commentaire : Le nom de cette municipalité fait référence à celui d'une ville d'Angleterre. Or, la dénomination la plus ancienne relative à Godmanchester est Gormon Castria. En Angleterre, pratiquement tous les lieux géographiques ayant comporté le mot Castria au temps de l'occupation romaine ont vu celui-ci, remontant à castra, « camp », devenir élément constitutif sous la forme de -chester. Ainsi, le gentilé marque un retour à l'origine latine du nom et contribue à une consonance française en harmonie avec l'esprit de la langue de Molière.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Un « godmancastrien » », dans The Gleaner/La Gazette, Huntingdon, 6 juillet, p. 15.
Goose VillageQuartier (de la ville de Montréal)Goose Villager (1983) (forme anglaise)
Commentaire : Quartier situé entre la rue Bridge et l'autoroute Bonaventure dont le nom remonte à une époque où le territoire présentait l'aspect d'un marais largement fréquenté par les chasseurs. L'appellation « Goose Village » (Quartier) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
GoynishCantonGoynishois, Goynishoise (1897)
[GOI-NI-CHOI/CHOIZ]
Commentaire : Le nom du canton de Goynish a été changé pour celui d'Aguanish, le 11 avril 1985.
GracefieldVilleGracefieldois, Gracefieldoise (1986)
[GRÉS-FIL-DOI/DOIZ]
GranadaSecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Granadien, Granadienne (1986)
Commentaire : Le nom « Granada » identifie un secteur de la ville de Rouyn-Noranda. Celui-ci correspond au territoire de l'ancienne municipalité de Saint-Guillaume-de-Granada, à la suite de son regroupement avec la ville de Rouyn-Noranda, le 29 novembre 1995.
GranbyVilleGranbyen, Granbyenne (vers 1960*); Granbyan (1981) (forme anglaise)
[GRAN-BYIN/BYENNE]
Variante (s) : Granbéen; Granbien (1949); Granbygeois (1930); Granbyien; Grandbien (1951).
Commentaire : On peut observer certaines hésitations quant à l'orthographe de ce gentilé qui aurait été attribué à la population par le célèbre Maurice Chevalier à l'occasion d'un concert qu'il donnait dans cette ville. Nous estimons que la prononciation à l'anglaise ou à la française du toponyme joue un rôle important à cet égard.
Bibliographie : GRANDVILLE (1949), « Dira-t-on : les «  Grandbiens  »…, dans Le Devoir, Montréal, 19 janvier, p. 1.
Grand Calumet, Île duÎleIslander (1885) (forme anglaise)
Grand-CalumetMunicipalité Voir L'Île-du-Grand-Calumet
Grande Rivière, LaRivièreTshishe-shipiunnu (1980) (forme innue)
Commentaire : En cri, le nom de cette rivière est Tschishasipi, dont a été tiré le gentilé avec modification graphique.
Grande-CascapédiaVillage (de la municipalité de Cascapédia–Saint-Jules)Cascapédiac, Cascapédiaque (1866)
Commentaire : La municipalité du village de Grande-Cascapédia n'existe plus depuis le 2 juin 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Cascapédia–Saint-Jules. Le nom Grande-Cascapédia a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité. Facture gentiléenne peu courante, mais que peut expliquer son ancienneté. La forme ancienne du nom de la municipalité était précisément Cascapédiac.
Grande-ÎleSecteur (de la ville de Salaberry-de-Valleyfield)Grandilois, Grandiloise (1985*)
Variante (s) : Grande-Îlois (1980); Grand-Ilain (1822); Grand-Îlain (1972); Grandillois (1987); Grand-Islain (1818).
Commentaire : La municipalité de Grande-Île n'existe plus depuis le 24 avril 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Salaberry-de-Valleyfield. Le nom « Grande-Île » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Les autorités municipales estimant que la forme Grand-Îlain ne revêtait pas de grandes qualités euphoniques en dépit de sa remarquable ancienneté, on a procédé à sa modification en 1989.
Grande-RivièreVilleGrande-Riviérois, Grande-Riviéroise (2005*)
Grandes-BergeronnesMunicipalité de villageVoir Les Bergeronnes (Municipalité)
Grandes-PilesMunicipalité de villageGranpilois, Granpiloise (1986*)
Grande-ValléeMunicipalité Grande-Valléen, Grande-Valléenne (1982*)
Grand-Lac-Saint-FrançoisSecteur (de la municipalité d'Adstock)Francislacois, Francislacoise (2016*)
Grand-MataneVillageMatanais, Matanaise (1825)
Commentaire : Anciennement, la seigneurie de Matane se partageait entre Grand-Matane et Petit-Matane, deux agglomérations distinctes. L'appellation « Grand-Matane » (Village) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Grand-MèreSecteur (de la ville de Shawinigan)Grand-Mérois, Grand-Méroise (1981*)
Variante (s) : Grandméraud (1969); Grand-Méraud; Grand'Mérien; Grandmérois; Grand'mérois; Grand'Mérois; Grandmèrois; Grand'Mèrois; Grand-Merrien.
Commentaire : Le ville de Grand-Mère n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Shawinigan. Le nom « Grand-Mère » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. L'orthographe qui comporte une apostrophe à la place d'un trait d'union entre les constituants reflète une pratique désuète.
Bibliographie : ANONYME (1982), « Grand-Mérois(e) ou grand-Méraud , dans l'Hebdo du Saint-Maurice, Shawinigan, 18 août. Grand-Merrienne (1982), « Grand-Mère et Grand-Merriens », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 2 septembre, p. 10.
Grand-MétisMunicipalitéGrand-Métissien, Grand-Métissienne (1986*)
Grand-RemousMunicipalité Grand-Remoussois, Grand-Remoussoise (1986*)
[GRAND-RE-MOU-SOI/SOIZ]
Grand-Saint-EspritMunicipalitéEsprien, Esprienne (1986*)
GranthamAncienne municipalitéGranthamien, Granthamienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Grantham, qui se dénommait auparavant Grantham-Ouest, n'existe plus depuis le 22 décembre 1993, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Drummondville. L'appellation « Grantham » (Municipalité) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Grantham-OuestAncienne municipalitéVoir Grantham (Ancienne municipalité)
GrenvilleMunicipalité de villageGrenvillois, Grenvilloise (1973*)
Bibliographie : EDGERTON, Jeannine (1986), « Gleanings from Grenville. Collective names », dans The Watchman, Lachute, 8 avril.
GrondinesSecteur (de la municipalité de Deschambault-Grondines)Grondinois, Grondinoise (1980*)
Variante (s) : Grondinien (1979).
Commentaire : La municipalité de Grondines n'existe plus depuis le 27 février 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Deschambault-Grondines. Le nom « Grondines » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Gros-MorneHameau (de la municipalité de Saint-Maxime-du-Mont-Louis)Gros-Mornien, Gros-Mornienne (1967)
Grosse-ÎleMunicipalitéGrosse-Islois, Grosse-Isloise (1978);
Grosse Isler (1978) (forme anglaise)
Commentaire : La graphie du gentilé est calquée sur l'ancienne orthographe du nom de la municipalité. En ancien et en moyen français, le mot « île », dérivé du latin insula, était orthographié « isle ».
Grosses-RochesMunicipalitéRochelois, Rocheloise (1981)
Groulx, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeGroulxois, Groulxoise (1984)
[GROU-OI/OIZ]
Bibliographie : FALLU, Élie (1984), « Chronique du député de Groulx. Salut Groulxois, Groulxoises! » dans La Voix des Mille-Îles, Sainte-Thérèse, 14 mars, p. 6.
GuérinMunicipalité de cantonGuérinois, Guérinoise (1972)
Halifax-NordSecteur (de la municipalité de Sainte-Sophie-d'Halifax)Halifaxois, Halifaxoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Halifax-Nord n'existe plus depuis e 17 décembre 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Sainte-Sophie-d'Halifax. Le nom « Halifax-Nord » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Halifax-SudMunicipalité de cantonHalifaxois-du-Sud, Halifaxoise-du-Sud (1986*)
Commentaire : La municipalité du canton de Halifax-Sud est devenue la municipalité de Saint-Ferdinand, le 2 septembre 1995.
Ham-NordMunicipalité de cantonHam-Nordois, Ham-Nordoise (2010*)
HampdenMunicipalité de cantonHampdenois, Hampdenoise (1986*)
HampsteadVilleHampsteader (1981) (forme anglaise)
Commentaire : Jadis un journal local portait le nom The Hampsteader.
Ham-SudMunicipalitéHamsudois, Hamsudoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Joseph-de-Ham-Sud est devenue la municipalité de Ham-Sud, le 22 octobre 2011.
HarringtonMunicipalité de cantonHarringtonois, Harringtonoise (1986*)
HatleyMunicipalitéHatleyen, Hatleyenne (2014*); Hatleyan (2014*) (forme anglaise)
Hatley-Partie-OuestAncienne municipalité de cantonWest Hatleyan (1987) (forme anglaise)
Commentaire : La municipalité du canton de Hatley-Partie-Ouest n'existe plus depuis le 27 septembre 1995, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Hatley. L'appellation « Hatley-Partie-Ouest » n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie. La population anglophone désignait la municipalité comme West Hatley.
Haute-BeauceRégionHaut-Beauceron, Haut-Beauceronne (1982)
Commentaire : Sans doute la gêne provoquée par la forme un « Haute-Beauceron » a-t-elle milité en faveur de la disparition du « e » trop identifié au féminin. Cependant, nous n'avons relevé aucune attestation relative à l'équivalent au féminin du gentilé. L'appellation « Haute-Beauce » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Haute-Côte-NordRégionHaute-Côtier, Haute-Côtière (1991)
Commentaire : Traditionnellement, on distingue trois sous-régions principales dans la région administrative de la Côte-Nord : la Haute, la Moyennne et la Basse-Côte-Nord. La Haute-Côte-Nord comprend habituellement le territoire situé entre Tadoussac et la rivière Betsiamites, à proximité de Colombier. L'appellation « Haute-Côte-Nord » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Haute-GatineauRégionHaute-Gatinois, Haute-Gatinoise (1982)
Variante (s) : Haut-Gatineois
Commentaire : L'appellation « Haute-Gatineau » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Bibliographie : THIBAULT, J.-René (1986), « Une conscience régionale pour les Haut-Gatinois est-ce possible? » dans La Gazette, Maniwaki, 24mars, p. 8.
Haute-MauricieRégionHaut-Mauricien, Haut-Mauricienne (1971)
Commentaire : L'appellation « Haute-Mauricie » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie. Voir Haute-Beauce (Région).
Haute-MauricieAncienne municipalitéHaut-Mauricien, Haut-Mauricienne (1984*)
Commentaire : La municipalité de Haute-Mauricie n'existe plus depuis le 25 août 1993, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de La Tuque. L'appellation « Haute-Mauricie » (Municipalité) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie. Voir Haute-Beauce (Région).
Bibliographie : ROCHETTE, Marc (1986), « Haut-Mauricien? », dans L'Écho de La Tuque,18 février, p. 17.
HauteriveAncienne ville Hauterivien, Hauterivienne (1978*)
Commentaire : La ville de Hauterive n'existe plus depuis 1982, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Baie-Comeau. L'appellation « Hauterive » (Ville) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Haute-VilleSecteur (de la ville de Québec)Haute-Villois, Haute-Villoise (1935)
Haut-RichelieuRégionHaut-Richelain, Haut-Richelaine (1978)
Commentaire : L'appellation « Haut-Richelieu » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Haut-Saint-LaurentRégionHaut-Laurentien, Haut-Laurentienne (2000)
Commentaire : L'appellation « Haut-Saint-Laurent » n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Bibliographie : FILION, Mario et autres. Histoire du Haut-Saint-Laurent. Sainte-Foy : Institut québécois de recherche sur la culture, c2000. p. 389. (Collection Les Régions du Québec; 12)
HavelockMunicipalité de cantonHavelockois, Havelockoise (1986*)
Havre-AubertVillage (de la municipalité des Îles-de-la-Madeleine)Aubertîlien, Aubertîlienne (1986*)
[O-BER-I-LYIN/LYENNE]
Commentaire : Le village de Havre-Aubert constitue le noyau habité de l'ancienne municipalité de L'Île-du-Havre-Aubert. Celle-ci n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité des Îles-de-la-Madeleine. L'une des personnes qui ont apporté des suggestions aux conseillers municipaux souligne qu'il « est important de bien indiquer l'accent circonflexe sur le î central, pour affirmer l'appartenance à une île. » (Lettre de monsieur Raymond Gauthier au maire de L'Île-du-Havre-Aubert, 3 mars 1986).
Havre-aux-MaisonsVillage (de la municipalité des Îles-de-la-Madeleine)Maisonnois, Maisonnoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Havre-aux-Maisons n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité des Îles-de-la-Madeleine. Le nom « Havre-aux-Maisons » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
Havre-Saint-PierreMunicipalitéCayen, Cayenne (1885*)
Hâhkanâtshu (1981) (forme innue)
Variante (s) : Caien; Havre-Saint-Pierrois.
Commentaire : La forme ici retenue pour le gentilé constitue en son genre une exception. En effet, elle fait davantage figure de blason populaire, de sobriquet collectif qui rappelle les origines des premiers habitants, des Acadiens, nom dont Cayen a été tiré par contraction : Cadien, puis Cayen. L'utilisation systématique qu'on en fait pour identifier les citoyens de cette municipalité, laquelle aurait été créée par des pêcheurs français, promeut cette appellation au rang de gentilé. La variante Havre-Saint-Pierrois ne fait l'objet d'une utilisation que sur une base fort sporadique. Quant à l'équivalent innu Hâhkanâtshu, il a pour sens « celui qui arrive sur les vagues », allusion éclairante au capelan qui roule et dont les habitants demeurent particulièrement friands.
Bibliographie : ST-PIERRE, Marc (1986), « Cayens et Cajuns, la même souche », dans Le Soleil, Québec, 8 juin, p. B-16. TURBIS, David (1986), « Cayen ou Havre-Saint-Pierrois? », dans Le Postillon, Sept-Îles, 12 mars, p. 5.
HébertvilleMunicipalitéHébertvillois, Hébertvilloise (1973*)
Variante (s) : Hébertvillien (1934).
Hébertville-StationMunicipalité de villageHébertstalois, Hébertstaloise (2002*)
HemmingfordMunicipalité de villageHemmingfordien, Hemmingfordienne (1986*)
HemmingfordMunicipalité de cantonHemmingfordien, Hemmingfordienne (1986*)
HenryvilleMunicipalitéHenryvillois, Henryvilloise (1978)
[EN-RÉ-VI-LOI/LOIZ]
HérouxvilleMunicipalité de paroisseHérouxvillois, Hérouxvilloise (1986*)
Variante (s) : Timotois (1978).
Commentaire : La variante fait référence à l'ancienne dénomination d'Hérouxville, Saint-Timothée.
Bibliographie : FERNET-GERVAIS, Solange (1986), « Hérouxville », dans Le Dynamique de la Mauricie, Saint-Tite, 4 mars, p. 1.
HighwaterVillage (de la municipalité du canton de Potton)Highwaterite (1977) (forme anglaise)
HinchinbrookeMunicipalité Hinchinbrooker (1984) (forme anglaise)
Commentaire : Cette municipalité se dénommait auparavant « Hinchinbrook ». La municipalité du canton de Hinchinbrooke est devenue la municipalité de Hinchinbrooke, le 5 novembre 2011.
HochelagaQuartier (de la ville de Montréal)Hochelagais, Hochelagaise (1972)
[O-CHE-LA-GUÈ/GUÈZ]
Variante (s) : Hochelagan (1957).
Commentaire : L'appellation « Hochelaga » (Quartier) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
HonfleurMunicipalitéHonfleurois, Honfleuroise (1986*)
HopeMunicipalité de cantonHopien, Hopienne (1986*)
HowickMunicipalité Howickois, Howickoise (1978)
Variante (s) : Howicain; Howicais.
Commentaire : La municipalité du village de Howick est devenue la municipalité de Howick, le 15 mai 2010.
Bibliographie : LEFEBVRE, Marc (1985), « Quel est votre gentilé? », dans Journal annuel de la Société historique de la Vallée de la Châteauguay, Howick, The Huntingdon Gleaner, p. 13-16.
HuberdeauMunicipalitéHuberdois, Huberdoise (1986*)
HudsonVilleHudsonois, Hudsonoise (1996); Hudsonite (1985) (forme anglaise)
Hull, Île deÎle Hullois de l'Île, Hulloise de l'Île (1989)
HullSecteur (de la ville de Gatineau)Hullois, Hulloise (1911*) 
[U-LOI/LOIZ]
Commentaire : La ville de Hull n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Gatineau. Le nom « Hull » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Les autorités municipales locales ont récemment procédé à la création d'un Office de l'identité hulloise qui a pour mission, entre autres, de les conseiller quant au choix de noms de lieux hullois.
Hull-Partie-OuestMunicipalité de cantonHullois, Hulloise (1981)
[U-LOI/LOIZ]
Commentaire : La municipalité du canton de Hull-Partie-Ouest est devenue la municipalité de Chelsea, le 28 avril 1990. Aucun gentilé n'a encore été relevé pour les résidents de Chelsea.
HunterstownVillage (de la municipalité de Saint-Paulin)Hunterstownais, Hunterstownaise (1986*)
Commentaire : La municipalité du canton de Hunterstown n'existe plus depuis 1988, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Saint-Paulin. Le nom « Hunterstown » a toutefois été préservé; il identitie un village de cette municipalité.
HuntingdonVilleHuntingdonnais, Huntingdonnaise (1975*)
Bibliographie : ALARY, Cyril (1986), « À Huntingdon : un citoyen se nomme un « huntingdonnais », dans La Gazette/The Gleaner, Huntingdon, 12 mars, p. 15.
Iberville, Circonscription électorale d'Circonscription électorale provincialeIbervillois, Ibervilloise (1978)
IbervilleSecteur (de la ville de Saint-Jean-sur-Richelieu)Ibervillois, Ibervilloise (1959*)
Commentaire : La ville d'Iberville n'existe plus depuis le 24 janvier 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Jean-sur-Richelieu. Le nom « Iberville » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Bibliographie : TRÉPANIER, Marc-O. (1986), « Au tour des « Ibervillois », dans Le Canada français, Saint-Jean, 5 mars, p. A-16.
InukjuakMunicipalité de village nordiqueInukjuamiuq (1984) (forme inuite)
[I-NOUK-DJOU-WA-MI-YOUK]
Variante (s) : Inujjuamiuq (1975).
Commentaire : Le nom de la municipalité a subi quelques modifications graphiques au cours des ans : Inujjuaq à l'origine.
InvernessMunicipalitéInvernois, Invernoise (1984*)
Commentaire : La municipalité d'Inverness est issue du regroupement de la municipalité du village et de la municipalité du canton d'Inverness, le 9 septembre 1998.
IqaluitCampementIqalummiuq (1986) (forme inuite)
[I-KA-LOU-MI-YOUK]
Commentaire : L'appellation « Iqaluit » (Campement) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
IrlandeMunicipalitéIrlandois, Irlandoise (1995)
Commentaire : Par substitution de suffixe, ce gentilé se distingue du traditionnel Irlandais qui identifie les habitants de l'Irlande.
Ivry-sur-le-LacMunicipalitéIvryen, Ivryenne (1986*)
IvujivikMunicipalité de village nordiqueIvujivimmiuq (1974) (forme inuite)
[I-VOU-YI-VI-MI-YOUK]
Variante (s) : Ivujivimiuq (1971).
JalRégionJalois, Jaloise (1973)
Variante (s) : Jallois.
Commentaire : Ce sigle identifie une région géographique dont le territoire couvre l'est du lac Témiscouata; il est constitué des initiales des localités de Saint-Juste-du-Lac, Auclair et Lejeune. Ces municipalités de l'arrière-pays du Bas-Saint-Laurent se sont regroupées à des fins économico-administratives, sous forme d'une coopérative d'aménagement territorial. Un périodique dénommé Le Jalon informe la population du Jal. Voir Belmont (Région).
JamésieRégionJamésien, Jamésienne (1981); Jamesian (1981) (forme anglaise) 
Variante (s) : Jamesien (1971).
Commentaire : Nom proposé par le géographe Camille Laverdière pour identifier les terres qui « jouxtent la baie de James » (Cahiers de géographie du Québec (1981), Québec, vol. 25, no 66, décembre, p. 436).
Bibliographie : ANONYME (1981), « La Jamésie existe... pour le moment », dans En Grande, Montréal, vol. 8, no 2, début février, p. 26.
Johnson, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeJohnsonite (1978) (forme anglaise)
JolietteVilleJoliettain, Joliettaine (1884*)
Variante (s) : Joliétain (1930); Joliettois (1884)
JonquièreArrondissement (de la ville de Saguenay)Jonquiérois, Jonquiéroise (1951*)
Variante (s) : Jonquiérien (1910); Jonquièrois.
Commentaire : La ville de Jonquière n'existe plus depuis le 18 février 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saguenay. Le nom « Jonquière » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville.
JoutelLieu-ditJoutellois, Joutelloise (1979)
KahnawakeRéserve indienneKahnawakeronon (1985) (forme mohawk); Caughnawagan (1903) (forme anglaise)
Variante (s) : Caughnawaguien (1935).
Commentaire : Cette réserve indienne dont le nom doit être prononcé [KA-NA-WA-GUÉ] avait anciennement pour nom Caughnawaga. En langue mohawk, il n'existe pas de genre.
KamouraskaMunicipalitéKamouraskois, Kamouraskoise (1863*)
Variante (s) : Kamouracien; Kamouraskaïen (1866); Kamouraskien; Kamourasquois.
Commentaire : La municipalité de Kamouraska est issue du regroupement de la municipalité du village de Kamouraska et de la municipalité de la paroisse de Saint-Louis-de-Kamouraska en 1987.
KamouraskaMRCKamouraskois, Kamouraskoise (1986)
KamouraskaRégionKamouraskois, Kamouraskoise (1982)
Variante (s) : Kamouraskain (1971).
Commentaire : L'appellation « Kamouraska » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
KamouraskaMunicipalité de villageVoir Kamouraska (Municipalité)
KanesatakeÉtablissement amérindienKanashtàgenanò (1987) (forme algonquine)
Commentaire : Le suffixe -nanò a pour sens : « habitant de, originaire de ». D'origine iroquoise, le toponyme signifierait : « au bas de la côte ». Jusqu'en 1986, l'endroit répondait au nom d'Oka.
KangiqsualujjuaqMunicipalité de village nordiqueKangiqsualujjuamiuq (1984) (forme inuite)
[KAN-GUIK-SOU-A-LOU-DJOU-WA-MI-YOUK]
KangiqsujuaqMunicipalité de village nordiqueKangiqsujuamiuq (1986) (forme inuite)
[KAN-GUIK-SOU-DJOU-WA-MI-YOUK]
Variante (s) : Kangiqsujuarmiuq; Kangirsujuaamiuq (1967); Kangirsujuarmiuq.
Commentaire : Les diverses variantes sont redevables aux transformations graphiques subies par le nom de la municipalité.
KangirsukMunicipalité de village nordiqueKangiqsumiuq (1984) (forme inuite)
[KAN-GUIK-SOU-MI-YOUK]
KatevaleVillage (de la municipalité de Sainte-Catherine-de-Hatley)Katevalois, Katevaloise (1985)
[KÉT-VA-LOI/LOIZ]
KazabazuaMunicipalitéKazabazuien, Kazabazuienne (1986)
Variante (s) : Kazabazuen (1989).
KebaowekRéserve indienneKipawawini (1982) (forme algonquine)
Commentaire : Le nom de cette réserve indienne constitue une variante graphique de celui de Kipawa et a pour sens : « c'est fermé ». Ses habitants, les Kipawawini, « peuple du lac fermé », occupent la rive ouest du lac Kipawa.
KénogamiSecteur (de la ville de Saguenay)Kénogamien, Kénogamienne (1947)
KeyanoVillage (de la municipalité de la Baie-James)Keyanien, Keyanienne (1984)
Variante (s) : Keyannien.
KiamikaMunicipalitéKiamikois, Kiamikoise (1986*)
Variante (s) : Kiamikain (1907).
Killiniq, ÎleÎleKillinirmiuq (1982) (forme inuite)
[KI-LI-NIR-MI-YOUK]
Variante (s) : Killiniqmiuq.
Commentaire : L'appellation « Île Killiniq » n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
KingseyMunicipalité de cantonVoir Saint-Félix-de-Kingsey (Municipalité)
Kingsey FallsVilleKingsey-Fallois, Kingsey-Falloise (1986*)
Kinnear's MillsMunicipalitéKinnearois, Kinnearoise (1986*)
[KI-NIR-OI/OIZ]
KipawaMunicipalitéKipawais, Kipawaise (1981)
Variante (s) : Kipawawini (forme algonquine).
Commentaire : Le sens de la dénomination en algonquin est « peuple du lac fermé ».
KirklandVilleKirklandais, Kirklandaise (1997*); Kirklander (forme anglaise) (1997)
Kitigan ZibiRéserve indienneKitigan Zibi Anishinabeg (1993) (forme algonquine)
Commentaire : Kitigan a pour sens « jardin » zibi, « rivière » et Anishinabeg, « Algonquins », encore que les Algonquins eux-mêmes traduisent le terme Anicinabe par « Indien ».
KnowltonVillage (de la ville de Lac-Brome)Knowltonite (1985) (forme anglaise)
KuujjuaqMunicipalité de village nordiqueKuujjuamiuq (1986*) (forme inuite)
[KOU-OU-DJOU-WA-MI-YOUK]
Variante (s) : Kuujjuaqmiuq; Kuujjuarmiuq (1979).
KuujjuarapikMunicipalité de village nordiqueKuujjuaraapimmiuq (1986) (forme inuite)
[KOU-OU-DJOU-WA-RA-PI-MI-YOUK]
Commentaire : Gentilé formé sur la variante Kuujjuaraapik, relevée sporadiquement.
La BaieArrondissement (de la ville de Saguenay)Baieriverain, Baieriveraine (1981*)
Variante (s) : Baieriverin.
Commentaire : La ville de La Baie n'existe plus depuis le 18 février 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saguenay. Le nom « La Baie » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville. Le constituant riverain souligne la position géographique de la ville sise sur le bord de la rivière Saguenay et s'inscrit dans la foulée d'autres gentilés obéissant à la même intention comme Mariverain (Sainte-Marie en Beauce), Roserain (Sainte-Rose-du-Nord au Saguenay), Charlerivain (Saint-Charles-sur-Richelieu),...
Bibliographie : LALANCETTE, Gilles (1981), « Parlons maintenant des Baieriverains », dans Le Quotidien, Chicoutimi, 11 juin.
LabelleMunicipalitéLabellois, Labelloise (1956*)
L'Abord-à-PlouffeSecteur résidentiel (de la ville de Laval)L'Abord-à-Plouffien, L'Abord-à-Plouffienne (1983)
La BostonnaisMunicipalitéBostonnois, Bostonnoise (1990*)
LabradorRégionLabradorien, Labradorienne (1863); Labradorian (1982) (forme anglaise) 
Variante (s) : Labradoréen.
Commentaire : On se réfère ici à une entité géographique qui ne comporte pas encore de limites précises définitives. La variante Labradoréen ne se rencontre que très exceptionnellement. L'appellation « Labrador » (Région) n'a jamais été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
LabrecqueMunicipalitéLabrecquois, Labrecquoise (1986*)
Lac-à-la-CroixSecteur (de la ville de Métabetchouan–Lac-à -la-Croix)LaCroisien, LaCroisienne (1985*)
Variante (s) : Lacroisien.
Commentaire : La municipalité de Lac-à-la-Croix n'existe plus depuis le 6 janvier 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Métabetchouan–Lac-à-la-Croix. Le nom « Lac-à-la-Croix » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Lac-à-la-TortueSecteur (de la ville de Shawinigan)Tortulinois, Tortulinoise (1986*)
Variante (s) : Théophilien (1978).
Commentaire : La municipalité de Lac-à-la-Tortue n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Shawinigan. Le nom « Lac-à-la-Tortue » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Le nom de cette municipalité, qui était « Saint-Théophile », avait été modifié pour « Lac-à-la-Tortue » en 1981.
Bibliographie : D(IONNE), J.-A(ndré) (1986), « Tortulinois-Tortulinoises », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 14 mai, p. 33.
Lac-à-la-TruiteSecteur (de la municipalité d'Adstock)Truitois, Truitoise (2016*)
Lac-au-SaumonMunicipalité Saumonois, Saumonoise (1986*)
Bibliographie : ANONYME (1986), « Lac-au-Saumon : Affaires municipales », dans L'Avant-Poste Gaspésien, Amqui, 23 avril, p. 18.
Lac-aux-SablesMunicipalité de paroisseSablois, Sabloise (1985*)
Lac-BarrièreHameauMitcikanâpikokanicinâbek (1993) (forme algonquine)
Commentaire : Cet établissement amérindien n'est pas reconnu à ce titre. Le gentilé a pour signification : « les gens de la clôture de pierre ». Le constituant anicinâbek provient d'Anicinabe qui signifie : « Indien ».
Lac-BeauportMunicipalitéLac-Beauportois, Lac-Beauportoise (1995)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Dunstan-du-Lac-Beauport est devenue la municipalité de Lac-Beauport, le 1er avril 1989.
Lac-BolducSecteur (de la municipalité d'Adstock)Bolducois, Bolducoise (2016*)
Lac-BouchetteMunicipalitéLac-Bouchettien, Lac-Bouchettienne (1981*)
Lac-BromeVilleBromois, Bromoise (1986*)
Bibliographie : B(EAUREGARD), C(laude) (1986), « Bromois et Bromoises », dans La Voix de l'Est, Granby, 13 février, p. 12.
Lac-CarréSecteur (de la municipalité de Saint-Faustin–Lac-Carré)Lac-Carréen, Lac-Carréenne (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Lac-Carré n'existe plus depuis le 3 janvier 1996, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Saint-Faustin–Lac-Carré. Le nom « Lac-Carré » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Lac-DelageVilleDelageois, Delageoise (1981)
Commentaire : La ville a disposé pendant quelques années d'un journal municipal répondant au nom de Delageois
Lac-des-AiglesMunicipalitéAiglois, Aigloise (2015*)
Lac-des-ÉcorcesMunicipalité Écorçois, Écorçoise (1987*)
Commentaire : La municipalité de Lac-des-Écorces est issue du regroupement de la municipalité de Beaux-Rivages ainsi que des municipalités des villages de Lac-des-Écorces et de Val-Barrette, le 10 octobre 2002.
Lac-des-PlagesMunicipalitéPlageois, Plageoise (1986*)
Lac-des-Seize-ÎlesMunicipalitéSeizilien, Seizilienne (1980*)
Lac-DroletMunicipalitéDroletois, Droletoise (1985)
[DRO-LÈ-TOI/TOIZ]
Lac-du-CerfMunicipalitéCervois, Cervoise (1986*)
Commentaire : Le vocable cerf provient du latin cervus, ce qui explique le passage de f à v lors de la création du gentilé. Par ailleurs, il convient de rapprocher cette forme de cervidés qui désigne une « famille de mammifères ongulés ruminants dont les mâles portent des bois ». La justification se situe exclusivement ici sur un plan structurel et aucune relation ne doit être établie entre l'animal concerné et le résident de la municipalité!
Lac-EtcheminMunicipalitéLacetcheminois, Lacetcheminoise (1986*)
Variante (s) : Etcheminois.
Lac-FrontièreMunicipalitéFrontiérois, Frontiéroise (1986*)
LachenaieSecteur (de la ville de Terrebonne)Lachenois, Lachenoise (1981*)
Variante (s) : Chenois; Chênois.
Commentaire : La ville de Lachenaie n'existe plus depuis le 27 juin 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Terrebonne. Le nom « Lachenaie » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Les variantes entretiennent un rapport étroit avec l'étymologie du nom de la ville, une chênaie consistant en une plantation de chênes, arbres abondant sur le territoire. À noter que le journal municipal a porté un temps le titre de Le Chêne.
Bibliographie : D(USSAULT), L(ouise) (1982a), « Lachenois ou Chenois? », dans Le Trait d'union, Mascouche, 20 janvier. D(USSAULT) L(ouise) (1982b), « Le conseil de Lachenaie officialise Lachenois », dans Le Trait d'union, Mascouche, 10 mars.
LachineArrondissement (de la ville de Montréal)Lachinois, Lachinoise (vers 1900)
Lachiner (forme anglaise) (1983)
Commentaire : La ville de Lachine n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Montréal. Le nom « Lachine » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville. Le frère Stanislas, dans son Historique de la ville de La Salle parue en 1950, signale que Robert Cavelier de La Salle cherchant la route de la Chine s'arrêta sur le territoire actuel de Lachine, croyant avoir atteint le pays fabuleux, d'où les noms de La Petite Chine, La Chine et Lachine successivement attribués à l'endroit. Pour le tourner en dérision de même que ses compagnons, on les dénommera « les Chinois ». Le gentilé narquois a toutefois perdu, grâce au phénomène de désémantisation, sa connotation ironique.
LachuteVilleLachutois, Lachutoise (1973*)
Variante (s) : Lachutien (1969).
Lac-JolicoeurSecteur (de la municipalité d'Adstock)Jolicoeurois, Jolicoeuroise (2016*)
Lac-KénogamiSecteur (de la ville de Saguenay)Kénogamois, Kénogamoise (1992)
Commentaire : La municipalité de Lac-Kénogami n'existe plus depuis le 18 février 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saguenay. Le nom « Lac-Kénogami » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Lac-MéganticVilleMéganticois, Méganticoise (1970*)
Variante (s) : Mégantiquois (1949).
Bibliographie : ANONYME (1986), « Fenêtre ouverte sur la vie municipale. Totalement « Méganticois », dans L'Écho de Frontenac, Lac-Mégantic, 25 février, p. A-7.
Lac-NominingueMunicipalitéVoir Nominingue (Municipalité)
LacolleMunicipalité Lacollois, Lacolloise (1978*)
Variante (s) : Lacollais.
La ConceptionMunicipalitéConceptionnois, Conceptionnoise (1986*)
La CorneMunicipalitéLacornois, Lacornoise (1985*)
La Côte-de-GaspéMRCGaspécôtois, Gaspécôtoise (1986)*
Lac-ParéAncienne municipalité de paroisseParéen, Paréenne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Lac-Paré n'existe plus depuis le 13 novembre 1991, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Chertsey. L'appellation « Lac-Paré » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Lac-PoulinMunicipalité de villageLac-Poulinois, Lac-Poulinoise (1986*)
Lac-SaguayMunicipalité de villageLac-Saguayen, Lac-Saguayenne (1986*)
[LAK-SA-GUÉ-IN/ENNE]
Lac-Saint-CharlesSecteur (de la ville de Québec)Lac-Saint-Charlois, Lac-Saint-Charloise (1996*, 1987)
Commentaire : La ville de Lac-Saint-Charles n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Québec. Le nom « Lac-Saint-Charles » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Bibliographie : ANONYME (1992), « Choix d'un nom désignant la population de Lac-Saint-Charles », dans L'Élan, vol. 1, no 6, Lac-Saint-Charles, juin, p. 4.
Lac-Sainte-MarieMunicipalitéMarilacois, Marilacoise (1987)
Variante (s) : Marielacois (1992).
Commentaire : Bien que très peu répandue, la variante se révèle davantage conforme au nom officiel de la municipalité.
Lac-Saint-JeanRégionJeannois, Jeannoise (1963)
Commentaire : Dans un document conservé au fonds Victor-Tremblay à la Société historique du Saguenay, l'historien saguenéen, dans une lettre en réponse à une interlocutrice s'identifiant comme « Madame Jeannoise », lui recommandait : « (...) et ne vous affublez pas vous-même de ce qualificatif de « Jeannoise », qui n'a rien de distinctif et peut s'appliquer à bien d'autres, partout où il y a des Saint-Jean. » En dépit de cette mise en garde, Jeannois s'est imposé d'emblée pour identifier les citoyens du Lac-Saint-Jean, encore qu'il ait eu partiellement raison quant à une éventuelle homonymie. Vers 1966, une véritable polémique s'est élevée autour de ce gentilé, d'aucuns soutenant même qu'il faille recourir pour le former au nom amérindien du lac Saint-Jean, Piekouagami. 
Bibliographie : BERGERON, Thomas-Louis (1966), « Deux noms me pèsent sur la conscience : « Mont-Plaisant » et « Jeannois », dans L'Étoile du Lac, Roberval, 31 août, p. 7-8. ST-PIERRE, Jean-Claude (1966), « Jeannois : un terme qui nous plait (sic)! » dans L'Étoile du Lac, Roberval, 17 août, p. 4. VILLENEUVE, Georges (1966), « Piékouagami est un souvenir tout comme Hochelaga (Montréal), le terme « Jeannois » est une réalité », dans L'Étoile du Lac, Roberval, 31 août, p. 7.
Lac-Saint-PaulMunicipalitéPaulacquois, Paulacquoise (1986*)
Lac-SergentVilleSergentois, Sergentoise (1986*)
Lac-SimonMunicipalitéSimonet, Simonette (1978)
Commentaire : Forme isolée à titre de gentilé et plutôt de nature de diminutif; Simonois ou Lac-Simonois constitueraient des dénominations davantage orthodoxes.
Lac-SupérieurMunicipalitéSupérois, Supéroise (2014*)
Lac-Tremblant-NordMunicipalitéNord-Tremblantois, Nord-Tremblantoise (1986*)
Commentaire : En dépit du fait que la séquence point cardinal-dérivé soit considérée comme anglicisme par la majorité des spécialistes, dans certains cas comme ici elle permet de créer un gentilé plus bref et moins lourd d'allure.
La DoréMunicipalité de paroisseDoréen, Doréenne (1986*)
La DurantayeMunicipalité de paroisseLadurantois, Ladurantoise (1986*)
LafertéSecteur (de la municipalité de Taschereau)Lafertois, Lafertoise (2016*)
LaFontaine, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeLafontainois, Lafontainoise (1985)
La FontaineSecteur (de la ville de Saint-Jérôme)Lafontainois, Lafontainoise (1983*)
Commentaire : La ville de Lafontaine n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maitenant partie de la ville de Saint-Jérôme. Le nom « La Fontaine », dont la graphie a été normalisée, a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Bibliographie : L'ÉQUIPE (1983), « Sens dessus dessous », dans Le Mirabel, Saint-Jérôme, 10 mai, p. 10.
LaforceMunicipalitéLaforçois, Laforçoise (1986*)
LaforgeCampementLaforgeois, Laforgeoise (1994)
Commentaire : L'appellation « Laforge » (Campement) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
La GuadeloupeMunicipalité de villageGuadeloupien, Guadeloupienne (1986*)
Commentaire : On a sans doute opté pour ce gentilé à finale -ien, pour en québéciser la teneur en regard du Guadeloupéen antillais.
La Haute-Côte-NordMRCHaute-Nordcôtier, Haute-Nordcôtière (1986*)
La Haute-GaspésieMRCHaute-Gaspésien, Haute-Gaspésienne (2004*)
La Haute-YamaskaMRCYamaskois, Yamaskoise (1986*)
LajemmeraisAncienne MRCLajemmerois, Lajemmeroise (1986*)
[LA-JÈM-ROI/ROIZ]
Commentaire : La MRC de Lajemmerais est devenue la MRC de Marguerite-D'Youville, le 12 février 2011.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Un nom pour les résidents de la MRC », dans L'Informateur, Sainte-Julie, 23 février.
LakefieldVillage (de la municipalité du canton de Gore)Lakefielder (1983) (forme anglaise)
La MacazaMunicipalitéMacazien, Macazienne (1973*)
La MalbaieVilleMalbéen, Malbéenne (1937)
Variante (s) : Malbaien (1902); Malbaiien (1895); Malbaisien (1933).
LamarcheMunicipalitéLamarchois, Lamarchoise, (1986*)
La MartreMunicipalitéMartrien, Martrienne (1986*)
Variante (s) : Marthelais (1978).
Commentaire : Comme en témoigne la variante, la municipalité de La Martre avait auparavant comme adresse postale Sainte-Marthe-de-Gaspé, source de confusion en raison de la proximité paronymique des deux entités. Le gentilé officialisé lève toute ambiguïté.
La MatanieMRCMatanien, Matanienne (2013*)
Variante (s) : Matanois, Matanoise (1986*)
La MatapédiaMRCMatapédien, Matapédienne (1986*)
LambtonMunicipalitéLambtonnien, Lambtonnienne (1948*)
Variante (s) : Lambtonien.
Bibliographie : LAPOINTE, J.-Alphonse (1948), Historique de St-Vital de Lambton (1848-1948), Lambton, p. 81-83.
La MinerveMunicipalitéMinervois, Minervoise (1978*)
Variante (s) : Minerval; Minervien.
La MitisMRCMitissien, Mitissienne (1982*)
Variante (s) : Mitisien.
Bibliographie : JACQUES, Micheline (1986), « Échos de la MRC de La Mitis... », dans L'Information régionale, Mont-Joli, 18 février, p. B-8.
La MorandièreHameauLa Morandien, La Morandienne (1986*)
Le 1er janvier 2023, les municipalités de La Morandière et de Rochebaucourt ont fusionné pour devenir la municipalité de La Morandière-Rochebaucourt.
La MotteMunicipalitéLamottois, Lamottoise (1986*)
La Nativité-de-la-Prairie-de-la-MadeleineParoisse (de la ville de La Prairie)Laprairien, Laprairienne (1946)
Commentaire : Le nom officiel de cette paroisse à la Commission de toponymie est « La Nativité-de-la-Sainte-Vierge ».
LanaudièreRégion administrativeLanaudois, Lanaudoise (1985)
Variante (s) : Lanaudiéran (1969); Lanaudiérien; Lanaudièrien; Lanaudièrois.
Bibliographie : BOURASSA, Louise (1985), « Êtes-vous fiers d'être Lanaudois? », dans Le Joliette Journal, Joliette, 23 janvier, p. A-8. RAINVILLE, Francine (1985), « Pour baptiser les « lanaudois », des représentations faites à la Commission de toponymie », dans Journal L'Action, Joliette, 12 février, p. A-4.
Lanaudière-SudRégionSud-Lanaudois, Sud-Lanaudoise (1989)
Commentaire : Régionyme qui coiffe la partie sud de la région de Lanaudière. L'appellation « Lanaudière-Sud » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
L'Ancienne-LoretteVilleLorettain, Lorettaine (1677*)
Variante (s) : Loretain (1677); Lorettin; Lorettois.
Commentaire : On relève également sporadiquement la forme Lorettain pour identifier les citoyens de Loretteville dont le gentilé spécifique demeure Lorettevillois. Vraisemblablement ce phénomène est tributaire de l'origine dénominative commune de la ville dénommée L'Ancienne-Lorette et de Loretteville anciennement La Jeune-Lorette. Le journal municipal a pour titre Le Lorettain.
Bibliographie : DUGAS, Jean-Yves (1983), « Du gentilé Lorettain », dans Contact, L'Ancienne-Lorette, vol. 1, no 3, novembre, p. 8. LEFRANÇOIS, Alain (1983), « Lorettains et Lorettevillois, une question de toponymie », dans L'Élan, L'Envol, L'Éventail, L'Ancienne-Lorette, 21 décembre, p. 11. Voir Loretteville (Secteur).
LandrienneMunicipalité de cantonLandriennois, Landriennoise (1986*)
L'Ange-GardienMunicipalité (de la région de l'Outaouais)Angelois, Angeloise (1994)
Commentaire : Le gentilé a été formé à partir du mot latin angelus, « ange », attesté au XIe siècle, en français, sous la forme angele.
Bibliographie : ANONYME (1994), « La qualité de vie avant tout » dans Info L'Ange-Gardien, L'Ange-Gardien (Outaouais), 27 juin, p. 10.
L'Ange-GardienSecteur (de la municipalité d'Ange-Gardien)Gardangeois, Gardangeoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de L'Ange-Gardien n'existe plus depuis le 31 décembre 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité d'Ange-Gardien. Le nom « L'Ange-Gardien » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
L'Ange-GardienMunicipalité (de la région de la Capitale-Nationale)Langelois, Langeloise (2014*)
LangelierAncienne municipalité de cantonLangelien, Langelienne (1986*)
Commentaire : La municipalité du canton de Langelier est devenue la municipalité de La Croche, le 13 novembre 1999. Cette dernière n'existe depuis le 26 mars 2003, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de La Tuque. L'appellation « Langelier » (Municipalité de canton) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Bibliographie : PLANTE, Louise (1986), « Affaires municipales : Canton Langelier », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 21 avril, p. 32.
LanguedocVillageLanguedoçois, Languedoçoise (1980)
[LAN-GDO-SOI/SOIZ]
Commentaire : La forme gentiléenne retenue pour la province française du Languedoc est Languedocien.
LanielHameauLaniellois, Lanielloise (1982)
L'AnnonciationSecteur (de la ville de Rivière-Rouge)Annonçois, Annonçoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de L'Annonciation n'existe plus depuis le 18 décembre 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rivière-Rouge. Le nom « L'Annonciation » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
LanoraieMunicipalitéLanorois, Lanoroise (1996)
La Nouvelle-BeauceMRCNéo-Beauceron, Néo-Beauceronne (2014*)
L'Anse-à-BeaufilsHameau (de la ville de Percé)Beaufilois, Beaufiloise (1986)
Variante (s) : Bonfilois (1963).
Commentaire : La variante entretiendrait une relation étroite avec le nom véritable L'Anse-à-Bonfils, patronyme d'un Français de petite noblesse qui venait à Percé annuellement. Ultérieurement Bonfils aurait été modifié en Beaufils (Lettre d'Eugène Rouillard en date du 12 décembre 1912, document conservé à la Commission de toponymie).
L'Anse-aux-FraisesLieu-dit (de la municipalité de L'Île-d'Anticosti)Anse-aux-Fraisois, Anse-aux-Fraisoise (1897)
L'Anse-aux-GasconsVillageVoir Gascons (Village)
L'Anse-à-ValleauVillage (de la ville de Gaspé)Vallonien, Vallonienne (1981)
Commentaire : Le nom de cette localité rappellerait celui de Petit-Vallon, village de France, parce que quelques navigateurs français qui s'y sont installés ont trouvé une similitude paysagère entre les deux endroits, d'où le gentilé Vallonien.
L'Anse-Saint-JeanMunicipalitéAnjeannois, Anjeannoise (1986*)
LantierMunicipalitéLantiérois, Lantiéroise (1986*)
La PatrieMunicipalitéLapatrien, Lapatrienne (2020*)
La PêcheMunicipalitéLa Pêchois, La Pêchoise (2013*)
La PéradeAncienne municipalité de villagePéradien, Péradienne (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de La Pérade n'existe plus depuis 1989. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Sainte-Anne-de-la-Pérade. L'appellation « La Pérade » (Municipalité de village) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
La PlaineSecteur (de la ville de Terrebonne)Plainois, Plainoise (1978*)
Commentaire : La ville de La Plaine a n'existe plus depuis le 27 juin 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Terrebonne. Le nom « La Plaine » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
La PocatièreVillePocatois, Pocatoise (1985*)
Bibliographie : COMITÉ D'URBANISME (1985), Guide toponymique de La Pocatière, La Pocatière, p. 6.
La PrairieVilleLaprairien, Laprairienne (1935*)
Bibliographie : ANONYME (1991), « LaPrairien-ne », dans Communic-action, vol. 12, no 1, La Prairie, mars, p. 1.
La PrésentationMunicipalité Présentationnois, Présentationnoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de La Présentation est devenue la municipalité de La Présentation, le 11 octobre 2008.
La RédemptionMunicipalité de paroisseRédemptois, Rédemptoise (1986*)
Bibliographie : OTIS, Augustine (1986), « Gentilé des gens de La Rédemption », dans L'Avant-Poste Gaspésien, Amqui, 19 mars, p. 33. ROBITAILLE, Mireille (1986), « Des nouvelles des Rédemptois », dans L'Information régionale, Mont-Joli, 11 mars, p. A15.
La ReineMunicipalitéLa Reinois, La Reinoise (1981*)
La RomaineRéserve indienneUlaman-shipiulnu (1994) (forme innue); Wiiminisiipiiw-iiyuw (1994) (forme naskapie)
Variante (s) : Unamenshipiunnu (1980) (forme innue); Unamen-shipiunnu (1980) (forme innue).
Commentaire : Romaine constitue l'adaptation française de l'innu Ulaman. Le gentilé a pour signification : « peuple de la rivière de l'ocre rouge », des dépôts de cette matière se retrouvant sur les bords de la rivière Romaine. Les variantes ont été dérivées de l'une des très nombreuses graphies qui ont affecté le toponyme au fil des ans. En naskapi, wiimin a pour sens : « l'ocre, la teinture minérale », et iiyuw, «l'autochtone ».
LaroucheMunicipalitéLarouchois, Larouchoise (1985*)
Variante (s) : Larouchien (1978).
Commentaire : Le gentilé officialisé élimine le rapprochement indésirable que suggère la variante jusqu'à présent en usage.
LaSalleArrondissement (de la ville de Montréal)LaSallois, LaSalloise (2015*, 1980); LaSaller (1983) (forme anglaise)
Variante (s) : Lasallien (1978); LaSallien; Lasallois.
Commentaire : La ville de LaSalle n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maitenant partie de la ville de Montréal. Le nom « LaSalle » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville.
Bibliographie : ALLARD, Alain (1983), « Des gens et des choses... LaSallois ou LaSalliens?» , dans Le Messager de LaSalle, LaSalle, 30 août, p.A1. LAMARCHE, Luce (1983), « Lasalliens...Lasallois ? », dans Le Messager de LaSalle, LaSalle, 10 mai, p. B1.
La SarreCantonLa Sarrois, La Sarroise (1989)
La SarreVilleLasarrois, Lasarroise (1978*)
Variante (s) : La Sarrois (1969); LaSarrois; Lassarrois.
Commentaire : Ce gentilé a été repris comme titre d'un journal local de la fin des années 1970, Le La Sarrois.
L'AscensionMunicipalitéL'Ascensois, L'Ascensoise (1991*)
L'Ascension-de-PatapédiaMunicipalitéAscensionnais, Ascensionnaise (1986*)
Variante (s) : L'Ascensionnais.
L'AssomptionVilleAssomptionniste (1978)
Variante (s) : L'Assomptionniste (1943).
Commentaire : La nouvelle ville de L'Assomption est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de L'Assomption et de la ville de L'Assomption, le 22 avril 1992.
L'AssomptionMunicipalité de paroisseVoir L'Assomption (Ville)
LaterrièreSecteur (de la ville de Saguenay)Laterrois, Laterroise (1983)
Variante (s) : Laterrien (1978); Laterriérois (1981).
Commentaire : La ville de Laterrière n'existe plus depuis le 18 février 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maitenant partie de la ville de Saguenay. Le nom « Laterrière » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Quoique non sanctionnée par les autorités municipales locales, l'appellation Laterrois rencontre davantage leur faveur en regard des deux variantes, également attestées à quelques reprises.
La Trinité-des-MontsMunicipalité de paroisseTrinitois, Trinitoise (1970*)
Commentaire : La particule « La » a été ajoutée en 1986.
LatulipeVillage (de la municipalité des cantons unis de Latulipe-et-Gaboury)Tulipien, Tulipienne (1980)
Commentaire : L'amputation du La- initial ne s'explique que dans la mesure où l'on veut mettre l'accent sur l'élément floral, mais le motif d'attribution du toponyme visant à honorer la mémoire de monseigneur Élie-Anicet Latulipe (1859-1922), ardent propagandiste de la colonisation agricole en Abitibi-Témiscamingue, rend ce procédé inadéquat! La graphie du nom « Latulippe » a été corrigée pour « Latulipe ».
Latulipe-et-GabouryMunicipalité des cantons-unisLatulipien, Latulipienne (2007*)
LatulippeVillageVoir Latulipe (Village)
La TuqueVilleLatuquois, Latuquoise (1966*)
Variante (s) : La Tuquois; Tucois.
Commentaire : Une récente campagne de charité locale a pour titre « Le Gâteau latuquois ».
La Tuque-OuestQuartier (de la ville de La Tuque)Ouestlatuquois, Ouestlatuquoise (1986)
Commentaire : Ce quartier est situé sur la rive ouest de la rivière Saint-Maurice. L'appellation « La Tuque-Ouest » n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
LaunayMunicipalité de cantonLaunayen, Launayenne (2012*)
LaurelHameau (de la municipalité de Wentworth-Nord)Laurellois, Laurelloise (1985)
LaurentidesRégion administrativeLaurentien, Laurentienne (1866);
Laurentian (1981) (forme anglaise)
Variante (s) : Laurentidien; Laurentidois; Laurentin.
Bibliographie : LUPIEN, Lucette (1985), « Sommes-nous des Laurentiens ou des Laurentidiens ? » , dans Bibliographie des Laurentides, publ. par Serge Laurin et Richard Lagrange, Québec, Institut québécois de recherche sur la culture, coll. « Documents de recherche 
LaurentidesAncienne villeLaurentien, Laurentienne (1986*)
Commentaire : La ville de Laurentides n'existe plus depuis le 1er mars 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Lin–Laurentides. L'appellation « Laurentides » (Ville) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Laurentides, LesChaîne de montagnesLaurentien, Laurentienne (1981)
Commentaire : Le gentilé est formé sur le dérivé adjectival latin « laurentianus » , « relatif à Laurent » , le toponyme remontant à saint Laurent et ayant été attribué par l'historien François-Xavier Garneau.
Laurier-StationMunicipalité de villageLaurierlois, Laurierloise (2015*)
LauriervilleMunicipalitéLauriervillois, Lauriervilloise (1984*)
LauzonSecteur (de la ville de Lévis)Lauzonnais, Lauzonnaise (1974*)
Variante (s) : Lauzonnien (1968).
Commentaire : La ville de Lauzon n'existe plus depuis le 12 juillet 1989, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Lévis. Le nom « Lauzon » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Bibliographie : G., L. (1986), « Lauzonnais, Lauzonnaises...« , dans Le Point de la Rive-Sud, Lévis, 4 mars. 
LavalVilleLavallois, Lavalloise (1965)
Lavaller (1980) (forme anglaise)
Variante (s) : Lavalois.
Commentaire : En 1977, la graphie du gentilé (avec un seul ou deux l) a fait l'objet d'une recherche et d'une consultation auprès de la Régie de la langue française d'alors. On a conclu que la dernière consonne de Laval « ne devrait être doublée du fait qu'il ne s'agit pas d'un « l » mouillé » (Gaston Chapleau, directeur du Service des recherches et de la statistique de Laval, Mémo interne, 8 mars 1977). Toutefois, « l'usage semblant faire loi en cette matière, (...) et malgré le caractère exceptionnel de cette orthographie[Lavallois] (...) il faut respecter l'usage établi et continuer d'écrire « Lavallois ». « (ld.). Le journal du collège de Laval, en 1979, portait le nom Le Lavallois et une émission de la télévision communautaire locale avait pour titre « Les Quartiers Lavallois », en 1977.
Laval-des-RapidesSecteur (de la ville de Laval)Lavallois, Lavalloise (1951)
La Vallée-de-la-GatineauMRCVal-Gatinois, Val-Gatinoise (2010*)
La Vallée-de-l'OrMRCOr-Valléen, Or-Valléenne (2002)
Commentaire : La MRC de Vallée-de-l'Or est devenue la MRC de La Vallée-de-l'Or, le 11 octobre 2003. Le gentilé adopté en 1986 était Valorien, Valorienne.
Laval-OuestSecteur (de la ville de Laval)Lavalois, Lavaloise (1990)
LavaltrieVilleLavaltrois, Lavaltroise (1986*)
Variante (s) : Lavaltrien (1982).
L'AvenirMunicipalitéL'Avenirois, L'Aveniroise (1985*)
LaverlochèreSecteur (de la municipalité de Laverlochère-Angliers)Laverlochérois, Laverlochéroise (1986*)
Commentaires: La municipalité de Laverlochère n'existe plus depuis le 27 décembre 2017, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Laverlochère-Angliers. Le nom « Laverlochère » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Laverlochère-AngliersMunicipalitéLavergliers, Laverglières (2018*)
Laviolette, Circonsciption électorale deCirconscription électorale provincialeLaviolettain, Laviolettaine (1970)
La Visitation-de-l'Île-DupasMunicipalitéÎledupasien, Îledupasienne (1986*)
[IL-DU-PA-ZYIN/ZYENNE]
Bibliographie : ANONYME (1986), « Île Dupas » dans L'Écho de Louiseville, Louiseville, 23 avril.
La Visitation-de-YamaskaMunicipalitéVisitandin, Visitandine (1980*)
Commentaire : Le gentilé s'explique par appel à la forme latine visitandus, gérondif de visitare, « rendre visite ». Le nom de la municipalité rappelle la visite que la Vierge Marie a rendue à sa cousine Élisabeth au sixième mois de la conception de saint Jean-Baptiste pour la féliciter de cet événement. Depuis le début des années 1980, le journal Le Visitandin dessert la population de la municipalité.
LawrencevilleMunicipalité de villageLawrencevillois, Lawrencevillois (2008*)
Le Bas-RichelieuAncienne MRCBas-Richelois, Bas-Richeloise (1986*)
Commentaire : La MRC du Bas-Richelieu a changé de nom pour MRC de Pierre-De Saurel le 7 juin 2007. L'appellation « Le Bas-Richelieu » (MRC) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Lebel-sur-QuévillonVilleQuévillonnais, Quévillonnaise (1970*)
Le BicSecteur (de la ville de Rimouski)Bicois, Bicoise (1925) 
[BI-KOI/KOIZ]
Variante (s) : Bikois.
Commentaire : La municipalité du Bic n'existe plus depuis le 16 septembre 2009, à la suite de son annexion à la ville de Rimouski. Le nom « Le Bic » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Le Centre-de-la-MauricieAncienne MRCCentre-Mauricien, Centre-Mauricienne (1986*)
Commentaire : La MRC du Centre-de-la-Mauricie n'existe plus à la suite de la création de la nouvelle ville de Shawinigan, le 1er janvier 2002. L'appellation « Le Centre-de-la-Mauricie » (MRC) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
LeclercvilleMunicipalitéLeclercvillois, Leclercvilloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Leclercville est issue du regroupement de la municipalité du village de Leclercville et de la municipalité de la paroisse de Sainte-Emmélie, le 26 janvier 2000.
LeclercvilleMunicipalité de villageVoir Leclercville (Municipalité)
LefebvreMunicipalitéLefebvrois, Lefebvroise (1986*)
[LE-FÈ-VROI/VROIZ]
Le Fjord-du-SaguenayMRCSaguenayen, Saguenayenne (1986*)
Variante (s) : Saguenéen.
Le GardeurSecteur (de la ville de Repentigny)Le Gardeurois, Le Gardeuroise (1984*)
Variante (s) : Legardeurois; Saint-Paul-Ermitois (1980).
Commentaire : La ville de Le Gardeur n'existe plus depuis le 1er juin 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Repentigny. Le nom « Le Gardeur » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. L'ancienne dénomination de Le Gardeur était « Saint-Paul-l'Ermite ».
Bibliographie : ANONYME (1985), Le Citadin, Le Gardeur, p. 27. FOISY, Gilles (1985), Communiqués du maire, Le Gardeur, no 30, p. 6.
Le Haut-RichelieuMRCHaut-Richelain, Haut-Richelaine (1986*)
Bibliographie : ANONYME (1986), « Au conseil de la MRC », dans Le Canada français, Saint-Jean, 19 février, p. A-16.
Le Haut-Saint-FrançoisMRCHaut-Franciscois, Haut-Franciscoise (1986*)
Commentaire : Le constituant Franciscois provient de la forme latine Franciscus, « qui a rapport à François ».
Le Haut-Saint-MauriceAncienne MRCHaut-Mauricien, Haut-Mauricienne (1989)
Commentaire : La MRC du Haut-Saint-Maurice n'existe plus à la suite de la création de la nouvelle ville de La Tuque, le 26 mars 2003. L'appellation « Le Haut-Saint-Maurice » (MRC) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
LejeuneMunicipalitéLejeunois, Lejeunoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Godard-de-Lejeune est devenue la municipalité de Lejeune, le 2 février 1991.
LemieuxMunicipalitéLemieulois, Lemieuloise (2012*)
Le MoyneSecteur (de la ville de Longueuil)Lemoynois, Lemoynoise (1985*)
Commentaire : La ville de LeMoyne n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Longueuil. Le nom « Le Moyne » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville et sa graphie a été corrigée. La graphie en un seul mot du gentilé s'explique par le fait que le nom de cette ancienne ville était ainsi orthographié.
LennoxvilleArrondissement (de la ville de Sherbrooke)Lennoxvillois, Lennoxvilloise (1984)
Lennoxviller (1984) (forme anglaise)
Commentaire : La ville de Lennoxville n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sherbrooke. Le nom « Lennoxville » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville.
L'ÉpiphanieMunicipalité de paroisseÉpiphanien, Épiphanienne (1985)
L'ÉpiphanieVilleÉpiphanien, Épiphanienne (1978*)
Variante (s) : Épiphanois.
Bibliographie : DOUCETTE, Dany (1986a), « Épiphanien, Épiphanois ou autre? » , dans L'Artisan, Repentigny, 11 février, p. 26. DOUCETTE, Dany (1986b), « En bref, L'Épiphanie. Gentilé... » , dans L'Artisan, Repentigny, 4 mars, p. 15.
LéryVilleLéryverain, Léryveraine (1986*)
Commentaire : La finale -verain adjointe à -ry- témoigne de la situation géographique de la ville, établie sur le bord du Saint-Laurent.
Les BasquesMRCBasque (1986*)
Commentaire : Le Pays Basque français a généré un gentilé identique au nom de lieu souche, procédé repris pour établir celui de la MRC des Basques québécoise.
Les BecquetsMunicipalité de villageVoir Saint-Pierre-les-Becquets (Municipalité)
Les BergeronnesMunicipalitéBergeronnais, Bergeronnaise (1978*)
Variante (s) : Bergeronnet.
Commentaire : La municipalité des Bergeronnes est issue du regroupement de la municipalité du canton de Bergeronnes et de la municipalité du village de Grandes-Bergeronnes, le 29 décembre 1999. Le gentilé Bergeronnais, Bergeronnaise avait été adopté par résolution en 1978, par la municiplité du village de Grandes-Bergeronnes. La variante Bergeronnet semble vraisemblablement inspirée par Champlain lui-même qui mentionne dans son récit de voyage la bergeronnette, soit l'hirondelle de mer, dont Bergeronnes tire par ailleurs son origine. Notons l'identité phonique au masculin des deux gentilés.
Bibliographie : HOVINGTON, Raphaël (1984), « Chacun son tour », dans Plein Jour sur la Manicouagan, Baie-Comeau, 18 avril, p. 15.
Les BoulesSecteur (de la ville de Métis-sur-Mer)Boulois, Bouloise (1986*)
Commentaire : La municipalité des Boules n'existe plus depuis le 4 juillet 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Métis-sur-Mer. Le nom « Les Boules » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Les CèdresMunicipalitéCèdreau, Cèdrelle (1978*)
Variante (s) : Cédraud (1969); Cédreau.
Les CoteauxMunicipalitéCoteaulois, Coteauloise (1995*)
Commentaire : La municipalité des Coteaux est issue du regroupement des municipalités des villages de Coteau-Landing et de Coteau-Station, le 18 mai 1994. Celles-ci disposaient d'un gentilé reconnu, respectivement Coteau-Landais et Stationnois adoptés par les autorités municipales concernées en 1986. Le « l » de passage retenu dans Coteaulois vise à pallier tout hiatus fâcheux.
Les ÉboulementsMunicipalitéÉboulois, Ébouloise (1870*)
Variante (s) : Éboulementais; Éboulin (1792).
Commentaire : Philippe Aubert de Gaspé mentionne le gentilé Éboulois à deux reprises dans ses Mémoires, parues d'abord en 1885 et rééditées en 1971. Une goélette, L'Ébouloise, a été construite en 1855 à Saint-Joseph-de-la-Rive.
Les ÉcureuilsVillage (de la ville de Donnacona)Écureuillois, Écureuilloise (1981)
Les EscouminsMunicipalitéEscouminois, Escouminoise (1978*)
Les EscouminsRéserve indienneVoir Essipit (Réserve indienne)
Commentaire : La réserve indienne des Escoumins est devenue la réservé indienne d'Essipit en 1996.
Les EtcheminsMRCEtchemin, Etchemine (1986*)
Les HauteursMunicipalitéHauteurois, Hauteuroise (1992*)
Les Îles-de-la-MadeleineMunicipalitéMadelinot, Madelinienne (1986*)
Commentaire : La municipalité des Îles-de-la-Madeleine est issue du regroupement de la municipalité du village de Cap-aux-Meules et des municipalités de Fatima, de Grande-Entrée, de Havre-aux-Maisons, de L'Étang-du-Nord et de L'Île-du-Havre-Aubert, le 1er janvier 2002. Le féminin particulier du gentilé s'explique par le rapprochement non souhaitable avec le mot « linotte » qu'engendrerait la forme régulière Madelino(t)te.
Les Jardins-de-NapiervilleMRCJardinois, Jardinoise (1986*)
Les LaurentidesMRCLaurentien, Laurentienne (1985)
Les MaskoutainsMRCMaskoutain, Maskoutaine (1986*)
Les MéchinsMunicipalitéMéchinois, Méchinoise (1976*)
Variante (s) : Méchois; Michinaud (1969).
Commentaire : La connotation particulière que peut suggérer le gentilé ne paraît incommoder que fort peu localement puisqu'une douzaine d'attestations ont pu être relevées. Nous en voulons également pour preuve l'ouvrage publié en 1983 sur l'histoire de la municipalité dont le titre ne laisse subsister d'équivoque à cet égard : Bribes d'histoire Méchinoise.
Bibliographie : ANONYME (1985), « Maison des jeunes » , dans La Seigneurie, Boucherville, 6 mars, p. 44.
Les MoulinsMRCMoulinois, Moulinoise (1986*)
Bibliographie : MINY, Danièle (1986), « Moulinier, Moulinéen, Moulinois » , dans La Revue, Terrebonne, 18 février, p. 5.
Les SaulesQuartier (de la ville de Québec)Saulois, Sauloise (1978)
Les Sept-Cantons-Unis-du-SaguenayAncienne municipalité de cantons unisSeptcantonnien, Septcantonnienne (1986*)
Commentaire : La municipalité des cantons unis des Sept-Cantons-Unis-du-Saguenay n'existe plus depuis le 1er janvier 1989, par suite d'une regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie du territoire non organisé de Lac-au-Brochet. L'appellation « Les Sept-Cantons-Unis-du-Saguenay » (Municipalité de cantons unis) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Les Trois-VillagesThree Villager (1992) (forme anglaise)
Commentaire : Cette appellation, qui correspond au territoire regroupé de la nouvelle municipalité de Stanstead, est largement utilisée localement, surtout dans les raisons sociales. Il identifie les secteurs de Beebe, de Rock Island et de l'ancienne municipalité de Stanstead. En anglais, The Three Villages a donné naissance au gentilé signalé. Ces trois anciennes entités municipales sont également fréquemment évoquées comme « Les Villes frontalières », en raison de leur position géographique à la frontière du Québec et des Étas-Unis. Probablement que la désignation « Les Trois-Villages » et le gentilé dérivé s'estomperont peu à peu de l'usage en vertu de la fusion des municipalités constituantes concrétisée officiellement en février 1995. L'appellation « Les Trois-Villages » n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
LetangVillage (de la ville de Témiscaming)Letangeois,Letangeoise (1986*)
[LE-TAN-JOI/JOIZ]
Commentaire : La municipalité de Letang n'existe plus depuis le 26 mars 1988, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Témiscaming. Le nom « Letang » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
LetellierAncienne municipalité de cantonLetellien, Letellienne (1986*)
Commentaire : La municipalité du canton de Letellier n'existe plus depuis le 1er janvier 1989, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie du territoire non organisé de Lac-Walker. L'appellation « Letellier » (Municipalité de canton) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Le Val-Saint-FrançoisMRCValfranciscois, Valfranciscoise (1986*)
Commentaire : Pour l'explication du gentilé, voir Le Haut-Saint-François (MRC).
Le Vieux-LongueuilArrondissement (de la ville de Longueuil)Vieux-Longueuillois, Vieux-Longueuilloise (1987)
Lévis, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeLévisien, Lévisienne (1983)
Variante (s) : Lévisois (1980).
LévisRégionLévisien, Lévisienne (1928)
Commentaire : L'appellation « Lévis » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
LévisVilleLévisien, Lévisienne (1895)
Commentaire : L'hebdomadaire Le Lévisien, bien qu'ayant connu une carrière fort éphémère du 3 au 22 novembre 1924, témoigne de l'importance du gentilé dès cette époque.
L'Île-BizardSecteur (de la ville de Montréal)Bizardien, Bizardienne (1978*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Raphaël-de-l'Île-Bizard est devenue la ville de L'Île-Bizard, le 18 janvier 1995. Celle-ci n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Montréal. Le nom « L'Île-Bizard » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
L'Île-CadieuxVilleCadilois, Cadiloise (1986*)
Commentaire : Correction apportée au gentilé avec la suppression de l'accent circonflexe.
L'Île-d'AnticostiMunicipalitéAnticostien, Anticostienne (1986*)
L'Île-du-Grand-CalumetMunicipalité Calumettan, Calumettane (1984*)
Variante (s) : Insulaire.
Commentaire : Ce gentilé existe « depuis très longtemps » selon la secrétaire-trésorière, qui signale dans une lettre qu'elle nous adressait le 6 février 1986, que le « feu ayant détruit beaucoup de documents », il demeure impossible de fixer la date de la première attestation. L'année 1971 constitue la datation la plus ancienne identifiée. La municipalité de Grand-Calumet est devenue le municipalité de L'Île-du-Grand-Calumet, le 22 décembre 2007.
L'Île-du-Havre-AubertMunicipalitéVoir Havre-Aubert (Village)
L'Île-NepawaVillage (de la municipalité de Clerval)Népawasien, Népawasienne (1986*)
Commentaire : Gentilé officialisé par les autorités municipales de Clerval.
L'Île-PerrotVillePerrotois, Perrotoise (1986*)
LimoilouSecteur (de la ville de Québec)Limoulois, Limouloise (1980)
Commentaire : Le procédé qui consiste à intervertir les deux dernières syllabes du nom de lieu pour élaborer le gentilé apparaît très heureux, compte tenu de la difficulté soulevée par la finale -ou pour la dérivation.
LingwickMunicipalité de cantonLingwickois, Lingwickoise (2014*)
L'Isle-aux-CoudresMunicipalitéCoudrilois, Coudriloise (2002*)
Commentaire : La municipalité de L'Isle-aux-Coudres est issue du regroupement de la municipalité de Saint-Bernard-de-l'Île-aux-Coudres et de la municipalité de la paroisse de Saint-Louis-de-l'Isle-aux-Coudres, le 5 janvier 1994, ainsi que de la municipalité de La Baleine, la 23 août 2000. Le gentilé « Coudrilois, oise » a été retenu par résolution, le 12 août 2002. Cette résolution fait aussi état du souhait exprimé par la Municipalité de retenir le blason populaire « Marsouin, ouinne ».
L'Islet, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeL'Isletain, L'Isletaine (1980)
[LI-LÈ-TIN/TENNE]
Commentaire : De 1867 à 1873, la circonscription électorale connue présentement sous le nom de Montmagny-L'Islet était scindée en Montmagny et en L'Islet, usage qui a prévalu jusqu'à maintenant sur un plan local. L'appellation « Circonscription électorale de L'Islet » n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
L'IsletMunicipalitéL'Isletois, L'Isletoise (1981*)
[LI-LÈ-TOI/TOIZ]
Variante (s) : L'Isletain (1920).
Commentaire : Le frère Marie-Victorin, dans ses Croquis laurentiens, semble être le premier à avoir utilisé le gentilé L'Isletain.
L'IsletMRCL'Isletois, L'Isletoise (1986*)
[LI-LÈ-TOI/TOIZ]
L'Islet-sur-MerVillage (de la municipalité de L'Islet)L'Isletain, L'Isletaine (1982)
[LI-LÈ-TIN/TENNE]
Commentaire : La municipalité de L'Islet-sur-Mer n'existe plus depuis le 1er janvier 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de L'Islet. Le nom « L'Islet-sur-Mer » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
L'Isle-VerteMunicipalitéIsle-Vertois, Isle-Vertoise (1985*)
[IL-VER-TOI/TOIZ]
Commentaire : La municipalité de L'Isle-Verte est issue du regroupement de la municipalité du village de L'Isle-Verte et de la municipalité de Saint-Jean-Baptiste-de-l'Isle-Verte, le 9 février 2000.
L'Isle-VerteMunicipalité de villageVoir L'Isle-Verte (Municipalité)
LochaberMunicipalité de cantonLochabérien, Lochabérienne (1986*)
[LO-KA-BÉ-RYIN/RYENNE]
Lochaber-Partie-OuestMunicipalité de cantonLochabérais, Lochabéraise (1986*)
[LO-KA-BÉ-RÈ/RÈZ]
Loiselle, RueRue (de la ville d'Acton Vale)Loisellois, Loiselloise (1986)
Longue-PointeMunicipalitéVoir Longue-Pointe-de-Mingan (Municipalité)
Longue-Pointe-de-MinganMunicipalitéPaspaya (vers 1950*)
Commentaire : La municipalité de Longue-Pointe est devenue la municipalité de Longue-Pointe-de-Mingan, le 5 avril 1997. La majorité des citoyens de Longue-Pointe sont originaires de Paspébiac et, à la suite d'une consultation de la part de la municipalité, désirent conserver à titre de gentilé leur surnom qui provient de la déformation sur le plan de la prononciation du nom de leur patrie. Cf. également les Cayens de Havre-Saint-Pierre, les Paspéyas de Paspébiac, les Bigiquois de Saint-Alphonse,...
Longue-RiveMunicipalitéLongue-Rivois, Longue-Rivoise (2000)
Commentaire : La municipalité de Saint-Paul-du-Nord et la municipalité du village de Sault-au-Mouton se sont regroupées pour forme la municipalité de Saint-Paul-du-Nord–Sault-au-Mouton, le 28 mai 1997. Celle-ci est devenue la municipalité de Longue-Rive, le 10 octobre 1998.
LongueuilVilleLongueuillois, Longueuilloise (1905)
Variante (s) : Néo-Longueillois (sic).
Commentaire : Longueuil avait pour nom anciennement Nouvelle-Longueuil, car il rappelait un village de Normandie homonyme, patrie de Charles Le Moyne.
Bibliographie : ANONYME (1917), « Longueuil » , dans L'Action française, Montréal, no 1.
L'Or-BlancAncienne MRCOr-Blanois, Or-Blanoise (1986*)
Commentaire : La MRC de L'Or-Blanc est devenue la MRC d'Asbestos, le 4 juillet 1990, puis la MRC des Sources, le 22 avril 2006.
L'Or-BlancRégionOrblanois, Orblanoise (1986)
Commentaire : L'appellation « L'Or-Blanc » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
LorettevilleSecteur (de la ville de Québec)Lorettevillois, Lorettevilloise (1933)
Variante (s) : Lorettain (1900); Lorettevillien.
Commentaire : La ville de Loretteville n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Québec. Le nom « Loretteville » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Anciennement dénommée La Jeune Lorette et Saint-Ambroise-de-la-Jeune-Lorette parce que les Hurons installés à Lorette avaient transporté leurs pénates sur le territoire actuel de Loretteville pour repartir quelque temps plus tard à Lorette devenue ainsi L'Ancienne Lorette, ce va-et-vient a sans doute provoqué l'émergence du gentilé Lorettain pour identifier les Lorettevillois. Or, ce sont les citoyens de L'Ancienne-Lorette qui portent officiellement ce nom et la facture même de Loretteville requiert Lorettevillois usité de plus en plus fréquemment. Le journal des anciens du collège de Loretteville s'intitulait Le Lorettain vers 1944. voir L'Ancienne-Lorette (Ville).
Bibliographie : COLLARD, Marcel (1982), « Foi de « Lorettain », dans Le Soleil, Québec, 7 octobre, p. A-7. LEFRANÇOIS, Alain (1983), « Lorettains et Lorettevillois, une question de toponymie », dans L'Élan, L'Envol, L'Éventail, L'Ancienne-Lorette, 21 décembre, p. 11.
LorraineVilleLorrain, Lorraine (1981*)
Variante (s) : Lorrainnois; Lorrainois.
Commentaire : Le bulletin municipal de Lorraine a pour titre Le Lorrain.
LorrainvilleMunicipalitéLorrainvillois, Lorrainvilloise (1980*)
Commentaire : La municipalité de Lorrainville est issue du regroupement de la municipalité du village de Lorrainville et de la municipalité de la paroisse de Notre-Dame-de-Lourdes-de-Lorrainville, le 16 février 1994.
LorrainvilleMunicipalité de villageVoir Lorrainville (Municipalité)
LotbinièreMunicipalitéLotbiniérain, Lotbiniéraine (2019*); Lotbiniérien, Lotbiniérienne (1987)
LotbinièreRégionLotbiniérien, Lotbiniérienne (1973)
[LO-BI-NYÉ-RYIN/RYENNE] ou [LOTE-BI-NYÉ-RYEN/RYENNE]
LotbinièreMRCLotbiniérois, Lotbiniéroise (1986*)
[LO-BI-NYÉ-ROI/ROIZ] ou [LOTE-BI-NYÉ-ROI/ROIZ]
LouisevilleVilleLouisevillois, Louisevilloise (1978*)
Variante (s) : Louisevillais (1949); Louisevillien; Ludovicapolitain (1949).
Commentaire : La variante Ludovicapolitain résulte de la transposition en latin de Louise, Ludovica (« relatif à Louise » ) et de politanus, « qui a rapport à la ville » , ce dernier terme étant représenté en grec par la forme polis. Il s'agit, selon toute vraisemblance, d'un gentilé humoristique.
Bibliographie : DÉSAULNIERS, Roger (1986), « À Louiseville, il y a des louisevillois (sic) » , dans L'Écho de Louiseville, Louiseville, 19 février, p. 8. DIONNE, J.-André (1986), « Les gens de Louiseville sont des Louisevillois et des Louisevilloise (sic) » , dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 13 février, p. 14.
LowMunicipalité de cantonLowite (1984*) (forme anglaise)
LucevilleSecteur (de la municipalité de Sainte-Luce)Lucevillois, Lucevilloise (1985)
Commentaire : La municipalité du village de Luceville et la municipalité de la paroisse de Sainte-Luce se sont regroupées pour former la municipalité de Sainte-Luce–Luceville, le 29 août 2001. Celle-ci est devenue la municipalité de Sainte-Luce, le 27 avril 2002.
LysterMunicipalitéLysterois, Lysteroise (2006*)
LyttonAncienne municipalité de cantonLyttonnien, Lyttonnienne (1986*)
Commentaire : La municipalité du canton de Lytton n'existe plus depuis le 19 septembre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Montcerf-Lytton. L'appellation « Lytton » n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Bibliographie : MILLAR, Charles (1986), « Comment doit-on appeler les gens de Lytton? Les Lyttonniens », dans la Gazette, Maniwaki, 19 mai, p. 5.
MacamicVilleMacamicois, Macamicoise (1937*)
Variante (s) : Makamicois; Makamikois.
Commentaire : La variante avec k est tributaire d'une hésitation orthographique pour le nom de la ville à ses débuts.
Maddington FallsMunicipalitéMaddinois, Maddinoise (2014*)
Madeleine, Îles de laÎles Madelinot, Madelinienne (1850); Magdalen Islander (1973) (forme anglaise)
Variante (s) : Madeleinien (1916); Madelenien; Madelénien; Madelinais; Madelineur; Madelinien; Madelinois (1948); Madelonien (1947); Magdaléen (1926); Magdalinéen; Magdalener (forme anglaise).
Commentaire : La prolifération de variantes constitue ici un phénomène exceptionnel et s'explique, d'une part, par l'ancienneté de la dénomination et d'autre part, par les difficultés dérivationnelles qu'elle soulève. La forme féminine spécifique Madelinienne, largement attestée depuis les années 1960 alors que Madelinot remonte au milieu du XIXe siècle, se justifie en raison de la proximité gênante qu'entretient la forme courante Madelinote avec linotte. Cependant, la longue tradition de Madelinot a milité en faveur de son maintien, mais avec substitution d'une forme féminine plus neutre. Par ailleurs, au cours des dernières années un journal des Îles a tenté d'implanter, sans succès apparent, le gentilé Madeleinien, einienne. Le chansonnier madelinot Georges Langdford a récemment précisé à cet égard son identité de Madelinot et non de Madeleinien comme le laisserait croire un journal local (Le Soleil, 18 novembre 1985, p. 17). L'historien Robert Rumilly a soutenu, à tort que le frère Marie-Victorin avait la paternité de la création de ce gentilé mentioné dans ses Croquis laurentiens, car il figure déjà sous la plume d'un certain abbé Bélanger, dans une lettre datée du printemps 1850. Les variantes du type Magdaléen, Magdalinéen et Magdalener sont issues d ela forme latine de Madeleine, Magdala.
Bibliographie : DELTA, Alpha [pseudonyme] (1927), « Les îles de la Madeleine et les Madelinots. À propos d'un livre récent », dans Nova Francia, Paris, vol. 2, no 5, p. 224-228. GAUDET, Rose-Délima (1986), « Quels noms portent les habitants des îles », dans Le Radar, Cap-aux-Meules, 20 octobre, p. 15. ROY, Pierre-Georges (1940), « Madelinots », dans Les Mots qui restent, vol. II, Québec, Garneau, p. 208-209.
MagogMunicipalité de cantonVoir Magog (Ville)
MagogVilleMagogois, Magogoise (1930)
[MA-GO-GUOI/GUOIZ]
Variante (s) : Magogais; Magogeois.
Commentaire : La nouvelle ville de Magog est issue du regroupement de la ville de Magog, de la municipalité du canton de Magog et de la municipalité du village d'Omerville, le 9 octobre 2002.
MagpieVillage (de la municipalité de Rivière-Saint-Jean)Magpien, Magpienne (1897)
MaillardHameau (de la municipalité de Petite-Rivière-Saint-François)Maillardien, Maillardienne (1986)
MalarticVilleMalarticois, Malarticoise (1979*)
MaliotenamRéserve indienneApituamissiulnu (1991) (forme innue)
Variante (s) : Mictacipiwilnu (1931) (forme innue).
Commentaire : En innu, Maliotenam se dit Apituamiss. La variante a pour signification : « peuple de la Grande Rivière ».
MandevilleMunicipalitéMandevillois, Mandevilloise (1982*)
Variante (s) : Mandevilois.
Commentaire : La municipalité de Saint-Charles-de-Mandeville est devenue la municipalité de Mandeville, le 2 juin 2001.
ManicouaganMRCManicois, Manicoise (1986*)
Bibliographie : ANONYME (1986), « Le gentilé de la MRC », dans Plein Jour sur la Manicouagan, Baie-Comeau, 8 avril, p. 17. HOVINGTON, Raphaël (1986), « Vous êtes des manicois et manicoises », dans Plein Jour sur la Manicouagan, Baie-Comeau, 27 mai.
ManicouaganRégionManicois, Manicoise (1989)
Commentaire : La forme abrégée Manic est largement usitée pour Manicouagan, comme par exemple, pour le réservoir Manic Deux. L'appellation « Manicouagan » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Manicouagan, RivièreRivièreManikuakanishtikulnu (1991) (forme innue)
Variante (s) : Manikuakanistukulnu (1980).
Commentaire : Le gentilé se traduit par : « Indien de la rivière Manicouagan ».
ManiwakiVilleManiwakien, Maniwakienne (1981)
ManseauMunicipalitéMansois, Mansoise (1984*)
Mansfield-et-PontefractMunicipalitéMansfieldien, Mansfieldienne (2011*)
MansonvilleVillage (de la municipalité du canton de Potton)Mansonviller (1983) (forme anglaise)
Maple GroveSecteur (de la ville de Beauharnois)Acervillois, Acervilloise (1988*)
Commentaire : La ville de Maple Grove n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Beauharnois. Le nom « Maple Grove » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. La difficulté dérivative soulevée par la dénomination municipale a été palliée en recourant au latin acer, « érable » pour rendre Maple alors que la terminaison -villois évoque le statut de ville de l'endroit.
Bibliographie : HÉBERT, Lise (1989), « Gentilé », dans Maple-Grove, en se racontant un territoire, 1918-1988, Maple Grove, p. 63.
Marguerite-D'YouvilleMRCD'Youvillois, D'Youvilloise (2010*)
Commentaire : La MRC de Lajemmerais est devenue la MRC de Marguerite-D'Youville, le 12 février 2011.
MariaMunicipalitéMarien, Marienne (1981*)
Variante (s) : Marial (1960); Martien.
Maria-ChapdelaineMRCChapdelainois, Chapdelainoise (1986*)
MaricourtMunicipalitéMaricourtois, Maricourtoise (1985*)
MarievilleVilleMarievillois, Marievilloise (1978*)
Bibliographie : ANONYME (1986), « Marievillois » , dans Le Canada français, Saint-Jean, 26 février, p. A-14.
MarsboroHameau (de la municipalité de canton de Marston)Marsborois, Marsboroise (2014*)
[MAS-BO-ROI/ROIZ]
Commentaire : Le premier R de ce gentilé n'est généralement pas prononcé.
MarsouiMunicipalité de villageMarsois, Marsoise (1988*)
MarstonMunicipalité de cantonMarstonnais, Marstonnaise (1986*)
MartinvilleMunicipalitéMartinvillois, Martinvilloise (1985*)
MascoucheVilleMascouchois, Mascouchoise (1976*)
Variante (s) : Mascoutain.
Commentaire : Il demeure probable que la variante soit issue du rapprochement de Mascouche et Maska, ancienne dénomination de Saint-Hyacinthe; d'ailleurs Mascou(che) appelle Mascou(tain) presque spontanément.
Mascouche HeightsSecteur résidentiel (de la ville de Mascouche)Mascouchois, Mascouchoise (1986)
Bibliographie : BOUCHARD, Marc (1986), « Selon le répertoire des gentilés les Maskoutains sont légion! » , dans Courrier de Saint-Hyacinthe, Saint-Hyacinthe, 19 février, p. 16.
Masham-NordAncienne municipalité de cantonMashamois, Mashamoise (1981)
Commentaire : La municipalité du canton de Masham-Nord n'existe plus depuis 1975, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de La Pêche. L'appellation « Masham-Nord » (Municipalité de canton) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
MashteuiatshRéserve indiennePiekuakamiulnu (1991) (forme innue)
Variante (s) : Peikuakamiulnu (1980) (forme innue); Peikuakamiunnu (1980).
Commentaire : Le dérivé gentiléen met à contribution le nom innu du lac Saint-Jean, Piekouagami ou Piekukamiu et souligne la position géographique de la réserve sur les bords de ce plan d'eau. Jadis, celle-ci portait le nom de Pointe-Bleue. Au pluriel, le gentilé prend la forme de Piekuakami Ilnutsh. Quant aux variantes, elles sont signalées dans Mailhot et Vincent (1980), p. 135-136 et mettent à profit l'interversion du groupe vocalique initial.
Maskinongé, Circonscription électorale de Circonscription électorale provincialeMaskinongeois, Maskinongeoise (1970)
MaskinongéMunicipalitéMaskinongeois, Maskinongeoise (1880)
Variante (s) : Maskinongéais; Maskinongéen.
Commentaire : La municipalité de Maskinongé est issue du regroupement de la municipalité du village de Maskinongé et la municipalité de la paroisse de Saint-Joseph-de-Maskinongé, le 25 avril 2001.
MaskinongéMunicipalité de villageVoir Maskinongé (Municipalité)
MassonVilleVoir Masson-Angers (Secteur)
Masson-AngersSecteur (de la ville de Gatineau)Massonnois, Massonnoise (1986*)
Variante (s) : Masonnois (1985).
Commentaire : La ville de Masson-Angers n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Gatineau. Le nom « Masson-Angers » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
MassuevilleMunicipalité de villageMassuevillois, Massuevilloise (1986*)
Bibliographie : ST-GERMAIN, Huguette (1986), « Massuevillois! Massuevilloises! », dans La Voix, Sorel, 10 mars, p. 13.
MatagamiVilleMatagamien, Matagamienne (1978*)
Matane, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeMatanais, Matanaise (1978)
MataneVilleMatanais, Matanaise (1929*)
Variante (s) : Matanois, Matanoise
Commentaire : Étant donné que la variante constitue un hapax, soit une seule attestation isolée, il peut s'agir d'une coquille typographique.
MatapédiaMunicipalitéMatapédien, Matapédienne (1986*)
MatapédiaRégionMatapédien, Matapédienne (1915)
MatawinieMRCMatawinien, Matawinienne (1985*)
Bibliographie : Rainville, Francine (1986), « Les Matawiniens », dans Journal L'Action, Joliette, 25 mars, p. A-6.
MatawinieRégionMattawinien, Mattawinienne (1978)
Variante (s) : Matawinien; Mattawin (1972).
Commentaire : Région des Laurentides colonisée vers 1860, la Matawinie, parfois orthographiée Mattawinie, anciennement la Mantavaisie ou la Mantawa, débute à Sainte-Émélie-de-l'Énergie et englobe Saint-Zénon, Saint-Michel-des-Saints, Saint-Guillaume et Saint-Ignace-du-Lac. Quant à la graphie, nous avons respecté les formes les plus usitées relevées, celle ne comportant qu'un seul t figurant une seule fois dans notre corpus, encore qu'elle se révèle plus orthodoxe. À cet égard, le géographe Christian Morissonneau tout particulièrement s'en est fait le promoteur à bon droit. L'appellation « Matawinie » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
MatimekoshRéserve indienneSchefferville Innu (1980) (forme innue)
Variante (s) : Naplekinnu (1980) (forme innue).
Commentaire : La variante a pour sens « Indiens de Knob Lake », Knob Lake, en français Lac Knob, sur les bords duquel la ville de Schefferville a été érigée, ayant été emprunté sous la forme Naplek par l'innu. Une dizaine de familles de Maliotenam ont installé un campement, en 1956, près du lac Knob. Schefferville Innut, « Indiens de Schefferville », demeure le nouveau terme de désignation collective.
MauricieRégion administrativeMauricien, Mauricienne (1934)
Variante (s) : Mauriçois.
Commentaire : Un journal destiné à la population de la Mauricie a paru pour la première fois en 1936 sous le titre : Le Mauricien.
MayoMunicipalitéMayolois, Mayoloise (1992*)
Commentaire : La finale vocalique du nom municipal justifie la présence de la consonne de passage l.
McMastervilleMunicipalitéMcMastervillois, McMastervilloise (1978*)
Commentaire : La municipalité du village de McMasterville a changé son statut pour celui de municipalité, le 11 février 1995, puis pour celui de ville, le 5 août 2023.
McWattersSecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Jévissois, Jévissoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de McWatters n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. Le nom « McWatters » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. La population locale identifie le berceau de la municipalité à l'endroit où se situait l'ancien pont qui enjambait la rivière Kinojévis. Cette dernière cristallise le sentiment d'appartenance des citoyens de McWatters puisque de nombreuses activités populaires se déroulaient sur ses rives, la plupart des familles en tiraient leur subsistance (travail au moulin à scie, flottage du bois, etc.). Tout naturellement, le gentilé qui a été proposé lors d'une consultation populaire provient d'un élément constitutif du nom du cours d'eau prononcé [KI-NO-JÉ-VISSE].
Mégantic, Circonscription électorale de Ancienne circonscription électorale provincialeMéganticois, Méganticoise (1978)
Commentaire : Depuis 1973, la circonscription porte l'appellation double de Mégantic-Compton, alors que depuis 1867 la majorité du territoire coiffé par cette appellation était identifié sous le nom de Mégantic.
MékinacMRCMékinacois, Mékinacoise (1986*)
MelbourneSecteur (de la ville de Richmond)Melbournois, Melbournoise (1985*) Melbournite (1984) (forme anglaise)
Commentaire : La municipalité du village de Melbourne n'existe plus depuis le 29 décembre 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Richmond. Le nom « Melbourne » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
MelochevilleSecteur (de la ville de Beauharnois)Melochevillois, Melochevilloise (1981)
Commentaire : La municipalité du village de Melocheville n'existe plus depuis 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Beauharnois. Le nom « Melocheville » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
MercierVilleMercierois, Mercieroise (1985*)
Variante (s) : Merciérois.
Méruimticook, LacLacMéruimticookois, Méruimticookoise (1977)
Commentaire : Le gentilé s'applique à ceux qui résident sur les bords du lac de façon intermittente ou qui s'y rendent régulièrement.En 1986, le nom de ce lac a été changé pour « Lac Jerry ».
MessinesMunicipalitéMessinois, Messinoise (1984*)
MétabetchouanSecteur (de la ville de Métabetchouan–Lac-à-la-Croix)Métabetchouanais, Métabetchouanaise (1986*)
Commentaire : La ville de Métabetchouan n'existe plus depuis le 6 janvier 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Métabetchouan–Lac-à-la-Croix. Le nom « Métabetchouan » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Métis RégionMétissien, Métissienne (1969) Metissian (1978) (forme anglaise)
Commentaire : L'appellation « Métis » (Région) n'a pas été officialisés à ce jour par la Commission de toponymie. Voir Mitis (Région).
Métis-sur-MerVilleMétissien, Métissienne (1976*)
Variante (s) : Métisien (1969).
Commentaire : La ville de Métis-sur-Mer est issue du regroupement de la municipalité des Boules et de la municipalité du village de Métis-sur-Mer, le 4 juillet 2002. La graphie retenue pour le gentilé est davantage conforme à la prononciation de Métis [MÉ-TISSE] que celle de la variante.
MilanMunicipalitéMilanois, Milanoise (1986*);
Milanite (1983) (forme anglaise)
Mille-IslesMunicipalitéMille-Islois, Mille-Isloise (2010*)
Mille-Isler (1980) (forme anglaise)
MinganRéserve indienneEkuanitshiulnu (1991) (forme innue); Kwaanichiiw-iiyuw (1994) (forme naskapie)
Variante (s) : Akwandjiwilnut (1931) (forme innue plurielle; Akwaniciwinnu (1981) (forme innue); Ekuantshiunnu (1980) (forme innue).
Commentaire : Les deux variantes ont respectivement pour sens : « peuple de l'endroit où quelque chose est échoué » et « peuple des objets rejetés sur la côte » . En innu, on utilise Ekuanitshu ou Ekkuântshiht pour désigner la réserve de Mingan.
MinganVillage (de la municipalité de Longue-Pointe-de-Mingan)Minganien, Minganienne (1897)
MinganieMRCMinganois, Minganoise (1986*)
MinganieRégionMinganien, Minganienne (1935)
MirabelVilleMirabellois, Mirabelloise (1980*)
Commentaire : Certains commentateurs ont argué que le gentilé ne devrait comporter qu'un seul l, car le nom de la ville n'est pas Mirabelle. Or, l'usage constant et exclusif de Mirabellois de même que la sanction municipale non équivoque ne laisse aucun doute quant au gentilé à retenir.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Dans la grand-rue ... et ailleurs. Gentilé : Mirabellois », dans L'Argenteuil, Lachute, 4 mars, p. A2. BILODEAU, Benoît (1986), « En direct de l'hôtel de ville de Mirabel. Gentilé » , dans l'Éveil des Deux-Rives, Saint-Eustache, 25 février, p. 16.
Mistassini, LacLacMistashiniunnu (1980) (forme innue)
MistassiniRégionMistassin, Mistassine (1974)
Variante (s) : Mistassinien (1971).
Commentaire : L'appellation « Mistassini » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
MistassiniSecteur (de la ville de Dolbeau-Mistassini)Mistassinien, Mistassinienne (1955*)
Variante (s) : Mistassin (1672); Mistassirinin (1672); Mystassin (1697). 
Commentaire : La ville de Mistassini n'existe plus depuis le 17 décembre 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Dolbeau-Mistassini. Le nom « Mistassini » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Nous fournissons les variantes qu'à titre indicatif puisqu'elles concernent un groupe amérindien qui n'entretient pas un rapport très étroit avec le territoire immédiat de la ville de Mistassini. Toutefois la forme alternative Mistassin a été en usage quelque temps à la suggestion d'un historien local.
MistissiniVillage cri et municipalité de village criMistassin, Mistassine (1672); Mistisiniiw-iiyuw (1994) (forme naskapie)
Variante (s) : Matassin (1721); Mattassin (1798); Mestassin (1676); Misstassin (1858); Mistapni (1854); Mistasiniouek (1643); Mistasirenois (1706); Mistasirini (1672); Mistasirinien (1665); Mistasirinin (1672); Mistassini (1863); Mistassinni (1863); Mistassinny (1805); Mistassirinin (1672); Mitchitamou (1640); Müstassin (1676); Mystassin (1697).
Commentaire : Ce gentilé ancien identifie, déjà au XVIIe siècle, des autochtones vivant dans les environs du lac Mistassini. La graphie actuelle, adoptée en 1992, résulte du vu des autorités locales cries. Il convient de ne pas confondre le village avec la municipalité de village cri érigée en 1979. Il s'agit de l'un des rares amérindianymes à avoir suscité autant de dérivés en langue française. Pour la forme en naskapi, on a recours à une variante graphique de Mistissini et au vocable iiyuw, « un autochtone, une personne indienne ».
Mitis RégionMitissien, Mitissienne (1978)
Commentaire : On relève de façon assez courante dans l'usage Région de la Métis et Région de Métis, même si Mitis paraît être la dénomination formellement en émergence. En conséquence, les gentilés Métissien et Mitissien demeurent répandus. L'appellation « Mitis » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie. Voir Métis (Région).
MoffetMunicipalitéMoffétois, Moffétoise (1985*)
Variante (s) : Moffétais; Moffettois (1978).
Moisie, RivièreRivièreMista-shipiunnu (1980) (forme innue)
Commentaire : Les Innus identifiaient la rivière Moisie comme Mastashibou ou Mishtashipit, cette dernière dénomination étant à l'origine du gentilé. Le nom collectif renvoie aux Amérindiens qui accédaient à leurs territoires de chasse via le cours d'eau.
MoisieSecteur (de la ville de Sept-Îles)Moisien, Moisienne (1897*)
Variante (s) : Moisiécien.
Commentaire : La ville de Moisie n'existe plus depuis le 12 février 2003, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sept-Îles. Le nom « Moisie » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Bibliographie : ANONYME (1986), Sans titre, dans Presse Côte-Nord, Sept-Îles, 8 mai.
MontbeillardSecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Montbeillardois, Montbeillardoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Montbeillard n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. Le nom « Montbeillard » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Mont-BlancMunicipalitéBlancmontois, Blancmontoise (2023*)
Mont-BrunSecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Montbrunois, Montbrunoise (1981)
Commentaire : La municipalité de Saint-Norbert-de-Mont-Brun est devenue la municipalité de Mont-Brun, le 19 juillet 1997. Celle-ci n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. Le nom « Mont-Brun » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
MontcalmQuartier (de la ville de Québec)Montcalmois, Montcalmoise (1987)
MontcalmMRCMontcalmois, Montcalmoise (2013*)
Mont-CarmelMunicipalité (de la région du Bas-Saint-Laurent)Carmelois, Carmeloise (1982)
MontcerfAncienne municipalitéMontcerfois, Montcerfoise (1985)
Commentaire : La municipalité de Montcerf n'existe plus depuis le 19 septembre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Montcerf-Lytton. L'appellation « Montcerf » (Municipalité) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Mont-Comi, Centre de plein air duBase de plein air Monkomien, Monkomienne (1982)
Commentaire : Le gentilé est tiré du nom d'un chef indien légendaire Monko. Les personnes qui fréquentent assidûment le centre portent le nom de Monkomiens. L'appellation « Centre de plein air du Mont-Comi » n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
MontebelloMunicipalité Montebellois, Montebelloise (1982*)
MontérégieRégion administrativeMontérégien, Montérégienne (1980)
Commentaire : Le Montérégien, périodique hebdomadaire, véhicule les informations d'intérêt local dans toute la région depuis peu.
Bibliographie : MORAND, Normand (1980a), « Nous sentons-nous Montérégien?  », dans Le Soleil du Saint-Laurent, Salaberry-de-Valleyfield, 12 mars. MORAND, Normand (1980b), « Sans le savoir, nous allons devenir Montérégiens », dans Le Soleil du Saint-Laurent, Salaberry-de-Valleyfield, 24 septembre.
Mont-JoliVilleMont-Jolien, Mont-Jolienne (1957*)
Variante (s) : Montjolivan; Montjolien.
Bibliographie : BOUDREAU, Roger (1986), « Les Échos municipaux de Mont-Joli », dans L'Information régionale, Mont-Joli, 11 mars, p. C-3.
Mont-LaurierVilleLauriermontois, Lauriermontoise (1984*)
Variante (s) : Laurentien (1975); Lauriémontois; Montagnard-Laurentien; Montlauréen.
Bibliographie : LYRETTE, Germain (1984), « Les gens de Mont-Laurier baptisés des Lauriermontois », dans L'Écho de la Lièvre, Mont-Laurier, 12 septembre, p. 3.
Mont-LebelSecteur (de la ville de Rimouski)Lebelmontois, Lebelmontoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Mont-Lebel n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rimouski. Le nom « Mont-Lebel » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Mont-LouisVillage (de la municipalité de Saint-Maxime-du-Mont-Louis)Mont-Louisien, Mont-Louisienne (1978)
MontmagnyMRCMagnymontien, Magnymontienne (1986*)
MontmagnyVilleMagnymontois, Magnymontoise (1971*)
Variante (s) : Magnimontois; Magnymontais; Manimontois; Manymontais; Manymontois; Montmagnien (1899); Montmagnytois; Montois.
MontmorencyRégionMontmorencéen, Montmorencéenne (1981)
Commentaire : L'appellation « Montmorency » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
MontpellierMunicipalitéMontpelliérois, Montpelliéroise (1986*)
Commentaire : La facture du gentilé présente une connotation québécoise exclusive puisque Montpelliérain sert à identifier les citoyens de Montpellier (L'Hérault) en France.
MontréalVilleMontréalais, Montréalaise (2015*, 1790)
Montrealer (1841) (forme anglaise)
Variante (s) : Hochelagan (1892) (forme anglaise); Hochelaguien; Hochelaguois; Métropolitain; Mon-Realiste (1654); Montrealais (1909); Montrealiste (1672); Montréaliste (1727); Montréalois (1934); Morialais; Morialiste (1775); Villemarien; Ville-Mariste.
Commentaire : Montréal a porté les noms successifs de Hochelaga, du temps de la bourgade indienne avant l'arrivée des Blancs, de Ville-Marie, dans les premiers temps de la colonie (« Et dès la fin du dix-septième siècle le nom de l'île devint celui de la ville [?]. Les Montréalais préféraient-ils déjà considérer toute l'île comme leur territoire? Ou en avaient-ils assez de se faire appeler des Ville-Mariste? » (MIA et KLAUS (1985), Montréal, Montréal, Libre Expression, s.p. [texte de François Barcelo]), puis de Montré(e)al vers 1725, d'où les variantes gentiléennes nombreuses relevées. Dans un cas, on a procédé à une déformation phonétique du nom de la ville, soit Morial qui a généré Morialais. En 1984, on a repris l'étiquette Montréalistes pour identifier des gens de promotion qui désirent garder à Montréal sa spécificité dans le prolongement des Montréalistes du XVIIe s.
Bibliographie : DUNN, Oscar (1884), « Curieux Mémorial », dans Nouvelles soirées canadiennes, Montréal, vol. 3, no 8, p. 360-374. MONT-ROY [pseudonyme] (1896), « Doit-on dire Montréalistes ou Montréalais en parlant des habitants de Montréal? », dans Bulletin des recherches historiques, Lévis, vol. 2, p. 192. ROY, Pierre-Georges (1897), « Montréalistes ou Montréalais », dans Bulletin des recherches historiques, Lévis, vol. 3, no 5, p. 74.
Montréal-EstVilleMontréalestois, Montréalestoise (2008*)
Montréal-NordArrondissement (de la ville de Montréal)Nord-Montréalais, Nord-Montréalaise (1987)
Commentaire : La ville de Montréal-Nord n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Montréal. Le nom « Montréal-Nord » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville.
Mont-RollandSecteur (de la ville de Sainte-Adèle)Rollandois, Rollandoise (1983)
Variante (s) : Mont-Rollois; Rollandais.
Commentaire : La municipalité du village de Mont-Rolland n'existe plus depuis le 27 août 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sainte-Adèle. Le nom « Mont-Rolland » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Mont-RoyalVilleMonterois, Monteroise (2011*); Townie (1983) (forme anglaise)
Commentaire : Le gentilé anglais provient de la première partie de l'appellation en cette langue de la ville, Town of Mont Royal. Quant à Montérégien, la dérivation latine a été mise à contribution, car royal, en latin, se dit regianus. Toutefois plusieurs citoyens n'apprécient guère ce gentilé, attribué en 1975. Il a été modifié pour Monterois en 2011.
Bibliographie : ANONYME (1986a), « Just what are people from TMR called anyway », dans The Weekly Post, Mont-Royal, 20 février. ANONYME (1986b), « On doit trouver un nom aux citoyens de Mont-Royal », dans The Weekly Post, Mont-Royal, 20 février.
Mont-Saint-GrégoireMunicipalitéGrégorien, Grégorienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Mont-Saint-Grégoire est issue du regroupement de la municipalité du village de Mont-Saint-Grégoire et de la municipalité de la paroisse de Saint-Grégoire-le-Grand, le 21 décembre 1994. Le gentilé a été tiré du dérivé latin gregorianus, « relatif à Grégoire ».
Mont-Saint-HilaireVilleHilairemontais, Hilairemontaise (2016*)
Variante (s) : Saint-Hilairien.
Mont-Saint-MichelMunicipalitéMichelmontois, Michelmontoise (1986*)
Bibliographie : DAVID, Daniel (1986), « À Mont St-Michel. Les citoyens enfin gentilés (sic) » , dans L'Écho de la Lièvre, Mont-Laurier, 27 avril, p.15.
Mont-Saint-PierreMunicipalité de villagePierremontais, Pierremontaise (1995)
Mont-TremblantVilleTremblantois, Tremblantoise (1986*)
Commentaire : La ville de Mont-Tremblant est issue du regroupement de la municipalité de Mont-Tremblant, de la ville de Saint-Jovite et de la municipalité de la paroisse de Saint-Jovite, le 22 novembre 2000.
MoosoneePartie de diocèseMuusuniiw-iyiyuch (1989) (forme naskapie)
Variante (s) : Muusuniiw-iiyuw (1994) (forme naskapie)
Commentaire : Le diocèse de Moosonee couvrait jadis une partie du Québec, dans la région de Chisasibi, et une partie de l'Ontario. Le gentilé a pour sens littéral : «Indien de Moosonee ». Les doubles voyelles u et i marquent un son long. Pour le constituant iyiyuch, se reporter à Chisasibi (Village cri).
Morin-HeightsMunicipalitéMorinheighter (1983) (forme anglaise)
MoulinsRégionMoulinois, Moulinoise (1984)
Commentaire : La région des Moulins comprend les villes de Terrebonne et de Mascouche. Un périodique, Les Moulinoises, destiné aux femmes de la région des Moulins, a été créé en 1985. L'appellation « Moulins » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
MurdochvilleVilleMurdochvillois, Murdochvilloise (1985)
MusquaroHameau (de la municipalité de la Côte-Nord-du-Golfe-du-Saint-Laurent)Masquaronien, Masquaronienne (1846); Mashkuanunnu (1993) (forme innue)
Commentaire : Le gentilé, relevé dans la correspondance du père Flavien Durocher, a été tiré de la graphie ancienne du toponyme, Masquaro. On rencontre également les variantes graphiques Maskwaro et Maskuaro.
NabisipiVillageNabésippien, Nabésippienne (1897)
Commentaire : Le gentilé a été formé sur une graphie ancienne, Nabésippi, datant du XIXe siècle. L'appellation « Nabisipi » (Village) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
NamurMunicipalitéNamurois, Namuroise (2011*)
Variante (s) : Namuriens (1969).
NantesMunicipalitéNantais, Nantaise (1884*)
NapiervilleMunicipalité Napiervillois, Napiervilloise (1980*)
Commentaire : La municipalité du village de Napierville est devenue la municipalité de Napierville, le 4 avril 2009.
NatashquanMunicipalitéNatashquanais, Natashquanaise (2014*)
Macacain, Macacaine (2014*) a été officialisé par la municipalité à titre de blason populaire.
Variante (s) : Natashquanois.
Commentaire : La forme Natashquanais, Natashquanaise a été relevée une première fois en 1897.
NatashquanRéserve indienneNutaskuaniunnu (1980) (forme innue);
Naataaskw-iiyuw (1994) (forme naskapie)
Commentaire : En innu contemporain, Natashquan est aussi orthographié Nutashkuan, Nutahkuant.
NédélecMunicipalité de cantonNédélecois, Nédélecoise (2001*)
NeufchâtelQuartier (de la ville de Québec)Neufchâtelois, Neufchâteloise (1963)
[NEU-CHA-TÉ-LOI/LOIZ]
Variante (s) : Chatelier; Châtelois.
NeuvilleVilleNeuvillois, Neuvilloise (vers 1970*)
Commentaire : La ville de Neuville est issue du regroupement de la municipalité du village de Neuville et de la municipalité de la paroisse de Pointe-aux-Trembles, le 2 janvier 1997. Un journal local a porté le titre de Reflet Neuvillois vers 1973.
New CarlisleMunicipalitéNéo-Carlinois, Néo-Carlinoise (1989); New Carlisler (1983) (forme anglaise)
Variante (s) : Carlisler (1983) (forme anglaise).
Commentaire : Le constituant Néo est tiré du grec neos, « nouveau » et provient de la transposition en français de New. La finale -nois apparaît sinon comme curieuse du moins peu prévisible, Carlislois demeurant davantage orthodoxe.
New GlasgowVillage (de la municipalité de Sainte-Sophie)New-Glasgois, New-Glasgoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de New Glasgow n'existe plus depuis le 3 mai 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Sainte-Sophie. Le nom « New Glasgow » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
NewportVillage (de la ville de Chandler)Newportais, Newportaise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Newport n'existe plus depuis le 27 juin 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Chandler. Le nom « Newport » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
New RichmondVilleNew-Richmondois, New-Richmondoise (1986); New Richmonder (1983) (forme anglaise)
Nichicun, RivièreRivièreNitshikuniulnu (1991) (forme innue)
Variante (s) : Nitshikuniunnu (1980) (innue).
Commentaire : La variante graphique illustre un phénomène très répandu en matière de gentilés amérindiens, qui affecte notamment les dialectes de Betsiamites et de Mashteuiatsh qui distinguent deux phonèmes, /l/ et /n/; on parle alors de dialecte en /l/ pour la communauté qui privilégie ce « son » ainsi orthographié et de dialecte en /n/, dans l'autre cas.
NicoletDivision de recensementNicolétain, Nicolétaine (1946)
Commentaire : L'appellation « Nicolet » (Division de recensement) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
NicoletVilleNicolétain, Nicolétaine (1852)
Variante (s) : Nicoletain (1911); Nicolettin.
Commentaire : Le journal Le Nicolétain a été fondé en 1886.
Nicolet-SudAncienne municipalitéNicolétain-du-Sud, Nicolétaine-du-Sud (1986*)
Commentaire : La municipalité de Nicolet-Sud n'existe plus depuis le 27 décembre 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Nicolet. L'appellation « Nicolet-Sud » (Municipalité) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
NominingueMunicipalitéNomininguois, Nomininguoise (1998*)
Commentaire : La municipalité de Lac-Nominingue est devenue la municipalité de Nominingue, le 16 septembre 2000. Par une résolution adoptée le 13 juillet 1998 les autorités municipales ont remplacé le gentilé Nomininguien, enne, retenu en 1970, par celui de Nomininguois, oise.
NorandaAncienne villeNorandien, Norandienne (1945)
Variante (s) : Norandais.
Commentaire : La ville de Noranda n'existe plus depuis 1986, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. L'appellation « Noranda » (Ville) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
NorbertvilleVillage (de la municipalité de Saint-Norbert-d'Arthabaska)Norbertvillois, Norbertvilloise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Norbertville n'existe plus depuis le 21 octobre 2009, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Saint-Norbert-d'Arthabaska. Le nom « Norbertville » a toutefois été préservé; il identifie un village correspondant au noyau habité de cette municipalité.
Bibliographie : BÉRUBÉ, Marie-Andrée (1986), « À Norbertville...» , dans L'Union des Cantons de l'Est, Victoriaville, 18 mars.
Nord-du-QuébecRégion administrativeNord-Québécois, Nord-Québécoise
Bibliographie : DUGUAS, Jean-Yves (2006). Dictionnaire universel des gentilés en français.
NormandinVilleNormandinois, Normandinoise (1986*)
NormétalMunicipalitéNormétalien, Normétalienne (1978*)
Variante (s) : Normétallois.
NorthfieldSecteur (de la ville de Gracefield)Northfieldien, Northfieldienne (1987)
Commentaire : La municipalité de Northfield n'existe plus depuis le 13 mars 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Gracefield. Le nom « Northfield » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
North HatleyMunicipalité de villageNorth Hatleyite (1989) (forme anglaise)
Notre-Dame-Auxiliatrice-de-BucklandMunicipalité de paroisseBucklandais, Bucklandaise (2000*)
Notre-Dame-de-Bon-SecoursAncienne municipalité de paroisseBon-Secourois, Bon-Secouroise (1985*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Notre-Dame-de-Bon-Secours n'existe plus depuis le 15 mars 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Richelieu. L'appellation « Notre-Dame-de-Bon-Secours » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Notre-Dame-de-BonsecoursMunicipalitéBonsecourois, Bonsecouroise (2014*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Notre-Dame-de-Bon-Secours-Partie-Nord est devenue la municipalité de Notre-Dame-de-Bonsecours, le 2 août 2003.
Notre-Dame-de-Bon-Secours-Partie-NordMunicipalité de paroisseVoir Notre-Dame-de-Bonsecours (Municipalité)
Notre-Dame-de-GrâceQuartier (de la ville de Montréal)NDGer (1986) (forme anglaise)
Commentaire : La population anglophone abrège très régulièrement le nom de ce quartier en NDG, prononcé figurativement [N-DI-DJI].
Notre-Dame-de-HamMunicipalitéNotre-D'Hamois, Notre-D'Hamoise (1979*)
Commentaire : La municipalité de Notre-Dame-de-Lourdes-de-Ham est devenue la municipalité de Notre-Dame-de-Ham, le 25 mai 1996. La forme créée provient de Notre-Dame-de-Lourdes-de-Ham et permet un certain jeu verbal entre Notre-Damois et Notre-D'Hamois, identiques sur le plan sonore.
Notre-Dame-de-la-MerciMunicipalitéMercien, Mercienne (1986*)
Variante (s) : Merçois.
Notre-Dame-de-la-PaixMunicipalité Pacificien, Pacificienne (1986*)
Commentaire : Gentilé provenant de l'adjectif latin pacificus, « relatif à la paix ».
Notre-Dame-de-la-SaletteMunicipalitéSalettois, Salettoise (1985*)
Variante (s) : Salettin (1981).
Notre-Dame-de-LaterrièreAncienne municipalité de paroisseLaterrien, Laterrienne (1978)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Notre-Dame-de-Laterrière n'existe plus depuis le 9 septembre 1989, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saguenay. L'appellation « Notre-Dame-de-Laterrière » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Notre-Dame-de-l'Île-PerrotVillePerrotdamois, Perrotdamoise (1986*)
Notre-Dame-de-LoretteMunicipalitéLorettois, Lorettoise (1986*)
Notre-Dame-de-LoretteParoisse (de la ville de Gatineau)Lorettois, Lorettoise (1983)
Notre-Dame-de-LourdesMunicipalité (de la région de Lanaudière)Joli-Lourdois, Joli-Lourdoise (1986*)
Variante (s) : Lourdais (1985).
Commentaire : L'élément Joli signale l'appartenance de la municipalité à la division de recensement de Joliette et permet d'éviter toute confusion avec une municipalité homonyme de la division de recensement de Mégantic
Notre-Dame-de-LourdesMunicipalité de paroisse (de la région du Centre-du-Québec)Lourdinois, Lourdinoise (1984*)
Notre-Dame-de-Lourdes-de-HamMunicipalitéVoir Notre-Dame-de-Ham (Municipalité)
Notre-Dame-de-Lourdes-de-LorrainvilleMunicipalité de paroisseVoir Lorrainville (Municipalité)
Notre-Dame-de-MontaubanMunicipalitéMontaubain, Montaubaine (1969)
Notre-Dame-de-PierrevilleVillage (de la municipalité de Pierreville)Pierrevillois, Pierrevilloise (1978*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Notre-Dame-de-Pierreville n'existe plus depuis le 13 juin 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Pierreville. Le nom « Notre-Dame-de-Pierreville » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
Bibliographie : DOLAN-CARON, Rita (1986), « Affaires municipales », N.-D.-de-Pierreville. Des Pierrevillois », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 5 mars, p. 24.
Notre-Dame-de-PortneufSecteur (de la ville de Portneuf)Portneuvien, Portneuvienne (1988)
Commentaire : Le village de Portneuf-Station est devenue le secteur de Notre-Dame-de-Portneuf en 2002.
Notre-Dame-de-Saint-HyacintheSecteur (de la ville de Saint-Hyacinthe)Maskoutain, Maskoutaine (1978)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Notre-Dame-de-Saint-Hyacinthe n'existe plus depuis le 27 décembre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Hyacinthe. Le nom « Notre-Dame-de-Saint-Hyacinthe » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Notre-Dame-des-BoisMunicipalitéBois-Damien, Bois-Damienne (1986*)
Bibliographie : C., A. (1986), « Notre-Dame des Bois a trouvé son Gentilé » , dans L'Écho de Frontenac, Lac-Mégantic, 12 août, p. A8.
Notre-Dame-des-LaurentidesSecteur (de la ville de Québec)Laurentien, Laurentienne (1968)
Commentaire : Un journal municipal, L'Évolution Laurentienne, desservait la population à la fin des années 1960.
Notre-Dame-des-MontsMunicipalitéMontois, Montoise (1981*)
Notre-Dame-des-NeigesMunicipalitéNeigeois, Neigeoise (2022*)
Commentaire : La municipalité de Notre-Dame-des-Neiges-des-Trois-Pistoles est devenue la municipalité de Notre-Dame-des-Neiges, le 27 septembre 1997. Jusqu'en 2021, le gentilé utilisé était Pistolois, Pistoloise (1986).
Notre-Dame-des-Neiges-des-Trois-PistolesMunicipalité de paroisseVoir Notre-Dame-des-Neiges (Municipalité)
Notre-Dame-des-PinsMunicipalité de paroisseNotredamois, Notredamoise (2014*)
Variante (s) : Notre-Damois, Notre-Damoise
Notre-Dame-des-PrairiesVillePrairiquois, Prairiquoise (1980*)
Commentaire : Le bulletin municipal d'information a pour titre Le Prairiquois. La municipalité de la paroisse de Notre-Dame-des-Prairies a changé son statut pour celui de municipalité le 6 juin 1992.
Notre-Dame-des-Sept-AllégressesAncienne paroisse (de la ville de Trois-Rivières)Notre-Damois, Notre-Damoise (1983)
Commentaire : La paroisse de Notre-Dame-des-Sept-Allégresses n'existe plus depuis 2004, par suite d'un regroupement. Elle fait maintenant partie de la paroisse de L'Immaculée-Conception-de-la-Sainte-Vierge.
Notre-Dame-des-Sept-DouleursMunicipalité de paroisseVerdoyant, Verdoyante (1986*)
Commentaire : Jacques Cartier aurait dénommé ce lieu Île Verdoyante, d'où le gentilé. En 1930, l'abbé Pierre Bernier, curé de l'île Verte a rédigé un ouvrage intitulé Au long de mon chemin. Un an à l'Île verdoyante, lequel ne subsiste que sous forme de photocopies.
Notre-Dame-de-StanbridgeMunicipalité Stanbridgeois, Stanbridgeoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Notre-Dame-de-Stanbridge est devenue la municipalité de Notre-Dame-de-Stanbridge, le 4 avril 2009.
Notre-Dame-du-Bon-ConseilMunicipalité de villageBonconseillois, Bonconseilloise (1986*)
Notre-Dame-du-Bon-ConseilMunicipalité de paroisseBonconseillois, Bonconseilloise (2020*)
Notre-Dame-du-LacSecteur (de la ville de Témiscouata-sur-le-Lac)Damelacois, Damelacoise (1988*)
Commentaire : La ville de Notre-Dame-du-Lac n'existe plus depuis le 5 mai 2010,par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Témiscouata-sur-le-Lac. Le nom « Notre-Dame-du-Lac » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Notre-Dame-du-Lac-Saint-Jean-Partie-NordAncienne paroisse (de la ville de Roberval)Nordiste (vers 1915)
Commentaire : Une partie de cette paroisse religieuse est devenue par la suite la ville de Roberval. Une querelle locale a polarisé les habitants entre Nordistes et Sudistes, s'identifiant formellement à ces étiquettes, lesquelles comportent une allure de blason populaire. Cette paroisse n'existe plus, elle fait maintenant partie de la paroisse de L'Immaculée-Conception.
Bibliographie : Vien, Rossel (1955), Histoire de Roberval, cœur du Lac-Saint-Jean (1855-1955), Chicoutimi, Société historique du Saguenay, coll. « Publications de la Société historique du Saguenay », no 15, p. 77 à 81 et 231 à 237.
Notre-Dame-du-Lac-Saint-Jean-Partie-SudAncienne paroisse (de la ville de Roberval)Sudiste (vers 1915)
Commentaire : Voir Notre-Dame-du-Lac-Saint-Jean-Partie-Nord (Ancienne paroisse).
Notre-Dame-du-LausMunicipalitéLausois, Lausoise (1998*)
Notre-Dame-du-Mont-CarmelAncienne municipalité de paroisse (de la région de la Montérégie)Carmellois, Carmelloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Notre-Dame-du-Mont-Carmel n'existe plus depuis le 13 septembre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Lacolle. L'appellation « Notre-Dame-du-Mont-Carmel » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Notre-Dame-du-Mont-Carmel Municipalité de paroisseMontcarmelois, Montcarmeloise (2007*)
Notre-Dame-du-NordMunicipalitéNotre-Damien, Notre-Damienne (1980)
Variante (s) : Notre Dame du Norrois; Notredamien.
Notre-Dame-du-PortageMunicipalité Portageois, Portageoise (1941*)
Notre-Dame-du-RosaireMunicipalitéRosarien, Rosarienne (1889*)
Commentaire : Du latin rosarius, « relatif à la rose ».
Notre-Dame-du-Sacré-Cœur-d'IssoudunMunicipalité de paroisseIssoudunois, Issoudunoise (1984*)
Variante (s) : Issoldunois (1983).
Nouveau-QuébecTerritoireNéo-Québécois, Néo-Québécoise (1964)
Variante (s) : Nouveau-Québécois.
Commentaire : À ne pas confondre avec la dénomination des immigrants nouvellement promus au titre de Québécois.
NouvelleMunicipalitéNouvellois, Nouvelloise (2010*)
NoyanMunicipalitéNoyantais, Noyantaise (1986*)
NunavikRégionNunavikois (2009), Nunavimiuq (1995) (forme inuite)
Commentaire : Le suffixe -miuq, -miut au pluriel, a pour signification : « les gens de, les habitants de ». Le Nunavik constitue une région de nature socioculturelle qui couvre le territoire utilisé par la collectivité inuite du Québec. Ce vaste espace englobe toute la partie du Québec située au nord du 55e parallèle et s'étend également au Labrador et dans les Territoires du Nord-Ouest (îles adjacentes au territoire québécois).
Nuvuc, PointePointeNuvummiuq (1980) (forme inuite)
[NOU-VOU-MI-YOUK]
Commentaire : Le nom de cette pointe a été changé pour « Pointe Taliruq » en 1990.
ObedjiwanRéserve indienneUpatshuniulnu (1980) (forme innue)
Commentaire : Comme on peut le constater par la forme originelle du toponyme, Waupatchinauganiskau (1825), l'appellation a subi maintes transformations orthographiques!
OkaMunicipalitéOkois, Okoise (1986*)
Commentaire : La nouvelle municipalité d'Oka est issue du regroupement de la municipalité d'Oka et de la municipalité de la paroisse d'Oka, le 8 septembre 1999.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Gentilé », dans l'Éveil, Saint-Eustache, 8 juillet.
OkaMunicipalité de paroisseVoir Oka (Municipalité)
Old-HarryVillage (de la municipalité de Grosse-Île)Old Harryer (1984) (forme anglaise)
OmervilleSecteur (de la ville de Magog)Omervillois, Omervilloise (1986)
Commentaire : La municipalité du village d'Omerville n'existe plus depuis le 9 octobre 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Magog. Le nom « Omerville » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
OrfordMunicipalité de cantonOrferois, Orferoise (1964)
Commentaire : La teneur du gentilé laisse supposer le recours à une forme adjectivale latine du type Orferus de laquelle il aurait vraisemblablement été tiré.
Orléans, Île d'Île Orléanais, Orléanaise (1929)
Variante (s) : Canadien de l'Île (1867); Insulaire (1867); Insulaire Orléanais; Orléaniste (1867).
Commentaire : La variante Insulaire comporte un caractère exceptionnel puisqu'elle fait figure d'appellation tautologique, les habitants d'une île étant systématiquement identifiés comme insulaires en l'absence d'une dénomination plus spécifique. Quant à Orléaniste, il s'applique également au partisan qui soutenait les droits de la famille d'Orléans au trône de France.
OrmstownMunicipalitéOrmstonnien, Ormstonnienne (1986*); Ormstowner (1979) (forme anglaise)
Variante (s) : Ormstownian (forme anglaise).
Commentaire : La municipalité d'Ormstown est issue du regroupement de la municipalité du village d'Ormstown et de la municipalité de la paroisse de Saint-Malachie-d'Ormstown, le 26 janvier 2000. Le gentilé Ormstownien retenu en 1986 par la municipalité de paroisse, a laissé place à celui d'Ormstonnien qui avait été retenu la même année par la municipalité du village.
Bibliographie : A(LARY), C(yril) (1986), « Un ormstonnien? » , dans The Gleaner/La Gazette, Huntingdon, 19 février, p. 11. ANONYME (1986), « Ormstown en bref...« , dans Journal Le Saint- François, Salaberry-de-Valleyfield, 25 février.  
OrsainvilleSecteur (de la ville de Québec)Orsainvillois, Orsainvilloise (2024*)
La ville d'Orsainville a fusionné avec celle de Charlesbourg le 1er janvier 1976. La ville de Charlesbourg n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Québec.
Otterburn ParkVilleOtterburnois, Otterburnoise (1994*); Otterburner (1993) (forme anglaise)
OutaouaisRégion administrativeOutaouais, Outaouaise (1710)
Variante (s) : Outaouaisien (1940); Outavois (1710).
Commentaire : La plus ancienne attestation du gentilé concerne le groupe amérindien des Outaouais, Ottawas en anglais, alors que la plus ancienne occurrence du gentilé tiré du nom de la région remonterait à 1876.
Outardes. Rivière auxRivière Piletipishtikulnu (1991) (forme innue)
Variante (s) : Pilepistikulnu (1980) (forme innue).
Commentaire : Piletipishtiku constitue la forme innue de « Rivière aux Outardes ».
OutremontArrondissement (de la ville de Montréal)Outremontais, Outremontaise (1949); Outremonter (1984) (forme anglaise)
Variante (s) : Outremontain (1941); Outre-montien (1936); Outremontois (1906); Ultramontain.
Commentaire : La ville d'Outremont n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Montréal. Le nom « Outremont » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville. La forme Ultramontain, calquée sur le latin ultramontanus, de ultra, « outre » et montanus, « qui concerne la montagne » , suscite une résonance religieuse, car elle fait également référence à ceux qui reconnaissent la position traditionnelle de l'Église italienne quant au pouvoir absolu du pape. Comme le cardinal Paul-Émile Léger a été le premier à recourir à cette amphibologie, on peut raisonnablement s'interroger quant à la fortuité de l'allusion, surtout en raison de l'humour dont le prélat fait régulièrement usage!
Bibliographie : GRANDVILLE (1949), « Dira-t-on les  « Granbiens  ...», dans Le Devoir, Montréal, 19 janvier, p. 1. Un développement est consacré à Outremontais. 
OvaltaRégionOvaltain, Ovaltaine (1979)
Commentaire : On désigne par Ovalta, dénomination dont la paternité revient à Donat Martineau, une partie de l'Abitibi-Témiscamingue où la hauteur des terres épouse une forme ovale. Le -ta final provient des initiales de Témiscamingue-Abitibi. L'appellation « Ovalta » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Pabok Ancienne MRCPabokois, Pabokoise (1986*)
Commentaire : La MRC de Pabok est devenue la MRC du Rocher-Percé en 1999.
Pabos MillsVillage (de la ville de Chandler)Pabosmillois, Pabosmilloise (1986*)
[PA-BOS-MI-LOI/LOIZ]
Commentaire : La municipalité de Pabos Mills n'existe plus depuis le 27 juin 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Chandler. Le nom « Pabos Mills » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
PackingtonMunicipalité de paroissePackingtonnais, Packingtonnaise (1986*)
PadoueMunicipalitéPadovien, Padovienne (1986*)
Commentaire : On a recours ici à la dérivation latine, l'adjectif padovianus signifiant « de Padoue » , bien que la forme Padouan, de padouanus puisse être également observée.
PakuashipiÉtablissement amérindienPakuashipunnu (1994) (forme innue)
Variante (s) : Pakua-shipiunnu (1989) (forme innue). 
Commentaire : Au pluriel, le gentilé devient Pakuashipunnuat, « les indiens de la rivière peu profonde », de pakua, « asséché, à sec » et shipi, « rivière ».
PalmarolleMunicipalitéPalmarollois, Palmarolloise (1947*)
Papineau, Circonscription électorale de Circonscription électorale provincialePapinois, Papinoise (1978*)
PapineauvilleMunicipalitéPapineauvillois, Papineauvilloise (1978*)
Commentaire : La municipalité de Papineauville est issue du regroupement de la municipalité du village de Papineauville et de la municipalité de la paroisse de Sainte-Angélique, le 29 novembre 2000.
ParentSecteur (de la ville de La Tuque)Parentois, Parentoise (1979*)
Commentaire : La municipalité du village de Parent n'existe plus depuis le 26 mars 2003, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de La Tuque. Le nom « Parent » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Pariseau, ÎleÎleParisois, Parisoise (1990)
ParisvilleMunicipalité de paroisseParisvillois, Parisvilloise (1986*)
PaspébiacVillePaspéya (2014*)
Variante (s) : Paspyjack (1880) (forme anglaise) ; Paspébiac (1836) ; Paspébiacien (1865) ; Paspéia (1922) ; Paspéja ; Paspejack (1923) (forme anglaise) ; Paspeya ; Paspéyâ ; Paspeyia ; Paspillat (1928).
Commentaire : La ville de Paspébiac est issue du regroupement des municipalités de Paspébiac et de Paspébiac-Ouest, le 20 août 1997. La panoplie de variantes existantes tient sans doute au caractère peu courant du gentilé de même qu'à sa nature orale, particulièrement jadis. La prononciation locale, ainsi qu'une certaine usure de la dénomination peuvent avoir provoqué ce phénomène. Compte tenu de la finale -ac du toponyme, des formes comme Paspébiaquois ou Paspébiacois ou encore Paspébiaquien conviendraient davantage, si l'on estime que Paspéya constitue un blason populaire, quoique ce gentilé demeure d'utilisation courante en dépit de sa connotation blasonnienne. Se reporter, à cet égard, à Havre-Saint-Pierre (Municipalité) et à Paspébiac-Ouest (Secteur). La forme Paspéya est attestée une première fois en 1888.
Paspébiac-OuestSecteur (de la ville de Paspébiac)Paspéya (1986*)
Commentaire : La municipalité de Paspébiac-Ouest n'existe plus depuis le 20 août 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Paspébiac. Le nom « Paspébiac-Ouest » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
PercéVillePercéen, Percéenne (1880*) Percesian (1917) (forme anglaise)
Variante (s) : Percésien (1923).
Commentaire : La variante est tirée du nom de lieu Percésie, créé par le géologue John M. Clarke vers 1920 en raison de l'autonomie de la formation géologique des environs de Percé et repris dans une optique touristique. Au début du siècle, un bateau de la région a été baptisé le Percésien, avec variante anglaise Percesian.
PéribonkaMunicipalitéPéribonkois, Péribonkoise (1978*)
Variante (s) : Péribonkain (1907); Péribonkais (1937).
PessamitRéserve indiennePessiamiulnu (1980) (forme innue)
Variante (s) : Paaschaayaamiiw-iiyuw (1994) (forme naskapie); Pessiamiwinnut (1981) (forme innue plurielle).
Commentaire : L'appellation innue a pour signification : « Indien de Betsiamites; Indien de la rivière Bersimis », suivant Lynn Drapeau (1991) et est tirée de l'équivalent amérindien de Betsiamites, Pessamiu. Le constituant ilnu ou innu équivaut à « Amérindien; être humain ». Voir Nichicun, Rivière. Dans la variante gentiléenne naskapie, les voyelles hautes ou voyelles longues, notées par une double lettre, surabondent. La réserve indienne de Betsiamites est devenue la réserve indienne de Pessamit le 6 novembre 2008.
Petit-CapHameau (de la municipalité de la paroisse de Saint-Louis-de-Gonzague-du-Cap-Tourmente)Petit-Capien, Petit-Capienne (1979)
Petite-Rivière-Saint-FrançoisMunicipalitéRiverain, Riveraine (1980)
Commentaire : Formé à partir du constituant Rivière, le gentilé ne se révèle pas très identificateur, car riverain, en langue courante, désigne la personne qui habite le long d'un cours d'eau, d'un lac, d'un détroit, plus spécifiquement qui possède un terrain sur la rive et, par extension, celle dont la propriété ou la résidence donne sur une rue.
Petite-ValléeMunicipalitéPetite-Valléen, Petite-Valléenne (2015*)
Petit-MataneSecteur (de la ville de Matane)Petit-Matanais, Petit-Matanaise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Petit-Matane n'existe plus depuis le 26 septembre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Matane. Le nom « Petit-Matane » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Petit-SaguenayHameauSaguenéen, Saguenéenne (1942)
Commentaire : Ancienne colonie située à une dizaine de kilomètres de Saint-Raymond (Portneuf), le Petit-Saguenay se veut un rappel du sol saguenéen, car le canton de Roquemont où elle se situait présente un aspect pittoresque et majestueux à l'image de celui du Saguenay. À une certaine époque, une voie de communication était dénommée « Chemin du Rang-du-Petit-Saguenay », puis « Rang Saguenay », à Saint-Raymond. L'appellation « Petit-Saguenay » (Hameau) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Petit-SaguenayMunicipalitéSaguenois, Saguenoise (1986*)
PiedmontMunicipalitéPiedmontais, Piedmontaise (1972)
Pie-IX, BoulevardBoulevard (de la ville de Montréal)Pie-Neuvien, Pie-Neuvienne (1978)
Commentaire : Ce gentilé demeure exceptionnel, car il s'agit de l'une des seules attestations que nous avons pu recueillir relative à un « odo-gentilé », laquelle fait état de « l'homme Pie-Neuvien ».
Piékouagami, LacLacPiékouagamien, Piékouagamienne (1730)
Variante (s) : Piecouagamien; Piekouagan; Piekougamien.
Commentaire : Le gentilé s'applique, à l'origine, aux Innus installés sur le pourtour du lac Saint-Jean. Malgré quelques tentatives isolées d'appliquer cette dénomination aux Jeannois, laquelle est tirée du nom innu du lac Saint-Jean, elle est demeurée du domaine historique. Le nom officiel de ce lac est « Lac Saint-Jean ».
Pierre-De SaurelMRC
Commentaire : La municipalité régionale de comté du Bas-Richelieu est devenue la municipalité régionale de comté de Pierre-De Saurel le 18 octobre 2008. Le nouveau gentilé n'a pas encore été choisi.
PierrefondsSecteur (de la ville de Montréal)Pierrefontain, Pierrefontaine (1996*)
Variante (s) : Pétrifontain (1978) 
Commentaire : La ville de Pierrefonds n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Montréal. Le nom « Pierrefonds » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Du latin petra, « rocher, pierre, roc » et de fons, fontis, « fontaine, source » qui a donné naissance en latin populaire à fontana, « fontaine » . Dans la mythologie romaine, Fontanus était considéré comme le dieu protecteur des fontaines. La ville de Pierrefonds a remplacé ce gentilé par celui de Pierrefontain le 12 février 1996.
PierrevilleMunicipalitéPierrevillien, Pierrevillienne (1978*) 
Variante (s) : Pierrevillois.
Commentaire : La municipalité de Pierreville est issue du regroupement de la municipalité du village de Pierreville ainsi que des municipalités des paroisses de Notre-Dame-de-Pierreville et de Saint-Thomas-de-Pierreville, le 13 juin 2001.
Pike RiverMunicipalitéPikeriverain, Pikeriveraine (2011*)
Commentaire : La Municipalité de Saint-Pierre-de-Véronne-à-Pike-River est devenue la Municipalité de Pike River, le 5 mai 2012.
PikoganRéserve indienneAbitibiwinni (1984) (forme algonquine) 
Abitibiwinnik (forme plurielle).
Commentaire : La réserve indienne de Village-Pikogan est devenue la réserve indienne de Pikogan en 1985. Le sens de l'appellation est « peuple de la hauteur des terres ».
PincourtVillePincourtois, Pincourtoise (1986*)
PintendreSecteur (de la ville de Lévis)Pintendrois, Pintendroise (1985*)
Commentaire : La municipalité de Pintendre n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Lévis. Le nom « Pintendre » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
PiopolisMunicipalitéPiopolissois, Piopolissoise (1985*)
PlaisanceMunicipalitéPlaisancien, Plaisancienne (1985)
Commentaire : En 1988, dans le cadre des activités reliées à la Semaine de la municipalité, la dénomination collective des citoyens de Plaisance a constitué l'un des thèmes importants. Ainsi, la forme déjà en usage était officiellement consacrée le 6 juillet 1988 par voie de résolution municipale.
PlessisvilleVillePlessisvillois, Plessisvilloise (1976)
[PLÈ-SI-VI-LOI/LOIZ]
Variante (s) : Plessisvillien (1905).
La Municipalité de la paroisse de Plessisville, qui s'est regroupée avec la ville de Plessisville le 1er janvier 2024, avait adopté ce même gentilé par résolution en 1986.
Bibliographie : D(ESROSIERS), R(obert) (1986), « Au conseil de ville de Plessisville », dans L'Union des Cantons de l'Est, Victoriaville, 18 février, p.33. SAMSON, Manon (1986), « Plessisvillien, Plessisvillain ou Plessisvilléen? » , dans La Nouvelle, Victoriaville, 10 février.
PohénégamookVillePohénégamookois, Pohénégamookoise (1974*)
[PO-É-NÉ-GA-MOU-KOI/KOIZ]
Pointe-à-la-CroixMunicipalitéPointelois, Pointeloise (2011*)
Pointe-au-PèreSecteur (de la ville de Rimouski)Pèrepointois, Pèrepointoise (1983*)
Variante (s) : Pointe-au-Pèrien (1982).
Commentaire : La ville de Pointe-au-Père n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rimouski. Le nom « Pointe-au-Père » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Bibliographie : ANONYME (1983), « Armoiries et devises », dans Le Pilote, Sainte-Anne-de-la-Pointe-au-Père, vol. 2, no 7, 28 octobre, p. 3-4.
Pointe-au-PicSecteur (de la ville de La Malbaie)Pointepicois, Pointepicoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Pointe-au-Pic n'existe plus depuis le 15 février 1995, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de La Malbaie. Le nom « Pointe-au-Pic » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Pointe-aux-OutardesMunicipalité de villageOutardéen, Outardéenne (1986*)
Pointe-aux-TremblesAncienne municipalité de paroisseTremblien, Tremblienne (1970*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Pointe-aux-Trembles n'existe plus depuis le 2 janvier 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Neuville. L'appellation « Pointe-aux-Trembles » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Pointe-aux-TremblesQuartier (de la ville de Montréal)Pointelier, Pointelière (1970)
Variante (s) : Pointelien; Pointellier; Pointilien.
Commentaire : En 1980, a été fondé l'Info-pointelière, journal municipal. Un fort sentiment d'appartenance à Pointe-aux-Trembles peut être observé localement, lequel se cristallise dans l'omniprésence du gentilé Pointelier.
Pointe-CalumetMunicipalitéCalumet-Pointois, Calumet-Pointoise (1980)
Variante (s) : Calumet-Pontois; Pontois.
Commentaire : Probablement que les variantes à constituant Pontois résultent d'une erreur pour Pointois, ce que nous ne pouvons affirmer de manière absolue, bien que dans un même document on rencontre les deux graphies.
Pointe-ClaireVillePointe-Clairais, Pointe-Clairaise (1984)
Pointe-des-CascadesMunicipalité de villagePointecascadien, Pointecascadienne (1986*)
Pointe-du-LacSecteur (de la ville de Trois-Rivières)Pointe-du-Laquois, Pointe-du-Laquoise (1985*)
Variante (s) : Pointu (1934).
Commentaire : La municipalité de Pointe-du-Lac n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Trois-Rivières. Le nom « Pointe-du-Lac » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. La variante participe presque du blason populaire.
Pointe-FortuneMunicipalité de villagePointe-Fortunais, Pointe-Fortunaise (1984)
Variante (s) : Pointe-Fortunien (1980).
Commentaire : La municipalité du village de Pointe-Fortune a changé son statut pour celui de municipalité le 22 juillet 2023.
Pointe-LebelMunicipalité de villageLebelois, Lebeloise (1984*)
Pointe-Saint-CharlesQuartier (de la ville de Montréal)Pointer (1987) (forme anglaise)
Commentaire : En anglais, l'endroit est très fréquemment mentionné sous la forme abrégée The Point, de laquelle le gentilé a été tiré. L'appellation « Pointe-Saint-Charles » (Quartier) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Pointe-Saint-PierreHameau (de la ville de Percé)Saint-Pierrais, Saint-Pierraise (vers 1880)
PonsonbyMunicipalité de cantonPonsonbien, Ponsonbienne (1986*)
Commentaire : La  municipalité du canton de Ponsonby est devenue la municipalité de Boileau le 15 mai 1993. Celle-ci n'a pas encore choisi de gentilé. 
PontbriandSecteur (de la ville de Thetford Mines)Pontbriandais, Pontbriandaise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Antoine-de-Pontbriand est devenue la municipalité de Pontbriand en 1987. Cette dernière n'existe plus depuis le 17 octobre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Thetford Mines. Le nom « Pontbriand » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
PontiacRégionPontissois, Pontissoise (1969)
Variante (s) : Pontiacer (1984) (forme anglaise), Pontiacker (forme anglaise).
Commentaire : La formation Pontissois n'apparaît pas comme particulièrement heureuse, compte tenu de la dénomination de la région. L'appellation « Pontiac » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
PontiacMunicipalitéPontiçois, Pontiçoise (2021*)
Pont-RougeVillePont-Rougeois, Pont-Rougeoise (1975*)
Variante (s) : Pontrougeois.
Portage-du-FortMunicipalité de villagePortageur, Portageuse (1986*)
Commentaire : La forme retenue se situe au carrefour du nom propre et du substantif commun, quoique l'élément Portage prime localement.
Port-CartierVillePort-Cartois, Port-Cartoise (2014*)
Variante (s) : Portcartois, Portcartoise (1977)
Port-Daniel–GasconsMunicipalitéPort-Daniélois, Port-Daniéloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Port-Daniel–Gascons est issue du regroupement de la municipalité de Port-Daniel (auparavant la municipalité du canton de Port-Daniel-Partie-Est) et de la municipalité de la paroisse de Sainte-Germaine-de-l'Anse-aux-Gascons, le 17 janvier 2001.
Port-Daniel-Partie-EstMunicipalité de cantonVoir Port-Daniel–Gascons (Municipalité)
Port-MenierVillage (de la municipalité de L'Île-d'Anticosti)Port-Menois, Port-Menoise (1982)
PortneufMRCPortneuvois, Portneuvoise (1986)
Commentaire : Un journal mensuel répondant au nom Le Portneuvois a vu le jour à l'automne 1986 et dessert la population de la grande région de Portneuf.
PortneufRégionPortneuvois, Portneuvoise (1995)
Variante (s) : Portneuvien (1969); Portneufvien.
PortneufVillePortneuvien, Portneuvienne (1970*)
Portneuf-StationVillage Voir Notre-Dame-de-Portneuf (Secteur)
Commentaire : Le village de Portneuf-Station est devenu le secteur de Notre-Dame-de-Portneuf en 2002.
Portneuf-sur-MerMunicipalitéPortneuvois, Portneuvoise (1986*)
Variante (s) : Annois (1981); Portneuvien.
Commentaire : La municipalité de Sainte-Anne-de-Portneuf est devenue la municipalité de Portneuf-sur-Mer, le 31 janvier 2004.
PottonMunicipalité de cantonPottonais, Pottonaise; Pottonneer (1997) (forme anglaise)
PoulariesMunicipalitéPoularois, Poularoise (1984*)
PovungnitukMunicipalité de village nordiqueVoir Puvirnituq (Municipalité de village nordique)
PreissacMunicipalitéPreissacois, Preissacoise (1981*)
PrémontVillage (de la municipalité de Sainte-Angèle-de-Prémont)Prémontois, Prémontoise (1978)
Commentaire : L'appellation « Prémont » (Village) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
PrestonCantonPrestonais, Prestonaise (1980)
PrévostVillePrévostois, Prévostoise (1982*)
PriceMunicipalité de villagePriçois, Priçoise (1978*)
PrincevilleAncienne municipalité de paroissePrincilien, Princilienne (1986*)
PrincevilleVillePrincevillois, Princevilloise (1980*)
Commentaire : La nouvelle ville de Princeville est issue du regroupement de la ville de Princeville et de la municipalité de la paroisse de Princeville, le 23 février 2000.
Bibliographie : ANONYME (1980), « En bref...Princevillois et Princevilloises » , dans L'Union des Cantons de l'Est, Victoriaville, 11 février, p. 40.
PuvirnituqMunicipalité de village nordiquePuvirniturmiuq (1975) (forme inuite)
Variante (s) : Povungnitumiuq (1984) (forme inuite); Povungniturmiuq (1984) (forme inuite); Puvirnituurmiuq (1975) (forme inuite).
Commentaire : Créée en 1989 comme municipalité du village nordique de Povungnituk, appellation qui a servi de base à certaines variantes gentiléennes, la municipalité allait reprendre, en 1995, le nom de Puvirnituq, forme parallèle régulièrement relevée à la demande du conseil municipal, afin de se conformer davantage à la prononciation de l'appellation en inuktitut.
Qikirtajuaq, ÎleÎleQikirtajuarmiuq (1975) (forme inuite)
[KI-KIR-TA-JOU-A-MI-YOUK]
QuaqtaqMunicipalité de village nordiqueQuaqtamiuq (1984) (forme inuite)
[KOU-AK-TA-MI-YOUK]
Quartier-LatinQuartier (de la ville de Québec)Quartier-Latiniste (1983)
Commentaire : L'appellation « Quartier-Latin » (Quartier) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
QuébecVilleQuébécois, Québécoise (1817*); Quebecer (forme anglaise) (début du XXe s.)
Variante (s) : Kébécois (1935); Québeccois (1835); Quebecois (1754); Québecois (1775); Québecquois (1825); Québécuois (1910); Quebequois (1754); Québéquois; Stadaconan; Stadaconien.
Commentaire : Dénomination la plus répandue de l'ensemble de notre corpus, compte tenu de son ancienneté et du rôle déterminant qu'a toujours joué la Capitale comme plaque tournante de la francophonie nord-américaine. La forme Stadaconien renvoie au nom amérindien de Québec, Stadaconé. L'orthographe de ce gentilé a suscité une marée d'observations, d'analyses, de recherches, d'opinions dont nous ne signalons ci-après que les plus percutantes. Un journal intitulé Le Québecquois a paru vers 1880. Voir Québec (Province).
Bibliographie : CHANTAL, René de (1960), « Les chars québécois », dans Le Droit, Ottawa, 16 juin, p. 2. DUGAS, Jean-Yves (1983), « Québécois : un nom et un trésor patrimonial », dans Le Soleil, Québec, 28 juin, p. A-18. PARIS, Firmin [pseudonyme de l'abbé Maxime Hudon] (1902), « Glane philologique », dans La Semaine religieuse de Québec, Québec, vol. 14, 10 mai, p. 611-615.
QuébecProvinceQuébécois, Québécoise (1889); Quebecer (1836) (forme anglaise)
Variante (s) : Bas-Canadien (1791); Bas-Canadien-Français (1865); Boréalien; Canadian (XVIIe siècle); Canadien (XVIe siècle); Canadien français (1773); Canadien-Français (1839); Canadois (XVIIe siècle); Canayen (1890); Français-Canadien (1945); Français de la Nouvelle-France (vers 1670); Français du Canada (XVIIIe siècle); Franc-Canadien; Francien; Franco-Canadien (vers 1840); Franconien; Kébékois; Laurentien (vers 1910); Québécain; Québécanadien; Québecien; Québecois; Québequois; Quebecers est la forme orale anglaise attestée en 1836 et la forme graphique Quebeckers est attestée en 1837.
Commentaire : L'appellation Canada, attribuée à la Nouvelle-France par Jacques Cartier a contribué à la formation du gentilé Canadien, d'abord appliqué aux gens solidement établis dans la nouvelle colonie, de même qu'aux autochtones, afin de les distinguer des administrateurs et des militaires français qui n'étaient que de passage. Après la Conquête de 1763, le terme caractérise surtout les habitants francophones du Canada par opposition aux Anglais, nouveaux venus. De 1791 à 1867, on parle de Bas-Canadien, suite à la division du territoire en Haut et Bas-Canada, le Haut-Canada correspondant à l'actuelle Ontario. Par la suite, le gentilé Québécois s'implantera, mais pour désigner presque exclusivement les citoyens de la ville de Québec. Il faudra attendre les années 1960 pour que l'usage de Québecois au sens « d'habitants du Québec » devienne significatif, parallèlement à la montée du sentiment d'identification couplée à l'émergence d'un fort sentiment d'appartenance, lesquels ont suscité une véritable pléthore d'appellations, comme on a pu le constater, et dont nous ne fournissons que les exemples les plus significatifs, car un livre entier serait nécessaire pour traiter en profondeur de la question. Par rapport au gentilé identique des citoyens de Québec, ce qui caractérise celui de la province c'est, d'une part, son caractère très récent et, d'autre part, les multiples variantes appellatoires qu'il a suscitées. Il figure dans quelques noms de voies de communication comme Rang des Québécois (Stukely) vers 1920, Rue La Québécoise (Shefford, Rue des Québécois (Prévost), Chemin de la Québécoise (Saint-Adolphe-d'Howard), ainsi que comme adjectif dans la Transquébécoise. En outre, quelques journaux ont récupéré le gentilé comme partie intégrante de leur titre au cours des ans comme, en guise d'exemples, le Canadien-Français (1885), Le Petit Québécois, journal humoristique fondé en 1909, ainsi que Le Québécois de Montmagny-L'Islet (1977).
Bibliographie : PAQUOT, Annette et Zylberberg, Jacques (1982), « L'incantation québécoise », dans Mots, Paris, no 4, mars, p. 7-28. PAQUOT Annette (1983), « Le peuple problématique du Canada. Les définitions de Canada et Québec dans le discours référendaire », dans Mots, Paris, no 7, octobre, p. 7-29. Cf. également Hébert (1983) et Major (1977).
RacineMunicipalitéRacinois, Racinoise (1978*)
RadissonVillage (de la municipalité de la Baie-James)Radissonnien, Radissonnienne (1971)
Variante (s) : Radissonais.
RadissonieRégionRadissonien, Radissonienne (1967); Radissonian (1992) (forme anglaise)
Commentaire : Ce régionyme identifie un territoire qui, grosso modo, recouvre plus ou moins, au Québec, la baie James, englobant le Bouclier canadien et les basses-terres côtières, ainsi que la façade méridionale de la mer d'Hudson. L'appellation « Radissonie » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Bibliographie : HAMELIN, Louis-Edmond (1994), « Le régionyme Radissonie », dans Onomastica Canadiana, vol. 76, no 1, North York, juin, p. 41-49. 
RagueneauMunicipalité de paroisseRagueneauvien, Ragueneauvienne (1978*)
Bibliographie : COTRET, Louise de (1982), « Comment s'appellent-ils? » , dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 26 janvier, p. 80.
RainvilleAncienne municipalitéRainvillois, Rainvilloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Rainville n'existe plus depuis le 8 mars 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Farnham. L'appellation « Rainville » (Municipalité) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Rapide-DanseurMunicipalitéRapide-Danseurois, Rapide-Danseuroise (1986*)
RawdonMunicipalitéRawdonnois, Rawdonnoise (1998*)
Variante (s) : Rawdonien (1979*); Rawdonois (1986*); Rawdonite (1984*) (forme anglaise).
Commentaire : La municipalité de Rawdon est issue du regroupement de la municipalité du canton de Rawdon et de la municipalité du village de Rawdon, le 18 janvier 1998. La municipalité du canton de Rawdon avait adopté le gentilé Rawdonois en 1986; la municipalité du village de Rawdon avait, quant à elle, adopté le gentilé Rawdonien en 1979. La forme anglaise Rawdonite avait été adoptée en 1984 pour la municipalité de village et en 1986 pour la municipalité de canton.
Bibliographie : PELLETIER, Louis (1986), « Non pas deux mais trois gentilés pour Rawdon », dans le Joliette Journal, Joliette, 22 mars.
RémignyMunicipalitéRémignois, Rémignoise (1980*)
Commentaire : Un journal ayant pour titre Le Rémignois aurait paru au cours de années 1980.
RepentignyVilleRepentignois, Repentignoise (1979*)
Bibliographie : ACRN (1986), « Repentignois, Repentignoises« , dans L'Artisan, Repentigny, 11 mars, p. 11. RIVEST, Maurice (1986), « Échos de la ville », dans L'Avenir de l'Est, Montréal, 11 mars, p. 30.
RestigoucheRéserve indienneRestigouchois, Restigouchoise (1984)
Commentaire : La réserve indienne de Restigouche est devenue la réserve indienne de Listuguj en 1994.
RichelieuVilleRichelois, Richeloise (1978*)
Richelieu-YamaskaRégionRichelieu-Yamaskois, Richelieu-Yamaskoise (1985)
Commentaire : L'appellation « Richelieu-Yamaska » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
RichmondVilleRichmondais, Richmondaise (1984*); Richmondite (1984) (forme anglaise)
RigaudVilleRigaudien, Rigaudienne (1954*)
Variante (s) : Rigaldien (1951); Rigaudain (1978); Rigaudin (1949).
Commentaire : La municipalité de Rigaud est devenue la ville de Rigaud, le 22 août 2015. Elle est issue du regroupement de la ville de Rigaud et de la municipalité de la paroisse de Sainte-Madeleine-de-Rigaud, le 29 novembre 1995. La variante Rigaldien participe de l'origine du suffixe -aud, le germanique -ald, spécialisé d'abord dans les noms propres.
RimouskiVilleRimouskois, Rimouskoise (1920*)
Variante (s) : Rikien; Rimouskien (1930); Rimousquois.
Commentaire : Un hebdomadaire desservant la région immédiate de Rimouski a pour titre Le Rimouskois.
Rimouski-EstSecteur (de la ville de Rimouski)Rimouskois, Rimouskoise (1989)
Commentaire : La municipalité du village de Rimouski-Est n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rimouski. Le nom « Rimouski-Est » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Rimouski-Témiscouata, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeRimouskois-Témiscouatain, Rimouskoise-Témiscouataine, (1980)
Commentaire : C'est l'appellation « Circonscription électorale de Rimouski » qui identifie officiellement cette circonscription électorale provinciale à la Commission de toponymie.
RiponMunicipalitéRiponnais, Riponnaise (1980*)
Variante (s) : Riponnois; Ripounais; Ripounois.
Rive-NordRégionNordriverain, Nodriveraine (1985)
Commentaire : L'appellation « Rive-Nord » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Rive-SudRégionRive-Sudois, Rive-Sudoise (1976)
Variante (s) : Rivesudois (1989).
Commentaire : L'appellation « Rive-Sud » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Rivière-à-ClaudeMunicipalitéGlaude-Arbourois, Glaude-Arbouroise (1994*)
Commentaire : Étonnant au premier abord, ce gentilé a été établi à partir de considérations de nature historique. Le constituant Glaude évoque l'origine non encore résolue du toponyme souche; certains avancent qu'il faut y voir le nom d'un pionnier de l'endroit, Joseph Glaude, dont le patronyme aurait été déformé en Claude, alors que d'autres soutiennent qu'il faut interpréter dans le sens d'une variété de mouettes, les glaudes ou pince-martins, petits oiseaux que l'on retrouvait jadis en abondance dans les environs de la rivière à Claude. Quant au second élément, il figure à la demande de nombreux résidents du hameau de Ruisseau-à-Rebours, enclavé dans le territoire municipal de Rivière-à-Claude, qui désiraient voir clairement exprimer leur sentiment d'appartenance à leur milieu de vie immédiat. À l'instar de Glaude, Rebours n'a pas encore livré le secret définitif de sa signification. Tantôt on évoque un certain Michel Harbour qui pratiquait la pêche dans le secteur du ruisseau à Rebours en 1699, tantôt on suggère le patronyme de Pierre Harbour, arpenteur-géomètre qui a établi les limites du canton de Duchesnay et procédé à la division des lots. Quoi qu'il en soit, on a abandonné, aujourd'hui, la théorie suivant laquelle le cours d'eau concerné présentait un courant inversé ou « à rebours », quelque part sur son parcours. Ici aussi, l'approximation graphique a donné naissance aux formes Harbourg, Harbour, Arbour et même Albour, vraisemblablement transformées en à Rebours dans l'usage populaire. 
Bibliographie : CORMIER, Allen (1994), « Un nom pour les habitants de Rivière-à-Claude », dans Le Riverain, Sainte-Anne-des-Monts, 11 juin.
Rivière-à-la-LimeHameauLalimois, Lalimoise (1940)
Commentaire : L'appellation « Rivière-à-la-Lime » (Hameau) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Rivière-à-PierreMunicipalitéRipierrois, Ripierroise (1986*)
Rivière-au-RenardVillage (de la ville de Gaspé)Renardois, Renardoise (1991)
Rivière-aux-GrainesHameau (de la municipalité de Rivière-au-Tonnerre)Saint-Victorien, Saint-Victorienne (1894)
Commentaire : Jadis ce hameau portait le nom de Saint-Victor-de-la-Rivière-aux-Graines.
Rivière-BeaudetteMunicipalitéBeaudettois, Beaudettoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Rivière-Beaudette est issue du regroupement de la municipalité du village de Rivière-Beaudette et de la municipalité de la paroisse de Rivière-Beaudette, le 17 janvier 1990.
Rivière-BellHameau (de la municipalité de la Baie-James)Nadowesipiwini (1983) (forme algonquine)
[NA-DO-WÉ-SI-PI-WI-NI]
Variante (s) : Nadowésipiwini (1982).
Commentaire : Le nom algonquin de la rivière Nottaway, ancien nom de la rivière Bell dont le hameau a tiré sa dénomination, est Nadowe Sipi, Nadowe signifiant « Iroquois » et sibi ou sipi, « rivière » . Les Algonquins dénomment encore aujourd'hui Nadowe Sipi la rivière Bell et s'identifient comme Nadowesipiwini, « hommes de la rivière des Iroquois ».
Rivière-BlancheAncienne municipalitéThetfordois, Thetfordoise (1978*)
Commentaire : La municipalité de Rivière-Blanche n'existe plus depuis le 14 décembre 1994, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maitenant partie de la ville de Thetford Mines. L'appellation « Rivière-Blanche » (Municipalité) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie. Le gentilé retenu avait été motivé par la contiguïté de la ville de Thetford Mines et en vertu de son appartenance au canton de Thetford.
Rivière-BleueMunicipalitéRiverain, Riveraine (1976*)
Rivière-des-PrairiesQuartier (de la ville de Montréal)Prairivois, Prairivoise (1995)
Variante (s) : Villageois des Prairies.
Commentaire : Municipalité créée en 1845, Rivière-des-Prairies a obtenu le statut de ville en 1954, puis a fait l'objet d'un regroupement avec Montréal en 1963. Longtemps, par le passé, on a connu l'endroit comme le village de Rivière-des-Prairies, dénomination qui a pu inspirer la variante.
Rivière-du-LoupMRCLouperivien, Louperivienne (1986)
Rivière-du-LoupMunicipalité scolaireLouperivien, Louperivienne (1986*)
Commentaire : Identique à celui qui identifie les citoyens de la MRC de Rivière-du-Loup, ce gentilé s'applique aux élèves qui résident sur le territoire de la municipalité scolaire de Rivière-du-Loup. L'appellation « Rivière-du-Loup » (Municipalité scolaire) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Rivière-du-LoupVilleLouperivois, Louperivoise (2014*, 1978)
Variante (s) : Fraservillien (1906); Loupérivois; Loupien; Louprivois; Lupifluvien; Ripelouvois; Rivolupien.
Commentaire : Rivière-du-Loup se dénommait anciennement Fraserville, d'où Fraservillien, d'ailleurs peu répandu. Certaines variantes mettent à contribution la forme latine de rive, ripa, de même que celle de loup, lupus, lupi au pluriel.
Bibliographie : LOUPERIVOIS [pseudonyme (1985), « Du respect s.v.p. », dans le Progrès-Écho, Rimouski, 16 janvier, p. 7.
Rivière-ÉternitéMunicipalitéÉternitois, Éternitoise (1991*)
Variante (s) : Éternitériverain (1986).
Commentaire : Considérée comme trop longue et d'une utilisation difficile, la forme Éternitériverain, adoptée en 1986, cédait la place, cinq ans plus tard, à Éternitois.
Rivière-HévaMunicipalitéHévarivois, Hévarivoise (1986*)
Rivière-MalbaieSecteur (de la ville de La Malbaie)Malbaieriverain, Malbaieriveraine (1986*)
Commentaire : La municipalité de Rivière-Malbaie n'existe plus depuis le 1er décembre 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de La Malbaie. Le nom « Rivière-Malbaie » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Rivière-MatawinHameau (de la municipalité de Trois-Rives)Mattawin, Mattawine (1972)
Commentaire : La graphie avec deux t provient probablement d'une variante Mattawin. Cf. Matawinie MRC et Matawinie RG.
Rivière-OuelleMunicipalitéRivelois, Riveloise (1986*)
Commentaire : Le gentilé est tiré de Rivière-Ouelle, auxquels on a adjoint le suffixe-ois.
Rivière-PentecôteSecteur (de la ville de Port-Cartier)Pentecôtois, Pentecôtoise (1986*)
Variante (s) : Riverain (1972).
Commentaire : La municipalité de Rivière-Pentecôte n'existe plus depuis 19 février 2003, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Port-Cartier. Le nom « Rivière-Pentecôte » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Rivière-PortneufVillage (de la municipalité de Portneuf-sur-Mer)Portneuvien, Portneuvienne (1985)
Rivière-RougeVilleRiverougeois, Riverougeoise (2008*)
Rivière-Saint-JeanMunicipalitéJeanriverain, Jeanriveraine (1986*)
Robert-ClicheMRCBeauceron, Beauceronne (1986*)
Bibliographie : LÉGARÉ, Jacques (1986), « MRC Robert-Cliche : « on veut rester Beaucerons! », dans L'Éclaireur-Progrès, Sainte-Marie, 26 février, p. A-5.
RobertsonvilleSecteur (de la ville de Thetford Mines)Robertsonvillois, Robertsonvilloise (1978)
Variante (s) : Robertsonnois.
Commentaire : La municipalité du village de Robertsonville n'existe plus depuis le 17 octobre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Thetford Mines. Le nom « Robertsonville » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Roberval, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeRobervalois, Robervaloise (1978)
RobervalVilleRobervalois, Robervaloise (1896*)
Variante (s) : Robertvalois; Robervalais (1904); Robervalien (1930); Robervallois (1949); Robervilien.
Bibliographie : VIEN, Rossel (1955), Histoire de Roberval, cœur du Lac-Saint-Jean (1855-1955), Chicoutimi, Société historique du Saguenay, coll. « Publications de la Société historique du Saguenay », no 15, 369 p.
RochebaucourtVillageRochebaucourtois, Rochebaucourtoise (1947)
Le 1er janvier 2023, les municipalités de La Morandière et de Rochebaucourt ont fusionné pour devenir la municipalité de La Morandière-Rochebaucourt.
Rock ForestSecteur (de la ville de Sherbrooke)Forestois, Forestoise (1979*)
Variante (s) : Rock-Forestois.
Commentaire : La ville de Rock Forest n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sherbrooke. Le nom « Rock Forest » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. En décembre 1984, le bulletin municipal Le Forestois a paru pour la première fois.
Rock IslandSecteur (de la ville de Stanstead)Rockinsulaire (1979)
Commentaire : La ville de Rock Island n'existe plus depuis le 1er février 1995, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Stanstead. Le nom « Rock Island » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Le segment -insulaire provient du dérivé du mot île, transposé de l'anglais Island. Voir Les Trois-Villages.
RolletSecteur (de la ville de Rouyn-Noranda)Rolletien, Rolletienne (1980*)
[RO-LÈ-TYIN/TYENNE]
Variante (s) : Rolletois (1958); Rollettien.
Commentaire : La municipalité de Rollet n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. Le nom « Rollet » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
RoquemaureMunicipalitéRoquemaurien, Roquemaurienne (1943)
RosemèreVilleRosemèrois, Rosemèroise (1980*);
Rosemerite (1984) (forme anglaise)
Variante (s) : Rosemèrien; Rosemerois.
Commentaire : Mere est un mot anglo-saxon du XIe siècle ayant pour sens « marais ». Pour ce motif, certains estiment que même en français Rosemèrois ne devrait pas comporter d'accent.
RosemontQuartier (de la ville de Montréal)Rosemontois, Rosemontoise (1982)
Variante (s) : Rosemontais (1981).
Rosemont–La Petite-PatrieArrondissementRosepatrien, Rosepatrienne (2019*)
RougemontMunicipalité de villageVoir Rougemont (Municipalité)
RougemontMunicipalitéRougemontois, Rougemontoise (1975*)
Variante (s) : Rougemontais.
Commentaire : La municipalité de Rougemont est issue du regroupement de la municipalité du village de Rougemont et de la municipalité de la paroisse de Saint-Michel-de-Rougemont, le 26 janvier 2000.
RoussillonMRCRoussillonnais, Roussillonnaise (1984*)
Bibliographie : LEFEBVRE, Marc (1985), « Quel est votre gentilé? », dans Journal annuel de la Société historique de la Vallée de la Châteauguay, Howick, p. 13-16.
RouvilleDivision de recensementRouvillois, Rouvilloise (1978)
RouynAncienne villeRouynois, Rouynoise (1980*)
[ROU-I-NOI/NOIZ]
Variante (s) : Rouanais (1979); Rouynais; Rouynnais.
Commentaire : La ville de Rouyn n'existe plus depuis 1986, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rouyn-Noranda. L'appellation « Rouyn » (Ville) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Bibliographie : ANONYME (1980), « Ce sont des Rouynois qui habitent Rouyn », dans La Frontière, Rouyn, 5 mars, p. 5. GAUDREAULT, Marcel (1980), « Comment appelle-t-on les habitants de Rouyn? », dans La Frontière, Rouyn, 26 mars, p. 82 et 9 avril, p. 78.
Rouyn-NorandaVilleRouynorandien, Rouynorandienne (1990*)
Variante (s) : Rouandais (1987).
Commentaire : Lors de la fusion des villes de Rouyn et de Noranda, en 1986, on a procédé à l'adoption d'un nouveau gentilé, car la forme en usage, Rouandais, provenant de Rouanda, amalgame de Rouyn et de Noranda, présentait une parenté non souhaitable avec Rwandais, nom des habitants du Rwanda.
Bibliographie : LOISELLE, Ghyslain (1989), « Choix d'un gentilé pour Rouyn-Noranda : « La ville s'en occupera », dans La Frontière, Rouyn-Noranda, 4 avril, p. 22. LOISELLE, Ghyslain (1990), « Les habitants de Rouyn-Noranda baptisés les Rouynorandiens. Que pensez-vous du choix de la Ville? », dans la Frontière, Rouyn-Noranda, 3 avril, p. 8-B.
RoxboroSecteur (de la ville de Montréal)Roxborite (1984) (forme anglaise)
Variante (s) : Roxboronian (forme anglaise).
Commentaire : La ville de Roxboro n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Montréal. Le nom « Roxboro » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
RoxtonMunicipalité de cantonRoxtonois, Roxtonoise (1986*)
Roxton FallsMunicipalité de villageRoxtonnois, Roxtonnoise (1986*)
Roxton PondMunicipalitéRoxtonais, Roxtonaise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Roxton Pond est issue du regroupement de la municipalité du village de Roxton Pond et de la municipalité de la paroisse de Roxton Pond, le 17 décembre 1997.
Roxton-SudHameau (de la municipalité de Roxton Pond)Roxtonais, Roxtonaise (1978)
Sacré-CœurMunicipalitéSacré-Cœurois, Sacré-Cœuroise (1980*)
Sacré-Cœur-de-JésusAncienne municipalité de paroisse (de la région de Lanaudière)Sacré-Cœurin, Sacré-Cœurine (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sacré-Cœur-de-Jésus est devenue la municipalité de Sacré-Cœur-de-Crabtree, le 2 février 1991. Cette dernière n'existe plus depuis le 23 octobre 1996, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Crabtree. L'appellation « Sacré-Cœur-de-Jésus » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Sacré-Cœur-de-JésusMunicipalité de paroisse (de la région de la Chaudière-Appalaches)Sacré-Cœurois, Sacré-Cœuroise (1986*)
Sacré-Coeur-de-MarieSecteur (de la municipalité d'Adstock)Maricoeurois, Maricoeuroise (2016*)
SagamieRégionSagamien, Sagamienne (1977)
Commentaire : Régionyme proposé par un universitaire chicoutimien pour être substitué à Saguenay–Lac-Saint-Jean, Sagamie, en dépit d'une présence accrue surtout dans le domaine des raisons sociales n'a pas encore véritablement pénétré dans l'usage général. Il est formé du premier élément de Saguenay et du dernier de Piekouagami, nom innu du lac Saint-Jean et signifiant « lac plat »; la voyelle finale e contribue à lui conférer l'allure d'un nom de région à l'instar de Mauricie, Témiscamie, Jamésie, Matawinie, etc. Par ailleurs, une brochure de l'Université du Québec à Chicoutimi porte le nom de Le Sagamien. L'appellation « Sagamie » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Bibliographie : BOUCHARD, Louis-Marie (1979), « La Sagamie ou le Saguenay–Lac-Saint-Jean rebaptisé », dans Perspective-dimanche, Chicoutimi, 11 mars, p. 14. VILLENEUVE, Georges (1981), « Un nouveau truc, la Sagamie? », dans L'Étoile du Lac, Roberval, 13 mai.
SaguenayRégionSaguenayen, Saguenayenne (1880)
Variante (s) : Sagnéen; Saguenayain; Saguenayéen; Saguenéain; Saguenéen (1904); Saguenéyen.
Commentaire : On peut observer une alternance importante quantitativement entre les formes Saguenayen et Saguenéen, bien que Saguenayen soit légèrement plus répandu, du moins dans la mesure où notre corpus est concerné. Une rue des Saguenéens figure dans l'odonymie de Chicoutimi et l'importante revue de la Société historique du Saguenay a pour titre Saguenayensia.
Bibliographie : DEGAGNÉ, Narcisse (1930), « Divers. Question de français », dans le Progrès du Saguenay, Chicoutimi, 7 janvier, p. 3. TREMBLAY, Victor (1961), « Le Saguenay est un tout et le Lac Saint-Jean en fait partie », dans La Presse, Montréal, 31 janvier, p. 21.
SaguenayVilleSaguenéen, Saguenéenne (2014*)
Saguenay-CharlevoixRégionSaguevois, Saguevoise (1992)
Commentaire : Ce déonomastique a cours dans le domaine du tourisme d'hiver et qualifie une «  route  » qui permet l'accès à trois montagnes situées respectivement au Saguenay (le mont Édouard) et dans Charlevoix (le mont Grand Fonds et le Massif de Petite-Rivière-Saint-François) qui offrent de belles possibililités pour le ski combinées à diverses activités hivernales (ski de fond, traîneau à chiens, pêche blanche...), complétées par un réseau d'auberges de prestige. Sur le plan de la formation du dérivé, on aura reconnu le procédé de télescopage mis à contribution et qui tire parti de Saguenay et de Charlevoix. L'appellation « Saguenay-Charlevoix » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Saguenay–Lac-Saint-JeanRégion administrativeSaguenay-Jeannois, Saguenay-Jeannoise
Variante (s) : Saguenaylacsaintjeannien (1961); Saguenay–Lac-Saint-Jeannois, Saguenay–Lac-Saint-Jeannoise (1979).
Commentaire : Le gentilé Saguenay-Jeannois, Saguenay-Jeannoise, d'intégration plus récente, apparaît pallier les problèmes soulevés par les appellations antérieures. Il ne comporte que quatre syllabes, ce qui le rend plus aisé à employer. En effet, ses variantes demeurent des créations isolées très exceptionnellement usitées. Leur longueur les condamne irrémédiablement au rôle de curiosités et les tenants d'une appellation gentiléenne qui réunisse les deux territoires en une seule dénomination semblent voués à l'échec dans leur projet, surtout si l'on considère le poids des gentilés Jeannois et Saguenayen qui véhiculent une forte identification à la région respective.
Saint-AchilléeHameau (de la ville de Château-Richer)Achilléen, Achilléenne (1972)
Commentaire : Jadis, les lieux répondaient à l'appellation de Saint-Achille-de-Montmorency.
Saint-AdalbertMunicipalitéSaint-Adalbertois, Saint-Adalbertoise (1985*)
Saint-AdelmeMunicipalité de paroisseSaint-Adelmois, Saint-Adelmoise (1978*)
Saint-AdelpheMunicipalité de paroisseAdelphien, Adelphienne (1978*)
Saint-Adolphe-d'HowardMunicipalitéAdolphin, Adolphine (1983*)
Bibliographie : ANONYME (1986), « Au conseil municipal de Saint-Adolphe », dans Journal des Pays d'en Haut, Sainte-Adèle, 12 mars, p. 21. DESLAURIERS, Daniel (1986), « C'est maintenant officiel. Les résidents de St-Adolphe seront des Adolphins et Adolphines », dans L'Information du Nord, Saint-Jovite, 10 mars.
Saint-AdrienMunicipalitéAdriennois, Adriennoise (1986*)
Saint-Adrien-d'IrlandeMunicipalitéAdrienirlandois, Adrienirlandoise (1986*)
Saint-AgapitMunicipalitéAgapitois, Agapitoise (1986*)
Variante (s) : Agapiton (1979).
Commentaire : Le gentilé officialisé demeure une dénomination beaucoup plus adéquate que la variante recueillie au cours d'enquêtes linguistiques locales et ne véhicule aucune allusion flétrissante.
Saint-AiméMunicipalitéAimérois, Aiméroise (2015*)
Saint-Aimé-des-LacsMunicipalitéAimélacois, Aimélacoise (1996*)
Saint-Aimé-du-Lac-des-ÎlesMunicipalitéAimélois, Aiméloise (2024*)
Saint-AlbanMunicipalitéAlbanois, Albanoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Alban est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Alban et de la paroisse de Saint-Alban, le 31 décembre 1991. Le gentilé Albanois appartenait à la municipalité de paroisse.
Saint-AlbertMunicipalitéAlbertois, Albertoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Albert-de-Warwick est devenue la municipalité de Saint-Albert, le 26 juillet 1997.
Saint-Albert-de-WarwickMunicipalité de paroisseVoir Saint-Albert (Municipalité)
Saint-AlexandreMunicipalité (de la région de la Montérégie)Alexandrin, Alexandrine (1985*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Alexandre est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-Alexandre et de la municipalité du village de Saint-Alexandre, le 17 septembre 1988.
Saint-Alexandre-de-KamouraskaMunicipalitéAlexandrin, Alexandrine (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Alexandre est devenue la municipalité de Saint-Alexandre-de-Kamouraska, le 5 juillet 1997.
Saint-Alexandre-des-LacsMunicipalité de paroisseAlexandrien, Alexandrienne (1983*)
Saint-AlexisMunicipalitéAlexinois, Alexinoise (2002*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Alexis et la municipalité de village de Saint-Alexis ont fusionné pour devenir la municipalité de Saint-Alexis, le 19 décembre 2012.
Saint-Alexis-des-MontsMunicipalité de paroisseAleximontois, Aleximontoise (1986*)
Commentaire : Contrairement à ce que l'édition de 1987 du Répertoire des gentilés du Québec donnait, le gentilé approuvé par résolution municipale était Aleximontois et non Alexismontois.
Saint-AlfredMunicipalitéAlfredois, Alfredoise (2015*)
Saint-AlphonseMunicipalité de paroisse (de la région de la Montérégie)Voir Saint-Alphonse-de-Granby (Municipalité)
Saint-AlphonseMunicipalité (de la région de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine)Belgiquois, Belgiquoise (2014*)
Variante (s) : Bigiquois, Bigiquoise (1986*)
Commentaire : L'origine du gentilé choisi s'explique par le fait que des Belges ont colonisé la municipalité, d'où l'appellation Belgiquois (sans doute créée pour se distinguer des Belges européens). Il est à noter qu'auparavant le gentilé était prononcé localement [BI-GI-KOI]. Voir Saint-Alphonse-de-Caplan (Village).
Saint-Alphonse-de-CaplanVillage (de la municipalité de Saint-Alphonse)Belgiquois, Belgiquoise (1980)
Variante (s) : Caplinot.
Commentaire : Le surnom de cette localité est La Petite-Belgique, car des Belges s'y sont installés jadis et Caplan, d'ailleurs, a déjà porté le nom de Musselyville, en l'honneur de l'abbé Henri Joseph Mussely, prêtre belge fondateur de la paroisse d'origine. Voir Saint-Alphonse (Municipalité).
Saint-Alphonse-de-GranbyMunicipalitéAlphonsois, Alphonsoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Alphonse est devenue la municipalité de Saint-Alphonse-de-Granby, le 25 octobre 2008.
Saint-Alphonse-de-RodriguezMunicipalité de paroisseVoir Saint-Alphonse-Rodriguez (Municipalité)
Saint-Alphonse-RodriguezMunicipalitéRodriguais, Rodriguaise (1985*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Alphonse-de-Rodriguez est devenue la municipalité de Saint-Alphonse-Rodriguez, le 20 avril 1991.
Bibliographie : PELLETIER, Louis (1986), « Quel sera le gentilé de Saint-Alphonse? », dans Le Joliette Journal, Joliette, 22 mars.
Saint-AmableVilleAmablien, Amablienne (1978*)
Variante (s) : Saint-Amablien.
Saint-AmbroiseMunicipalitéAmbroisien, Ambroisienne (1986*)
Saint-Ambroise-de-KildareMunicipalitéAmbroisien, Ambroisienne (1982*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Ambroise-de-Kildare est devenue la municipalité de Saint-Ambroise-de-Kildare, le 6 décembre 2014.
Commentaire : La dénomination courante de la municipalité demeure Saint-Ambroise.
Saint-Anaclet-de-LessardMunicipalité de paroisseAnaclois, Anacloise (1986*)
Saint-André-AvellinMunicipalitéAvellinois, Avellinoise (1976*)
Variante (s) : Avellinot (1970).
Commentaire : La municipalité de Saint-André-Avellin est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-André-Avellin et de la paroisse de Saint-André-Avellin, le 17 décembre 1997. Ces deux anciennes municipalités avaient adopté le gentilé Avellinois, respectivement en 1976 et 1986.
Saint-André-d'ActonAncienne municipalité de paroisseActonois, Actonoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-André-d'Acton n'existe plus depuis le 26 janvier 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville d'Acton Vale. L'appellation « Saint-André-d'Acton » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Bibliographie : GAUTHIER, Marthe (1986), « Les nouvelles de Saint-André d'Acton », dans La Pensée de Bagot, Acton Vale, 7 juillet. R., L. (1986), « Actonois plutôt qu'Actonien? », dans La Tribune, Sherbrooke, 19 avril, p. A9.
Saint-André-d'ArgenteuilMunicipalité Andréen, Andréenne (1980); St.Andrewsite (1983) (forme anglaise)
Commentaire : La municipalité du village de Carillon, la municipalité de la paroisse de Saint-André-d'Argenteuil et la municipalité du village de Saint-André-Est se sont regroupées pour former la municiplité de Saint-André–Carillon, le 29 décembre 1999. Celle-ci est devenue la municipalité de Saint-André-d'Argenteuil, le 25 novembre 2000.
Saint-André-de-KamouraskaMunicipalité (de la région du Bas-Saint-Laurent)Andréen, Andréenne (1986*)
La municipalité de Saint-André est devenue la municipalité de Saint-André-de-Kamouraska, le 12 décembre 2020.
Saint-André-de-RestigoucheMunicipalitéAndrégouchois, Andrégouchoise (2015*)
Saint-André-du-Lac-Saint-JeanMunicipalité de villageAndréjeannois, Andréjeannoise (2001*)
Saint-André-EstVillage (de la municipalité de Saint-André-d'Argenteuil)Andréen-de-l'Est, Andréenne-de-l'Est (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Saint-André-Est n'existe plus depuis le 29 décembre 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Saint-André-d'Argenteuil. Le nom « Saint-André-Est » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
Saint-Ange-GardienSecteur (de la municipalité d'Ange-Gardien)Ange-Gardienois, Ange-Gardienoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Ange-Gardien n'existe plus depuis le 31 décembre 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité d'Ange-Gardien. Le nom « Saint-Ange-Gardien » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Saint-AnicetMunicipalitéAnicetois, Anicetoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Anicet est devenue la municipalité de Saint-Anicet, le 10 décembre 2011.
Saint-AnselmeMunicipalitéSaint-Anselmois, Saint-Anselmoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Anselme est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Anselme et de la municipalité de la paroisse de Saint-Anselme, le 7 janvier 1998. Les deux anciennes municipalités avaient adopté un gentilé différent en 1986. Anselmois avait été retenu par la municipalité de paroisse et Saint-Anselmois par la municipalité du village.
Saint-AnselmeAncienne municipalité de paroisseAnselmois, Anselmoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Anselme n'existe plus depuis le 7 janvier 1998, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Saint-Anselme. L'appellation « Saint-Anselme » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-AntoineSecteur (de la ville de Saint-Jérôme)Antonien, Antonienne (1980*)
Variante (s) : Laurentien.
Commentaire : La ville de Saint-Antoine n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Jérôme. Le nom « Saint-Antoine » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Le gentilé provient de la transposition latine d'Antoine, Antonius, ce qui permet d'éviter, entre autres, une certaine cacophonie provoquée par la succession rapide des sons [WA] et [YIN]. Quant à Laurentien, il témoigne d'une époque à laquelle le nom de la ville était Saint-Antoine-des-Laurentides.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Le gentilé de nos voisins », dans L'Écho du Nord, Saint-Jérôme, 30 avril.
Saint-Antoine-de-la-Baie-du-FebvreAncienne municipalité de paroisseAntonien, Antonienne (1911)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Antoine-de-la-Baie-du-Febvre n'existe plus depuis 1983, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Baie-du-Febvre. L'appellation « Saint-Antoine-de-la-Baie-du-Febvre » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-Antoine-de-l'Isle-aux-GruesMunicipalité de paroisseGruois, Gruoise (1985*)
[GRU-OI/OIZ]
Saint-Antoine-de-PontbriandMunicipalité de paroisseVoir Pontbriand (Secteur)
Saint-Antoine-de-TillyMunicipalitéAntonien, Antonienne (2002)
Saint-Antoine-sur-RichelieuMunicipalitéAntonien, Antonienne (1905*)
Saint-AntoninVilleAntonien, Antonienne (1991*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Antonin est devenue la municipalité de Saint-Antonin, le 1er novembre 2014, puis la Ville de Saint-Antonin, le 4 décembre 2021.
Commentaire : Appellation adoptée à la suite d'une consultation populaire, le gentilé Antonien, dont la structure se rapproche davantage d'une dérivation à partir du nom Antoine, a été privilégié en regard de suggestions comme Antoninois, Antoninien, Antonin, Antoninéen et Antoninais. L'euphonie a sans doute compté pour beaucoup dans ce choix.
Bibliographie : ANONYME (1991), « Suggestions pour la création d'un gentilé », dans Info-municipal, Saint-Antonin, juin, s.p.
Saint-ApollinaireMunicipalitéApollinairois, Apollinairoise (1986*)
Saint-ArmandMunicipalitéArmandois, Armandoise (1986*)
Commentaire : La  municipalité de la paroisse de Saint-Armand-Ouest est devenue la municipalité de Saint-Armand, le 23 mars 1993.
Saint-Armand-OuestMunicipalité de paroisseVoir Saint-Armand (Municipalité)
Saint-ArsèneMunicipalité de paroisseArsénois, Arsénoise (1986*)
Saint-AthanaseMunicipalité (de la région du Bas-Saint-Laurent)Athanasois, Athanasoise (1986*)
Saint-AthanaseAncienne municipalité de paroisse (de la région de la Montérégie)Saint-Athanasien, Saint-Athanasienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Athanase n'existe plus depuis le 24 janvier 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Jean-sur-Richelieu. L'appellation « Saint-Athanase » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-AubertMunicipalitéAubertois, Aubertoise (1986*)
Saint-AugustinMunicipalité (de la région de la Côte-Nord)Augustinien, Augustinienne (1967)
Variante (s) : Augustinois; Saint-Augustinois.
Saint-Augustin, RivièreRivièrePukut-shipiunnu (1980) (forme innue)
Commentaire : En innu, la rivière a pour nom Pukutshipu Shipu.
Saint-Augustin-de-DesmauresVilleAugustinois, Augustinoise (1979*)
Variante (s) : Augustinien.
Bibliographie : ROCHON, Nicole et Alii (1983), « À Saint-Augustin... notre patrimoine, on n'en « Desmaures » pas... Augustinien, ienne?, Augustinois, oise? Woburnois, oise? », dans MIM, mensuel d'information municipale, Saint-Augustin-de-Desmaures, vol. 4, no 14, décembre, p. 18.
Saint-Augustin-de-WoburnMunicipalité de paroisseWoburnois, Woburnoise (1978*)
Saint-Barnabé-SudMunicipalitéBarnabéen, Barnabéenne (1994)
Saint-BarthélemyMunicipalité de paroisseBarthélemien, Barthélemienne (1981*)
Variante (s) : Barthélémien.
Commentaire : La variante a été tirée de l'ancienne graphie du nom de la municipalité « Saint-Barthélémi ».
Saint-BasileVilleBasilien, Basilienne (1985*)
Variante (s) : Basilois (1980); Saint-Basilois.
Commentaire : La ville de Saint-Basile est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-Basile et de la municipalité du village de Saint-Basile-Sud, le 1er mars 2000. Elle a repris le gentilé de Saint-Basile-Sud. Pour leur part, les résidents de l'ancienne municipalité de paroisse étaient désignés comme des Basilois depuis, à tout le moins 1980.
Saint-Basile-le-GrandVilleGrandbasilois, Grandbasiloise (1981*)
Variante (s) : Basilien (1967); Granbasilois.
Bibliographie : L., M. (1981), « Grandbasilois! Grandbasiloises ! » dans L'Oeil régional, Belœil, 29 juillet.
Saint-Basile-SudAncienne municipalité de villageBasilien, Basilienne (1985)
Commentaire : La municipalité du village de Saint-Basile-Sud n'existe plus depuis le 1er mars 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Basile. L'appellation « Saint-Basile-Sud » (Municipalité de village) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-BenjaminMunicipalitéBenjaminois, Benjaminoise (1986*)
Saint-Benoît-LabreMunicipalitéBenois, Benoise (1986*)
Saint-BernardMunicipalitéBernardin, Bernardine (1983*)
Saint-Bernard-de-LacolleMunicipalitéBernardin, Bernardine (1967)
Saint-Bernard-de-l'Île-aux-CoudresAncienne municipalitéCoudrien, Coudrienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Bernard-de-l'Île-aux-Coudres n'existe plus depuis le 5 janvier 1994, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de L'Isle-aux-Coudres. L'appellation « Saint-Bernard-de-l'Île-aux-Coudres » (Municipalité) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-Bernard-de-MichaudvilleMunicipalitéBermigeois, Bermigeoise (1995*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Bernard-Partie-Sud est devenue la municipalité de Saint-Bernard-de-Michaudville, le 19 juillet 1997. Le gentilé est tiré de la première syllabe du constituant Bernard et de celle du toponyme Michaudville qui entre dans la composition de Saint-Bernard-de-Michaudville, appellation courante de l'endroit qui provient de celle du bureau de poste qui l'a lui-même empruntée à un ancien village du territoire. La consonne de passage g agrémente sur un plan euphonique cette appellation collective.
Saint-Bernard-Partie-SudMunicipalité de paroisseVoir Saint-Bernard-de-Michaudville (Municipalité)
Saint-BlaiseMunicipalité de paroisseVoir Saint-Blaise-sur-Richelieu (Municipalité)
Saint-Blaise-sur-RichelieuMunicipalitéBlaisois, Blaisoise (1984*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Blaise est devenue la municipalité de Saint-Blaise-sur-Richelieu, le 15 mai 1993.
Saint-BonaventureMunicipalitéBonaventurain, Bonaventuraine (1986*)
Saint-BonifaceMunicipalitéBonifacien, Bonifacienne (1999*)
Commentaire : La municipalité du village de Saint-Boniface-de-Shawinigan est devenue la municipalité de Saint-Boniface, le 5 avril 2003.
Saint-Boniface-de-ShawiniganParoisse (de la municipalité de Saint-Boniface)Shaweganien, Shaweganienne (1888)
Commentaire : Le nom de cette paroisse a été changé pour « Saint-Boniface » en 1987. Anciennement, le nom Shawinigan était orthographié Shawenegan (e). Inexplicablement le ne a été omis dans la correspondance du curé de l'époque, quoique la lettre concernée porte bel et bien l'indication de lieu : « Shawenegan, 1er août, 1888 ».
Saint-Boniface-de-ShawiniganMunicipalité de villageVoir Saint-Boniface (Municipalité)
Saint-BrunoMunicipalitéBrunois, Brunoise (1985*)
Saint-Bruno-de-GuiguesMunicipalitéGuiguois, Guiguoise (1986*)
Saint-Bruno-de-KamouraskaMunicipalitéBrulois, Bruloise (1992*)
Variante (s) : Woodbridgeois (1982).
Commentaire : Cette localité étant connue entre 1887 et 1986 comme la municipalité du canton de Woodbridge, cela explique la variante gentiléenne. Quant à l'appellation collective actuelle, elle met à profit, en partie, le prénom de l'ancêtre Bruno Dionne et, en partie, le fait que les brûlots ou moustiques piqueurs se retrouvent en abondance sur le territoire municipal. Localement on désirait disposer d'une appellation originale palliant toute confusion avec les gens de Saint-Bruno au Lac-Saint-Jean, les Brunois, tout en illustrant avec humour une caractéristique de l'endroit.
Bibliographie : ANONYME (1993), « Gentilés de Saint-Bruno », dans Mémoires d'un canton : Saint-Bruno-de-Kamouraska, 1893-1993, Saint-Bruno-de-Kamouraska, Comité des fêtes du centenaire de Saint-Bruno, p. 297.
Saint-Bruno-de-MontarvilleVilleMontarvillois, Montarvilloise (1981*) St.Brunoite (1983) (forme anglaise)
Variante (s) : Saint-Brunois.
Commentaire : La communauté anglophone semble s'identifier davantage à l'élément Saint-Bruno du nom de la municipalité alors que les francophones focalisent leur intérêt sur Montarville, ce qui paraît étonnant de prime abord, car l'hagiotoponymie a toujours été considérée comme une manifestation spécifique de l'esprit religieux de jadis des Québécois de langue française.
Saint-Cajetan-d'ArmaghMunicipalité de paroisseVoir Armagh (Municipalité)
Saint-CalixteMunicipalitéCalixtien, Calixtienne (1978*)
Saint-CamilleMunicipalité de cantonCamillois, Camilloise (1985*)
[KA-MIY-OI/OIZ]
Saint-Camille-de-LellisMunicipalité de paroisseCamillois, Camilloise (1986*)
[KA-MIY-OI/OIZ]
Variante (s) : Camilien (1924).
Commentaire : La graphie de la variante peut s'expliquer par la prononciation fréquente de Camille [KA-MIL] au lieu de [KA-MIY], en particulier au début du siècle.
Saint-CanutVillage (de la ville de Mirabel)Canut, Canuse (1988)
Commentaire : Le gentilé évoque la personne qui uvre dans les industries lyonnaises de la soie, canne désignant une bobine de fil. Le féminin paraît rare. Célèbre pour ses insurrections soulevées en 1831 et 1834, la corporation des canuts a lutté pour obtenir l'établissement d'un tarif minimal des salaires pour ses membres. Fiers héritiers de ces tisserands, les Canuts québécois par « leur minutie et leur doigté, leur courage, leur fougue, leur attachement au terroir, leur sérieux et leur conscience ont fait qu'une paroisse est née depuis plus de 125 ans pour le bien-être de ses adeptes, pour la préservation de leur foi et de leurs traditions, de leurs us et coutumes. » (Saint-Canut 1887-1987, Montréal, Les Éditions Louis Bilodeau et Fils, 1988, p. 10).
Saint-CasimirMunicipalitéCasimirien, Casimirienne (1845*)
Variante (s) : Saint-Casimirien.
Commentaire : La nouvelle municipalité de Saint-Casimir est issur du regroupement de la municipalité de Saint-Casimir et de la municipalité de la paroisse de Saint-Casimir, le 21 juin 2000.
Saint-CasimirMunicipalité de paroisseVoir Saint-Casimir (Municipalité)
Saint-CélestinMunicipalité de villageAnnavillois, Annavilloise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village d'Annaville est devenue la municipalité du village de Saint-Célestin, le 2 février 1991.
Saint-CélestinMunicipalitéSaint-Célestinois, Saint-Célestinoise (1986*)
Saint-CésaireVilleCésairois, Césairoise (1986*)
Variante (s) : Césairien; Césarien (1904).
Commentaire : La nouvelle ville de Saint-Césaire est issue du regroupement de la ville de Saint-Césaire et de la municipalité de la paroisse de Saint-Césaire, le 26 janvier 2000. La variante Césarien est issue de la dénomination latine Ca(e)sarius, en français Césaire, référant à l'évêque d'Arles du VIe s. qui a donné son nom à la municipalité. Le gentilé Césairois avait été adopté par l'ancienne municipalité de la paroisse de Saint-Césaire.
Saint-CésaireMmunicipalité de paroisseVoir Saint-Césaire (Ville)
Saint-CharlesMunicipalité de village (de la région de la Chaudière-Appalaches)Voir Saint-Charles-de-Bellechasse (Municipalité)
Saint-CharlesMunicipalité de paroisse (de la région de la Montérégie)Voir Saint-Charles-sur-Richelieu (Municipalité)
Saint-Charles-BorroméeVille (de la région de Lanaudière)Charlois, Charloise (1985*)
Variante (s) : Saint-Charlois (1983).
Bibliographie : BOURASSA, Louise (1986), « Les « Charlois » de Saint-Charles-Borromée », dans Le Joliette Journal, Joliette, 26 février, p. 7.
Saint-Charles-BorroméeAncienne municipalité de paroisse (de la région de la Chaudière-Appalaches)Charléen, Charléenne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Charles-Borromée, dont le nom s'écrivait « Saint-Charles-Boromé » jusqu'en 1987, n'existe plus depuis le 22 décembre 1993, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Saint-Charles-de-Bellechasse. L'appellation « Saint-Charles-Borromée » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-Charles-de-BellechasseMunicipalitéCharléen, Charléenne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Charles-de-Bellechasse est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Charles et de la municipalité de la paroisse de Saint-Charles-Borromée, le 22 décembre 1993.
Saint-Charles-de-BourgetMunicipalitéSaint-Charlois, Saint-Charloise (1978*)
Saint-Charles-de-LimoilouAncienne paroisse (de la ville de Québec)Limoilousien, Limoilousienne (1971)
Commentaire : La finale vocalique du constituant dont a été dérivé le gentilé appelle une consonne de passage, ici s. Cette paroisse n'existe plus depuis 2002, à la suite d'un regroupement. Elle fait maintenant partie de la paroisse de Notre-Dame-de-Rocamadour.
Saint-Charles-de-MandevilleMunicipalitéVoir Mandeville (Municipalité)
Saint-Charles-GarnierMunicipalité de paroisseCharlois, Charloise (1998*)
Saint-Charles-sur-RichelieuMunicipalitéCharlerivain, Charlerivaine (1986*)
Variante (s) : Saint-Charlois (1982).
Commentaire : La municipalité de Saint-Charles-sur-Richelieu est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-Charles et de la municipalité du village de Saint-Charles-sur-Richelieu, le 22 mars 1995.
Bibliographie : C(HOINIÈRE), G(inette) (1986), « Concours ouvert aux enfants de Saint-Charles-sur-Richelieu », dans L'Oeil régional, Belœil, 26 mars, p. 8
Saint-Charles-sur-RichelieuMunicipalité de villageVoir Saint-Charles-sur-Richelieu (Municipalité)
Saint-Christophe-d'ArthabaskaMunicipalité de paroisseChristophien, Christophienne (1986*)
Bibliographie : D(UCHESNEAU), M(arcel) (1986), « Réésidents-es (sic) de Saint-Christophe d'Arthabaska, vous êtes des « Christophiens-nes », dans L'Union des Cantons de l'Est, Victoriaville, 11 mars, p. 41.
Saint-ChrysostomeMunicipalité Chrysostomien, Chrysostomienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Chrysostome est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Chrysostome et de la municipalité de la paroisse de Saint-Jean-Chrysostome, le 29 septembre 1999.
Saint-ChrysostomeMunicipalité de villageVoir Saint-Chrysostome (Municipalité)
Saint-ClaudeMunicipalitéClaudien, Claudienne (1985*)
Bibliographie : ANONYME (1986), « Saint-Claude en bref », dans L'Étincelle, Windsor, 18 mars, p. 12.
Saint-ClémentParoisse (de la municipalité de Saint-Clément)Clémentin, Clémentine (1987)
Saint-ClémentMunicipalitéClémentois, Clémentoise (1981)
Saint-Clément-de-TourvilleParoisse (de la municipalité de Tourville)Tourvillien, Tourvillienne (1993) 
Commentaire : Bien que le nom officiel de la paroisse soit Saint-Clément, on la désigne couramment comme Saint-Clément de Tourville localement, pour pallier toute confusion avec Saint-Clément, dans la région de Rivière-du-Loup. L'élément Tourville provient de la dénomination du bureau de poste.
Saint-CléophasMunicipalité de paroisse (de la région de Lanaudière)Voir Saint-Cléophas-de-Brandon (Municipalité)
Saint-CléophasMunicipalité de paroisse (de la région du Bas-Saint-Laurent)Saint-Cléophassien, Saint-Cléophassienne (1986*)
Bibliographie : ST-AMAND, Alain (1986), « Au Conseil municipal de St-Cléophas. Gentilé », dans L'Avant-Poste Gaspésien, Amqui, 19 février, p. 45.
Saint-Cléophas-de-BrandonMunicipalitéCléophassois, Cléophassoise (1986*)
Variante (s) : Cléophasien (1985).
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Cléophas est devenue la municipalité de Saint-Cléophas-de-Brandon, le 18 octobre 1997.
Saint-CletMunicipalitéClétois, Clétoise (1980*)
Saint-Cœur-de-MarieSecteur (de la ville d'Alma)Mistoukois, Mistoukoise (1978)
Variante (s) : Mistookois; Mistoukien (1919).
Commentaire : Ce secteur portait auparavant le nom de Mistook (plusieurs variantes existent : Mistouk, Mistouc, Mistooc, etc.)., du nom de la rivière Mistouc qui coule tout près de lui.
Bibliographie : G(ARON), C(laude) (1984), « Un nouveau nom pour la municipalité de Delisle? » dans Le Lac-Saint-Jean, Alma, 4 avril. 
Saint-ColombanVilleColombanois, Colombanoise (1980*)
Variante (s) : Colombien.
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Colomban est devenue la municipalité de Saint-Colomban, le 17 janvier 2009. Le 13 novembre 2010, cette dernière devenait la ville de Saint-Colomban.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Colombanois, Colombanoise... » dans Le Mirabel, Saint-Jérôme, 19 février, p. 11.
Saint-CômeMunicipalitéCômier, Cômière (1972)
Variante (s) : Cômien.
Saint-Côme–LinièreMunicipalitéCômelinois, Cômelinoise (2017*)
Saint-ConstantVilleConstantin, Constantine (1980*)
Bibliographie : LABERGE, Normand (1986), « De villes en villes. Les Constantins et les Constantines » dans Le Reflet, Candiac, 19 mars, p. 14.
Saint-CuthbertMunicipalitéSaint-Cuthbertois, Saint-Cuthbertoise (1980)
Variante (s) : Cuthbérois; Cuthbertain; Cuthbertois; Saint-Cuthbertais.
Commentaire : La municipalité de Saint-Cuthbert est issue du regroupement des municipalités des paroisses de Saint-Cuthbert et de Saint-Viateur, le 7 janvier 1998.
Saint-CuthbertMunicipalité de paroisseVoir Saint-Cuthbert (Municipalité)
Saint-CyprienMunicipalité (de la région du Bas-Saint-Laurent)Cyprianais, Cyprianaise (2014*)
Saint-Cyprien-de-NapiervilleMunicipalitéCypriote (2011*)
Saint-Cyrille-de-WendoverMunicipalitéCyrillois, Cyrilloise (1985*)
Saint-DamaseMunicipalité de villageVoir Saint-Damase (Municipalité)
Saint-DamaseMunicipalité de paroisseVoir Saint-Damase (Municipalité)
Saint-DamaseMunicipalitéDamasien, Damasienne (1984)
Variante (s) : St-Damasien (1964).
Commentaire : La municipalité de Saint-Damase est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Damase et de la municipalité de la paroisse de Saint-Damase, le 5 octobre 2001.
Saint-Damase-de-L'IsletMunicipalitéDamasien, Damasienne (1978)
Saint-DamienMunicipalité de paroisseDamiennois, Damiennoise (1986*)
Variante (s) : Damien (1985).
Bibliographie : BELLEHUMEUR, Alain (1986), « Ça se dit dans la région ... » dans L'Écho de Louiseville, Louiseville, 19 mars, p. 11.
Saint-Damien-de-BucklandMunicipalité de paroisseDamien, Damienne (1982)
Saint-DanielSecteur (de la municipalité d'Adstock)Daniellois, Danielloise (2016*)
Saint-DavidMunicipalité Davidien, Davidienne (1986*)
Variante (s) : Davidois (1978).
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-David est devenue la municipalité de Saint-David, le 4 avril 2009.
Saint-David-de-FalardeauMunicipalitéFalardien, Falardienne (1969)
Commentaire : Le Reflet falardien, journal de la jeune Chambre de commerce, a paru au début des années 1970.
Saint-David-de-l'AuberivièreSecteur (de la ville de Lévis)Davidois, Davidois (1983*)
Variante (s) : Saint-Davidois (1976).
Saint-Denis, RueRue (de la ville de Montréal)Dionysien, Dionysienne (1957) 
Commentaire : Le gentilé est formé à partir de l'équivalent latin de Denis, Dionysius, lequel remonte au grec Dionysos.
Saint-DenisMunicipalité de villageVoir Saint-Denis-sur-Richelieu (Municipalité)
Saint-Denis-de-BromptonMunicipalitéSaint-Denisien, Saint-Denisienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Denis-de-Brompton est devenue la municipalité de Saint-Denis-de-Brompton, le 31 octobre 2012.
Saint-Denis-De La BouteillerieMunicipalitéDenisien, Denisienne (2011*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Denis est devenue la municipalité de Saint-Denis-De La Bouteillerie, le 16 novembre 2013.
Saint-Denis-sur-RichelieuMunicipalitéDionysien, Dionysienne (1943*)
Variante (s) : Dionisien; Dyanisien; Dyonésien; Dyonisien (1905). 
Commentaire : La municipalité de Saint-Denis-sur-Richelieu est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-Denis et de la municipalité du village de Saint-Denis, le 24 décembre 1997. Issu de la dérivation latine, le gentilé Dionysien provient de Dionysius, forme latine de Denis, laquelle remonte au grec Dionysos. La teneur savante du dérivé a probablement joué un rôle non négligeable dans la multiplication des variantes. Le nom antérieur du village était Saint-Denis-sur-Richelieu. 
Bibliographie : ALLAIRE, J.-B.-A. (1905), Histoire de la paroisse de Saint-Denis-sur-Richelieu (Canada), Saint-Hyacinthe, Imprimerie du Courrier de Saint-Hyacinthe, p. 3 et 5 en particulier.
Saint-DenysAncienne paroisse (de la ville de Québec)Dionysien, Dionysienne (1987) 
Commentaire : La paroisse de Saint-Denys n'existe plus depuis 2002, par suite d'un regroupement. Elle fait maintenant partie de la paroisse de Notre-Dame-de-Foy.
Saint-DidaceMunicipalité de paroisseDidacien, Didacienne (1957*)
Saint-DominiqueMunicipalitéDominiquois, Dominiquoise (1986*)
Saint-Dominique-du-RosaireMunicipalitéDominiquois, Dominiquoise (1994*)
Saint-DonatMunicipalité (de la région de Lanaudière)Donatien, Donatienne (1972)
[DO-NA-SYIN/SYENNE]
Commentaire : On a baptisé une piste de ski de randonnée locale La Donatienne.
Saint-Dunstan-du-Lac-BeauportMunicipalité de paroisseSaint-Dunstannien, Saint-Dunstannienne (1978) 
Commentaire : Voir Lac-Beauport (Municipalité)
Sainte-AdèleVilleAdélois, Adéloise (1978*)
Variante (s) : Adélinois (1971); Adellois; Adelois; Adèlois.
Sainte-AgatheMunicipalité de villageVoir Sainte-Agathe-de-Lotbinière (Municipalité)
Sainte-AgatheMunicipalité de paroisseVoir Sainte-Agathe-de-Lotbinière (Municipalité)
Sainte-Agathe-de-LotbinièreMunicipalitéAgathois, Agathoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Sainte-Agathe-de-Lotbinière est issue du regroupement de la municipalité du village de Sainte-Agathe et de la municipalité de la paroisse de Sainte-Agathe, le 3 février 1999.
Sainte-Agathe-des-MontsVilleAgathois, Agathoise (1978*)
Sainte-Agathe-SudAncienne municipalité de villageSudagathois, Sudagathoise (1986*) 
Commentaire : La municipalité du village de Sainte-Agathe-Sud n'existe plus depuis le 1er janvier 1999 par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sainte-Agathe-des-Monts. L'appellation « Sainte-Agathe-Sud » n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Bibliographie : BUSQUE, Éric (1986), « Les sudagathois vous connaissez? », dans Le Sommet, Sainte-Agathe-des-Monts, 18 février, p. 2.
Sainte-AngèleMunicipalité de paroisseVoir Sainte-Angèle-de-Prémont (Municipalité)
Sainte-Angèle-de-MériciMunicipalité de villageVoir Sainte-Angèle-de-Mérici (Municipalité)
Sainte-Angèle-de-MériciMunicipalitéMéricien, Méricienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Sainte-Angèle-de-Mérici est issue du regroupement de la municipalité du village de Sainte-Angèle-de-Mérici et de la municipalité de la paroisse de Sainte-Angèle-de-Mérici, le 26 avril 1989.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Échos municipaux de la Mitis. Sainte-Angèle Village », dans L'Information régionale, Mont-Joli, 11 mars, p. B-1.
Sainte-Angèle-de-MériciMunicipalité de paroisseVoir Sainte-Angèle-de-Mérici (Municipalité)
Sainte-Angèle-de-MonnoirMunicipalité Angèloirien, Angèloirienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Angèle-de-Monnoir est devenue la municipalité de Sainte-Angèle-de-Monnoir, le 18 octobre 2008.
Sainte-Angèle-de-PrémontMunicipalitéPrémontois, Prémontoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Angèle est devenue la municipalité de Sainte-Angèle-de-Prémont en 1988.
Sainte-AngéliqueSecteur (de la municipalité de Papineauville)Sainte-Angéliquois, Sainte-Angéliquoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Angélique n'existe plus depuis le 29 novembre 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Papineauville. Le nom « Sainte-Angélique » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Sainte-Anne-de-BeaupréVilleSainte-Annois, Sainte-Annoise (2000*)
Sainte-Anne-de-BellevueVilleAnnabellevois, Annabellevoise (1986*)
Commentaire : Le constituant du gentilé Anna provient de la transposition en latin d'Anne, tandis que la seconde partie de l'appellation met Bellevue à contribution.
Bibliographie : D'AOUST, Guy (1986), « Connaissez-vous vos voisins Annabellevois? » dans L'Écho de Vaudreuil-Soulanges, Dorion, 22 avril, p. 5.
Sainte-Anne-de-la-PéradeMunicipalitéPéradien, Péradienne (1930*)
Commentaire : La municipalité de Sainte-Anne-de-la-Pérade est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Sainte-Anne-de-la-Pérade et de la municipalité du village de La Pérade, le 10 mai 1989.
Sainte-Anne-de-la-PéradeMunicipalité de paroisseVoir Sainte-Anne-de-la-Pérade (Municipalité)
Sainte-Anne-de-la-PocatièreMunicipalité de paroissePocatiérain, Pocatiéraine (1951*)
Variante (s) : Pocatérien.
Sainte-Anne-de-la-Pointe-au-PèreAncienne municipalité de paroisseVoir Pointe-au-Père (Secteur) 
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Anne-de-la-Pointe-au-Père est devenue la ville de Pointe-au-Père en 1988. Cette dernière n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rimouski. L'appellation « Sainte-Anne-de-la-Pointe-au-Père » (Municipalité) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Sainte-Anne-de-la-RochelleMunicipalitéLarochellois, Larochelloise (1986*)
Sainte-Anne-de-PortneufMunicipalitéVoir Portneuf-sur-Mer (Municipalité)
Sainte-Anne-de-SabrevoisMunicipalité de paroisseSabrevoisien, Sabrevoisienne (2011*)
Sainte-Anne-des-LacsMunicipalité de paroisseAnnelacois, Annelacoise (2007*)
Sainte-Anne-des-MontsVilleAnnemontois, Annemontoise (1980*)
Variante (s) : Annemontais.
Sainte-Anne-de-SorelMunicipalité Sainte-Annois, Sainte-Annoise (2008*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Anne-de-Sorel est devenue la municipalité de Sainte-Anne-de-Sorel, le 27 septembre 2008.
Sainte-Anne-des-PlainesVilleAnneplainois, Anneplainoise (2011*)
Sainte-Anne-du-LacSecteur (de la municipalité d'Adstock et de la région de la Chaudière-Appalaches)Lacannois, Lacannoise (1999*)
Commentaire : La municipalité de Sainte-Anne-du-Lac n'existe plus depuis le 24 octobre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité d'Astock. Le nom « Sainte-Anne-du-Lac » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Sainte-Anne-du-LacMunicipalité (de la région des Laurentides)Tapanois, Tapanoise (2014*)
Sainte-Anne-du-SaultAncienne municipalitéSaintannois, Saintannoise (2003*)
Commentaire : La municipalité de Sainte-Anne-du-Sault n'existe plus depuis le 9 mars 2016, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Daveluyville. Le nom « Sainte-Anne-du-Sault » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Sainte-Anne-d'YamachicheMunicipalité de paroisseVoir Yamachiche (Municipalité)
Sainte-Apolline-de-PattonMunicipalité de paroisseApollinois, Apollinoise (1986*)
Sainte-AurélieMunicipalitéAurélien, Aurélienne (1986*)
Sainte-BarbeMunicipalité Barberivain, Barberivaine (1997*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Barbe est devenue la municipalité de Sainte-Barbe, le 4 avril 2009.
Sainte-BéatrixMunicipalitéBéatrixois, Béatrixoise (1994*)
Sainte-BlandineSecteur (de la ville de Rimouski)Blandinois, Blandinoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Blandine n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rimouski. Le nom « Sainte-Blandine » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Sainte-BrigideParoisse (de la ville de Montréal)Brigidain, Brigidaine (1985)
Sainte-Brigide-d'IbervilleMunicipalitéBrigidien, Brigidienne (1986*)
Sainte-Brigitte-de-LavalVilleLavalois, Lavaloise (1968*)
Variante (s) : Lavallois. 
Commentaire : La municipalité de Sainte-Brigitte-de-Laval est devenue la ville de Sainte-Brigitte-de-Laval, le 8 décembre 2012. Un journal local a déjà porté le titre de Le Lavalois.
Sainte-Brigitte-des-SaultsMunicipalité de paroisseBrigittois, Brigittoise (1982*)
Sainte-CatherineVilleSainte-Catherinois, Sainte-Catherinoise (1991*)
Variante (s) : Catherinois (1987).
Commentaire : Sainte-Catherinois, gentilé davantage en usage et plus près formellement de la dénomination de la ville, a été préféré, en 1991, à Catherinois, adopté par le précédent conseil municipal.
Sainte-Catherine-de-HatleyMunicipalitéCatherinois, Catherinoise (1986*)
Sainte-Catherine-de-la-Jacques-CartierVilleCatherinois, Catherinoise (1981*)
Variante (s) : Catherinien. 
Commentaire : Le journal municipal se nomme Le Catherinois et existe depuis 1981. 
Bibliographie : PELLETIER, Robert (1984), « La vie municipale. Ne dites plus... », dans Le Journal de Québec, Québec, 20 décembre, p. 7.
Sainte-Cécile-de-LévrardMunicipalité de paroisseCécilien, Cécilienne (1986*)
Sainte-Cécile-de-MashamVillage (de la municipalité de La Pêche)Mashamois, Mashamoise (1971) 
Sainte-Cécile-de-MiltonMunicipalité Miltonnais, Miltonnaise (1974*)
Commentaire : La municipalité de du canton de Sainte-Cécile-de-Milton est devenue la municipalité de Sainte-Cécile-de-Milton, le 4 avril 2009.
Sainte-Cécile-de-WhittonMunicipalitéWhittonnais, Whittonnaise (1986*)
Sainte-ChristineMunicipalité de paroisse (de la région de la Montérégie)Christinois, Christinoise (1986*)
Sainte-Christine-d'AuvergneMunicipalitéAuvergnat, Auvergnate (2015*)
Sainte-ClaireMunicipalitéClairois, Clairoise (2014*)
Sainte-Clothilde-de-HortonMunicipalité de villageVoir Sainte-Clotilde-de-Horton (Municipalité)
Sainte-ClotildeMunicipalitéClotildien, Clotildienne (1906*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Clotilde-de-Châteauguay est devenue la municipalité de Sainte-Clotilde, le 6 février 2010.
Sainte-Clotilde-de-BeauceMunicipalitéClotildois, Clotildoise (1986*)
Sainte-Clotilde-de-ChâteauguayMunicipalité de paroisseVoir Sainte-Clotilde (Municipalité)
Sainte-Clotilde-de-HortonMunicipalitéClotildois, Clotildoise (1993)
Variante (s) : Clothildois (1985). 
Commentaire : La municipalité de Sainte-Clotilde-de-Horton est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Sainte-Clothilde-de-Horton, de la municipalité du village de Sainte-Clotilde-de-Horton et de la municipalité de Saint-Jacques-de-Horton, le 26 mars 1997. Par suite de la modification de l'élément Clothilde en Clotilde dans le nom municipal en 1991, afin de le rendre conforme à l'orthographe courante de ce prénom, une correction similaire a été apportée au gentilé adopté en 1985.
Sainte-CroixMunicipalitéSan-Crucien, San-Crucienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Sainte-Croix est issue du regroupement de la municipalité du village et de la municipalité de la paroisse de Sainte-Croix, le 5 octobre 2001. On a fait appel également ici à la dérivation latine, San provenant de Sancta, « sainte » et Crucien de crux, crucis, « croix ». Il s'agit d'un exemple-limite du système dérivationnel.
Sainte-CroixMunicipalité de villageVoir Sainte-Croix (Municipalité)
Saint-Edmond-de-GranthamMunicipalitéEdmondois, Edmondoise (2001*)
Saint-Edmond-les-PlainesMunicipalitéEdmondois, Edmondoise (2015*)
Saint-ÉdouardMunicipalitéÉdouarois, Édouaroise (2015*)
Saint-Édouard-de-FabreMunicipalité de paroisseFabrien, Fabrienne (1984*)
Saint-Édouard-de-FramptonMunicipalité de paroisseVoir Frampton (Municipalité)
Saint-Édouard-de-LotbinièreMunicipalité de paroisseSaint-Édouardien, Saint-Édouardienne (1986*)
Saint-Édouard-de-MaskinongéMunicipalitéÉdouardien, Édouardienne (1986*) 
Variante (s) : Maskinongeois (1981).
Sainte-Edwidge-de-CliftonMunicipalité de cantonEdwidgien, Edwidgienne (1986*)
Variante (s) : Edwidgeois.
Sainte-ÉlisabethMunicipalitéBayollais, Bayollaise (1978*)
Variante (s) : Bayolais (1972); Bayonnais.
La municipalité de la paroisse de Sainte-Élisabeth est devenue la municipalité de Sainte-Élisabeth, le 19 janvier 2013.
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Elizabeth est devenue la municipalité de la paroisse de Sainte-Élisabeth en 1987. « Sainte-Élisabeth de Bayonne ou simplement « Bayolle » comme les anciens la nommaient en faisant une faute de prononciation est située au confluent de la rivière Bayonne (...) » (DUGAS, Alphonse-Charles (1971), Notre belle paroisse de Sainte-Élisabeth (Co. Joliette), Sainte-Elizabeth, Édition de la Bayonne, p. 4). Ainsi, le gentilé est issu du nom du cours d'eau qui traverse la municipalité, lequel a été relevé sous le nom de la Bayonnais à l'occasion d'une enquête dialectologique réalisée en 1980.
Sainte-Élisabeth-de-WarwickMunicipalité de paroisseVoir Sainte-Élizabeth-de-Warwick (Municipalité)
Sainte-ElizabethMunicipalité de paroisseVoir Sainte-Élisabeth (Municipalité de paroisse)
Sainte-Élizabeth-de-WarwickMunicipalité Élizabethois, Élizabethoise (2007*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Élisabeth-de-Warwick est devenue la municipalité de Sainte-Élizabeth-de-Warwick, le 2 février 2008. Les élus municipaux ont voulu respecter le désir des fondateurs, car l'acte d'érection de la paroisse, sanctionné le 18 mai 1887, porte la forme anglaise Elizabeth. Toutefois, le nom se prononce localement avec l'accent sur le « E », c'est la raison pour laquelle il a été conservé.
Sainte-Émélie-de-l'ÉnergieMunicipalitéÉmélinois, Émélinoise (1995*)
Sainte-EmmélieAncienne municipalité de paroisseEmmélien, Emmélienne (1994)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Emmélie n'existe plus depuis le 26 janvier 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Leclercville. L'appellation « Sainte-Emmélie » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Sainte-EulalieMunicipalitéEulalien, Eulalienne (1986*)
Sainte-Euphémie-sur-Rivière-du-SudMunicipalitéSudriverain, Sudriveraine (1986*)
Sainte-Famille-de-l'Île-d'OrléansMunicipalitéFamillois, Familloise (1986*)
[FA-MIY-OI/OIZ]
Sainte-FélicitéMunicipalité (de la région de la Chaudière-Appalaches)Félicitois, Félicitoise (1986*)
Sainte-FlavieMunicipalité de paroisseFlavien, Flavienne (1979*)
Bibliographie : ANONYME (1986), « Échos municipaux de la Mitis. Sainte-Flavie » dans L'Information régionale, Mont-Joli, 11 mars, p. B-1.
Sainte-FloreVillage (de la ville de Shawinigan)Sainte-Florien, Sainte-Florienne (1986)
Sainte-FlorenceMunicipalitéFlorencien, Florencienne (1986*)
Bibliographie : MICHAUD, Thérèse (1986), « Ste-Florence : les affaires municipales. Commission de toponymie », dans L'Avant-Poste Gaspésien, Amqui, 26 mars, p. 44.
Sainte-FoySecteur (de la ville de Québec)Fidéen, Fidéenne (1978*)
Variante (s) : Fidésien (1975); Fidien; Saint-Fidéen.
Commentaire : La ville de Sainte-Foy n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Québec. Le nom « Sainte-Foy » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Foi, anciennement orthographiée foy, se dit en latin fides, fidei au génitif (complément de nom). Il semble qu'à une certaine époque un journal municipal portait le nom de Le Fidéen.
Sainte-FrançoiseMunicipalité (de la région du Centre-du-Québec)Franlageois, Franlageoise (1986*)
Variante (s) : Sainte-Françoisien (1981).
Commentaire : Selon la secrétaire-trésorière de la municipalité, le gentilé officialisé a été choisi lors d'une consultation populaire; il s'explique ainsi : Fran- représente la première syllabe de Françoise et -lageois consitue un jeu verbal avec « la joie », les Franlageois étant caractérisés par la grande joie de vivre qui émane d'eux.
Sainte-FrançoiseMunicipalité de paroisse (de la région du Bas-Saint-Laurent)Franlageois, Franlageoise (2024*)
Sainte-GenevièveSecteur (de la ville de Montréal)Génovéfain, Génovéfaine (1986*)
Commentaire : La ville de Sainte-Geneviève n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Montréal. Le nom « Sainte-Geneviève » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. La dénomination Geneviève se dit en latin Genovefa à laquelle on a adjoint le suffixe -ain pour déterminer le gentilé, identique à celui de Sainte-Genevièvre-des-Bois (Seine-et-Oise).
Bibliographie : Bernard, Florian (1986), « L'Île de Montréal. Les Génovéfains au répertoire officiel des gentilés du Québec », dans La Presse, Montréal, 2 avril, p. A7. Pitre, Mario (1986), « Êtes-vous « génovéfains »», dans Cités Nouvelles, Sainte-Geneviève, 30 mars, p. 2.
Sainte-GenevièveAncienne paroisse (de la ville de Québec)Genévois, Genévoise (1985)
Commentaire : La paroisse de Sainte-Geneviève n'existe plus depuis 2000, par suite d'un regroupement. Elle fait maintenant partie de la paroisse de Notre-Dame-de-Foy.
Sainte-GenevièveParoisse (de la municipalité de la paroisse de Sainte-Geneviève-de-Bastican)Génovéfain, Génovéfaine (1895)
Variante (s) : Généviévois (1987); Genovéfain (1895).
Commentaire : En latin Geneviève se dit Genovefa, auquel on a adjoint le suffixe gentiléen -ain.
Sainte-Geneviève-de-BatiscanMunicipalité de paroisseGenevièvois, Genevièvoise (1980*)
Sainte-Geneviève-de-BerthierMunicipalitéBerthelais, Berthelaise (1983*)
La municipalité de la paroisse de Sainte-Geneviève-de-Berthier est devenue la municipalité de Sainte-Geneviève-de-Berthier, le 31 octobre 2012.
Sainte-Germaine-BouléMunicipalitéGermainien, Germainienne (1986*)
Sainte-Germaine-de-l'Anse-aux-GasconsAncienne municipalité de paroisseGasconnien, Gasconnienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Germaine-de-l'Anse-aux-Gascons n'existe plus depuis le 17 janvier 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Port-Daniel–Gascons. L'appellation « Sainte-Germaine-de-l'Anse-aux-Gascons » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Sainte-Gertrude-MannevilleMunicipalitéGervillois, Gervilloise (2015*)
Sainte-HedwidgeMunicipalitéHedwidgien, Hedwidgienne (1986*)
Sainte-HélèneMunicipalité (de la région du Bas-Saint-Laurent)Voir Sainte-Hélène-de-Kamouraska (Municipalité)
Sainte-Hélène-de-BagotMunicipalitéHélénois, Hélénoise (1986*)
Sainte-Hélène-de-BreakeyvilleSecteur (de la ville de Lévis)Breakeyvillois, Breakeyvilloise (1983*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Hélène-de-Breakeyville n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Lévis. Le nom « Sainte-Hélène-de-Breakeyville » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. La désignation courante de cette ancienne municipalité est Breakeyville, dénomination souche du gentilé. Le journal Le Breakeyvillois, paru pour la première fois en octobre 1983, a été créé pour informer les citoyens quant aux diverses activités s'inscrivant dans le cadre des fêtes du 75e anniversaire de fondation de la municipalité.
Bibliographie : ANONYME (1984), Sainte-Hélène de Breakeyville d'hier à aujourd'hui, Scott-Jonction, s.é., 866 p. (p. 317 en particulier)
Sainte-Hélène-de-ChesterMunicipalitéChesterestois, Chesterestoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du canton de Chester-Est est devenue la municipalité de Sainte-Hélène-de-Chester le 3 mai 2008.
Sainte-Hélène-de-KamouraskaMunicipalitéHélénois, Hélénoise (1994*)
Commentaire : La municipalité de Sainte-Hélène est devenue la municipalité de Sainte-Hélène-de-Kamouraska, le 13 septembre 2014.
Sainte-Hélène-de-MancebourgMunicipalité de paroisseMancebourgeois, Mancebourgeoise (1986*)
Sainte-HénédineMunicipalité de paroisseHénédinois, Hénédinoise (1993*)
Sainte-IrèneMunicipalité  de paroisseIrénien, Irénienne (1986*)
Variante (s) : Sainte-Irénien.
Bibliographie : BOUDREAULT-LAMBERT, Sylvie (1986), « Ste-Irène : affaires municipales », dans L'Avant-Poste Gaspésien, Amqui, 26 février, p. 36.
Sainte-Jeanne-d'ArcMunicipalité de paroisse (de la région du Bas-Saint-Laurent)Jeannois-Mitissien, Jeannoise-Mitissienne (1986*)
Variante (s) : Jeannois (1980).
Commentaire : L'ajout de l'élément Mitissien, qui réfère à la région de la Mitis, a pour but de permettre aux citoyens de se démarquer des autres Jeannois, du Lac-Saint-Jean entre autres.
Bibliographie : Otis, Augustine (1986), « Ste-Jeanne d'Arc : affaires municipales. Gentilé des gens de la municipalité », dans L'Avant-Poste Gaspésien, Amqui, 23 avril, p. 12.
Sainte-Jeanne-d'ArcMunicipalité de village (de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean)Jeannedarcois, Jeannedarcoise (1986*)
Sainte-JulieVilleJulievillois, Julievilloise (1987*)
Variante (s) : Julivillois (1987).
Commentaire : La finale -villois marque le statut de ville de la municipalité. 
Bibliographie : ANONYME (1987), « Salut, citoyen de Sainte-Julie! Comment t'appelles-tu? Je suis une Julievilloise, Je suis un Julievillois », dans Le Citoyen, vol. 9, no 30, Sainte-Julie, mars, p. 1.
Sainte-JulienneMunicipalitéJuliennois, Juliennoise (1985*)
Sainte-JustineMunicipalitéJustinien, Justinienne (1962*)
Sainte-Justine-de-NewtonMunicipalité Justinois, Justinoise (1979*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Justine-de-Newton est devenue la municipalité de Sainte-Justine-de-Newton, le 11 octobre 2008.
Saint-ÉlieMunicipalité de paroisseVoir Saint-Élie-de-Caxton (Municipalité)
Saint-Élie-de-CaxtonMunicipalité Caxtonien, Caxtonienne (1993*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Élie est devenue la municipalité de Saint-Élie-de-Caxton, le 15 janvier 2005.
Saint-Élie-d'OrfordSecteur (de la ville de Sherbrooke)Orferois, Orferoise (1981*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Élie-d'Orford et devenue la municipalité de Saint-Élie-d'Orford, le 16 mai 1992. Celle-ci n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sherbrooke. Le nom « Saint-Élie-d'Orford » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. On a vraisemblablement élaboré le gentilé à partir d'une forme latinisante d'Orford, du type *Orferus (forme reconstituée).
Saint-ÉloiMunicipalité de paroisseÉloisien, Éloisienne (1986*)
Sainte-LouiseMunicipalité de paroisseLouisien, Louisienne (1986*)
Saint-ElphègeMunicipalité de paroisseElphègeois, Elphègeoise (2012*)
Sainte-LuceAncienne municipalité de paroisseVoir Sainte-Luce (Municipalité)
Sainte-LuceMunicipalitéLuçois, Luçoise (1979*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Luce et la municipalité du village de Luceville se sont regroupées pour former la municipalité de Sainte-Luce–Luceville, le 29 août 2001. Celle-ci est devenue la municipalité de Sainte-Luce, le 27 avril 2002.
Sainte-Lucie-de-BeauregardMunicipalitéBeauregardois, Beauregardoise (1986*)
Sainte-Lucie-des-LaurentidesMunicipalitéLucilois, Luciloise (1986*)
Commentaire : Lucie et Laurentides ont été mis à contribution  pour élaborer le gentilé.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Choix des gentilés » dans L'Information du Nord, Saint-Jovite, 14 avril. 
Saint-ElzéarMunicipalitéVoir Saint-Elzéar-de-Témiscouata
Saint-ElzéarMunicipalité (de la région de la Chaudière-Appalaches)Elzéarois, Elzéaroise (2007*)
Saint-ElzéarMunicipalité (de la région de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine)Saint-Elzien, Saint-Elzienne (2015*)
Saint-Elzéar-de-TémiscouataMunicipalitéElzéascouatais, Elzéascouataise (2013*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Elzéar est devenue la municipalité de Saint-Elzéar-de-Témiscouata, le 19 janvier 2002. Le gentilé précédent, Saint-Elzéaréen, Saint-Elzéaréenne, avait été adopté par résolution municipale en 1986.
Sainte-MadeleineMunicipalité de villageMadeleinois, Madeleinoise (1986*)
Sainte-Madeleine-de-la-Rivière-MadeleineMunicipalitéMadeleinoriverain, Madeleinoriveraine (1986*)
Sainte-Madeleine-de-RigaudMunicipalité de paroisseVoir Rigaud (Municipalité)
Sainte-Madeleine-d'OutremontParoisse (de la ville de Montréal)Madelinot, Madelinote (1954) 
Commentaire : À ne pas confondre avec le gentilé des citoyens des îles de la Madeleine. Le nom officiel de cette paroisse est « Sainte-Madeleine ».
Sainte-Marcelline-de-KildareMunicipalitéMarcellinois, Marcellinoise (1986*)
Sainte-Marguerite, RivièreRivièreTshemanipistukunnu (1980) (forme innue) 
Commentaire : Entre autres variantes amérindiennes du nom du cours d'eau, on relève : Rivière Tshimanipishtuk et Tshishe-Manipishtuk. Le gentilé identifie les Amérindiens qui avaient accès à leurs terrains de chasse par la rivière Sainte-Marguerite.
Sainte-MargueriteMunicipalité de paroisse (de la région de la Chaudière-Appalaches)Margueritois, Margueritoise (2007*)
Sainte-MargueriteMunicipalité (de la région du Bas-Saint-Laurent)Voir Sainte-Marguerite-Marie (Municipalité)
Sainte-Marguerite-du-Lac-MassonVilleMassonais, Massonaise (1984*)
Sainte-Marguerite-MarieHameau (de la ville de Dolbeau-Mistassini)Margueritois, Margueritoise (1981)
Sainte-Marguerite-MarieMunicipalitéMargueritien, Margueritienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Sainte-Marguerite est devenue la municipalité de Sainte-Marguerite-Marie, le 30 octobre 2010.
Bibliographie : BOUDREAULT-LAMBERT, Sylvie (1986), « Ste-Marguerite Les affaires municipales », dans L'Avant-Poste Gaspésien, Amqui, 10 mars, p. 36.
Sainte-MarieVilleMariverain, Mariveraine (1985*)
Commentaire : La ville est située sur les bords de la Chaudière, ce dont témoigne le constituant riverain, alors que Ma- provient de la première syllabe de Marie. 
Bibliographie : BRETON Pierre (1985), « Salut Mariverains, Mariveraines », dans Beauce Média, Sainte-Marie, 17 décembre, p. 5A.
Sainte-Marie-de-BlandfordMunicipalitéMarielandais, Marielandaise (1996*)
Sainte-Marie-de-MonnoirAncienne municipalité de paroisseMariemonnois, Mariemonnoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Marie-de-Monnoir n'existe plus depuis le 14 juin 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Marieville. L'appellation « Sainte-Marie-de-Monnoir » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Sainte-Marie-SaloméMunicipalitéSaloméen, Saloméenne (1981*)
Variante (s) : Samaritain.
Sainte-MartheMunicipalitéMarthéen, Marthéenne (1986*)
Sainte-Marthe-du-CapSecteur (de la ville de Trois-Rivières)Marthelinois, Marthelinoise (1989*)
Commentaire : La ville de Sainte-Marthe-du-Cap n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Trois-Rivière. Le nom « Sainte-Marthe-du-Cap » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Avant la fin de 1993, Sainte-Marthe-du-Cap se dénommait « Sainte-Marthe-du-Cap-de-la-Madeleine ». En raison de l'existence du gentilé Madelinois qui identifie les citoyens de Cap-de-la-Madeleine, celui retenu à l'époque pour Sainte-Marthe-du-Cap résulte de l'amalgame de Marthe et de linois. 
Bibliographie : NOREAU, Roger (1989), « Affaires municipales. Sainte-Marthe-du-Cap. Gentilé », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 15 mai, p. 36.
Sainte-Marthe-sur-le-LacVilleMarthelacquois, Marthelacquoise (1986*)
Bibliographie : BINETTE, Rémi (1986), « En direct de l'hôtel de ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac. Des Marthelacquois», dans L'Éveil des Deux-Rives, Saint-Eustache, 18 mars, p. 22.
Sainte-MartineMunicipalitéMartinois, Martinoise (1983*)
Sainte-MélanieMunicipalitéMélanien, Mélanienne (1982*)
Variante (s) : Mélanois.
Saint-ÉmileSecteur (de la ville de Québec)Émilois, Émiloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Émile est devenue la ville de Saint-Émile, le 14 juillet 1993. Celle-ci n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Québec. Le nom « Saint-Émile » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. En juin 1986, un journal municipal a été créé, lequel répond au titre L'Émilois.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Émiloise, Émilois! », dans Le Mercredi soir, Loretteville, 18 juin, p. 3.
Saint-Émile-de-SuffolkMunicipalitéSuffolkien, Suffolkienne (1986*)
Commentaire : La municipalité des cantons unis de Suffolk-et-Addington est devenue la municipalité de Saint-Émile-de-Suffolk, le 19 février 1994. Le gentilé Suffolkien retenu par l'ancienne municipalité de canton unis a été conservé.
Sainte-MoniqueVillage (de la ville de Mirabel)Moniquois, Moniquoise (1970)
Sainte-MoniqueMunicipalité (de la région du Centre-du-Québec)Moniquois, Moniquoise (1984*)
Commentaire : La municipalité de Sainte-Monique est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Sainte-Monique et de la municipalité du village de Sainte-Monique, le 3 janvier 1996.
Sainte-MoniqueMunicipalité de village (de la région du Centre-du-Québec)Voir Sainte-Monique (Municipalité)
Sainte-MoniqueMunicipalité de paroisse (de la région du Centre-du-Québec)Voir Sainte-Monique (Municipalité)
Sainte-Odile-sur-RimouskiSecteur (de la ville de Rimouski)Odilois, Odiloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Odile-sur-Rimouski n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rimouski. Le nom « Sainte-Odile-sur-Rimouski » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Sainte-PauleMunicipalitéPauléen, Pauléenne (1986*)
Sainte-PerpétueMunicipalité de paroisse (de la région du Centre-du-Québec)Perpétuen, Perpétuenne (1960)
[PÈR-PÉ-TU-IN/ENNE]
Variante (s) : Sainte-Perpétutois.
Sainte-PerpétueMunicipalité (de la région de la Chaudière-Appalaches)Sainte-Perpétuen, Sainte-Perpétuenne (1986*)
[SINT-PÈR-PÉ-TU-IN/ENNE]
Sainte-PétronilleMunicipalité de villagePétronillais, Pétronillaise (1978)
Saint-ÉphremParoisse (de la municipalité de Saint-Éphrem-de-Beauce)Éphremois, Éphremoise (1955)
Saint-Éphrem-de-BeauceMunicipalitéÉphremois, Éphremoise (1998*)
Variante (s) : Saint-Éphremois (1986*).
Commentaire : La municipalité de Saint-Éphrem-de-Beauce est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-Éphrem-de-Beauce et de la municipalité du village de Saint-Éphrem-de-Tring, le 24 décembre 1997. Elle a repris le gentilé de la municipalité du village, Éphremois, connu depuis 1955, de préférence à Saint-Éphremois qui avait été retenu en 1986 par l'ancienne municipalité de paroisse.
Saint-Éphrem-de-BeauceMunicipalité de paroisseSaint-Éphremois, Saint-Éphremoise (1986*)
Commentaire : Voir Saint-Éphrem-de-Beauce (Municipalité)
Saint-Éphrem-de-TringMunicipalité de villageVoir Saint-Éphrem-de-Beauce (Municipalité)
Saint-Éphrem-d'UptonMunicipalité de paroisseVoir Upton (Municipalité)
Saint-ÉpiphaneMunicipalitéÉpiphanois, Épiphanoise (1986*)
Sainte-PraxèdeMunicipalité de paroissePraxèdois, Praxèdoise (2017*)
Sainte-RitaMunicipalitéRitois, Ritoise (1986*)
Sainte-RosalieSecteur (de la ville de Saint-Hyacinthe)Rosalien, Rosalienne (1939*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Rosalie et la ville de Sainte-Rosalie, qui partageaient toutes deux le gentilé Rosalien, n'existent plus depuis le 27 décembre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Leur territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Hyacinthe. Le nom « Sainte-Rosalie » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Sainte-RoseSecteur (de la ville de Laval)Sainte-Rosien, Sainte-Rosienne (1940)
Sainte-Rose-du-NordMunicipalité de paroisseRoserain, Roseraine (1982*)
Variante (s) : Roserin.
Commentaire : Le gentilé rappelle le fait que la municipalité se situe en position riveraine (élément -rain) par rapport à la rivière Saguenay.
Sainte-SabineMunicipalité de paroisse (de la région de la Chaudière-Appalaches) Sabinois, Sabinoise (1981*)
Sainte-SabineMunicipalité (de la région de la Montérégie)Sabinois, Sabinoise (1967*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Sabine est devenue la municipalité de Sainte-Sabine, le 18 octobre 2008.
Sainte-ScholastiqueVillage (de la ville de Mirabel)Scholasticain, Scholasticaine (1890) 
Commentaire : la finale -cain remonte au latin scholasticanus, scholasticana au féminin, « relatif à Scholastique ».
Sainte-SéraphineMunicipalité de paroisseSéraphinois, Séraphinoise (1986*)
Sainte-SophieMunicipalitéSophien, Sophienne (1986*)
Bibliographie : C(ADIEUX), A(nne)-Marie), « À Sainte-Sophie ce sont des Sophiens », dans Le Mirabel, Saint-Jérôme, 1er avril, p. A-15.
Sainte-Sophie-d'HalifaxMunicipalitéHalifaxois, Halifaxoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Sainte-Sophie-d'Halifax est issue du regroupement de la municipalité de Sainte-Sophie et de la municipalité du canton de Halifax-Nord, le 17 décembre 1997.
Saint-EspritMunicipalitéSpiritois, Spiritoise (1986*)
Variante (s) : Esprien (1985).
Commentaire : Spiritois est tiré de la transposition latine d'esprit, spiritus.
Sainte-ThècleMunicipalitéThèclois, Thècloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Sainte-Thècle est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Sainte-Thècle et de la municipalité du village de Sainte-Thècle, le 7 juin 1989.
Sainte-ThècleMunicipalité de villageVoir Sainte-Thècle (Municipalité)
Sainte-Thérèse, RueRue (de la ville de Québec)Sainte-Thérésard, Sainte-Thérésarde (1989) 
Commentaire : Généralement, le suffixe -ard véhicule une connotation péjorative, ce qui n'apparaît pas être le cas ici.
Sainte-ThérèseVilleThérésien, Thérésienne (2014*)
Variante (s) : Térésien, Térésienne (1880*); Térèsien; Thérésien (1880); Thérèsien.
Commentaire : La grande majorité des nombreux exemples relevés de ce gentilé ne comportent pas de h, graphie qui remonte, pour le dérivé, à la fin du XIXe siècle. Or, au XVIIe siècle, on orthographiait Sainte Terese ainsi (Relation des Jésuites (1665), Sixte Le Tac, etc.). Il s'agit d'un hispanisme, car Thérèse en espagnol a pour forme Teresa et la sainte patronne de la municipalité est précisément sainte Thérèse, religieuse espagnole, Cette graphie a d'ailleurs été retenue en 1979, lors de la création de la revue municipale Le Térésien. Enfin, on a amplement discuté de l'orthodoxie de formes comme Thérèsien et Thérésien et on assiste à une lente remontée de Thérésien avec h à titre de raison sociale ou de nom de groupement divers.
Bibliographie : ANONYME (1972), « Sur le mot « Térésien »», dans La Voix des Mille-Îles, Sainte-Thérèse, 6 septembre, p. 4. BERTRAND, Jean (1986), « C'est maintenant officiel. On écrit Térésien et non Thérésien », dans La Voix des Mille-Îles, Sainte-Thérèse, 18 mars, p. 14. BERTRAND, Lionel (1972), « Faut-il écrie « Térésien » ou écrire « Thérésien », dans La Voix des Mille-Îles, Sainte-Thérèse, 30 août, p. 4. 
Sainte-Thérèse-de-GaspéMunicipalitéThérésien, Thérésienne (1986*)
Sainte-Thérèse-de-la-GatineauMunicipalitéThérésois, Thérésoise (1996*)
Saint-Étienne-de-BeauharnoisMunicipalitéStéphanois, Stéphanoise (1983*)
Commentaire : Le gentilé résulte de la transposition latine du prénom Étienne, Stephanus.
Saint-Étienne-de-BeaumontMunicipalité de paroisseVoir Beaumont (Municipalité)
Saint-Étienne-de-BoltonMunicipalitéStéphanois, Stéphanoise (1985*)
Variante (s) : Grasspontin (1971). 
Commentaire : Pour l'élucidation de la formation du gentilé, se reporter à Saint-Étienne-de-Beauharnois. Quant à la variante, elle aurait été tirée du nom que portait naguère la municipalité, Grass Pond.
Saint-Étienne-de-LauzonSecteur (de la ville de Lévis)Stéphanois, Stéphanoise (1978*)
Commentaire : La municipalité de Sainte-Étienne-de-Lauzon n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Lévis. Le nom « Saint-Étienne-de-Lauzon » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Se reporter à  Saint-Étienne-de-Beauharnois pour connaître les modalités d'élaboration du gentilé.
Saint-Étienne-des-GrèsMunicipalité de paroisseStéphanois, Stéphanoise (1978*)
Commentaire : Se reporter à Saint-Étienne-de-Beauharnois pour connaître  la structure du gentilé.
Saint-EugèneMunicipalité (de la région du Centre-du-Québec)Eugénois, Eugénoise (1986*)
Saint-EugèneAncienne municipalité de paroisse (de la région de la Chaudière-Appalaches)Saint-Eugénois, Saint-Eugénoise (1989)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Eugène n'existe plus depuis le 1er janvier 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de L'Islet. L'appellation « Saint-Eugène » n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-Eugène-de-GuiguesMunicipalitéEugénien, Eugénienne (1986*)
Saint-Eugène-de-LadrièreMunicipalitéEugénois, Eugénoise (2000*)
Sainte-UrsuleMunicipalitéUrsulois, Ursuloise (1984*)
Variante (s) : Saintursulot (1964). 
Commentaire : La variante se retrouve sous la plume du regretté Jacques Ferron dans son ouvrage intitulé La Nuit.
Saint-EusèbeMunicipalité de paroisseEusèbien, Eusèbienne (1986*)
Saint-EustacheVilleEustachois, Eustachoise (1977*)
Variante (s) : Saint-Eustachois.
Saint-Évariste-de-ForsythMunicipalitéÉvaristois, Évaristoise (2015*)
La Municipalité de Courcelles et la Municipalité de Saint-Évariste-de-Forsyth se sont regroupées, le 1er janvier 2024, pour former la Municipalité de Courcelles–Saint-Évariste.
Sainte-VéroniqueSecteur (de la ville de Rivière-Rouge)Véroniquois, Véroniquoise (1985)
Commentaire : La municipalité du village de Sainte-Véronique n'existe plus depuis le 18 décembre 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rivière-Rouge. Le nom « Sainte-Véronique » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Sainte-Victoire-d'ArthabaskaAncienne municipalité de paroisseVictoirien, Victoirienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Victoire-d'Arthabaska n'existe plus depuis le 23 juin 1993, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Victoriaville. L'appellation « Sainte-Victoire-d'Arthabaska » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Sainte-Victoire-de-SorelMunicipalité Victoirien, Victoirienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Sainte-Victoire-de-Sorel est devenue la municipalité de Sainte-Victoire-de-Sorel, le 24 avril 2010.
Saint-FabienMunicipalité de paroisseFabiennois, Fabiennoise (1986*)
Saint-Fabien-de-PanetMunicipalité de paroissePanétois, Panétoise (1986*)
Saint-FaustinSecteur (de la municipalité de Saint-Faustin–Lac-Carré)Faustinois, Faustinoise (1984*)
Variante (s) : Faustinien (1981).
Commentaire : La municipalité de Saint-Faustin n'existe plus depuis le 3 janvier 1996, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Saint-Faustin–Lac-Carré. Le nom « Saint-Faustin » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Saint-Faustin–Lac-CarréMunicipalité (ancien nom)Faustilacois, Faustilacoise (2014*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Faustin–Lac-Carré, était issue du regroupement de la municipalité de Saint-Faustin et de la municipalité du village de Lac-Carré, le 3 janvier 1996. Elle est devenue la municipalité de Mont-Blanc, le 29 janvier 2022.
Saint-FélicienVilleFélicinois, Félicinoise (1965*)
Variante (s) : Félicien; Féliciennois (1908).
Saint-Félix-de-DalquierMunicipalitéDalquiérois, Dalquiéroise (1986*)
Saint-Félix-de-KingseyMunicipalitéKingséen, Kingséenne (1994)
Commentaire : La municipalité du canton de Kingsey est devenue la municipalité de Saint-Félix-de-Kingsey, le 13 novembre 1999.
Saint-Félix-de-ValoisMunicipalitéFélicien, Félicienne (1972*)
Variante (s) : Félixien (1953). 
Commentaire : La municipalité de Saint-Félix-de-Valois est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Félix-de-Valois et de la municipalité de la paroisse de Saint-Félix-de-Valois, le 24 décembre 1997. La forme latine Felicianus, « relatif à Félix » a inspiré le choix du gentilé.
Saint-Félix-de-ValoisMunicipalité de villageVoir Saint-Félix-de-Valois (Municipalité)
Saint-Félix-de-ValoisMunicipalité de paroisseVoir Saint-Félix-de-Valois (Municipalité)
Saint-Félix-d'OtisMunicipalitéOtissien, Otissienne (1986*)
Saint-FerdinandMunicipalitéFerdinois, Ferdinoise (2009*)
Saint-Ferréol-les-NeigesMunicipalitéSaint-Ferréolais, Saint-Ferréolaise (1840*)
Commentaire : Une piste de la station de ski du Mont-Sainte-Anne est dénommée La Ferréolaise.
Saint-Fidèle-de-Mont-MurrayAncienne municipalité de paroisseFidèlois, Fidèloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Fidèle-de-Mont-Murray est devenue la municipalité de Saint-Fidèle, le 28 juin 1997. Celle-ci n'existe plus depuis le 1er décembre 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de La Malbaie. L'appellation « Saint-Fidèle-de-Mont-Murray » n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie. Le nom « Saint-Fidèle » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
Saint-FlavienMunicipalitéSaint-Flaviennois, Saint-Flaviennoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Flavien est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-Flavien et de la municipalité du village de Saint-Flavien, le 29 décembre 1999. Le gentilé Saint-Flaviennois est celui qui avait été choisi par la municipalité de village.
Saint-FlavienMunicipalité de paroisseFlaviénois, Flaviénoise (1986)
Commentaire : Voir Saint-Flavien (Municipalité)
Saint-FlavienMunicipalité de villageVoir Saint-Flavien (Municipalité)
Saint-FortunatMunicipalitéFortunois, Fortunoise (1986*)
Saint-François-d'AssiseMunicipalité Assisien, Assisienne (1986*)
Saint-François-de-la-Rivière-du-SudMunicipalitéSudfranciscois, Sudfranciscoise (2004*)
Saint-François-de-SalesMunicipalitéSalésien, Salésienne (1980*)
Saint-François-du-LacMunicipalitéFrancilois, Franciloise (1993*)
Commentaire : La municipalité de Saint-François-du-Lac est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-François-du-Lac et de la municipalité du village de Saint-François-du-Lac, le 31 décembre 1997. On a eu recours au latin Franciscus, qui a donné François en français, à la consonne initiale de Lac et au suffixe classique -ois pour la formation du gentilé tant de la municipalité de la paroisse que de celle du village de même nom. 
Bibliographie : DUPUIS, Yvon (1993), « Francilois, Franciloise devient le gentilé de Saint-François-du-Lac », dans Les 2 Rives, Sorel, 30 novembre, p. 57.
Saint-François-du-LacMunicipalité de villageVoir Saint-François-du-Lac (Municipalité)
Saint-François-du-LacMunicipalité de paroisseVoir Saint-François-du-Lac (Municipalité)
Saint-François-Xavier-de-BatiscanMunicipalité de paroisseVoir Batiscan (Municipalité)
Saint-François-Xavier-de-BromptonMunicipalitéTomcodois, Tomcodoise (1987*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-François-Xavier-de-Brompton est devenue la municipalité de Saint-François-Xavier-de-Brompton, le 16 novembre 2013.
Commentaire : Le dérivé provient du nom ancien du Petit lac Saint-François, Lac Tomcod, cours d'eau important localement et demeuré très présent, même dans l'usage actuel. Par ailleurs, le ruisseau Tomcod coule à proximité de la municipalité.
Bibliographie : DUFRESNE, Denis (1987), « Les Tomcodois, vous connaissez? », dans La Tribune, Sherbrooke, septembre, p. A4.
Saint-François-Xavier-de-VigerMunicipalitéVigérois, Vigéroise (1978*)
Saint-FrédéricMunicipalité de paroisseFrédéricois, Frédéricoise (1994)
Saint-FulgenceMunicipalitéFulgencien, Fulgencienne (1989)
Variante (s) : Saint-Fulgencien (1971).
Saint-GabrielVille (de la région de Lanaudière)Gabriélois, Gabriéloise (1986*)
Variante (s) : Gabriellois.
Saint-GabrielMunicipalité (de la région du Bas-Saint-Laurent)Voir Saint-Gabriel-de-Rimouski (Municipalité)
Saint-Gabriel-de-BrandonMunicipalitéBrandonien, Brandonienne (1917*)
Variante (s) : Brandonnien. 
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Gabriel-de-Brandon est devenue la municipalité de Saint-Gabriel-de-Brandon, le 14 juin 2014.
Bibliographie : PINEL, J(ean)-G(uy) (1986), « Gabriellois et Brandonien. Deux gentilés différents pour la ville ou la paroisse », dans L'Écho de Louiseville, Louiseville, 12 mars, p. 40.
Saint-Gabriel-de-RimouskiMunicipalitéGabriélois, Gabriéloise (1986*)
Variante (s) : Gabriellois.
Commentaire : La municipalité de Saint-Gabriel est devenue la municipalité de Saint-Gabriel-de-Rimouski, le 31 janvier 1998.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Échos municipaux de la Mitis. Saint-Gabriel », dans L'Information régionale, Mont-Joli, 11 mars, p. B-1.
Saint-Gabriel-de-ValcartierMunicipalitéValcartois, Valcartoise (2004*)
Saint-Gabriel-LalemantMunicipalitéGabriellois, Gabrielloise (2024*, 1989)
Saint-GédéonMunicipalité (de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean)Saint-Gédéonais, Saint-Gédéonaise (1985)
Saint-Gédéon-de-BeauceMunicipalitéSaint-Gédéonois, Saint-Gédéonoise (2015*)
Saint-GeorgesSecteur (de la ville de Shawinigan)Georgeois, Georgeoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Saint-Georges n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Shawinigan. Le nom « Saint-Georges » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-GeorgesVilleGeorgien, Georgienne (1834)
Variante (s) : Saint-Georgeois.
Saint-Georges-de-CacounaMunicipalité de villageVoir Cacouna (Municipalité)
Saint-Georges-de-CacounaMunicipalité de paroisseVoir Cacouna (Municipalité)
Saint-Georges-de-ClarencevilleMunicipalitéVoir Clarenceville (Municipalité)
Commentaire : La municipalité de Saint-Georges-de-Clarenceville est issue du regroupement de la municipalité de Saint-Georges-de-Clarenceville et de la municipalité du village de Clarenceville, le 27 décembre 1989. Le 22 octobre 2022, son nom a été changé pour celui de Clarenceville.
Saint-Georges-de-WindsorMunicipalitéSaint-Georgeois, Saint-Georgeoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Georges-de-Windsor est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Georges-de-Windsor et de la municipalité du canton de Saint-Georges-de-Windsor, le 30 novembre 1994.
Bibliographie : PICHET, Michel (1986), « 125e St-Georges de Windsor. Conseil du Canton », dans Le Citoyen, Asbestos, 15 avril, p. 12.
Saint-Georges-de-WindsorMunicipalité de cantonVoir Saint-Georges-de-Windsor (Municipalité)
Saint-Georges-de-WindsorMunicipalité de villageVoir Saint-Georges-de-Windsor (Municipalité)
Saint-Georges-EstAncienne municipalité de paroisseGeorgien de l'Est, Georgienne de l'Est (1986)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Georges-Est n'existe plus depuis le 26 septembre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Georges. L'appellation « Saint-Georges-Est » (municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-GérardVillage (de la municipalité de Weedon)Gérardois, Gérardoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Saint-Gérard n'existe plus depuis le 9 février 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Weedon. Le nom « Saint-Gérard » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
Saint-Gérard-des-LaurentidesSecteur (de la ville de Shawinigan)Laurentien, Laurentienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Gérard-des-Laurentides n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Shawinigan. Le nom « Saint-Gérard-des-Laurentides » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-Gérard-MajellaSecteur (de la ville de L'Assomption)Majellien, Majellienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Gérard-Majella n'existe plus depuis le 1er juillet 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de L'Assomption. Le nom « Saint-Gérard-Majella » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-Germain-de-GranthamMunicipalitéGermainois, Germainoise (1981*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Germain-de-Grantham est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-Germain-de-Grantham et de la municipalité du village de Saint-Germain-de-Grantham, le 8 février 1995.
Saint-Germain-de-GranthamMunicipalité de villageVoir Saint-Germain-de-Grantham (Municipalité)
Saint-Germain-de-GranthamMunicipalité de paroisseVoir Saint-Germain-de-Grantham (Municipalité)
Saint-Germain-de-KamouraskaMunicipalitéGermainien, Germainienne (1986*)
La municipalité de la paroisse de Saint-Germain est devenue la municipalité de Saint-Germain-de-Kamouraska, le 18 décembre 2021.
Saint-GervaisMunicipalitéGervaisien, Gervaisienne (1951*)
Variante (s) : Cadien (1756). 
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saints-Gervais-et-Protais est devenue la municipalité de Saint-Gervais, le 23 novembre 1991. La municipalité a été colonisée, à l'origine, par des réfugiés acadiens arrivés en 1755-1756. Ces derniers voulant rappeler leur mère-patrie ont baptisé le nouveau village de Nouvelle-Cadie, Cadie constituant une graphie fréquente pour Acadie. Anciennement, au Québec, on appelait « Petites Cadies » les paroisses « fondées vers 1770 au cur du Canada français par des Acadiens chassés de leurs foyers par la tragique dispersion de 1755. (---) les « Cadiens » comme on les appelle là-bas ... » (Massignon, Geneviève (1962), Les parlers français d'Acadie. Enquête linguistique, tome 1, Paris, Klincksieck, p. 9); outre « Saint-Gervais », on comptait L'Assomption, Saint-Jacques-de-l'Achigan, L'Acadie, Bécancour, Nicolet et Yamachiche qui ont reçu un contingent significatif d'exilés acadiens. Jadis, on relevait également comme noms de voies de communication le rang de la Première-Cadie, le rang de la Deuxième-Cadie et le rang des Acadiens. Ainsi le « gentilé » Cadien a-t-il été  en usage fort longtemps. À noter que la désignation courante de la municipalité demeure exclusivement Saint-Gervais, au singulier. La municipalité de la paroisse de Saints-Gervais-et-Protais a changé de statut et de nom pour ceux de « Municipalité de Saint-Gervais »,  le 23 novembre 1991. 
Bibliographie : GOULET, Napoléon (1980), Histoire de Saint-Gervais de Bellechasse (Des Cadiens aux Gervaisiens) 1780-1980, s. l.,  s. é., 658 p. 
Saint-GilbertMunicipalité de paroisseGilbertain, Gilbertaine (1980*)
Saint-GillesMunicipalitéGillois, Gilloise (1951*)
Variante (s) : Gilois (vers 1825); Saint-Gillois.
Saint-Godard-de-LejeuneMunicipalitéVoir Lejeune (Municipalité)
Saint-GrégoireSecteur (de la ville de Bécancour)Grégorien, Grégorienne (1965)
Variante (s) : Margueritain (1984).
Commentaire : Jadis, l'endroit portait le nom de Sainte-Marguerite, ce qui explique la variante gentiléenne Margueritain. Pour sa part, Grégorien provient de l'équivalent latin Grégoire, Gregorius, plus précisément de son dérivé gregorianus, « relatif à Grégoire ».
Saint-Grégoire-de-GreenlayAncienne municipalité de villageGreenlayen, Greenlayenne (1994)
Commentaire : La municipalité du village de Saint-Grégoire-de-Greenlay n'existe plus depuis le 29 décembre 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Windsor. L'appellation « Saint-Grégoire-de-Greenlay » (Municipalité de village) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-Grégoire-le-GrandAncienne municipalité de paroisseGrégoirien, Grégoirienne (1986*)
Variante (s) : Grégorien (1955).
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Grégoire-le-Grand n'existe plus depuis le 21 décembre 1994, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Mont-Saint-Grégoire. L'appellation « Saint-Grégoire-le-Grand » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-GuillaumeMunicipalitéGuillaumien, Guillaumienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Guillaume est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Guillaume et de la municipalité de la paroisse de Saint-Guillaume, le 8 novembre 1995.
Saint-GuillaumeMunicipalité de villageVoir Saint-Guillaume (Municipalité)
Saint-GuillaumeMunicipalité de paroisseVoir Saint-Guillaume (Municipalité)
Saint-Guillaume-de-GranadaMunicipalitéVoir Granada (Secteur)
Commentaire : En 1986, la municipalité de Saint-Guillaume-de-Granada avait adopté le gentilé Granadois.
Saint-GuyMunicipalitéSaint-Guyen, Saint-Guyenne (1971)
Saint-HenriMunicipalitéHenriçois, Henriçoise (1983*)
Saint-Henri-de-MascoucheAncienne municipalité de paroisse (de la ville de Mascouche)Mascoutin, Mascoutine (1970)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Henri-de-Mascouche n'existe plus par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Mascouche. L'appellation « Saint-Henri-de-Mascouche » n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie. Le gentilé appelle un rapprochement patent avec Maskoutain, dénomination des citoyens de Saint-Hyacinthe.
Saint-Henri-de-TaillonMunicipalitéTaillonais, Taillonaise (2015*)
Saint-HerménégildeMunicipalitéMégilien, Mégilienne (1986*)
Commentaire : Le prénom Herménégilde était couramment abrégé en Mégile, au Québec, par le passé.
Saint-Hilaire-de-DorsetMunicipalité de paroisseDorsétois, Dorsétoise (1986*)
Saint-HilarionMunicipalité de paroisseSaint-Hilarionien, Saint-Hilarionienne (1879)
Saint-HippolyteMunicipalité Hippolytois, Hippolytoise (1983*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Hippolyte est devenue la municipalité de Saint-Hippolyte, le 7 novembre 2009.
Bibliographie : SÉNÉCAL, Rosaire (1983), « Commission de toponymie », dans Le Sentier, Saint-Hippolyte, vol. 1, no 6, octobre, p. 4.
Saint-HonoréVille (de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean)Honorien, Honorienne (1980*)
Saint-HonoréMunicipalité (de la région du Bas-Saint-Laurent)Voir Saint-Honoré-de-Témiscouata (Municipalité)
Commentaire : En 1986, la municipalité de Saint-Honoré avait adopté le gentilé Saint-Honorien.
Saint-Honoré-de-ShenleyMunicipalitéShenléen, Shenléenne (2006*)
Saint-Honoré-de-TémiscouataMunicipalitéHonorois, Honoroise (2002*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Honoré est devenue la municipalité de Saint-Honoré-de-Témiscouata, le 13 septembre 1997. Le gentilé Saint-Honorien adopté en 1986 a été remplacé par celui d'Honorois en 2002.
Saint-HubertMunicipalité de paroisseVoir Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup (Municipalité)
Saint-HubertArrondissement (de la ville de Longueuil)Hubertin, Hubertine (1982*); Hubertan (1984*) (forme anglaise)
Variante (s) : Hubertain; Hubertois; Saint-Hubertin (1962).
Commentaire : La ville de Saint-Hubert n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Longueuil. Le nom « Saint-Hubert » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville. Quelques  groupements ont intégré ce gentilé à leur dénomination comme la Foulée Hubertine, le Parti Hubertin, etc.
Saint-Hubert-de-Rivière-du-LoupMunicipalitéSaint-Hubertin, Saint-Hubertine (1985)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Hubert est devenue la municipalité de Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup, le 19 juillet 1997.
Saint-HuguesMunicipalitéSaint-Huguois, Saint-Huguoise (2003*)
Saint-HyacintheVilleMaskoutain, Maskoutaine (1894*); Maskoutan (1950) (forme anglaise)
Variante (s) : Mascoutain (1930); Mascoutin (1671); Maskoutin (1909); Saint-Hyacinthien (1930).
Commentaire : Cette ville a antérieurement porté le nom de Petit Maska ou Masca, provenant sans doute du nom de la rivière Yamaska qui la traverse, d'où la forme du gentilé, tiré du nom d'une bande amérindienne mentionnée déjà par le père Charlevoix. Maskoutain en outre d'avoir été retenu comme constituant de nombreuses raisons sociales, a été mis à contribution de diverses manières. Un journal local porte le nom Journal Maskoutain, de même que le bulletin d'information de la ville titré Le Maskoutain. Une collection d'ouvrages publiés sous les auspices de la Société d'histoire régionale de Saint-Hyacinthe porte le titre collectif de « Documents Maskoutains ». Enfin, l'identité maskoutaine ne saurait trouver meilleur véhicule que la présence du gentilé en guise de spécifique d'organismes aussi prestigieux que la municipalité régionale de comté des Maskoutains et le Centre local de services communautaires (CLSC) des Maskoutains.
Bibliographie : ROY, Pierre-Georges (1940), « Mascoutains », dans Les Mots qui restent, t. 2, Québec, p. 121-122.
Saint-Hyacinthe-le-ConfesseurMunicipalité de paroisseMaskoutain, Maskoutaine (1986*)
Commentaire : Bien que l'origine de la dénomination municipale soit étrangère à celle de Saint-Hyacinthe, les autorités municipales ont estimé préférable d'adopter le même gentilé, d'une part, en raison de la proximité géographique des deux entités municipales et, d'autre part, pour le motif d'une fusion envisageable à plus ou moins court terme.
Saint-Ignace-de-LoyolaMunicipalitéLoyolois, Loyoloise (1986*)
Variante (s) : Loyolais (1985).
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Ignace-de-Loyola est devenue la municipalité de Saint-Ignace-de-Loyola, le 31 octobre 2012.
Saint-Ignace-de-StanbridgeMunicipalité Ignaçois, Ignaçoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Ignace-de-Stanbridge est devenue la municipalité de Saint-Ignace-de-Stanbridge, le 18 octobre 2008.
Saint-IrénéeMunicipalitéSaint-Irénéen, Saint-Irénéenne (1986*)
Saint-IsidoreMunicipalité de paroisse (de la région de la Montérégie)Isidorien, Isidorienne (1910*)
Variante (s) : Saint-Isidorien (1934).
Saint-IsidoreMunicipalité (de la région de la Chaudière-Appalaches)Isidorois, Isidoroise (1965)
Saint-Isidore-d'AucklandSecteur (de la municipalité de Saint-Isidore-de-Clifton)Isidorien, Isidorienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Isidore-d'Auckland n'existe plus depuis le 24 décembre 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Saint-Isidore-de-Clifton. Le nom « Saint-Isidore-d'Auckland » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Saint-Isidore-de-CliftonMunicipalitéIsidorien, Isidorienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Isidore-de-Clifton est issue du regroupement de la municipalité de Saint-Isidore-d'Auckland et de la municipalité du canton de Clifton-Partie-Est.
Saint-JacquesMunicipalité de villageVoir Saint-Jacques (Municipalité)
Saint-JacquesMunicipalité Jacobin, Jacobine (1981*) 
Variante (s) : Jacobain (1960).
Commentaire : La municipalité de Saint-Jacques est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Jacques et de la municipalité de la paroisse de Saint-Jacques, le 4 février 1998. En bas latin, Jacques se disait Jacobus, d'où la forme retenue pour le gentilé. À noter que ce terme a d'abord constitué, à la fin du XVIIIe s., un surnom dont on affublait les membres d'un groupe politique révolutionnaire dont les quartiers établis à Paris se trouvaient dans un ancien couvent de Jacobins, ordre religieux du Moyen Âge. Par la suite, il a servi à étiqueter tout républicain passionné et intransigeant. Grâce au phénomène de la désémantisation, les Jacobins d'ici ne sauraient être identifiés à de telles tendances!
Saint-JacquesMunicipalité de paroisseVoir Saint-Jacques (Municipalité)
Saint-Jacques-de-LeedsMunicipalitéLeedois, Leedoise (1986*)
[LI-DOI/DOIZ]
Saint-Jacques-le-Majeur-de-CausapscalSecteur (de la ville de Causapscal)Causapscalien, Causapscalienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Jacques-le-Majeur-de-Causapscal n'existe plus depuis le 31 décembre 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Causapscal. Le nom « Saint-Jacques-le-Majeur-de-Causapscal » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-Jacques-le-Majeur-de-WolfestownMunicipalité de paroisseJacquois, Jacquoise (1985*)
Saint-Jacques-le-MineurMunicipalitéJacqueminois, Jacqueminoise (2009*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Jacques-le-Mineur est devenue la municipalité de Saint-Jacques-le-Mineur, le 14 mai 2011.
Saint-JanvierMunicipalité de paroisseVoir Chazel (Municipalité)
Commentaire : Située dans le canton de Chazel, la municipalité se dénommait autrefois Saint-Janvier-de-Chazel et la population locale semble s'identifier davantage à ce toponyme.
Saint-Janvier-de-JolyMunicipalitéJolyen, Jolyenne (1983*)
Saint-Jean, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeJohannais, Johannaise (1978)
Saint-Jean-BaptisteAncienne municipalité (de la région du Bas-Saint-Laurent)Jean-Baptistien, Jean-Baptistienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Jean-Baptiste n'existe plus depuis le 13 juin 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Mont-Joli. L'appellation « Saint-Jean-Baptiste » (Municipalité) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-Jean-BaptisteMunicipalité (de la région de la Montérégie)Jean-Baptistois, Jean-Baptistoise (1991*)
Bibliographie : ANONYME (1991), « Sondage. Jean-Baptistois? Jean-Baptistoise? », dans Le Journal de Saint-Jean-Baptiste, Saint-Jean-Baptiste, janvier, s.p.D., A. (1990, « Voulez-vous devenir des Jean-Baptistois? », dans L'Oeil régional, Belœil, décembre, p. 12 A.
Saint-Jean-Baptiste-de-l'Isle-VerteMunicipalitéVoir L'Isle-Verte (Municipalité)
Saint-Jean-Baptiste-de-NicoletMunicipalité de paroisseVoir Nicolet (Ville)
Saint-Jean-Baptiste-VianneyMunicipalité de paroisseVoir Saint-Vianney (Municipalité)
Saint-Jean-ChrysostomeMunicipalité de paroisse (de la région de la Montérégie)Voir Saint-Chrysostome (Municipalité)
Saint-Jean-ChrysostomeSecteur (de la ville de Lévis)Chrysostomien, Chrysostomienne (1993)
Commentaire : La ville de Saint-Jean-Chrysostome n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Lévis. Le nom « Saint-Jean-Chrysostome » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-Jean-de-BoischatelMunicipalité de villageVoir Boischatel (Municipalité)
Saint-Jean-de-BrébeufMunicipalitéBrébeufois, Brébeufoise (1996*)
Saint-Jean-de-CherbourgMunicipalité de paroisseCherbourgeois, Cherbourgeoise (1986*)
Saint-Jean-de-DieuMunicipalitéJohannois, Johannoise (1986*)
Commentaire : Gentilé élaboré sur la forme latine Johannes, « Jean ».
Saint-Jean-de-la-Lande Municipalité (de la région du Bas-Saint-Laurent)Jeannois, Jeannoise (1982)
Saint-Jean-de-MathaMunicipalitéMathalois, Mathaloise (1985*)
Variante (s) : Mathain; Mathais. 
Commentaire : Le gentilé Mathalois se révèle original, car il se démarque de Mathalien qui identifie les citoyens de Matha (Charente-Maritime). Du 18 au 20 juillet 1986, se sont déroulées les festivités entourant la fête des Mathalois, célébration annuelle pour rappeler la création du gentilé. La municipalité de la paroisse de Saint-Jean-de-Matha a changé son statut pour celui de municipalité le 15 mai 1993.
Bibliographie : LANDRY, Louis (1985), « Connaissez-vous les Mathais de St-Jean-de-Matha », dans Le Joliette Journal, Joliette, 6 mars, p. 7. PELLETIER, Louis (1985), « Première fête populaire des Mathalois », dans Le Joliette Journal, Joliette, 4 septembre, p. 52. RAINVILLE, Francine (1985), « Les résidents de St-Jean de Matha baptisés des « Mathalois », dans Journal L'Action, Joliette, 11 juin, p. A-9.
Saint-Jean-des-PilesSecteur (de la ville de Shawinigan)Pilois, Piloise (1979*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Jean-des-Piles n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Shawinigan. Le nom « Saint-Jean-des-Piles » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-Jean-Port-JoliMunicipalitéPort-Jolien, Port-Jolienne, (1978*)
Variante (s) : Jeanois, Port-Jolois.
Saint-Jean-sur-RichelieuVilleJohannais, Johannaise (vers 1970*)
Variante (s) : Ibervillois (1969); Jeannois.
Commentaire : Pendant une certaine période, la ville a porté les dénominations successives de Saint-Jean-d'Iberville et Saint-Jean à partir desquelles les variantes gentiléennes ont été élaborées. Un bulletin municipal, Le Johannais, existe depuis 1975.
Bibliographie : HÉBERT, Michel (1986), « Johannais et Johannaise ... », dans Le Canada français, Saint-Jean-sur-Richelieu, 26 février, p. A-11 .
Saint-JérômeVilleJérômien, Jérômienne (1897*)
Variante (s) : Jéromien (1916). 
Bibliographie : DUGAS, Jean-Yves (1984), « Jérômien, Jérômienne : une appellation dont on peut être fiers! », dans L'Écho du Nord, Saint-Jérôme, 1er février, p. 40.
Saint-JoachimMunicipalité de paroisseSaint-Joachimien, Saint-Joachimienne (2011*)
Saint-Joachim-de-CourvalSecteur (de la ville de Drummondville)Courvalois, Courvaloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Joachim-de-Courval n'existe plus depuis le 7 juillet 2004, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Drummondville. Le nom « Saint-Joachim-de-Courval » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-Joachim-de-SheffordMunicipalité Joachimien, Joachimienne (1983*)
[YO-A-KI-MYIN/MYENNE]
Commentaire : La munipalité de la paroisse de Saint-Joachim-de-Shefford est devenue la municipalité de Saint-Joachim-de-Shefford, le 3 septembre 2011.
Saint-Joseph-de-BeauceMunicipalité de paroisseJosephois, Josephoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Joseph-de-Beauce n'existe plus depuis le 27 janvier 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Joseph-de-Beauce.
Saint-Joseph-de-BeauceVilleJoselois, Joseloise (1993*)
Commentaire : La finale -lois aurait été retenue en raison de l'importance que revêt la loi à Saint-Joseph-de-Beauce!
Saint-Joseph-de-ColeraineMunicipalitéColerainois, Colerainoise (1986*)
Saint-Joseph-de-DeschambaultMunicipalité de paroisseVoir Deschambault (Secteur)
Saint-Joseph-de-Ham-SudMunicipalité de paroisseVoir Ham-Sud (Municipalité)
Saint-Joseph-de-KamouraskaMunicipalité de paroisseJoséphien, Joséphienne (1986*)
Saint-Joseph-de-la-Pointe-De LévySecteur (de la ville de Lévis)Lévypointois, Lévypointoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Joseph-de-la-Pointe-de-Lévy n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Lévis. Le nom « Saint-Joseph-de-la-Pointe-De Lévy », dont la graphie a été corrigée afin de tenir compte de la particule nobiliaire, a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Bibliographie : GARNEAU, Louis (1986), « Lévypointois, Lévypointoise, vous vous reconnaissez? », dans Le Point de la Rive-Sud, Lévis, 15 avril.
Saint-Joseph-de-la-RiveSecteur (de la municipalité des Éboulements)Riverain, Riveraine (1978)
Commentaire : La municipalité du village de Saint-Joseph-de-la-Rive n'existe plus depuis le 19 septembre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité des Éboulements. Le nom « Saint-Joseph-de-la-Rive » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Saint-Joseph-de-LepageMunicipalité de paroisseLepageois, Lepageoise (1985*)
Bibliographie : ANONYME (1986), « Échos municipaux de la Mitis. Saint-Joseph de Lepage », dans L'Information régionale, Mont-Joli, 11 mars, p. B-1.
Saint-Joseph-de-MaskinongéMunicipalité de paroisseVoir Maskinongé (Municipalité)
Saint-Joseph-des-ÉrablesMunicipalitéJosérablien, Josérablienne (2015*)
Saint-Joseph-de-SorelVilleSaint-Josephois, Saint-Josephoise (1986*)
Saint-Joseph-du-LacMunicipalitéJoséphois, Joséphoise (1995)
Saint-JoviteSecteur (de la ville de Mont-Tremblant)Jovitien, Jovitienne (1975*) 
Variante (s) : Jovitois (1971).
Commentaire : La ville de Saint-Jovite et la municipalité de la paroisse de Saint-Jovite, qui partageaient toutes deux le gentilé Jovitien, n'existent plus depuis le 22 novembre 2000, par suite d'un regroupement municipal. Leur territoire fait maintenant partie de la ville de Mont-Tremblant. Le nom « Saint-Jovite » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-JudeMunicipalitéRochvillois, Rochvilloise (1986*)
Commentaire : Le gentilé provient du nom ancien de la municipalité, Rochville, ce dernier attribué en l'honneur du propriétaire de la seigneurie de Saint-Ours, Roch de Saint-Ours.
Saint-JulesMunicipalité de paroisseSaint-Julois, Saint-Juloise (2017*)
Saint-JulienMunicipalité Juliénois, Juliénoise (1986*)
Saint-Just-de-BretenièresMunicipalitéSaint-Justois, Saint-Justoise (2013*)
Saint-Juste-du-LacMunicipalitéLacjustois, Lacjustoise (1986*)
Saint-JustinMunicipalitéJustinien, Justinienne (1937)
Variante (s) : Saint-Justinien (1937*).
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Justin est devenue la municipalité de Saint-Justin, le 6 décembre 2014.
Saint-LambertVille (de la région de la Montérégie)Lambertois, Lambertoise (1980*); St.Lamberite (1983) (forme anglaise)
Variante (s) : Saint-Lambertois; St.Lambertian (forme anglaise).
Bibliographie : ANONYME (1986), « C'est officiel : nous sommes des Lambertois », dans Saint-Lambert Journal, Saint-Lambert, 26 février. SALMONT-TAYLOR, Sheryl (1986), « Village News », dans Saint-Lambert Journal, Saint-Lambert, March 5th.
Saint-LambertMunicipalité de paroisse (de la région de l'Abitibi-Témiscamingue)Lambertien, Lambertienne (1986*)
Saint-Lambert-de-LauzonMunicipalitéLambertin, Lambertine (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Lambert-de-Lauzon est devenue la municipalité de Saint-Lambert-de-Lauzon, le 22 juin 2013.
Saint-LaurentArrondissement (de la ville de Montréal)Laurentien, Laurentienne (vers 1940); Laurentian (1983) (forme anglaise)
Commentaire : La ville de Saint-Laurent n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Montréal. Le nom « Saint-Laurent » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville.
Saint-LaurentMunicipalité de paroisseVoir Saint-Laurent-de-l'Île-d'Orléans (Municipalité)
Saint-Laurent-de-l'Île-d'OrléansMunicipalitéSaint-Laurentais, Saint-Laurentaise (1989*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Laurent est devenue la municipalité de Saint-Laurent-de-l'Île-d'Orléans, le 6 juin 1998.
Saint-LazareVille (de la région de la Montérégie)Lazarois, Lazaroise (1993)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Lazare est devenue la ville de Saint-Lazare, le 29 décembre 2001.
Saint-LazareMunicipalité de paroisse (de la région de la Chaudière-Appalaches)Voir Saint-Lazare-de-Bellechasse (Municipalité)
Saint-Lazare-de-BellechasseMunicipalitéLazarien, Lazarienne (vers 1977)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Lazare est devenue la municipalité de Saint-Lazare-de-Bellechasse, le 10 septembre 1994.
Saint-LéandreMunicipalité de paroisseLéandais, Léandaise (vers 1966*)
Commentaire : La secrétaire-trésorière de la municipalité précise que ce gentilé existe dans l'usage oral depuis environ 20 ans sous cette forme et on peut croire que la prononciation est responsable de la suppression du r.
Saint-LéonardArrondissement (de la ville de Montréal)Léonardois, Léonardoise (1983*)
Commentaire : La ville de Saint-Léonard n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Montréal. Le nom « Saint-Léonard » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville.
Bibliographie : BEAUDOIN, Michel (1983), « Un résident de Saint-Léonard : Léonardois ... », dans Le Journal de Saint-Léonard, Saint-Léonard, 31 mai, p. 11. MELOCHE, Roland (1983), « Maintenant nous sommes des Léonardois et et (sic Léonardoises », dans Le Progrès de Saint-Léonard, Saint-Léonard, 1er juin, p. 5.
Saint-LéonardMunicipalité (de la région du Centre-du-Québec)Voir Saint-Léonard-d'Aston (Municipalité)
Saint-Léonard-d'AstonMunicipalitéLéonardais, Léonardaise (1997*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Léonard-d'Aston est issue du regroupement de la municipalité de Saint-Léonard et de la municipalité du village de Saint-Léonard-d'Aston, le 13 avril 1994. Le gentilé Léonardais était celui de la municipalité de Saint-Léonard.
Saint-Léonard-d'AstonMunicipalité de villageLéonardois, Léonardoise (1986*)
Commentaire : Voir Saint-Léonard-d'Aston (Municipalité)
Saint-Léonard-de-PortneufMunicipalitéLéonardois, Léonardoise (1986*)
Saint-Léon-de-StandonMunicipalité de paroisseStandonnien, Standonnienne (1986*)
Saint-Léon-le-GrandMunicipalité de paroisse (de la région de la Mauricie)Léongrandien, Léongrandienne (1986*)
Bibliographie : DÉSAULNIERS, Roger (1986)(, « À Saint-Léon, il y aura des léongrandiens », dans L'Écho de Louiseville, Louiseville, 21 mai, p. 78. LAMARRE, Michel (1986), « Un nom pour les résidants (sic) de St-Léon », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 17 mai, p. 42.
Saint-Léon-le-GrandMunicipalité de paroisse (de la région du Bas-Saint-Laurent)Léonais, Léonaise (1986*)
Bibliographie : BOUDREAULT-LAMBERT, Sylvie (1986), « Les affaires municipales. Gentilé », dans L'Avant-Poste Gaspésien, Amqui, 12 mars.
Saint-LiboireMunicipalitéLiboirois, Liboiroise (1995*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Liboire est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Liboire et de la municipalité de la paroisse de Saint-Liboire, le 17 août 1994. Elle reprend le même gentilé que celui de l'ex-municipalité de paroisse, sanctionné en 1986. Pour leur part, les résidents de l'ancienne municipalité de village étaient désignés comme des Liboiriens depuis les années 1920.
Saint-LiguoriMunicipalitéLiguorien, Liguorienne (1972*)
Saint-LinAncienne municipalitéSaint-Linois, Saint-Linoise (1978*) 
Variante (s) : Linois. 
Commentaire : La municipalité de Saint-Lin n'existe plus depuis le 1er mars 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Lin–Laurentides. L'appellation « Saint-Lin » (Municipalité) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Bibliographie : DESPATIS, Marie-France (1986), «Le conseil des Saint-Linois», dans La Revue, Terrebonne, 25 février, p. 6.
Saint-Lin–LaurentidesVilleSaint-Linois, Saint-Linoise (2017*)
Saint-LouisMunicipalité Saint-Louisien, Saint-Louisienne (1948)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Louis est devenue la municipalité de Saint-Louis, le 18 octobre 2008.
Saint-Louis-de-BlandfordMunicipalité Ludovicien, Ludovicienne (1977)
Commentaire : En latin, Ludovicus équivaut au français Louis, d'où le gentilé. La municipalité de la paroisse de Saint-Louis-de-Blandford est devenue la municipalité de Saint-Louis-de-Blandford, le 14 mars 2009.
Saint-Louis-de-FranceSecteur (de la ville de Trois-Rivières)Louisfrancien, Louisfrancienne (1983*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Louis-de-France est devenue la ville de Saint-Louis-de-France, le 21 juillet 1993. Celle-ci n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Trois-Rivière. Le nom « Saint-Louis-de-France » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Bibliographie : NOREAU, Roger (1983), « À Saint-Louis-de-France, les résidents se donnent un nom », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 1er février, p. 6.
Saint-Louis-de-GonzagueMunicipalité de paroisse (de la région de la Montérégie)Gonzaguois, Gonzaguoise (1996*)
Saint-Louis-de-GonzagueMunicipalité (de la région de la Chaudière-Appalaches)Louisien, Louisienne (1986*)
Saint-Louis-de-KamouraskaMunicipalité de paroisseVoir Kamouraska (Municipalité)
Saint-Louis-de-l'Isle-aux-CoudresMunicipalité de paroisseVoir L'Isle-aux-Coudres (Municipalité)
Saint-Louis-de-TerrebonneVillage (de la ville de Terrebonne)Saint-Louisien, Saint-Louisienne (1983) 
Saint-Louis-du-Ha! Ha!Municipalité de paroisseLouisien, Louisienne (1978*)
Saint-LucMunicipalité de paroisse (de la région de la Mauricie)Voir Saint-Luc-de-Vincennes (Municipalité)
Saint-LucSecteur (de la ville de Saint-Jean-sur-Richelieu)Luçois, Luçoise (1978*) [LU-SOI/SOIZ]  
Variante (s) : Savanais.
Commentaire : La ville de Saint-Luc n'existe plus depuis le 24 janvier 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Jean-sur-Richelieu. Le nom « Saint-Luc » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Sous le Régime français, le territoire environnant Saint-Luc se nommait La Savan(n)e, d'où la variante, par ailleurs très peu usitée. La cédille sous le ç du gentilé officiel appelle une prononciation avec [S], peu prévisible. depuis 1979, le journal municipal a pour titre Le Luçois. 
Bibliographie : Anonyme (1986), « Les Luçois battent les Savanais », dans Le Canada français, Saint-Jean-sur-Richelieu, 26 février, p. A-14.
Saint-LucMunicipalité de paroisse (de la région du Bas-Saint-Laurent)Voir Saint-Luc-de-Matane (Secteur)
Saint-Luc-de-MataneSecteur (de la ville de Matane)Lucois, Lucoise (1986*)
[LU-KOI/KOIZ]
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Luc est devenue la municipalité de Saint-Luc-de-Matane, le 5 juillet 1997. Celle-ci n'existe plus depuis le 26 septembre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Matane. Le nom « Saint-Luc-de-Matane » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-Luc-de-VincennesMunicipalitéLucois, Lucoise (1986*)
[LU-KOI/KOIZ]
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Luc est devenue la municipalité de Saint-Luc-de-Vincennes, le 5 octobre 1991.
Saint-LucienMunicipalitéLuciennois, Luciennoise (2006*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Lucien est devenue la municipalité de Saint-Lucien, le 18 juin 2012.
Saint-LudgerMunicipalité de villageVoir Saint-Ludger (Municipalité)
Saint-LudgerMunicipalité Ludgérois, Ludgéroise (1985*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Ludger est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Ludger, de la municipalité de Risborough et de la municipalité du canton de Gayhurst-Partie-Sud-Est, le 25 février 1998.
Saint-Ludger-de-MilotMunicipalitéMilotois, Milotoise (1986*)
Saint-MagloireMunicipalitéMaglorois, Magloroise (2015*)
Saint-Majorique-de-GranthamMunicipalité de paroisseMajoriquois, Majoriquoise (1986*)
Saint-MalachieMunicipalité de paroisseMalachois, Malachoise (1990)
Saint-Malachie-d'OrmstownAncienne municipalité de paroisseOrmstownien, Ormstownienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Malachie-d'Ormstown n'existe plus depuis le 26 janvier 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité d'Ormstown. L'appellation « Saint-Malachie-d'Ormstown » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-MaloMunicipalitéMalouin, Malouine (1984*)
Commentaire : Ce gentilé a sans doute été adopté par référence au Saint-Malo d'Ille-et-Vilaine et à Malo-les-Bains (Nord) dont les citoyens sont des Malouins, le plus illustre pour nous demeurant Jacques Cartier. Malouin s'expliquerait par Maclou, forme normande de Maclovius, évêque d'Aleth au VIe s. En Bretagne, Maclou s'est transformé en Malo, mais le gentilé aurait été tiré de Maclou, avec suppression du c et adjonction de la terminaison gentiléenne -in, -ine.
Saint-Marc-de-FigueryMunicipalité de paroisseSaint-Marcois, Saint-Marcoise (1986*)
Saint-Marc-des-CarrièresVilleCarriérois, Carriéroise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Marc-des-Carrières est devenue la ville de Saint-Marc-des-Carrières, le 12 juin 2004.
Saint-Marc-du-Lac-LongMunicipalité de paroisseMarcois, Marcoise (1986*)
Saint-MarcelMunicipalité (de la région de la Chaudière-Appalaches)Marcellois, Marcelloise (1986*)
[MAR-SÈL-LOI/LOIZ]
Saint-MarcelMunicipalité de paroisse (de la région de la Montérégie)Voir Saint-Marcel-de-Richelieu (Municipalité)
Saint-Marcel-de-RichelieuMunicipalitéMarcelois, Marceloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Marcel est devenue la municipalité de Saint-Marcel-de-Richelieu en 1988.
Saint-MarcellinMunicipalité de paroisseMarcellinois, Marcellinoise (1986*)
[MAR-SÈL-LI-NOI/NOIZ]
Saint-Marc-sur-RichelieuMunicipalitéSaint-Marcois, Saint-Marcoise (1984)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Marc-sur-Richelieu est devenue la municipalité de Saint-Marc-sur-Richelieu, le 23 juillet 1994.
Saint-MartinMunicipalité de paroisseMartinois, Martinoise (1986*)
Commentaire : La dénomination La Martinoise a été attribuée à une école primaire située sur le territoire de Saint-Martin.
Saint-MathiasMunicipalité de paroisseVoir Saint-Mathias-sur-Richelieu (Municipalité)
Saint-Mathias-sur-RichelieuMunicipalitéMathiassois, Mathiassoise (1980*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Mathias est devenue la municipalité de Saint-Mathias-sur-Richelieu en 1988.
Saint-MathieuMunicipalité de paroisse (de la région de l'Abibiti-Témiscamingue)Voir Saint-Mathieu-d'Harricana (Municipalité)
Saint-MathieuMunicipalité (de la région de la Montérégie)Mathéen, Mathéenne (1992*)
Commentaire : La forme latine de Mathieu est Matthaeus et a inspiré le gentilé. Toutefois, au Québec, on orthographie ce nom sans redoublement du t, presque systématiquement.
Saint-Mathieu-de-BelœilMunicipalitéBelœillois, Belœilloise (1984*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Mathieu-de-Belœil est devenue la municipalité de Saint-Mathieu-de-Belœil, le 5 décembre 1992.
Saint-Mathieu-de-RiouxMunicipalitéMathéen, Mathéenne (1986*)
Commentaire : En latin, Mathieu se dit Matheus, laquelle forme a inspiré le gentilé.
Saint-Mathieu-d'HarricanaMunicipalitéHarricanien, Harricanienne (1986*) 
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Mathieu est devenue la municipalité de Saint-Mathieu-d'Harricana, le 1er mai 1993.
Saint-Mathieu-du-ParcMunicipalitéMathieusaintois, Mathieusaintoise (1996*)
Saint-MauriceMunicipalité de paroisseMauriçois, Mauriçoise (1986*)
Saint-Maurice, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeMauricien, Mauricienne (1945) 
Variante (s) : Saint-Mauricien.
Saint-Maxime-du-Mont-LouisMunicipalitéMont-Louisien, Mont-Louisienne (1978)
Saint-MédardMunicipalitéMédardois, Médardoise (1986*)
Saint-MéthodeVillage (de la ville de Saint-Félicien)Méthodois, Méthodoise (1986*) 
Variante (s) : Ticouapéen (1984). 
Commentaire : La municipalité de Saint-Méthode n'existe plus depuis le 12 juin 1996, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Félicien. Le nom « Saint-Méthode » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité. Sise sur les bords de la rivière Ticouapé, cette municipalité aurait porté le nom de Ticouapé ou Tikouapé il y a longtemps, dénomination attribuée en l'honneur d'un Amérindien dénommé Attikouapé.
Saint-MéthodeSecteur (de la municipalité d'Adstock)Méthodois, Méthodoise (1986*)
Commentaire : Le nom « Saint-Méthode » identifie un secteur de la municipalité d'Adstock. Celui-ci correspond au territoire de l'ancienne municipalité de Saint-Méthode-de-Frontenac, à la suite de son regroupement avec la municipalité d'Adstock, le 14 février 2001.
Saint-Méthode-de-FrontenacMunicipalitéVoir Saint-Méthode (Secteur)
Saint-MichelMunicipalité (de la région de la Montérégie)Michelois, Micheloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Michel est devenue la municipalité de Saint-Michel, le 10 décembre 2011.
Saint-MichelMunicipalité de paroisse (de la région de la Chaudière-Appalaches)Voir Saint-Michel-de-Bellechasse (Municipalité)
Saint-MichelQuartier (de la ville de Montréal)Michelois, Micheloise (1979) 
Variante (s) : Michelot.
Saint-Michel-de-BellechasseMunicipalitéMichelois, Micheloise (1979*)
Variante (s) : Michelon (1972); Saint-Michelois.
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Michel est devenue la municipalité de Saint-Michel-de-Bellechasse, le 13 juin 1992.
Saint-Michel-de-RougemontMunicipalité de paroisseVoir Rougemont (Municipalité)
Saint-Michel-des-SaintsMunicipalitéSaint-Michellois, Saint-Michelloise (1983*)
Variante (s) : Michellin; Michelois.
Saint-Michel-du-SquatecMunicipalitéSquatécois, Squatécoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Michel-du-Squatec est devenue la municipalité de Saint-Michel-du-Squatec , le 1er novembre 2014.
Saint-Michel-d'YamaskaMunicipalité de paroisseVoir Yamaska (Municipalité)
Saint-ModesteMunicipalité Modestois, Modestoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Modeste est devenue la municipalité de Saint-Modeste, le 28 novembre 2009.
Saint-MoïseMunicipalité de paroisseMoïsien, Moïsienne (1978*)
Bibliographie : OTIS, Augustine (1986), « St-Moïse : Les affaires municipales. Nom des habitants de St-Moïse », dans L'Avant-Poste Gaspésien, Amqui, 19 mars, p. 6.
Saint-NarcisseMunicipalité de paroisseNarcissois, Narcissoise (1952)
Variante (s) : Narcissien (1978).
Saint-Narcisse-de-BeaurivageMunicipalité de paroisseNarcissien, Narcissienne (1972*)
Saint-Narcisse-de-RimouskiMunicipalité de paroisseNarcissois, Narcissoise (1984*)
Bibliographie : ALARY, René (1986), « Vive les « Narcissois »! », dans Échodimanche, ?, 2 mars, p. 20.
Saint-NazaireMunicipalitéNazairois, Nazairoise (2010*)
Saint-Nazaire-d'ActonMunicipalité de paroisseNazairien, Nazairienne (1986*)
Saint-Nazaire-de-DorchesterMunicipalité de paroisseNazairéen, Nazairéenne (1986*)
Saint-NéréeMunicipalité de paroisseVoir Saint-Nérée-de-Bellechasse (Municipalité)
Saint-Nérée-de-BellechasseMunicipalitéNéréen, Néréenne (1985*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Nérée est devenue la municipalité de Saint-Nérée-de-Bellechasse, le 18 février 2012.
Saint-NicéphoreSecteur (de la ville de Drummondville)Nicéphorois, Nicéphoroise (1986*)
Variante (s) : Saint-Nicéphorois.
Commentaire : La municipalité de Saint-Nicéphore est devenue la ville de Saint-Nicéphore, le 20 mars 1999. Celle-ci n'existe plus depuis le 7 juillet 2004, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Drummondville. Le nom « Saint-Nicéphore » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-NicolasSecteur (de la ville de Lévis)Nicolois, Nicoloise (1986*)
Variante (s) : Saint-Nicolain (1903).
Commentaire : La ville de Saint-Nicolas n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Lévis. Le nom « Saint-Nicolas » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Le 21 juin 1986 on a célébré les Fêtes nicoloises, manifestation populaire qui marque le début de l'été à Saint-Nicolas.
Bibliographie : CARRIER, Lise (1986), «Les résidants de Saint-Nicolas, des Nicolois, Nicolains ou ...», dans Le Peuple Tribune, Lévis, 11 février, p. B-9.
Saint-NoëlMunicipalité de villageSaint-Noëlois, Saint-Noëloise (1986*)
Saint-NorbertMunicipalité de paroisseNorbertois, Norbertoise (1979*)
Saint-Norbert-d'ArthabaskaMunicipalitéNorbertien, Norbertienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Norbert-d'Arthabaska est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-Norbert-d'Arthabaska et de la municipalité de Chester-Nord, le 30 novembre 1994, ainsi que de la municipalité du village de Norbertville, le 21 octobre 2009.
Saint-Norbert-d'ArthabaskaMunicipalité de paroisseVoir Saint-Norbert-d'Arthabaska (Municipalité)
Saint-Norbert-de-Mont-BrunMunicipalitéVoir Mont-Brun (Secteur)
Saint-Octave-de-DosquetMunicipalité de paroisseVoir Dosquet (Municipalité)
Saint-Octave-de-MétisMunicipalité de paroisseOctavien, Octavienne (2014*)
Variante (s) : Métissien, Métissienne (1986*) ; Métisien (1955).
Saint-Odilon-de-CranbourneMunicipalitéCranbornian (1983) (forme anglaise)
Saint-OmerSecteur (de la ville de Carleton-sur-Mer)Audomarois, Audomaroise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Omer n'existe plus depuis le 4 octobre 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Carleton-sur-Mer. Le nom « Saint-Omer » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Le gentilé est tiré du latin Audomarus, « de Saint-Omer ». Les citoyens de Saint-Omer dans le Pas-de-Calais sont dénommés de manière identique.
Saint-OmerMunicipalité (de la région de la Chaudière-Appalaches)Audomarois, Audomaroise (vers 1983) 
Commentaire : Voir Saint-Omer (Secteur) pour connaître l'étymologie du gentilé.
Saint-OnésimeVillage (de la municipalité de la paroisse de Saint-Onésime-d'Ixworth)Saint-Onésimien, Saint-Onésimienne (1981)
Saint-Onésime-d'IxworthMunicipalitéSaint-Onésimien, Saint-Onésimienne (1981)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Onésime-d'Ixworth est devenue la municipalité de Saint-Onésime-d'Ixworth, le 26 février 2011.
Saint-OursMunicipalité de paroisseVoir Saint-Ours (Ville)
Saint-OursVilleSaint-Oursois, Saint-Oursoise (1990)
Variante (s) : Saintoursien (1940); Saintoursois (1940). 
Commentaire : La nouvelle ville de Saint-Ours est issue du regroupement de la ville de Saint-Ours et de la municipalité de la paroisse de Saint-Ours, le 17 avril 1991.
Saint-PacômeMunicipalitéPacômien, Pacômienne (1951*)
Variante (s) : Pacomien.
Saint-PamphileVillePamphilien, Pamphilienne (1970*)
Saint-PascalVillePascalien, Pascalienne (1977)
Variante (s) : Pascalois (1976).
Commentaire : La nouvelle ville de Saint-Pascal est issue du regroupement de la ville de Saint-Pascal et de la municipalité de la paroisse de Saint-Pascal, le 1er mars 2000.
Saint-PascalMunicipalité de paroisseVoir Saint-Pascal (Ville)
Saint-Pascal-de-MaizeretsAncienne paroisse (de la ville de Québec)Pascalin, Pascaline (1987)
Commentaire : La paroisse de Saint-Pascal-de-Maizerets n'existe plus depuis 2002, par suite d'un regroupement. Elle fait maintenant partie de la paroisse du Bienheureux-François-de-Laval.
Saint-Patrice-de-BeaurivageMunicipalitéBeaurivageois, Beaurivageoise (1984*)
Variante (s) : Patricien.
Commentaire : La municipalité de Saint-Patrice-de-Beaurivage est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Patrice-de-Beaurivage et de la municipalité de la paroisse de Saint-Patrice-de-Beaurivage en 1984.
Bibliographie : La Rédaction (1984), « Beaurivageois, Beaurivageoise, vol. 2, mars, p. 2.
Saint-Patrice-de-BeaurivageMunicipalité de paroisseVoir Saint-Patrice-de-Beaurivage (Municipalité)
Saint-Patrice-de-la-Rivière-du-LoupAncienne municipalité de paroissePatriçois, Patriçoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Patrice-de-la-Rivière-du-Loup n'existe plus depuis le 30 décembre 1998, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rivière-du-Loup. L'appellation « Saint-Patrice-de-la-Rivière-du-Loup » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-Patrice-de-SherringtonMunicipalité Sherringtonnois, Sherringtonnoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Patrice-de-Sherrington est devenue la municipalité de Saint-Patrice-de-Sherrington, le 3 septembre 2011.
Saint-PaulMunicipalitéPaulois, Pauloise (1984*)
Variante (s) : Saint-Paulois.
Bibliographie : ANONYME (1984), « Des Paulois », dans Journal L'Action, Joliette, 19 juin. PELLETIER, Louis (1984), « Les résidents de St-Paul ... des Paulois? », dans Le Joliette Journal, Joliette, 18 avril.
Saint-Paul-d'AbbotsfordMunicipalité Abbotsfordien, Abbotsfordienne (1986*)
Variante (s) : Saint-Paulin (1976). 
Commentaire : Le redoublement du t du constituant Abbotsford, relevé à plusieurs reprises, est à l'origine de la forme erronée *Abbottsfordien publiée dans Dugas (1987), p. 180. La municipalité de la paroisse de Saint-Paul-d'Abbotsford est devenue la municipalité de Saint-Paul-d'Abbotsford, le 25 octobre 2008.
Saint-Paul-de-ChesterParoisse (de la municipalité de Chesterville)Saint-Paulien, Saint-Paulienne (1984)
Saint-Paul-de-la-CroixMunicipalité de paroissePaulois, Pauloise (1986*)
La municipalité de la paroisse de Saint-Paul-de-la-Croix est devenue la municipalité de Saint-Paul-de-la-Croix, le 18 septembre 2021.
Saint-Paul-de-l'Île-aux-NoixMunicipalité Paulinoix, Paulinoise (1983*)
Commentaire : Le gentilé est formé de Paul, du i de Île et de Noix afin de refléter le toponyme en son entier. Même si pour la finale -oix on ne dispose pas d'exemple en français d'un tel type de dérivé, étant donné qu'il s'agit de la même prononciation que pour les gentilés à finale -ois, cette forme paraît adéquate, même un tantinet astucieuse. La municipalité de la paroisse de Saint-Paul-de-l'Île-aux-Noix est devenue la municipalité de Saint-Paul-de-l'Île-aux-Noix, le 27 juin 2009.
Bibliographie : ANONYME (1984), « Les gens de Saint-Paul : Des Paulinoix », dans Coup d'Oeil, Napierville, 22 février, p. 3.
Saint-Paul-de-MontminyMunicipalitéMontminyen, Montminyenne (1986*)
Saint-Paul-du-NordSecteur (de la municipalité de Longue-Rive)Saint-Paulois, Saint-Pauloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Paul-du-Nord n'existe plus depuis le 28 mai 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Longue-Rive. Le nom « Saint-Paul-du-Nord » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Saint-PaulinMunicipalitéSaint-Paulinois, Saint-Paulinoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Paulin est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Paulin et de la municipalité de la paroisse de Saint-Paulin en 1988.
Saint-PaulinMunicipalité de villageVoir Saint-Paulin (Municipalité)
Saint-PaulinMunicipalité de paroisseVoir Saint-Paulin (Municipalité)
Saint-PhilémonMunicipalité de paroissePhilémontois, Philémontoise (1986*)
Saint-PhilibertMunicipalitéPhilibertois, Philibertoise (2015*)
Saint-PhilippeVilleSaint-Philippien, Saint-Philippienne (2009*)
Saint-Philippe-de-NériMunicipalité de paroisseSaint-Philippéen, Saint-Philippéenne (1986*)
Saint-PieVilleSaint-Pien, Saint-Pienne (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Saint-Pie est devenue la ville de Saint-Pie, le 25 novembre 2000.
Saint-Pie-de-GuireMunicipalité de paroisseGuirois, Guiroise (1986*)
Saint-PierreHameau (de la municipalité de la paroisse de Très-Saint-Sacrement)Saint-Pierrois, Saint-Pierroise (1985)
Commentaire : Dans l'usage local, on désigne cet endroit comme le « village Saint-Pierre ».
Saint-PierreMunicipalité de village (de la région de Lanaudière)Villageois de Saint-Pierre, Villageoise de Saint-Pierre (1986*)
Commentaire : Étant donné que la population locale s'identifie exclusivement à la dénomination courante Village Saint-Pierre, les autorités municipales ont retenu le constituant Village comme partie intégrante du gentilé.
Saint-PierreSecteur (de la ville de Montréal)Pierrois, Pierroise (1983*) 
Variante (s) : Saint-Pierrois. 
Commentaire : La ville de Saint-Pierre n'existe plus depuis le 1er janvier 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Montréal. Le nom « Saint-Pierre » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Le gentilé a été officiellement lancé en cours des festivités qui ont marqué le 75e anniversaire de la ville placé sous le signe de « La fête des Pierrois » (8-27 mai 1984). 
Bibliographie : PÉTRIN, Léo (1983a), « Un nom pour les gens de St-Pierre », dans Le Messager de LaSalle, LaSalle, 16 mars. PÉTRIN, Léo (1983b), « Les gens de St-Pierre : des « Pierrois », dans Le Messager de La Salle, LaSalle, 12 avril, p. B-3.
Saint-PierreMunicipalité de paroisse (de la région de la Capitale-Nationale)Voir Saint-Pierre-de-l'Île-d'Orléans (Municipalité)
Saint-Pierre-ApôtreParoisse (de la ville de Montréal)Saint-Pierrais, Saint-Pierraise (1992)
Saint-Pierre-BaptisteMunicipalité de paroisseBaptistois, Baptistoise (1983*)
Variante (s) : Batistois. 
Bibliographie : ANONYME (1984), « Baptistois et Baptistoises, bonjour! », dans Le Peuple de Lotbinière, Laurier-Station, 10 avril, p. A-14. GINGRAS, Marielle (1984), « Baptistois, Baptistoise : un nom officiel » dans La Feuille d'érable, Plessisville, 10 avril, p. A-14.
Saint-Pierre-de-BroughtonMunicipalitéSaint-Pierrais, Saint-Pierraise (1942)
Saint-Pierre-de-LamyMunicipalitéSaint-Pierrien, Saint-Pierrienne (1986*)
Variante (s) : Hubérien (1972). 
Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-SudMunicipalité de paroisseSaint-Pierrois, Saint-Pierroise (1986*)
Saint-Pierre-de-La VernièreParoisse (de la municipalité des Îles-de-la-Madeleine)Saint-Pierrais, Saint-Pierraise (1976)
Commentaire : La graphie du nom « Saint-Pierre-de-Lavernière » a été corrigée pour « Saint-Pierre-de-La Vernière » en 1997.
Saint-Pierre-de-l'Île-d'OrléansMunicipalitéSaint-Pierrais, Saint-Pierraise (1923*)
Variante (s) : Saint-Pierrain (1946).
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Pierre est devenue la municipalité de Saint-Pierre-de-l'Île-d'Orléans, le 13 septembre 1997.
Saint-Pierre-de-SorelAncienne municipalité de paroisseSaint-Pierrois, Saint-Pierroise (1985*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Pierre-de-Sorel n'existe plus depuis le 29 janvier 1992, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sorel-Tracy. L'appellation « Saint-Pierre-de-Sorel » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-Pierre-de-Véronne-à-Pike-RiverMunicipalitéVoir Pike River
Commentaire : La Municipalité de Saint-Pierre-de-Véronne-à-Pike-River est devenue la Municipalité de Pike River, le 5 mai 2012.
Saint-Pierre-les-BecquetsMunicipalitéBecquetois, Becquetoise (1986*)
[BÉ-KÈ-TOI/TOIZ]
Commentaire : La municipalité de Saint-Pierre-les-Becquets est issue du regroupement de la municipalité du village des Becquets et de la municipalité de la paroisse de Saint-Pierre-les-Becquets en 1986.
Saint-PlacideMunicipalitéPlacidien, Placidienne (1990*)
Variante (s) : Placidéen (1986); Placidois.
Commentaire : La municipalité de Saint-Placide est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Placide et de la municipalité de la paroisse de Saint-Placide, le 3 août 1994. Le gentilé conservé est celui qui avait été choisi par la municipalité de village.
Saint-PlacideMunicipalité de villageVoir Saint-Placide (Municipalité)
Saint-PlacideMunicipalité de paroissePlacidéen, Placidéenne (1986*)
Saint-PolycarpeMunicipalité de villageVoir Saint-Polycarpe (Municipalité)
Saint-PolycarpeMunicipalité de paroisseVoir Saint-Polycarpe (Municipalité)
Saint-PolycarpeMunicipalitéPolycarpien, Polycarpienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Polycarpe est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Polycarpe et de la municipalité de la paroisse de Saint-Polycarpe en 1988.
Saint-PrimeMunicipalitéPrimois, Primoise (1988)
Saint-ProsperMunicipalité Prospérien, Prospérienne (1986*)
Saint-ProsperMunicipalité de paroisse
Commentaire : Voir Saint-Prosper-de-Champlain (Municipalité)
Saint-Prosper-de-ChamplainMunicipalité Prospérien, Prospérienne (1986*)
Bibliographie : NOREAU, Roger (1986), « Affaires municipales. Saint-Prosper », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 13 février, p. 34.
Saint-RaphaëlMunicipalité de paroisseVoir Saint-Raphaël (Municipalité)
Saint-RaphaëlMunicipalitéRaphaélois, Raphaéloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Raphaël est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Raphaël et de la municipalité de la paroisse de Saint-Raphaël, le 8 décembre 1993. Le gentilé conservé est celui qui avait été retenu par la municipalité de paroisse.
Saint-Raphaël-d'AlbertvilleMunicipalité de paroisseVoir Albertville (Municipalité)
Saint-Raphaël-de-l'Île-BizardMunicipalité de paroisseVoir L'Île-Bizard (Secteur)
Saint-Raphaël-Partie-SudAncienne municipalité de paroisseRaphaëlois, Raphaëloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Raphaël-Partie-Sud n'existe plus depuis le 26 mars 1997, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité d'Aston-Jonction. L'appellation « Saint-Raphaël-Partie-Sud » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-RaymondVilleRaymondois, Raymondoise (1986*)
Saint-RaymondMunicipalité de paroisseRaymondien, Raymondienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Raymond n'existe plus depuis le 29 mars 1995, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Raymond.
Saint-RédempteurSecteur (de la ville de Lévis)Rédempteurois, Rédempteuroise (1984*)
Commentaire : La ville de Saint-Rédempteur n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Lévis. Le nom « Saint-Rédempteur » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-RémiVilleSaint-Rémois, Saint-Rémoise (1981*)
Variante (s) : Saint-Remois.
Saint-Rémi-de-TingwickMunicipalitéRémien, Rémienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Rémi-de-Tingwick est devenue la municipalité de Saint-Rémi-de-Tingwick, le 10 décembre 2011.
Saint-RenéMunicipalité de paroisseRenéen, Renéenne (1978)
Saint-René-de-MataneMunicipalitéSaint-Renéen, Saint-Renéenne (1986*)
Saint-RobertMunicipalité Robertois, Robertoise (1986)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Robert est devenue la municipalité de Saint-Robert, le 4 avril 2009.
Saint-Robert-BellarminMunicipalitéBellarminois, Bellarminoise (1986*)
Saint-Roch-de-l'AchiganMunicipalité Achiganois, Achiganoise (2004*)
Variante (s) : Saint-Rochois (1981); L'Achiganois.
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Roch-de-l'Achigan est devenue la municipalité de Saint-Roch-de-l'Achigan, le 14 octobre 2006. Les habitants de cette municipalité ont été longtemps appelés les Saint-Rochois.
Bibliographie : DUSSAULT, Louise (1986), « St-Rochois ou l'Achiganois? » dans Courrier-Laurentides-Est, Laval, 23 février, p. 3.
Saint-Roch-de-MékinacMunicipalité Mékinacois, Mékinacoise (1994)
Variante (s) : Mékinaquois (1994).
Saint-Roch-de-RichelieuMunicipalitéRochois, Rochoise (1979)
Variante (s) : Saint-Rochois.
Saint-Roch-des-AulnaiesMunicipalitéAulnois, Aulnoise (1986*)
[O-NOI/NOIZ]
Saint-Roch-OuestMunicipalitéSaint-Rochois, Saint-Rochoise (1986*)
Saint-RomainMunicipalité Romanois, Romanoise (2008*)
Saint-RomualdSecteur (de la ville de Lévis)Romualdien, Romualdienne (1978*)
Variante (s) : Etcheminois (1984). 
Commentaire : La ville de Saint-Romuald n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Lévis. Le nom « Saint-Romuald » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Bibliographie : SAMSON, Dominique (1986), « On en jase » dans Le Peuple Tribune, Lévis, 18 mars, p. B-2.
Saint-RosaireMunicipalité de paroisseRosarois, Rosaroise (2005*)
Saint-SamuelMunicipalitéSamuelois, Samueloise (2007*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Samuel est devenue la municipalité de Saint-Samuel, le 16 juillet 2011.
Saints-AngesMunicipalité de paroisseAngelinois, Angelinoise (1998*)
Saint-SauveurVilleSauverois, Sauveroise (1986*)
Commentaire : La ville de Saint-Sauveur est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-Sauveur et de la municipalité du village de Saint-Sauveur-des-Monts, le 11 septembre 2002.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Du côté de la Paroisse de Saint-Sauveur », dans Le Journal des Pays d'en Haut, Sainte-Adèle, 19 mars, p. 27.
Saint-SauveurQuartier (de la ville de Québec)Saint-Sauverois, Saint-Sauveroise (1986)
Saint-SauveurMunicipalité de paroisseVoir Saint-Sauveur (Ville)
Saint-Sauveur-des-MontsAncienne municipalité de villageSaint-Sauveurois, Saint-Sauveuroise (1978*)
Variante (s) : Saint-Sauverois; Sauverais; Sauverois; Sauveurais; Sauveurois. 
Commentaire : La municipalité du village de Saint-Sauveur-des-Monts n'existe plus depuis le 11 septembre 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Sauveur. L'appellation « Saint-Sauveur-des-Monts » (Municipalité de village) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Bibliographie : BEAUCHAMP-FORGET, Jacques (1978), « What's in a name? », dans L'Écho du Nord, Saint-Jérôme, 4 octobre. LACASSE, Cyprien (1978), « St-Sauveurois, St-Sauveurais? », dans Le Journal des Pays d'en Haut, Sainte-Adèle, 19 octobre.
Saint-SébastienMunicipalité (de la région de la Montérégie)Sébastinois, Sébastinoise (1984*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Sébastien est devenue la municipalité de Saint-Sébastien, le 5 novembre 2011.
Saint-SébastienMunicipalité (de la région de l'Estrie)Sébastiennais, Sébastiennaise (1923)
Saint-SévèreMunicipalité de paroisseSévèrois, Sévèroise (1986*)
Saint-SéverinMunicipalité de paroisseSéverinois, Séverinoise (2016*)
Saints-Gervais-et-ProtaisMunicipalité de paroisseVoir Saint-Gervais (Municipalité)
Saint-SiméonMunicipalité (de la région de la Capitale-Nationale)Saint-Siméonien, Saint-Siméonienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Siméon est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Siméon et de la municipalité de la paroisse de Saint-Siméon, le 25 avril 2001.
Saint-SiméonMunicipalité de villageVoir Saint-Siméon (Municipalité)
Saint-SimonMunicipalité Simonais, Simonaise (2003*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Simon est devenue la municipalité de Saint-Simon, le 4 avril 2009.
Saint-Simon-de-RimouskiMunicipalitéSimonois, Simonoise (1998*)
Saint-SixteMunicipalitéSaint-Sixtois, Saint-Sixtoise (1986*)
Saints-Martyrs-CanadiensMunicipalité de paroisseMartyrois, Martyroise (1985*)
Saint-StanislasMunicipalité (de la région de la Mauricie)Stanois, Stanoise (1986*)
Variante (s) : Koska (1978).
Commentaire : La variante est issue du nom originel de la municipalité, Saint-Stanislas-de-Koska-de-la-Rivière-des-Envies et véhicule un relent de surnom que les habitants n'appréciaient guère, avec raison. À noter que l'orthographe exacte requiert un t, soit Kostka puisqu'il s'agit de saint Stanislas Kostka, jésuite polonais du XVIe s.
Saint-StanislasMunicipalité (de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean)Stanissois, Stanissoise (2011*)
Saint-Stanislas-de-KostkaMunicipalitéStaniçois, Staniçoise (2006*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Stanislas-de-Kostka est devenue la municipalité de Saint-Stanislas-de-Kostka, le 27 septembre 2008.
Saint-SulpiceMunicipalité de paroisseSulpicien, Sulpicienne (1978*)
Saint-SylvèreMunicipalitéSylvérois, Sylvéroise (1986*)
Saint-SylvestreMunicipalité de villageVoir Saint-Sylvestre (Municipalité)
Saint-SylvestreMunicipalitéSylvestois, Sylvestoise (1996*)
Variante (s) : Saint-Sylvestrien (1988).
Commentaire : La municipalité de Saint-Sylvestre est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Sylvestre et de la municipalité de la paroisse de Saint-Sylvestre, le 4 décembre 1996.
Saint-SylvestreMunicipalité de paroisseVoir Saint-Sylvestre (Municipalité)
Saint-TélesphoreMunicipalitéTélesphorois, Télesphoroise (2009*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Télesphore est devenue la municipalité de Saint-Télesphore, le 7 août 2010.
Saint-Théodore-d'ActonMunicipalitéThéodorien, Théodorienne (1942)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Théodore-d'Acton est devenue la municipalité de Saint-Théodore-d'Acton, le 30 juillet 2011.
Saint-ThéophileMunicipalitéThéophilien, Théophilienne (1986)
Saint-ThomasMunicipalitéThomassien, Thomassienne (2002*)
Saint-Thomas-d'AquinSecteur (de la ville de Saint-Hyacinthe)Aquinois, Aquinoise (1983*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Thomas-d'Aquin n'existe plus depuis le 27 décembre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saint-Hyacinthe. Le nom « Saint-Thomas-d'Aquin » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-Thomas-de-PierrevilleAncienne municipalité de paroisseThomasien, Thomasienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Thomas-de-Pierreville n'existe plus depuis le 13 juin 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Pierreville. L'appellation « Saint-Thomas-de-Pierreville » (Municipalité de paroisse) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Saint-Thomas-DidymeMunicipalitéDidymien, Didymienne (1970*)
Bibliographie : ANONYME (1985), « Des Girardvillois aux Didymiens », dans Le Point, Dolbeau, 30 avril. 
Saint-ThuribeMunicipalité de paroisseThuribien, Thuribienne (1900*)
Saint-TimothéeSecteur (de la ville de Salaberry-de-Valleyfield)Timothois, Timothoise (1986*)
Variante (s) : Timothéen (1979); Timotois.
Commentaire : La municipalité de Saint-Timothée, issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Timothée et de la municipalité de la paroisse de Saint-Timothée, le 25 avril 1990, est devenue la ville de Saint-Timothée, le 8 juin 1994. Celle-ci n'existe plus depuis le 24 avril 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Salaberry-de-Valleyfield. Le nom « Saint-Timothée » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Saint-TiteVilleSaint-Titien, Saint-Titienne (1979*)
Bibliographie : LAMARRE, Michel (1986), « Les gens de Saint-Tite sont des Saint-Titiens », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 10 février, p. 7.
Saint-Tite-des-CapsMunicipalitéSaint-Titois, Saint-Titoise (1967)
Saint-UbaldeMunicipalitéUbaldien, Ubaldienne (1982)
Variante (s) : Saint-Ubaldois (1979).
Saint-UlricMunicipalitéUlricois, Ulricoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Saint-Ulric et la municipalité de la paroisse de Saint-Ulric-de-Matane se sont regroupées pour constituer la municipalité de Rivière-Blanche, le 12 janvier 2000. Celle-ci est devenue la municipalité de Saint-Ulric, le 11 novembre 2000.
Saint-UlricMunicipalité de villageVoir Saint-Ulric (Municipalité)
Saint-Urbain-PremierMunicipalitéSaint-Urbanais, Saint-Urbanaise (1992*)
Commentaire : L'élément Urbanais provient de l'équivalent latin d'Urbain, Urbanus.
Saint-ValentinMunicipalité Valentin, Valentine (2006*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Valentin est devenue la municipalité de Saint-Valentin, le 3 mai 2008.
Saint-ValèreMunicipalitéValèrien, Valèrienne (1986*)
Saint-ValérienMunicipalité de paroisseValérienois, Valérienoise (1986*)
Bibliographie : CÔTÉ, Jeanne D'Arc (1984a), « Sondage consernant (sic) une appellation précise pour les résidents de St-Valérien », dans Le Jaseur, Saint-Valérien, avril, s.p. CÔTÉ, Jeanne D'Arc (1984b), » Désire-t-on une appellation précise pour les résidents de St-Valérien », dans Le Jaseur, Saint-Valérien, mai, s.p.
Saint-Valérien-de-MiltonMunicipalité Valériennois, Valériennoise (1994*)
Commentaire : La municipalité du canton de Saint-Valérien-de-Milton est devenue la municipalité de Saint-Valérien-de-Milton, le 4 avril 2009.
Saint-VallierMunicipalitéVallierois, Vallieroise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Vallier est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Vallier et de la municipalité de la paroisse de Saint-Vallier, le 10 mars 1993. Les 2 municipalités avaient adopté le même gentilé en 1986.
Saint-VallierMunicipalité de villageVoir Saint-Vallier (Municipalité)
Saint-VallierMunicipalité de paroisseVoir Saint-Vallier (Municipalité)
Saint-Venant-de-HerefordMunicipalité de paroisseVoir Saint-Venant-de-Paquette (Municipalité)
Saint-Venant-de-PaquetteMunicipalitéPaquettevillien, Paquettevillienne (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Venant-de-Hereford est devenue la municipalité de Saint-Venant-de-Paquette, le 18 décembre 1993. Compte tenu de la nature de la dénomination municipale qui se prête difficilement à la dérivation et de l'identification plus ou moins généralisée de la population à la localité de Paquette, auparavant Paquetteville, dénominations anciennes de la municipalité, c'est à partir de ce dernier nom que l'on a élaboré le gentilé.
Saint-VianneyMunicipalitéViannois, Viannoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Jean-Baptiste-Vianney est devenue la municipalité de Saint-Vianney en 1988.
Saint-ViateurSecteur (de la municipalité de Saint-Cuthbert)Viatorien, Viatorienne (1985*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Saint-Viateur n'existe plus depuis le 7 janvier 1998, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Saint-Cuthbert. Le nom « Saint-Viateur » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité. Le gentilé provient de la dérivation latine, Viateur ayant pour équivalent en cette langue Viator, « le voyageur », lequel donne naissance à l'adjectif viatorius, « relatif aux voyages », dérivant de via, « la voie ».
Saint-Viateur-d'OutremontParoisse (de la ville de Montréal)Viatorien, Viatorienne (1954)
Commentaire : Le nom officiel de cette paroisse pour la Commission de toponymie est « Saint-Viateur ».
Saint-VictorMunicipalitéVictorois, Victoroise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Saint-Victor est issue du regroupement de la municipalité du village de Saint-Victor et de la municipalité de Saint-Victor-de-Tring, le 31 décembre 1996.
Saint-VictorMunicipalité de villageVoir Saint-Victor (Municipalité)
Saint-Victor-de-TringMunicipalitéVoir Saint-Victor (Municipalité)
Saint-WenceslasMunicipalitéWenceslois, Wencesloise (2012*)
Saint-ZacharieMunicipalité de villageVoir Saint-Zacharie (Municipalité)
Saint-ZacharieMunicipalitéZacharois, Zacharoise (1979*)
Commentaire : La nouvelle municipalité de Saint-Zacharie est issue du regroupement de la municipalité de Saint-Zacharie et de la municipalité du village de Saint-Zacharie, le 18 avril 1990. En mars et en avril 1986 se sont tenues les Festivités Zacharoises, genre de carnaval local très prisé.
Saint-ZénonMunicipalitéZénonien, Zénonienne (1979*)
Saint-Zénon-du-Lac-HumquiMunicipalité de paroisseLac-Humquien, Lac-Humquienne (1986*)
Saint-Zéphirin-de-CourvalMunicipalité de paroisseZéphirinois, Zéphirinoise (1986*)
Variante (s) : Zéphirinien (1839).
Saint-ZotiqueMunicipalité Zotiquien, Zotiquienne (1986*)
Commentaire : La municipalité du village de Saint-Zotique a changé son statut pour celui de municipalité, le 4 avril 2009, puis pour celui de ville, le 5 août 2023.
SakamiLieu-dit (de la municipalité de la Baie-James)Sakamien, Sakamienne (1981)
Salaberry-de-ValleyfieldVilleCampivallensien, Campivallensienne (fin XIXe siècle; 1980*)
[KAN-PI-VA-LAN-SYIN/SYENNE]
Variante (s) : Campivalencien; Campivalensien; Campivalentien; Campivallencien; Salaberrien; Valcampiste; Valleycampien; Valleyfieldois (1947).
Commentaire : Nombre de personnes sont intriguées par ce gentilé. Il tire son origine d'un bref apostolique, daté du 5 avril 1892, par lequel le pape Léon XIII éleva la ville à la dignité de siège épiscopal. Or, la désignation ecclésiastique choisie, qui d'ailleurs fit couler beaucoup d'encre, était Campivallensis, transposition en latin des éléments constitutifs du toponyme Valleyfield, à savoir valley, « vallée » (latin val, diminutif vallensis, « petite vallée ») et field,  « terrain; champ » (latin campus, au pluriel campi). Par ailleurs, on peut relever à quelques reprises l'équivalent « Vallée des Champs », à titre de « surnom » de la ville. De Campivallensis à Campivallensien il n'y avait qu'un pas qu'on a franchi aisément. Pour de plus amples renseignements, on se reportera à Centenaire de Salaberry-de-Valleyfield (1874-1974). Album souvenir, (1974), s.I., s.é., 197 p. Le bulletin municipal d'information, qui s'intitulait Le Campivallensien lors de sa création en 1982, a pour titre Le Campi depuis janvier 2018.
Source : Conseil de Salaberry-de-Valleyfield, résolution 80-881 du 22 septembre 1980, reconnaissant le gentilé « Campivallensien ». ANONYME (1983), « Campi ... Quoi? », dans Le Campivallensien, Salaberry-de-Valleyfield, vol. 2, no 4, décembre, p. 10. LEFEBVRE, Marc (1985), « Quel est votre gentilé? », dans Journal annuel de la Société historique de la Vallée de la Châteauguay, Howick, p. 13-16.
SalluitMunicipalité de village nordiqueSallumiuq (1975) (forme inuite)
[SA-LOU-MI-YOUK]
SaraguaySecteur (de la ville de Montréal)Saraguayen, Saraguayenne (1964)
Sault-au-RécolletSecteur (de la ville de Montréal)Récollétain, Récollétaine (1936)
Sault aux Cochons, Rivière duRivièreKuakueulnu (1991) (forme innue)
Commentaire : Le gentilé a pour sens : « Indien de la rivière du Sault aux Cochons », le cours d'eau étant identifié comme Kuakueu-shipu, en innu.
SawyervilleVillage (de la ville de Cookshire-Eaton)Sawyerviller (1983) (forme anglaise)
Commentaire : La municipalité du village de Sawyerville n'existe plus depuis le 25 avril 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Cookshire-Eaton. Le nom « Sawyerville » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
SayabecMunicipalitéSayabécois, Sayabécoise (1980)
[SÉ-BÉ-KOI/KOIZ]
Variante (s) : Sayabecois (1946).
Commentaire : En septembre 1980 est paru le premier numéro des Échos Sayabecois, revue municipale, sous le titre Sayabec Quoi?
ScheffervilleVilleScheffervillois, Scheffervilloise (1978)
Commentaire : Avec la sanction de la loi 67, le 19 juin 1986, cette ville a cessé d'exister sur un plan légal, mais on continuera longtemps d'évoquer les Sherffervillois, comme les Gagnonais qui ont subi le même sort, par ailleurs.
ScotstownVilleScotstownois, Scotstownoise (1986*)
ScottMunicipalitéScottois, Scottoise (1983*)
Commentaire : La municipalité de Scott est issue du regroupement de la municipalité du village de Scott et de la municipalité de Taschereau-Fortier, le 29 mars 1995.
Bibliographie : BÉGIN, François (1986), « Salut les Scottois et Scottoises! », dans Beauce Média, Sainte-Marie, 18 février, p. 6A.
ScottMunicipalité de villageVoir Scott (Municipalité)
SenneterreMunicipalité de paroisseSenneterrois, Senneterroise (1986*)
SenneterreVilleSenneterrien, Senneterrienne (1971)
Variante (s) : Senneterrois.
Commentaire : Les deux gentilés usités le sont de manière quasi équivalente.
Sept-ÎlesVilleSeptilien, Septilienne (1977)
[SÈ-TI-LYIN/LYENNE]
Variante (s) : Septîlien (1953); Sept-Ilien; Sept-Îlien (1964); Septilois; Sept-Îlois; Setilien.
Commentaire : En 1953, les membres de la Société historique du Saguenay ont été saisis d'une demande de monseigneur René Bélanger, historien bien connu de la Côte-Nord, quant au nom que devraient porter les habitants de Sept-Îles. Après avoir écarté septinsulaires, on a proposé septîlois et septîliens, ce dernier ayant obtenu la faveur générale. Dans l'optique où celui-ci « serait choisi, l'abbé Bluteau et l'abbé Pilote tiennent qu'il faudrait orthographier « septîliens » (en gardant le « p ») et prononcer « sétîliens ». (Lettre de l'abbé Victor Tremblay à monseigneur René Bélanger en date du 26 novembre 1953, document conservé au Centre régional du Saguenay—Lac-Saint-Jean des Archives nationales à Chicoutimi et dont copie nous a été procurée par notre collègue Jacques Fortin). À noter qu'une variété de barque pour la pêche a été baptisée la Sept-Îloise.
Sept-Lacs, Rang desChemin (de la municipalité de la paroisse de Saint-Donat, de la région du Bas-Saint-Laurent)Sept-Lacquois, Sept-Lacquoise (1989) 
Commentaire : Quoique limitrophe à Saint-Gabriel, Sainte-Angèle-de-Méréci et Saint-Donat, la plus grande partie de ce rang se situe dans Saint-Donat. Le nom officiel de cette voie pour la Commission de toponymie est « Rang des Sept-Lacs Est » et « Rang des Sept-Lacs Ouest ».
ShannonVilleShannonite (1980) (forme anglaise)
ShawiniganVilleShawiniganais, Shawiniganaise (1930*)
Variante (s) : Shawin.
Shawinigan-SudSecteur (de la ville de Shawinigan)Shawiniganais, Shawiniganaise (1985*)
Variante (s) : Almavillois (1983). 
Commentaire : La ville de Shawinigan-Sud n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Shawinigan. Le nom « Shawinigan-Sud » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Almaville a constitué la première dénomination de la ville.
ShawvilleMunicipalité Shawvillite (1980*) (forme anglaise)
SheenboroMunicipalitéSheener (1984*) (forme anglaise)
Commentaire : La municipalité des cantons unis de Sheen-Esher-Aberdeen-et-Malakoff est devenue la municipalité de Sheenboro, le 11 octobre 2003.
Sheen-Esher-Aberdeen-et-MalakoffMunicipalité de cantons unisVoir Sheenboro (Municipalité)
SheffordMunicipalité de cantonSheffordois, Sheffordoise
SheldrakeVillage (de la municipalité de Rivière-au-Tonnerre)Sheldrakien, Sheldrakienne (1897)
[CHEL-DRÉ-KYIN/KYENNE]
SherbrookeVilleSherbrookois, Sherbrookoise (1923*); Sherbrooker (1969) (forme anglaise)
Variante (s) : Sherbrookien (1939); Sherbroukois.
ShigawakeMunicipalitéShigawakien, Shigawakienne (1994)
ShipshawSecteur (de la ville de Saguenay)Shipshois, Shipshoise (1988*)
Variante (s) : Shipshawyen (1928).
Commentaire : La municipalité de Shipshaw n'existe plus depuis le 18 février 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Saguenay. Le nom « Shipshaw » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. En dépit de son ancienneté, le gentilé Shipshawyen, peu euphonique, a été écarté de l'usage moderne à l'occasion d'une consultation populaire tenue à la fin de 1987.
Bibliographie : GAGNON, Martine (1987), « La minute municipale. Concours », dans La Vie d'ici, vol. 6, no 1, Shipshaw, 20 novembre, p. 4.
ShiptonAncienne municipalité de cantonShiptonnais, Shiptonnaise (1985*); Shiptonner (1984) (forme anglaise)
Commentaire : La municipalité du canton de Shipton est devenue la municipalité de Shipton, le 18 décembre 1993. Celle-ci n'existe plus depuis le 17 mars 1999, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Danville. L'appellation « Shipton » (Municipalité de canton) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
SillerySecteur (de la ville de Québec)Sillerois, Silleroise (1984*)
[SI-LE-ROI/ROIZ]
Variante (s) : Sillerien (1953); Sillerinois (1953).
Commentaire : La ville de Sillery n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Québec. Le nom « Sillery » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Comme le soulignait avec humour la personne qui a piloté le dossier de la modification du gentilé Sillerien en Sillerois, monsieur Clément T.-Dussault, les gens préfèrent être traitées de « rois » que de « riens »... et on ne saurait les en blâmer!
Bibliographie : CITADIN [pseudonyme] (1953), « Silleriens ou Sillerinois? », dans Bulletin des recherches historiques, Lévis, no 59, p. 60. DUPONT Élaine (1982), « La toponymie, connaissez-vous? », dans L'Appel, Sainte-Foy, 5 mai.
SorelSecteur (de la ville de Sorel-Tracy)Sorelois, Sorelois (1876*); Soreller (1884) (forme anglaise) 
Variante (s) : Sorélois; Sorellois (1882). 
Commentaire : La ville de Sorel n'existe plus depuis le 15 mars 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sorel-Tracy. Le nom « Sorel » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Au cours des années 1880, un journal a paru sous le titre Le Sorellois, modifié plus tard en Le Sorelois. De plus, un bateau dénommé Le Sorelois a été construit en 1899. 
Bibliographie : CHAMARD, Ernest (1949), « Lois du peuple et lois de l'Académie », dans Le Devoir, 23 février, p. 8.
Soulanges, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeSoulangeois, Soulangeoise (1969)
Commentaire : De 1867 à 1939, les circonscriptions électorales de Vaudreuil et de Soulanges ont existé comme entités séparées. Toutefois, cette situation s'est prolongée jusqu'à aujourd'hui, bien qu'elles avaient été réunies sous la dénomination unique de Vaudreuil-Soulanges.
SoulangesDivision de recensementSoulangeois, Soulangeoise (1978) 
Commentaire : Anciennement, cette division de recensement constituait une municipalité de comté. L'appellation « Soulanges » (Division de recensement) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Stanbridge StationMunicipalitéStanbridgeois, Stanbridgeoise (2015*)
StansteadVilleStansteadois, Stansteadoise (1986*)
Commentaire : La ville de Stanstead est issue du regroupement de la municipalité de Rock Island et des municipalités des villages de Stanstead Plain et de Beebe Plain, le 1er février 1995.
Stanstead-EstMunicipalitéStansteadestien, Stansteadestienne (2015*)
Stanstead PlainSecteur (de la ville de Stanstead)Stansteadois, Stansteadoise (1986*) 
Commentaire : La municipalité du village de Stanstead Plain n'existe plus depuis le 1er février 1995, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Stanstead. Le nom « Stanstead Plain » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Stansteadois? Stansteadoise? », dans Hampstead Journal, Montréal, 30 avril.
StokeMunicipalitéStokois, Stokoise (1982*)
StornowayMunicipalitéStornowayen, Stornowayenne (1986*)
[STOR-NO-WÉ-IN/ENNE]
StratfordMunicipalité de cantonStratfordois, Stratfordoise (1986*)
Stukely-SudMunicipalité de villageDiligent, Diligente (1986*)
Variante (s) : Stukelois-du-Sud. 
Commentaire : Jadis les diligences traversaient la municipalité. Pour souligner ce fait, important à l'époque, on a retenu le vocable le plus près de diligence. Par ailleurs, une voie de communication de Stukely-Sud a pour nom Chemin de la Diligence, auparavant Chemin des Diligences.
Suffolk-et-AddingtonMunicipalité de cantons unisVoir Saint-Émile-de-Suffolk (Municipalité)
SullivanSecteur (de la ville de Val-d'Or)Sullivannois, Sullivannoise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Sullivan n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Val-d'Or. Le nom « Sullivan » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
SuroîtRégionSuroîsien, Suroîsienne (1991)
Commentaire : Cette région géographique d'appartenance occupe l'extrême sud-ouest de la Montérégie et son territoire regroupe les MRC de Vaudreuil-Soulanges, du Haut-Saint-Laurent et de Beauharnois-Salaberry. Le Suroît offre un bel exemple de concertation municipale fondée sur une communauté territoriale qui sert de moteur à un développement touristico-commercial important. Suroît provient du normand surouest ou surouet qui désigne un vent dominant du sud-ouest. L'appellation « Suroît » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Bibliographie : MORAND, Normand (1991), « Les gens du Sud-Ouest deviendraient les Suroîsiens », dans Le Soleil du Saint-Laurent, Salaberry-de-Valleyfield, 24 novembre, p. A-15.
SuttonVilleSuttonnais, Suttonnaise (1983*)
TadoussacMunicipalité de villageTadoussacien, Tadoussacienne (1889*)
[TA-DOU-SA-KYIN/KYENNE]
Variante (s) : Tadoussaccien (1913).
Commentaire : La variante s'applique à un groupe amérindien innu aujourd'hui disparu.
TaschereauMunicipalité Tascherellois, Tascherelloise (2002*)
Variante (s) : Tascheronier; Tascherois (1986*).
Commentaire : La nouvelle municipalité de Taschereau est issue du regroupement de la municipalité de Taschereau et de la municipalité du village de Taschereau, le 27 décembre 2001. Le l de passage redoublé contribue à une prononciation plus harmonieuse. Le gentilé «  Tascherellois, oise » qui avait été adopté par la municipalité du village en 1980 a été repris par la nouvelle municipalité le 2 juillet 2002 en remplacement de celui de Tascherois, Tascheroise adopté en 1986 par l'ancienne municipalité de Taschereau.
TaschereauMunicipalité de villageVoir Taschereau (Municipalité)
TasiujaqMunicipalité de village nordiqueTasiujarmiuq (1975) (forme inuite)
[TA-SI-OU-YA-MI-YOUK]
Variante (s) : Tasiujamiuq.
TémiscamingVilleTémiscaminois, Témiscaminoise (1986*)
Variante (s) : Témiscamien (1978).
Témiscamingue, Circonscription électorale duCirconscription électorale fédéraleTémiscamien, Témiscamienne (vers 1970)
Commentaire : L'appellation « Circonscription électorale du Témiscamingue » (Circonscription électorale fédérale) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
TémiscamingueMRCTémiscamien, Témiscamienne (1986*)
TémiscamingueRéserve indienneVoir Timiskaming (Réserve indienne)
TémiscamingueRégionTémiscamien, Témiscamienne (1939)
Variante (s) : Témiscamain; Témiscamingois (1925); Témiscamingouin (1939); Témiscaminguais (1939); Témiscaminguen (1940); Témiscaminguois (1939). 
Commentaire : Un journal qui dessert la région du Témiscamingue a pour titre Le Témiscamien et a été fondé en 1974. 
Bibliographie : CHÉNIER, Augustin (1939), « Témiscamiens. Baptisons-nous », dans Le Devoir, Montréal, 21 juin, p. 6.
TémiscouataMRCTémiscouatain, Témiscouataine (1986)
TémiscouataRégion Témiscouatain, Témiscouataine (1923)
Variante (s) : Témiscouatien (1916); Témiscouatin (1928).
Commentaire : Le romancier Jacques Ferron a créé un personnage qu'il a baptisé le Témiscouathèque. En outre, une collection porte le nom de « Publications Témiscouataines ».
Témiscouata-sur-le-LacVilleTémilacois, Témilacoise (2010*)
Commentaire : Les villes de Cabano et de Notre-Dame-du-Lac se sont regroupées pour former la ville de Cabano–Notre-Dame-du-Lac, le 5 mai 2010. Celle-ci est devenue la ville de Témiscouata-sur-le-Lac le 13 novembre 2010.
Terrasse-VaudreuilMunicipalitéTerrassois, Terrassoise (2022*)
BRISSON, Jessica. « Les citoyens de Terrasse-Vaudreuil ont maintenant un gentilé », [En ligne], 2022, [www.neomedia.com].
TerrebonneVilleTerrebonnien, Terrebonnienne (1977*)
Variante (s) : Terrebonnais (1975).
Bibliographie : DESPATIS, Aimé (1986), « Terrebonnien, Terrebonnienne », dans La Revue, Terrebonne, 18 février, p. 6. VILLENEUVE, Ginette (1986), « Terrebonniens et Terrebonniennes », dans Le Trait d'union, Mascouche, 18 février, p. 35.
Tête-à-la-BaleineVillage (de la municipalité de la Côte-Nord-du-Golfe-du-Saint-Laurent)Baleinois, Baleinoise (1975)
TétreaultvilleSecteur résidentiel (de la ville de Montréal)Tétreaultvillois, Tétreaultvilloise (1983)
Thetford MinesVilleThetfordois, Thetfordoise (1975*)
Variante (s) : Thetfordien.
Thetford-Partie-SudSecteur (de la ville de Thetford Mines)Thetfordsudois, Thetfordsudoise (1986*)
Commentaire : La municpalité du canton de Thetford-Partie-Sud n'existe plus depuis le 17 octobre 2001, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Thetford Mines. Le nom « Thetford-Partie-Sud » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
ThorneMunicipalité Thornite (1986*) (forme anglaise)
ThursoVilleThursolien, Thursolienne (1985*); Thursonian (1981) (forme anglaise)
TimiskamingRéserve indienneTimiskamingini (1983) (forme algonquine)
[TI-MIS-KA-MIN-GUI-NI]
Variante (s) : Timagamiwini.
Commentaire : La réserve indienne de Témiscamingue est devenue la réserve indienne de Timiskaming en 1999. Le sens du gentilé est « hommes du lac profond », Témiscamingue provenant de l'algonquin tim, « profond » et kami, « eau ».
TingwickMunicipalité Tingwickois, Tingwickoise (1978*)
Toulnustouc, RivièreRivièreKuetutinushtikulnu (1991) (forme innue) 
Commentaire : En innu, le nom de la rivière Toulnustouc est Kuetutinushtiku.
Toupiké, RivièreRivièreToupikois, Toupikoise (1970) 
Commentaire : Le dérivé a été choisi à la suite d'une consultation populaire menée au sein de la population de la municipalité de Saint-Cyprien, dans Rivière-du-Loup et coiffe un équipement de loisir.
TouraineSecteur (de la ville de Gatineau)Tourangeau, Tourangelle (1978) 
Commentaire : Le gentilé des habitants de la Touraine française et de Tours est identique et « atteste l'existence d'une forme disparue *Touronge, *Tourange, parallèle à Saintonge » (Albert Dauzat (1963), Les noms de lieux, Paris, Delagrave, p. 189).
TourelleVillage (de la ville de Sainte-Anne-des-Monts)Tourellois, Tourelloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Tourelle n'existe plus depuis le 2 février 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sainte-Anne-des-Monts. Le nom « Tourelle » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
TourvilleMunicipalitéTourvillien, Tourvillienne (1978)
TracySecteur (de la ville de Sorel-Tracy)Tracien, Tracienne (1978) 
Variante (s) : Tracéien; Tracyen.
Commentaire : La ville de Tracy n'existe plus depuis le 15 mars 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Sorel-Tracy. Le nom « Tracy » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
TrécessonMunicipalité de cantonTrécessonnien, Trécessonnienne (1986*)
TremblayMunicipalité de cantonVoir Canton-Tremblay (Secteur)
Très-Saint-RédempteurMunicipalité Rédempteurois, Rédempteuroise (1986*)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Très-Saint-Rédempteur est devenue la municipalité de Très-Saint-Rédempteur, le 30 janvier 2010.
Très-Saint-SacrementMunicipalité Sacrementois, Sacrementoise (2010*)
Sacrementer (forme anglaise)
Commentaire : La municipalité de la paroisse de Très-Saint-Sacrement est devenue la municipalité de Très-Saint-Sacrement, le 30 janvier 2010.
Tring-JonctionMunicipalité de villageTrignois, Trignoise (2015*)
Trinité-des-MontsMunicipalité de paroisseVoir La Trinité-des-Monts (Municipalité de paroisse)
Commentaire : La particule « La » a été ajoutée en 1986.
Trois-PistolesVillePistolois, Pistoloise (1980*)
Variante (s) : Pistolet (1970); Tri-Pistolois; Trois-Pistolet (1912); Trois-Pistolien; Trois-Pistolois. 
Commentaire : Quoique en usage, la variante Pistolet, eu égard au rapprochement qu'elle provoque naturellement, a été remplacée à bon escient par les autorités municipales en collaboration avec la Société historique et généalogique de Trois-Pistoles.
Bibliographie : MORIN, A. (1984), « Gens de Trois-Pistoles : qu'on ne vous appelle plus Pistolets mais Pistolois et Pistoloises », dans Le Courrier de Trois-Pistoles, Trois-Pistoles, 23 mai, p. 4. X, Marthe (1985), « Comment vous appelez-vous? », dans Justice, Québec, mars, p. 47.
Trois-Pistoles, RangChemin (de la municipalité de la paroisse de Saint-Damien-de-Buckland)Pistolais, Pistolaise (1982)
Trois-RivesMunicipalitéTrois-Riverain, Trois-Riveraine (1999*)
Commentaire : La municipalité de Boucher est devenue la municipalité de Trois-Rives, le 26 septembre 1998.
Trois-RivièresVilleTrifluvien (1870), Trifluvienne (1831*); Trifluvian (forme anglaise)
Variante (s) : Troisfleuvian (1948) (forme anglaise); Trois-Riviérais (1903).
Commentaire : Le gentilé provient du latin tres, « trois » et de fluvus, « fleuve, rivière ». La variante anglaise figure dans une liste publiée par Henry Mencken dans American Speech et présente un exemple étonnant et rarissime de calque du français par l'anglais. Au XIXe siècle, les publications journalistiques affectionnaient particulièrement l'adjectif tiré de Trois-Rivières puisqu'il figure dans le titre de l'Union Trifluvienne (1869), de The Trifluvian Trader (1870-1876) et du Trifluvien (journal existant). 
Bibliographie : DUGAS, Jean-Yves (1984), « le gentilé «Trifluvien ». À propos de la dénomination des citoyens de Trois-Rivières », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 8 février, p. 4. 
Trois-Rivières-OuestSecteur (de la ville de Trois-Rivières)Ouestrifluvien, Ouestrifluvienne (1984*)
Commentaire : La ville de Trois-Rivières-Ouest n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Trois-Rivières. Le nom « Trois-Rivières-Ouest » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Pour la formation du gentilé, se reporter à Trois-Rivières (Ville).
Bibliographie : ANONYME (1986), « Nos citoyens des « Ouestrifluviens », Hebdo du Cap, Cap-de-la-Madeleine, 11 mars, p. 21. ROY-GUÉRIN, Michelle (1986), « Les habitants de Trois-Rivières-Ouest... officiellement Ouestrifluviens », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 4 février.
TuvaalukVillageTuvaalummiuq (1982) (forme inuite)
[TOU-VA-LOU-MI-YOUK]
Commentaire : L'appellation « Tuvaaluk » (Village) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
UashatRéserve indienneUashaunnu (1980) (forme innue); Waasaaw-iiyuw (1994) (forme naskapie)
Variante (s) : Wacauwilnu (1931) (forme innue). 
Commentaire : Le gentilé signifie : « peuple de la baie ». Jadis, le poste de traite de Sept-Îles était identifié comme Uashau. En naskapi, le gentilé désigne, en outre, un Innu.
UlvertonMunicipalitéUlvertonien, Ulvertonienne (1984*); Ulvertonian (1978) (forme anglaise)
Variante (s) : Ulvertonois.
UmiujaqMunicipalité de village nordiqueUmiujarmiuq (1986) (forme inuite)
[OU-MI-OU-YA-MI-YOUK]
UngavaRégion Ungavien, Ungavienne (1962) Ungavamiuq (1980) (forme inuite)
Commentaire : L'appellation « Ungava » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
UptonMunicipalitéUptonais, Uptonaise (1986*)
Commentaire : La municipalité d'Upton est issue du regroupement de la municipalité du village d'Upton et de la municipalité de la paroisse de Saint-Éphrem-d'Upton, le 25 février 1998.
UptonMunicipalité de villageVoir Upton (Municipalité)
Val-AlainMunicipalitéVal-Alainois, Val-Alainoise (1990*)
Val-BarretteSecteur (de la municipalité de Lac-des-Écorces)Barrettois, Barrettoise (1984*)
Commentaire : La municipalité du village de Val-Barrette n'existe plus depuis le 10 octobre 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Lac-des-Écorces. Le nom « Val-Barrette » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
Val-BélairSecteur (de la ville de Québec)Bélairois, Bélairoise (1983*)
Variante (s) : Val-Bélairien (1979).
Commentaire : La ville de Val-Bélair n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Québec. Le nom « Val-Bélair » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
Bibliographie : ANONYME (1986), « Sur la Table du Conseil de Val Bélair », dans Le Mercredi soir, Loretteville, 2 juillet, p. 6.
Val-BrillantMunicipalitéVal-Brillantois, Val-Brillantoise (1989*)
Valcartier-VillageVillage (de la municipalité de Saint-Gabriel-de-Valcartier)Valcartiste (1974)
ValcourtMunicipalité de cantonValcourtois, Valcourtoise (1986*)
ValcourtVilleValcourtois, Valcourtoise (1978)
Val-DavidMunicipalité de villageVal-Davidois, Val-Davidoise (1984*)
Variante (s) : Valdavidois.
Val-des-BoisMunicipalitéValboisien, Valboisienne (1996*)
Val-des-LacsMunicipalitéVallacquois, Vallacquoise (1986*)
Val-des-MontsMunicipalitéMontvalois, Montvaloise (1978*)
Variante (s) : Montvallois; Valmontois.
Val-d'EspoirHameau (de la ville de Percé)Val-d'Espoirien, Val-d'Espoirienne (1978)
Val-des-SourcesVilleValsourcien, Valsourcienne (2020)
Val-d'OrVilleValdorien, Valdorienne (2014*); Valdorian (1983) (forme anglaise)
Variante (s) : Valdoran (1969) (forme anglaise); Val d'Orian (1982); Vald'orien; Val-d'Orien.
ValençayHameauValencien, Valencienne (1986)
Commentaire : L'appellation « Valençay » (Hameau) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Val-JoliMunicipalitéVal-Jolois, Val-Joloise (2000*)
Vallée-de-la-ChâteauguayRégionChâteauguayen, Châteauguayenne (1983)
[CHA-TO-GUÉ-IN/ENNE]
Vallée-du-RichelieuRégionRichelain, Richelaine (1978)
Variante (s) : Richelois (1905).
Commentaire : L'appellation « Vallée-du-Richelieu (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Vallée-du-Saint-LaurentRégionLaurentien, Laurentienne (1934)
Commentaire : L'appellation « Vallée-du-Saint-Laurent » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Vallée-du-Saint-MauriceRégionSaint-Mauricien, Saint-Mauricienne (1986)
Commentaire : L'appellation « Vallée-du-Saint-Maurice » (Région) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Vallée-JonctionMunicipalitéValléen, Valléenne (1995*)
ValmontAncien village (de la municipalité de la paroisse de Notre-Dame-du-Mont-Carmel)Valmongeois, Valmongeoise (1979)
La finale du gentilé en -geois surprend de prime abord. L'appellation « Valmont » (Village) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie depuis 1990.
Val-MorinMunicipalitéValmorinois, Valmorinoise (1984*)
Variante (s) : Val-Morinois.
Bibliographie : DESLAURIERS, Daniel (1984), « Les citoyens de Val-Morin porteront le nom de Val-Morinois (sic)! », dans L'Information du Nord, Saint-Jovite, 18 juin. VALIQUETTE, Michel (1984), « Les Valmorinois sont officiellement nés », dans L'Écho du Nord, Saint-Jérôme, 20 juin, p. 20.
Val-RacineMunicipalitéVal-Racinois, Val-Racinoise (2010*)
Val-Saint-GillesMunicipalitéSaint-Gillois, Saint-Gilloise (1980*)
Val-Saint-MichelSecteur (de la ville de Québec)Michelois, Micheloise (1974)
Val-SennevilleSecteur (de la ville de Val-d'Or)Val-Sennevillois, Val-Sennevilloise (1986*)
Commentaire : La municipalité de Val-Senneville n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Val-d'Or. Le nom « Val-Senneville » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
VanierSecteur (de la ville de Québec)Vaniérois, Vaniéroise (1981*)
Commentaire : La ville de Vanier n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Québec. Le nom « Vanier » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville. Le Vaniérois véhicule depuis 1983 les informations de nature municipale à l'intention de la population. Les citoyens de Vanier (Ontario) sont identifiés par un gentilé identique.
Bibliographie : LÉPINE, Yvan (1986), « L'ex-Québec-Ouest en changeant de nom a changé de réputation », dans Le Soleil, Québec, 23 mars, p. A-10.
VarennesVilleVarennois, Varennoise (1930)
VassanSecteur (de la ville de Val-d'Or)Vassanois, Vassanoise (1999*)
Commentaire : La municipalité de Vassan n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Val-d'Or. Le nom « Vassan » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
VaudreuilVilleVaudreuillois, Vaudreuilloise (1952*)
Commentaire : La ville de Vaudreuil n'existe plus depuis le 16 mars 1994, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Vaudreuil-Dorion. L'appellation « Vaudreuil » (Ville) n'a plus de statut officiel à la Commission de toponymie.
Vaudreuil-DorionVilleVaudreuillois-Dorionnais, Vaudreuilloise-Dorionnaise (2014*)
Variante (s) : Vaudreuillois, Vaudreuilloise (1952*)
Commentaire : La ville de Vaudreuil-Dorion est issue du regroupement des villes de Vaudreuil et de Dorion, le 16 mars 1994.
Vaudreuil-sur-le-LacMunicipalité de villageVaudreuil-Lacois, Vaudreuil-Lacoise (2010*)
Venise-en-QuébecMunicipalitéVénisien, Vénisienne (1986*)
[VÉ-NI-ZYIN/ZYENNE]
Commentaire : La forme retenue constitue une graphie modifiée de Vénitien, gentilé des citoyens de la Venise italienne, ce qui lui assure une certaine originalité.
Verchères, Circonscription électorale deCirconscription électorale provincialeVerchèrois, Verchèroise (1978)
VerchèresMunicipalitéVerchèrois, Verchèroise (1983*)
Variante (s) : Vercherois (1978). 
Bibliographie : JARRY, Nicole (1986), « Un gentilé pour Verchères », dans La Seigneurie, Boucherville, 12 mars, p. 27.
VerdunArrondissement (de la ville de Montréal)Verdunois, Verdunoise (1925*); Verdunite (1980) (forme anglaise)
Commentaire : La ville de Verdun n'existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Montréal. Le nom « Verdun » a toutefois été préservé; il identifie un arrondissement de cette ville.
VianneyVillage (de la municipalité de Saint-Ferdinand)Vianneyen, Vianneyenne (1986*)
[VI-A-NÉ-IN/ENNE]
Commentaire : La municipalité de Vianney n'existe plus depuis le 29 novembre 2000, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Saint-Ferdinand. Le nom « Vianney » a toutefois été préservé; il identifie un village de cette municipalité.
VictoriavilleVilleVictoriavillois, Victoriavilloise (1986*)
Bibliographie : BESMARGIAN, Gilles (1986), « Victoriaville municipal », dans L'Union des Cantons de l'Est, Victoriaville, 11 mars, p. 25.
Vieux-LongueuilArrondissement Voir Le Vieux-Longueuil (Arrondissement)
Vieux-MontréalSecteur (de la ville de Montréal)Vieux-Montréalais, Vieux-Montréalaise (1983)
Commentaire : L'appellation « Vieux-Montréal » (Secteur) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Vieux-PosteHameau (de la municipalité de Gros-Mécatina)Poston, Postonne (1992)
Commentaire : Le choix du suffixe ne se révèle pas particulièrement heureux sous l'aspect de l'euphonie.
Vieux-QuébecQuartier (de la ville de Québec)Vieux-Québécois, Vieux-Québécoise (1976)
Village-PikoganRéserve indienneVoir Pikogan (Réserve indienne)
Ville-MarieVille (de la région de l'Abitibi-Témiscamingue)Ville-Marien, Ville-Marienne (1986*)
Variante (s) : Villemarien.
VilleneuveSecteur (de la ville de Québec)Villeneuvien, Villeneuvienne (1979)
VilleroyMunicipalitéVillerain, Villeraine (1994*)
Variante (s) : Villeroyen (1995).
VimontSecteur (de la ville de Laval)Vimontois, Vimontoise (1979)
Variante (s) : Vimontais (1966)
Commentaire : À la fin des années 1970, un journal du nom de Le Vimontais a paru quelque temps.
Vimy-RidgeVillageVimyridgeois, Vimyridgeoise (2013)
VinoySecteur (de la municipalité de Chénéville)Vinoyen, Vinoyenne (1986*)
[VI-NOI-YIN/YENNE]
Commentaire : La municipalité de Vinoy n'existe plus depuis le 7 août 1996, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la municipalité de Chénéville. Le nom « Vinoy » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette municipalité.
WakefieldVillage (de la municipalité de La Pêche)Wakefieldien, Wakefieldienne (1898)
WalthamMunicipalitéWalthameux, Walthameuse (2014*)
Commentaire : La municipalité des cantons unis de Waltham-et-Bryson est devenue la municipalité de Waltham, le 5 juillet 1997. L'utilisation du suffixe -eux pour former un gentilé n'a pu être observée jusqu'ici, ce qui confère à cette création une allure tout à fait exceptionnelle. Par ailleurs, cet élément sert généralement à l'élaboration d'adjectifs et lorsqu'il entre dans la composition de substantifs, le mot créé peut se charger d'une nuance péjorative, du moins en langue québécoise
Waltham-et-BrysonMunicipalité de cantons unisVoir Waltham (Municipalité)
WardenMunicipalité de villageWardenois, Wardenoise (2015*); Wardenite (2015*) (forme anglaise)
WarwickMunicipalité de cantonVoir Warwick (Ville)
WarwickVilleWarwickois, Warwickoise (1979*)
Commentaire : La nouvelle ville de Warwick est issue du regroupement de la ville de Warwick et de la municipalité du canton de Warwick, le 15 mars 2000.
Bibliographie : DREYER, Brigitte, « Canton de Warwick au municipal ... », dans L'Union des Cantons de l'Est, Victoriaville, 18 mars, p. 33.
Washtawouka, BaieBaieWashtawokien, Washtawokienne (1897)
[WACH-TA-WO-KYIN/KYENNE]
Commentaire : Poste qui fut établi en 1874 près de Natashquan sur les bords de la baie Washtawouka ou Washtawoka, Washtawooka, Washtawaka, selon les nombreuses graphies observées.
WaskaganishVillage cri et municipalité de village criWaskahiganishiwi Iyiyou (1992) (forme crie); Waaskaaikinisiiw-iiyuw (1994) (forme naskapie)
Commentaire : Dénommée antérieurement Fort Rupert, cette municipalité de village cri voit ses habitants identifiés par un gentilé cri qui signifie : « Indien de Fort Rupert ». Voir Chisasibi (Réserve indienne) pour l'explication d'Iyiyou.
WaswanipiVillage cri et municipalité de village criWaswanipiwilnu (1931) (forme crie); Waaswaanipiiw-iiyuw (1994) (forme naskapie)
Variante (s) : Waswanipi Eeenouch (1986) (forme algonquine).
Commentaire : Consigné par l'anthropologue Frank Gouldsmith Speck, cette dénomination a pour sens : « ceux qui chassent ou pêchent à la lanterne ».
WaterlooVilleWaterlois, Waterloise (1982*)
Variante (s) : Waterloois (1930*). 
Bibliographie : BEAUREGARD, Claude (1986), « L'appellation  « Waterlois » enfin consacrée », dans La Voix de l'Est, Granby, 6 février, p. 11.
WatervilleVilleWatervillois, Watervilloise (1989)
WatsheshooVillageWathseshouan, Wathseshouane (1897)
[WA-TECH-CHOU-AN/ANNE]
Commentaire : La graphie du nom de lieu s'est fixée sous la forme Watshishou à une époque récente. L'appellation « Watsheshoo » (Village) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Watshishou, RivièreRivièreWatsheshouan, Watsheshouane (1897)
Commentaire : Jadis, le nom de ce cours d'eau était orthographié Watsheshoo, graphie qui a servi de base au gentilé. C'est vers 1863 que deux frères dénommés Pilote s'installèrent à proximité de cette rivière, donnant naissance à la « communauté » de Watshishou.
WeedonMunicipalitéWeedonnais, Weedonnaise (1978*)
Commentaire : La municipalité de Weedon est issue du regroupement de la municipalité du canton de Weedon et de la municipalité du village de Weedon Centre, le 11 décembre 1996, de la municipalité de Fontainebleau, le 24 décembre 1997 et de la municipalité du village de Saint-Gérard, le 9 février 2000.
WeedonMunicipalité de cantonVoir Weedon (Municipalité)
Weedon CentreMunicipalité de villageVoir Weedon (Municipalité )
WeirVillage (de la municipalité de Montcalm)Weirian (1980) (forme anglaise)
WemindjiVillage cri et municipalité de village criWiiminichiiw-iiyuw (1994) (forme naskapie)
WemotaciRéserve indienneUemitashiulnu (1980) (forme innue)
Commentaire : La réserve indienne de Weymontachie est devenue la réserve indienne de Wemotaci en 1997. Comme il en va fréquemment pour les formes amérindiennes, le dérivé est tiré de l'une des nombreuses graphies du toponyme souche.
Wentworth-NordMunicipalitéNord-Wentwortois, Nord-Wentwortoise (2013*)
WestburyMunicipalité de cantonWestburyen, Westburyenne (1986*)
[WEST-BOE-RÉ-IN/ENNE]
West IslandSecteur (de la ville de Montréal)West Islander (1983) (forme anglaise)
Commentaire : L'appellation « West Island » (Secteur) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Westmount, Circonscription électorale deAncienne circonscription électorale provincialeWestmountais, Westmountaise (1989)
Commentaire : La circonscription électorale de Westmount fait partie de la circonscription électorale de Westmount–Saint-Louis depuis 1992.
WestmountVilleWestmountais, Westmountaise (1920*); Westmounter (1979) (forme anglaise)
Variante (s) : Westmontais; Westmountois. 
Commentaire : La variante Westmontais dénote une intention de francisation partielle du nom de la ville. 
Bibliographie : ANONYME (1981), « Heretofore Westmounters, please note », dans The Examiner, Westmount, 20 août. WALKER, Frank (1981), « The elegant crime capital », dans Winnipeg Free Press, Winnipeg, 4 septembre.
WeymontachieRéserve indienneVoir Wemotaci (Réserve indienne)
WhapmagoostuiVillage cri et municipalité de village criWapamekustikuwinnu (1931) (forme crie); Waapimaakustuw-iiyuw (1994) (forme naskapie)
Commentaire : Voir Baleine, Grande rivière de la.
WickhamMunicipalitéWickhamois, Wickhamoise (1978)
WindsorMunicipalité de cantonWindsorois, Windsoroise (1986*)
Commentaire : La municipalité du canton de Windsor est devenue la municipalité de Val-Joli, le 2 février 1991.
WindsorVilleWindsorois, Windsoroise (1978*)
Bibliographie : C., C. (1986), « Municipalités en bref. Windsor », dans La Tribune, Sherbrooke, 6 mars, p. A8.
WinnewayÉtablissement amérindienWinnawiiyani (1982) (forme algonquine)
[WIN-NA-WI-YA-NI]
Commentaire : Le sens français du gentilé est « hommes de l'eau vive ».
WottonMunicipalitéWottonnais, Wottonnaise (1888*)
Variante (s) : Wottonnien (1949).
Commentaire : La municipalité de Wotton est issue du regroupement de la municipalité du canton de Wotton et de la municipalité du village de Wottonville, le 10 mars 1993.
WottonMunicipalité de cantonVoir Wotton (Municipalité)
WottonvilleMunicipalité de villageVoir Wotton (Municipalité)
WrightSecteur (de la ville de Gracefield)Wrightois, Wrightoise (1986*)
Commentaire : La municipalité du canton de Wright n'existe plus depuis le 13 mars 2002, par suite d'un regroupement municipal. Son territoire fait maintenant partie de la ville de Gracefield. Le nom « Wright » a toutefois été préservé; il identifie un secteur de cette ville.
YamachicheMunicipalitéYamachichois, Yamachichoise (1925*)
Variante (s) : Machichois (1897).
Commentaire : La municipalité de Yamachiche est issue du regroupement de la municipalité du village de Yamachiche et de la municipalité de la paroisse de Sainte-Anne-d'Yamachiche en 1988. Jacques Ferron a publié un texte amusant intitulé « The Chichemayais » (Ethos (1983), vol. 1, no 2, Toronto, Autumn, p. 10-14; nous n'avons pu retracer la version française originale de ce conte), dans lequel il brode autour de cette dénomination attribuée à un Yamachichois.
YamachicheAncienne municipalité de villageVoir Yamachiche (Municipalité)
YamaskaMunicipalité de villageVoir Yamaska (Municipalité)
YamaskaMunicipalité Maskoutain, Maskoutaine (1977*)
Variante (s) : Maska. 
Commentaire : La municipalité de Yamaska est issue du regroupement de la municipalité de la paroisse de Saint-Michel-d'Yamaska ainsi que des municipalités des villages de Yamaska et de Yamaska-Est, le 19 décembre 2001. Se reporter à Saint-Hyacinthe (Ville), pour connaître l'origine de Maskoutain.
YamaskaDivision de recensementMaskoutain, Maskoutaine (1991)
Commentaire : L'appellation « Yamaska » (Division de recensement) n'a pas été officialisée à ce jour par la Commission de toponymie.
Yamaska-EstMunicipalité de villageVoir Yamaska (Municipalité)

Pour connaître un gentilé, écrivez ici le nom du lieu habité :  

Date de la dernière mise à jour : 2024-10-08